Roche Écarlate

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Roche Écarlate 2 07/02/14 à 19:07

Salut Smile

J'ai demandé la suppression de l'ancien sujet puisque depuis quelques temps maintenant je suis en train de revoir entièrement ma nouvelle ( comportant une trentaine de page word police 11 ). Et donc, j'en suis à l'heure actuelle à trois chapitre ( sur sept ) de revu et corrigés. Je poste donc le prologue en espérant que cela puisse non seulement plaire, mais aussi incité les membres à critiquer le plus possible, car ça m'aiderais beaucoup. Smile
D'ailleurs, il y a des passages censés être en italique, j'ai un addon chargé de convertir mon texte pour les forums ( en mettant automatiquement des balises bbcodes ) mais ici, ils sont différents, du coup...

Bref, bonne lecture. Smile

Prologue

Le Sergent Daine Adem de la Confédération Herazienne, à cause de ses nombreuses découvertes d'importants sites miniers, fut réclamé dans une expédition périlleuse. Se trouvant à 642 années-lumière du système stellaire de l'étoile Betelgeuse dont faisait partie sa planète d'origine, Garton, le voyage de six mois passa relativement vite. Il se plut à contempler l'espace et l'arc-en-ciel formé par l'accélération supra-luminique, il y passa même des journées entières à ne faire que ça, songeant par la même occasion au déroulement de sa mission.

Il avait une famille : sa dame Aizus et son fils en création dans un des centres de maternité de la capitale de la Confédération. Ses parents tous deux morts, l'un au combat, l'autre lors de la perte d'une cité.

Et ainsi débute son histoire.

I

Le Capitaine Trejis aussi nommé l'Impitoyable, donna ses dernières instructions à la recrue exceptionnelle destinée à accompagner un de ses groupes Gordon. « Votre expérience en archéologie sera utile pour cette mission, obéissez à mon sous-officier. » Il rajouta : « Mes hommes ont l'ordre de vous abattre si vous tentez quoi que ce soit. »

J'ai l'habitude de ce genre d'avertissement maintenant... Le Sergent Daine Adem ajusta le col de son gilet pare-feu Herazien, car il n’eut même pas droit ne serais-ce que temporairement à l’armurerie de ses employés. « Nous ne sommes que l’héritage de la tyrannie de votre peuple. À présent nous sommes indépendants et nous vous offrons notre aide, mon aide. Retenez bien cela l’Impitoyable, nous sommes votre allié. L’officier croisa les bras et derrière sa visière, Daine crut voir ses sourcils s'abaisser.
— Votre aide, nous vous l’avons achetée, et notre nation est la plus puissante de la planète, n’oubliez jamais cela. »

Ils doivent en avoir des tas d’archéologues spécialisés et plus aptes que moi, songea-t-il. « Nous ne sommes pas sur Garton, ici.
— Ce qui rend votre situation bien plus délicate, Sergent. Personne ne pourra racheter votre droit de vivre, ici.
— Je serais prudent. »
Un hologramme s’activa au milieu de la salle, c’était le sous-officier qui l’avertit du début de l’opération. Sa voix était semblable à celle d'un robot combiné à celle d'un homme, déformée par la représentation holographique. « L’opération débute d'ici peu. Sergent Daine Adem, rejoignez-nous à la salle 344 de l’étage 62, et préparez votre esprit pour un largage orbital. Terminé. »
L’hologramme disparut et le capitaine sortit de la salle sans dire un mot de plus que nécessaire.

Cela faisait une semaine qu’il avait été embarqué dans cette station spatiale après un voyage interstellaire de plusieurs mois, à vrai dire il ne les comptait même plus, mais la vie à l’intérieur était plutôt luxuriante et apaisante, en attendant le début de sa mission. Ses généraux avaient vendu ses services au commandant Mortheman Arrhon conformément au dernier traité de paix — ou plutôt de la reddition sans condition — , puisque la Confédération avait tout intérêt à continuer à respecter ce traité : non seulement car la menace de l'Ordre planait sur eux, mais également celle de l'Empire Algaroth.

