les Perversions

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rammsteindu13 les Perversions 22 26/08/05 à 04:25

voila ca c'est cadeau en fait ca m'a fait deliré: toute une liste de perversion et ses details
Amitié LES DOUCHES

La douche est une pratique sexuelle qui consiste à asperger son partenaire de ses liquides corporels.

Les douches dorées ou golden showers font partie des jeux adolescents, lorsque l’on cherche à uriner sur un insecte ou que l’on écrit son nom sur la neige en urinant. A l’âge adulte, la miction sur un partenaire se nomme urophilie ou ondinisme.

Les douches brunes ou brown showers sont des pratiques coprophiliques: il s’agit de déféquer sur le partenaire.

La douche de sperme est, semble-t-il, la plus courante et la plus fréquemment acceptée. Elle se pratique entre les seins, sur le ventre, les fesses ou le visage, ou par étalement sur le corps.

La douche de lait demande qu’une femme allaitante presse ses seins pour arroser son partenaire. Il existe aussi des substituts de lait que l’on peut répandre sur la poitrine ou toute autre partie du corps.
Les crachats font partie des pratiques sadomasochistes tandis que la salive est aussi utilisée, comme les sécrétions nasales, en guise de lubrifiant.

La douche romaine est une forme de mysophilie assez rare. Il s’agit de vomir volontairement sur un partenaire. Certains mystiques chrétiens consommaient les vomissures des malades ou les desquamations des lépreux. Tels furent Madame Guyon, sœur Marie Alacoque ou saint Jean de la Croix. Ce dernier, comme d’autres, n’en fut pas moins canonisé.

autre perversion:

La ZOOPHILE

(du grec zoo : animaux, et philia : amour de)
Pratique consistant à avoir des rapports sexuels avec des animaux. Le terme est moderne et scientifique. Autrefois, on disait : « bestialité ».

En octobre 1601, à Paris, une femme et le chien avec qui elle avait eu des rapports sexuels furent brûlés. Cependant, la loi peut s’adoucir : en 1750, un nommé Jacques Ferron fut pendu pour avoir eu des rapports avec une ânesse. Plusieurs témoins respectable, dont l’abbesse du monastère proche, déclarèrent connaître l’ânesse depuis longtemps et certifièrent qu’elle avait toujours eu une conduite vertueuse. La Cour acquitta l’ânesse, concluant qu’elle avait dû être violée.

Certaines religions, éloignées de la pensée judéo-chrétienne, ne prohibaient pas la bestialité. Hérodote mentionne certains rites de fertilité qui exigeaient une éducation particulière des chèvres pour qu’elles s’unissent aux hommes. Les anciens Egyptiens auraient pratiqué le coït avec des crocodiles femelles pour augmenter leur virilité. D’autres traditions voyaient dans la zoophilie un remède contre les maladies vénériennes. Alors que bien entendu, la zoophilie comporte au contraire de grands risques de transmissions de maladies, et est à ce titre une pratique dangereuse sur le plan physique (sans même parler du plan psychologique).

On a longtemps cru que des êtres difformes, des chimères, pouvaient naître des unions zoophiles. Certains accusés du crime de « bestialité » prétendirent avoir pratiqué le coitus interruptus pour éviter ces naissances et obtenir une circonstance atténuante. L’église voulut souvent que les pâtres et autres bergers fussent remplacés par des jeunes filles, afin d’éviter le risque de zoophilie.

Cette précaution peut être justifiée : le ‘Rapport Kinsey’ (1953) établit que 17% des garçons américains de milieu rural ont eu au moins une relation sexuelle avec un animal. Selon le même rapport, la proportion générale de zoophiles dans la population des Etats-Unis est de 8% pour les hommes et de 5% pour les femmes. En revanche, selon la sexologue américaine Nancy Friday, le fantasme de zoophilie est assez courant et cru chez les femmes qu’elle a interrogées :
« L’un de mes fantasmes préférés est d’être prise par des animaux qui me permettent d’être aussi dépourvue d’inhibition qu’ils le sont eux-mêmes. En fantasme, j’imagine que je suis dans un laboratoire de recherche scientifique et qu’on me demande de pousser un gorille mâle à me faire l’amour pour qu’un film soit tourné sur cette expérience. » (Pamela, 34 ans)
« A notre insu, un jeune type, très beau garçon, accompagné d’un berger allemand, est en train de nous observer tandis que nous gémissons de plaisir. Il l’amène derrière mon amie qui est au-dessus de moi. J’aperçois le bout rouge vif de la bite du chien quand le garçon le fait monter sur ma partenaire. » (Ellen, 24 ans)
« De temps en temps, il m’arrive de fantasmer que je me fais prendre en levrette par un chien. » (Laurie, 36 ans)
« J’arrive dans une clairière, je m’agenouille sous un cheval pour caresser son pieu gigantesque, lécher son bout énorme, masser ses bourses massives. Et quand son pieu a été dressé à fond, dur comme du fer et tout palpitant, je me mets à quatre pattes en le guidant droit sur mon con. » (Hannah, 37 ans)
« Je rencontre un homme qui promène son chien. Nous commençons à bavarder et le chien n’arrête pas de venir me renifler, de me donner des coups de museau entre les jambes, en gémissant. Et moi aussi je suis excitée, je regarde cette pointe rose vif palpiter, grossir… » (Zoé, 22 ans)

