anéantie

Valar morghulis a écrit :

Kellhus a écrit :

Sora a écrit :

Vous comprendrez ce genre de situation quand vous serez plus grand et que vous l'aurez vécu. Et vous verrez que le terme d'obligation n'est pas du tout exagéré.



-IdontKnow- a écrit :

Kellhus a écrit :

Dangerousfuture a écrit :

C'est quoi ce nouveau type de kikoos qui jouent sur les mots, à faire des sophismes ?
Ils devaient se séparer, point barre, accepte la situation de l'auteur du topic.



Le meilleur moyen d'oublier une personne c'est de couper les ponts. Donc tous vos souvenirs tu les mets de côté. Par exemple les photos tu les mets à un endroit où tu ne les consulteras pas souvent, donc tu les supprimes de ton portable. Tu supprimes son Facebook, son numéro de portable. Et tu ne lui réponds pas, même s'il t'écrit.

A côté de ça, comme ça a été dit il faut que tu trouves une nouvelle occupation (série TV, danse, peinture, théâtre, sport, balade).




C'est loin d'être nouveau. Et ce n'est pas jouer sur les mots que d'être précis et correcte.

Ouai sauf que tu connais pas l'histoire, donc tu peux pas juger si c'était un choix ou une obligation. C'est juste pour jouer le casse couille de service quoi, comme sur tous les topics.



Le problème vient de la signification même d'obligation.
À moins d'y être physiquement forcé, aussi stupide que l'alternative paresse elle existe.
Même dans mon exemple avec un psychopathe qui menace la personne d'une arme, le choix existe de mourir (aussi stupide que ce choix puisse être).



LAROUSSE: (entre autres)

"Obligation: Nécessité imposée par une situation contraignante quelconque"

Donc, non, l'obligation n'est pas physiquement forcée ; le fait de partir est une obligation dans certains cas. Quitter quelqu'un est loin d'être de la paresse, surtout quand on l'aime. Maintenant, retourne jouer aux playmobiles et reviens quand tu auras un peu plus vécu mon petiot


A l'auteure: je te souhaite beaucoup de courage. Sors, trouve toi une nouvelle passion/activité, y'a rien de plus efficace!

Très bonne définition, poursuivons donc :
nécessité
Caractère de ce qui est inévitable, inéluctable

D'après ta définition, le choix n'existe pas dans cette situation contraignante quelconque.

Valar morghulis a écrit :

Merci captain obvious

Chemist a écrit :

Sora a écrit :

Vous comprendrez ce genre de situation quand vous serez plus grand et que vous l'aurez vécu. Et vous verrez que le terme d'obligation n'est pas du tout exagéré.

Arthur a tout dit avec ca. Tu verra quand tu expérimentera ca, parce que, mon cher Khelus, c'est pas du haut des tes 15ans que tu connais tout à la vie au point de pouvoir te permettre de nous donner des leçons dessus.

Ca arrive qu'il faille faire des choix pour se protéger de souffrances qui sont inutiles, le but d'un couple c'est d'être heureux ensemble, quand ca n'est plus le cas, ca n'apporte que de la souffrance.

À ceci près que ce ne sont pas des leçons de vie, mais un point de grammaire .

On peut débattre longtemps sur le caractère obligatoire de la rupture puisque l'auteur n'a pas apportée de précision.

Dans tous les cas je reste persuadé que c'est malsain si sa famille, quelqu'un de sa famille ou encore quelqu'un d'autre lui a imposé ce choix (via chantage, chantage morale etc... ) et c'est important d'en parler car c'est vraiment atroce si c'est ça et ça aidera l'auteur à y voir plus clair....

Chemist a écrit :

Anonyme_583251 a écrit :

On peut débattre longtemps sur le caractère obligatoire de la rupture puisque l'auteur n'a pas apportée de précision.

Dans tous les cas je reste persuadé que c'est malsain si sa famille, quelqu'un de sa famille ou encore quelqu'un d'autre lui a imposé ce choix (via chantage, chantage morale etc... ) et c'est important d'en parler car c'est vraiment atroce si c'est ça et ça aidera l'auteur à y voir plus clair....


J'adore: Tu nous dit que ca sert à rien d'en débattre, et à la ligne d'après, tu fais pareil mais en avançant encore plus loin en sortant que ca peut être genre sa famille qui l'a forcé.


C'est pas le but d'un forum de débattre ? Je participe vu que vous continuez. C'est peut être gros ce que je dis mais il faut penser à toutes les possibilités.
Ce que nous disons peut éclairer la lanterne de l'auteure.
C'est bien beau qu'elle se change les idées, mais si on l'a forcée ça ne sera qu'une solution pansement.

Elle a bien dit qu'elle était anéantie, vous ne trouvez pas ça très fort comme mot ? Moi je trouve que le degrés de mal être doit vraiment être élevé pour sortir ça, en général les gens parlent de déprime, de tristesse, ça pourrait avoir un lien avec le caractère obligatoire le fait qu'elle utilise un mot aussi puissant.

Si on quitte quelqu'un de toxique, bien que ça ne soit pas facile, je pense qu'ensuite on est soulagé quand même mais on ne se sent pas anéanti, on déprime un peu, on est triste, et puis on se dit que ça passera parce que c'est le mieux à faire pour nous. J'ai vraiment l'impression qu'il y a quelque chose de pas très jolie sur cette histoire.

Chemist a écrit :

Kellhus a écrit :

Chemist a écrit :

Sora a écrit :

Vous comprendrez ce genre de situation quand vous serez plus grand et que vous l'aurez vécu. Et vous verrez que le terme d'obligation n'est pas du tout exagéré.

Arthur a tout dit avec ca. Tu verra quand tu expérimentera ca, parce que, mon cher Khelus, c'est pas du haut des tes 15ans que tu connais tout à la vie au point de pouvoir te permettre de nous donner des leçons dessus.

Ca arrive qu'il faille faire des choix pour se protéger de souffrances qui sont inutiles, le but d'un couple c'est d'être heureux ensemble, quand ca n'est plus le cas, ca n'apporte que de la souffrance.

À ceci près que ce ne sont pas des leçons de vie, mais un point de grammaire .

Un point grammaire qui se "justifie" soit disant parce que tu es incapable d'admettre le choix de l'auteure qui était bien obligée de le quitter.

A partir du moment où elle a pris une décision, elle avait le choix, et donc n'était obligée de rien ; aussi pénible que la situation puisse être.
Son choix ne m'importe pas du tout, qu'elle soit aussi anéantie qu'elle le désire, mais cela restait son choix néanmoins.

P.S. je pense que je voulais utiliser le mot sémantique plus que grammaire.