Traversant les couloirs de l’immense station orbitale, il s’arrêta dans un coin lui offrant une splendide vue sur la planète rouge où il s'apprêtait à y poser les pieds. La première planète conquise par des humains se dit-il, mais sûrement pas la dernière connaissant l’ambition des ordriques. Rien que le fait de penser cela aurait pu lui coûter la tête, mais bien heureusement, la technologie ne le permettait pas, pas encore... Se disant qu’il ne devrait pas prendre son temps, il s'empressa de rejoindre son nouveau groupe. La porte coulissa à son approche, et le regard des soldats se tourna vers lui. Le sous-officier prit la parole. « Herazien, la visière de ton casque absorbe-t-elle la poussière ?
— Non.
— Dans ce cas, t'es dans un sacré pétrin. Une tempête de poussière nous attend à l’atterrissage.
— Ne devons-nous pas atterrir dans deux heures ?
— Oui, mais le saut durera deux heures.
— Je vois. »

Faisant plusieurs pas en leurs directions, il ne ressentit aucun trac à l'approche de ces hommes ayant été ses ennemis dans le passé. « Pouvez-vous me donner les informations sur ce groupe Gordon, s'il vous plaît ? »

Le sous-officier fit un geste du regard à un de ses subordonnées. « Nous sommes le groupe Gordon G-T-46823, je suis l’unité 3, G-U-3, le sous-officier ici présent est G-U-1, Gordon premier.
— Et vos noms ?
— Aucune utilité, nous ne sommes pas des C'thar. »

Les C'thar étant le nom donné aux soldats de la Confédération, Daine n’avait aucune envie de laisser passer cette odieuse remarque, mais il n’osa pas prendre de risque et ignora les méchancetés gratuites. D’ailleurs, il se jura d'ignorer les prochaines, lui évitant des problèmes affectant le bon déroulement de sa tâche. Ainsi, il rentrerait plus tôt chez lui. S'ils comptent réellement me laisse repartir... Ce n'était pas la première fois qu'il eut été embarqué dans une mission en espérant que ce soit la dernière. Ça faisait maintenant vingt ans que cela durait. Il dégaina et vérifia l’état de son fusil d’assaut, son unique pistolet mitrailleur, sa foreuse à une main ainsi que son ADPI — Assistant Digital Personnel Intelligent — intégré dans la partie supérieur de l'armure entourant son bras droit. Les autres firent de même. Ils activèrent tous en même temps leurs heaumes afin d’englober leurs crânes. « Gordon 6 vous aiderez Gordon 12 à entrer dans la capsule, ensuite nous entrerons tous en ordre numérique croissant », dit le Sergent ordrique du ton autoritaire que tout gradé héritait naturellement.

Gordon 6 se rapprocha de Daine et lui indiqua l'emplacement de sa capsule et l'aida à s’y installer. Il enclencha un des boutons de la console s’ouvrant à lui et elle se referma, la console holographique disparaissant par la même occasion. Coupé de l’air de l'immeuble spatial, celui de la capsule était indépendant du reste ; d’après les données de l'ADPI, il pourrait vivre plusieurs mois dans l’espace rien qu’avec le réservoir principal. Celui d’urgence étendant cette durée à plus d’un an. Les vibrations des fermetures de chacun de ses nouveaux camarades retentirent. « Gordon », je vais avoir du mal à me faire à leur hiérarchie, songea-t-il.

À la onzième vibration, il n’en ressentit plus. Il sentit un léger sentiment de chute lorsque la capsule glissa vers le bas. Enfin, elle s'arrêta et l’écran en face de lui indiqua une ouverture du SAS dans dix secondes. Le SAS s’ouvrit, goba la capsule, se referma. De légers sifflements s’échappèrent d’en dessous : les tests du fonctionnement des propulseurs de la capsule censés accélérer la descente.