Au-delà des fantasmes, les actes courants de la pratique zoophile sont la masturbation de l’animal, la fellation (zoofellatio), l’introduction de la verge de l’animal dans le vagin ou l’anus ou la pénétration de l’animal par les mêmes voies. La zoophilie comprend sans doute autant de variantes qu’il existe d’espèces animales. On distingue donc :

Les androzoones : il s’agit d’animaux mâles spécialement dressés pour avoir des relations sexuelles avec les humains. Beaucoup sont spécialisés dans l’oragénitalisme : on étale leur nourriture préférée sur les parties sexuelles de la personne devant être soumise à l’animal.
L’avisodomie : désigne les rapports sexuels avec un oiseau, un volatile. L’avisodomie fut une pratique assez répandue dans l’antiquité et au moyen-âge. Les manuels de confession expliquent précisément comment s’y prennent les jeunes filles un peu trop ferventes pour user d’un poulet à des fins masturbatoires.
La cynophilie : une prostituée de San Francisco défraya naguère la chronique en se faisant pénétrer publiquement par son chien Terre-Neuve. Au-delà de ce spectacle, elle proclamait que toute femme ayant fait l’amour avec un chien ne pourrait plus jamais se contenter d’un homme. Plus fréquent et moins difficile à mettre en œuvre est l’oragénitalisme cynophile : les chiots, encore édentés, tètent tout ce qu’on leur présente… Les chiens refusent rarement de lécher une vulve ou une verge.
Le felching : introduction d’un petit animal vivant ou d’une partie d’animal dans le vagin ou l’anus. La pratique la plus courante est d’envelopper l’animal dans un préservatif ou un sac en plastique pour l’empêcher de mordre.
L’insectophilie : excitation liée aux insectes. Fourmi, mouche, moustique, abeille ou toutes formes d’insectes sont utilisés pour parcourir le corps et plus particulièrement les organes génitaux. Les insectophiles recherchent des sensations tels les chatouillements, la peur, la douleur ou l’accroissement de la sensibilité.
L’ophidicisme : pratique incluant des serpents, des reptiles et certains poisson.

Il faut encore une fois préciser que toutes ces pratiques zoophiles sont dangereuses pour l'être humain : risques de maladies, de blessures, mais également traumatismes psychologiques. Quant aux animaux Femelle utilisées à de telles fins, on ne peut pas dire qu'elles soient franchement consentantes, et certaines pratiques zoophiles peuvent être assimilés par les tribunaux à des actes de torture (felching). La prolifération des images zoophiles sur l'Internet et en vidéo sont un phénomène terrible mettant en scène des jeunes femmes (et moins jeunes) se livrant à des actes "contre-nature" pour de l'argent (pour la drogue...).
Le taux de suicide chez ces jeunes femmes est très élevé. Evitez de participer à l'accroissement du phénomène : n'allez pas sur les sites présentant de telles images, ne regardez pas de telles vidéos.


autre perversion:LA TRICHOPHILIE

(du grec trikhos : poil, cheveu : et philia : amour de)

Excitation sexuelle par les poils, les cheveux. Certains hommes aiment les toisons pubiennes féminines bien fournies (les ‘tabliers de sapeur’). Il en existe des cas extrêmes : The Illustrated book of sexual records cite l’exemple d’une femme dont les poils pubiens descendent jusqu’aux genoux. D’autres fétichistes ne supportent pas une différence de coloration entre les cheveux et les poils pubiens d’une partenaire. En revanche, il en est qui recherchent ardemment cette configuration. A l’opposé, il existe aussi des hommes préférant les monts de Vénus glabres, épilés ou rasés, au point de devenir impuissants s’ils décèlent le moindre poil.

Il en est de même pour certaines femmes qui ne peuvent avoir du plaisir qu’avec des hommes à la poitrine velue, ou, au contraire, que cela dégoûte. Le mystère érotique du poil demeure entier.