Tout à coup l’Herazien se sentit happé dans une autre dimension, en réalité aspiré dans le néant, provoqué par la vaporisation de l'oxygène. Il s’évanouit quelques minutes à cause du puissant choc, conséquence de la sortie dans le vide spatial. En reprenant conscience, il fut subjugué par la profusion d'astres magnifiant l'obscurité du vacuum céleste. Même à 642 années-lumière, les étoiles gardent toutes leurs splendeurs... Il leva la tête et vit l’immense station orbitale dont il venait à l’instant d’être propulsé, brillants d’une infinité de néons bleus parsemés ci et là, des torus à chaque extrémité du gigantesque bâtiment de l'espace tournant sur eux-mêmes. Malgré sa crainte de l’arsenal militaire de l’Ordre, il trouvait ce spectacle fascinant.

Sur l'écran holographique intégré à la vitre de la capsule, une fenêtre de conversation instantanée s’ouvrit par le commandement de sa pensée. Il put y rédiger son message de la même manière. « Prêts à toucher le sol d’une nouvelle planète ?
— Ce serait un grand honneur pour moi, répondit l'un d'eux, pour l'Unité !
— Vous croyez que nous pourrons nous détendre dans un des globes-mondes installés sur la planète ? demanda un autre.
— Non Gordon 11, nous y irons uniquement pour repartir dans la station dit à son tour le sous-officier.
— C’est dommage, ça a l’air tellement beau. »

La conversation ne s'interrompit pas lorsqu'il s’en déconnecta, afin de fermer les yeux et se détendre un petit moment. L’atterrissage était prévu dans une heure, il pouvait bien se permettre un petit assoupissement.

L'heure s'acheva enfin et sa capsule se mit à émettre des secousses, provoquant son réveil quasi-instantané. Il vit sur l'écran holographique de l'engin un schéma représentant la capsule entrant dans l’atmosphère. C'était la première fois qu'il dut faire affaire à un tel événement. Quand il revenait d'une des lunes de Garton, il empruntait des aéronefs de transport spatiaux, pas une vulgaire capsule propulsée d'une une station.

Sa capsule brûlait, tremblait, vibrait, il paniquait, transpirait.. Sa vitre brillait d’une lueur rouge feu, la capsule émettait tant de secousse qu’il crut qu’elle allait explosée à tout moment. Sur sa radio, la voix du Sergent Gordon résonna : « Atterrissage imminente, soldats de l'Ordre. »

Sa capsule frappa lourdement le sol, formant un petit cratère dans le sable de la planète rouge, et après avoir récupéré du puissant choc de l'atterrissage, la vitre de la capsule s'ouvrit. La visière de son casque fut envahie de saletés qu’il nettoya avec sa main, espérant qu'il ne devrait pas faire cela toute les minutes. Il aperçut avec difficulté ses collègues sortir de leurs capsules, à cause de la tempête de poussière à son apogée. La dizaine d’ordrique lourdement armés avec leurs robes armures noir s’approchèrent en s’alignant à côté de lui. Gordon 1, le sous-officier, prit la parole. « Nous sommes arrivés, alignez-vous comme nous le faisons. Allons-y. »
Leurs promenades durait maintenant depuis plus d'une heure, traversant d’innombrables kilomètres de terres plates et désertes. Daine se mit à vérifier l'état de son équipement par simple précaution, mais tout était en ordre. « Que faites-vous ? Cherchez-vous votre pistolet mitrailleur ? Lui dit 11, à sa gauche.
— Non, je ne prendrais pas ce risque, je ne suis pas stupide.
— C’est bien que vous sachiez ce qui risquerait de vous arriver à la moindre tentative.
— Je suis bien au courant. Mais dites-moi, à combien de mètres arrivez-vous à voir devant ?
— Deux kilomètres. Votre visière est envahie par la poussière, n'est-ce pas ?
— C’est ça. »

Ils arrivèrent trente bonne minutes plus tard dans un petit village : plusieurs bâtiments d’une vingtaine de mètres chacun formant des demi-cercles, dont la façades noires rappelait clairement les couleurs typiques de l'Ordre. Des traits bleu céleste coupait le bâtiment en plusieurs endroits, donnant un certain style à l'immeuble. Ils rompirent leurs formations et entrèrent en file indienne dans une de ces maisons. Ils passèrent l'un après l'autre le test de contamination du SAS. Lorsque ce fut au tour du dernier, Daine, il entra dedans, écarta bras et jambes, puis un rayon laser bleu tourna tout autour de lui, examinant avec précision l'ensemble de son corps. L’écran sur le mur à sa gauche afficha « OK » et la porte s’ouvrit.

L'intérieur brillait de sa luxure, une immense salle ovale peinte du sol au plafond en blanc disposait de néons bleu-gris en guise de lumière. Plusieurs tables tout aussi ostentateurs reposaient au centre du bâtiment ; des casiers, des lits. Le groupement militaire Gordon G-T-46823 était en train de s’aligner dans un des coins libres du bâtiment et l’intrus Herazien s'y joint, imitant son voisin.

Un ordrique d'apparence haut gradé s’approcha du groupe, leur ordonna d'une voix stentor : « Agenouillez-vous devant votre Haut maréchal ! » Et ils s'agenouillèrent. Daine en fit de même, après tout, il était des leurs. Pour l'instant. « Relevez-vous. » Ils se relevèrent. « Je suis venu vous briefer sur votre mission. Le Capitaine vous a fait un résumé, je vais vous donner les détails qu’il vous manque. Nous avons localisé un site contenant potentiellement un artefact dont nous avons la nécessité absolue. Le Sergent Daine ici présent a été choisi par moi-même. Nul d’entre vous ne le sait, mais Daine est l’homme qui a trouvé une mine d’orichalque sans précédent dans Xehra — la troisième lune de Garton — . C’est cette exploit qui a influé mon choix, il est le plus apte à découvrir ce qui se trouve dans ce site. Il dirigera les opérations. »

Il leva son bras à l’horizontale et tapota dessus. « Vous venez de recevoir les coordonnées du site en question. Vous commencez demain. Considérez la levée du soleil comme l’heure de départ. Je pars pour Krobmag. Sergent Gordon premier, je veux un rapport toutes les dix minutes une fois que vous aurez prit le départ. » Il rabaissa son bras et partit, les pas lourds, bruyants, la porte du SAS s’ouvrit et se referma à son passage.

Toujours aligné, regards figés droit devant, Gordon premier avança de quelques pas et fit volte-face. « Repos jusqu'à demain. Personne ne sort d'ici tant que je n'en donne l'ordre. Ce sera tous. » Suivant ce dernier ordre, chacun des soldats désactivèrent leurs casques, se divisant et s'abaissant pour former un col. Le casque de Daine avait aussi cette fonctionnalité, bien que l'apparence du sien était bien moins technologique et admirable que celui de ses coéquipiers forcés.

Daine admirait l’extérieur depuis une des vitres de l'immeuble, accoudé contre le mur. La tempête devait se terminer peu avant l’aube. Nuit, jour, impossible à dire, la tempête était telle qu’il ne put apercevoir à plus de deux mètres, l'extérieur envahit dans les ténèbres et l’infinité de poussières fuselant ci et là. La faim le rongeait, il songea à demander à ses coéquipiers quand le dîner aurait lieu, mais assis sur les tables et discutant de choses et d'autres, il ne le fit pas. À la place, il resta où il était et continua à rêvasser en contemplant le triste et sombre extérieur.

Il se remémora son entraînement militaire avec ses confrères, dont il ressentait un sentiment proche du manque. Il se souvint du Major Erekiem fouettant un des hommes ayant échoué à l’exercice, « Voilà ce qui arrive aux faibles disait-il, aux faibles ne croyant pas à notre Confédération. C’est aussi ce qui arrivera à l'Ordre Alkian, un jour, je vous le jure. »
Il se rappela aussi de sa dame et le jour où ils vinrent au centre de fécondation. Il tendit sa main à l’épine d'un boîtier relié au caisson, elle fit de même, et ils n'eurent plus qu'à patienter le temps que le fœtus se forme. Il revint le lendemain, seul, et il vit un minuscule petit être humain en pleine formation. Mon fils, songea-t-il, j’aimerais beaucoup voir à quel point il a grandi depuis ma première visite.

Garton me manque. Plusieurs minutes s’étaient écoulées pendant qu’il rêvassait, mais combien, ça, il ne le savait pas. Soudain, il sursauta : Gordon premier l’ordonnait de venir manger. Il s’assaillit aux côtés de Gordon 11 ; la discipline ordrique dictant de rester ordonné en toute circonstance, à commencer par les places, ils étaient ainsi positionnés en ordre numérique. Le repas était constitué de riz, salade imbibée de vinaigrette, de la viande de Torbak et du lait pure. Fourchette et couteau en main, il s’empressa de trancher délicatement la viande, extirpant et mettant de côté la graisse qu’il n’aimait pas et engloutit morceau après morceau les restes rôti de Torbak. Vint la salade, puis le riz. « C’est d’abord le riz, puis la salade, et finalement la viande, lui dit Gordon 11.
— Je suis si affamé que j’ai préféré déguster le plus calorique en premier. Mais quelle importance ?
— Tout a un ordre précis, Gordon 12. La façon de manger en fait partie.
— Chez nous c'est la même chose, mais ce n'est pas une importance primaire, tous de même.
— Gordon 12, tout n'est qu'ordre et précision. Si tu ne sais pas respecter cela, tu n'es pas un bon soldat. »

Daine soupira. « Gordon 11… j’aimerais vous appeler autrement que par un fichu numéro. Dites-moi votre prénom et nom, je vous prie.
— Nous ne sommes pas amis, dit-il en engloutissant un morceau de viande.
— Je ne demande pas grand-chose, vraiment. Nous sommes à des années-lumière de Garton, confrontés à nous-mêmes, autant se lier d’amitié afin que notre tâche ici soit plus agréable ?
— Je me nomme Ysemis Trejar.
— Bien. Cependant vous savez déjà comment je me nomme donc inutile que je ne vous le dise. »

Daine prit sa coupe et avala deux gorgées de lait, et reprit : « C’est quoi, Krobmag ?
— C’est le premier globe-monde construit ici, parait qu’il y aurait également les deux commandants militaires là-bas. Tout une chaîne du haut commandement quoi.
— Comment se nomme le Haut maréchal qui nous as accueillit ?
— Vous ne le connaissez pas ? Il a pourtant une certaine réputation dans l’ouest. »
L’Herazien secoua la tête. Son interlocuteur en robe armure sombre de l'Ordre avala son dernier morceau de torbak qu’il était en train de mâcher. « C’est le Haut maréchal Harakiel Olgaemon.
— Son nom me dit quelque chose, n’est-il pas le fils de Hecarim Olgaemon, le conquérant ?
— Si, c’est le cas. » Ysemis avala une dernière gorgée de lait, se tourna vers Daine et lui dit : « Après le dîner, nous allons tous nous reposer. Mais si vous le voulez, je peux m’arranger pour que nous puissions s’entraîner au sabre avant de se coucher, qu’en dites-vous ?
— Je n’ai jamais manié un sabre, et ça ne m’intéresse pas.
— Bon tant pis, j’ai toujours aimé manier un sabre, mais seuls les Elitium en utilisent.
— Ils utilisent aussi des arcs, comme au début des temps, il me semble ?
— Ouais, mais eux pourraient vous planter une flèche dans la tête depuis une centaine de kilomètres, vous et tous les gens autour en même temps.
— Je n'aimerais pas entrer en guerre avec votre nation.
— Pas encore ? »

Une fois que chacun eût fini son repas, ils se débarrassèrent de leurs plats dans une poubelle spécifique, dont le contenu serait plus tard largué dans l'espace ou désintégré. Une membrane dans chaque table se déploya pour les nettoyer, essuyant et humidifiant leurs surfaces.

Roche Écarlate 1/2 19/02/2014 à 13:11
Très intriguant... Malgré un style plutôt simple et classique, l'histoire porte dans l'imaginaire... Smile
Roche Écarlate 2/2 11/10/2014 à 15:39
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