Des fétichistes arrachent un ou plusieurs cheveux de femmes dans les lieux publics (autobus, métro, etc.). Plus rares, heureusement, sont ceux qui, munis de ciseaux, coupent les nattes et les queues-de-cheval. Les prostituées connaissent les clients dont la fixation est de se masturber en enroulant leurs cheveux autour de la verge, ou de les arroser de leur sperme.

autre perversion:

LE MASOCHISME(sadomasochisme)

Néologisme crée par le sexologue Krafft Ebing dans sa ‘Psychopathia Sexualis’ à partir du nom de Leopold Von Sacher Masoch, écrivain autrichien, auteur de ‘La Vénus à la fourrure’.
Ce terme désigne un goût de la soumission, de l’état d’avilissement, d’infériorité envers le partenaire et un désir de souffrance infligée par lui. Le masochisme est l’une des composantes principales du sentiment religieux qui déclare que la vie ne peut être que souffrance. Freud a aussi souligné son importance cruciale dans l’organisation de la réalité psychique: c’est l’inclination la plus connue comme en témoignent autant la vie sexuelle que la vie politique ou économique. Les pratiques de flagellations dans le monde catholique sont spectaculaires à l’instar des flagellants lors des processions en Espagne.


Il convient de dire que tout masochisme est consensuel. Il peut, certes, se révéler par hasard: jouissance occasionnelle durant l’enfance au cours d’une fessée ou d’une punition, etc. Mais il est délibéré. Il s’agit d’un échange, au rebours de certaines formes de sadisme qui sont uniquement des agressions, telles que les crimes sexuels, viols, meurtres, etc. Le véritable rapport sadomasochiste est tout autre. Pourtant, le masochisme est fortement réprouvé par ceux-là mêmes qui ont en charge de le soigner, de le guérir, ou de le faire accepter par celui qui en souffre, car on souffre parfois d’être masochiste, et ce n’est pas là une souffrance souhaitée.

L’un des aspects du masochisme est de lever les inhibitions. On n’assume pas son désir sexuel, on le transfère. C’est ‘l’autre’ qui veut ce qu’on désire, c’est lui qui ordonne qu’on le fasse. De ce fait, le sentiment de culpabilité se dissous dans ce déplacement de la responsabilité de son propre désir. La tendresse érotisée sous cette forme est peu acceptable pour une société industrielle. En tant que telle, elle n’est pas productrice, sinon de plaisir. Il devient donc nécessaire de transformer ce plaisir en marchandise, service, ou spectacle. Dès lors, les clubs sadomasochistes ritualisent ces pratiques, transformant le cérémonial en scène à voir autant qu’à jouer, le tout équivalant à une somme d’argent versée pour rétribuer le professionnel qui se charge de l’organisation des séances. Les pratiques sadomasochistes sont ‘à la mode’. Les clubs s’ouvrent dans les villes, et les revues, les films en traitant sont de plus en plus nombreux.

Autre variante : le face-sitting consiste à dominer son partenaire en s'asseyant sur son visage. Il a un caractère sadomasochiste.

autre perversion:

LE FROTTEMENT

Acte de se frotter contre le corps de quelqu’un ou contre un objet à des fins érotiques. On appelle également cette pratique ‘pelotage’. Aujourd’hui, depuis l’épidémie du sida, ces frottements remplacent parfois les actes sexuels à risques. Cependant, le frottement est plus particulièrement une pratique furtive, sans l’accord de la personne qui s’y trouve soumise. On voit ainsi, par exemple dans les transports en commun, des ‘frotteurs’ se presser contre d’autres voyageurs. En cas de protestation, il leur suffit de s’excuser en prétendant que ce contact était fortuit.

Le frottement le plus fréquent semble difficile à excuser puisqu’il s’agit d’appliquer un pénis en érection ou en semi-érection contre les fesses de la victime au travers du tissu des vêtements. Dans ‘The Sexual fetish’, Robert Tralins expose différents exemples de cette habitude. Par exemple, un homme suivait les femmes aux fesses imposantes dans les escaliers roulants, et se frottait contre elles afin d’atteindre l’orgasme. Un autre suivait les femmes obèses dans une porte à tambour.

Les ‘frotteurs’ ne sont pas forcément excités par les personnes qu’ils approchent ainsi. Certains fétichistes de la soie ou du cuir ne se frottent que contre des femmes portant des vêtements confectionnés dans ces matières. Les podophiles, fétichistes du pied, se livrent à un type particulier de frottage. Ils s’approchent de leurs victimes et leurs marchent sur les pieds. Ensuite, ils se confondent en excuses.

Les hommes se sont pas les seuls ‘frotteurs’. Il existe des femmes qui aiment se presser contre un homme dans le bus ou le métro, mais qui se montrent offensées si leur victime trouve la chose à son goût au point de le manifester. D’autres vont dans les bars pour homosexuels et se frottent au dos des consommateurs accoudés. Elles apprécient la surprise de leurs victimes lorsqu’ils s’aperçoivent qu’une paire de seins leur parcoure le dos.

autre perversion:

LES CRACHATS

Cracher sur son partenaire est à la fois une pratique d’humiliation et de fétichisme. Le crachat lui-même a été considéré comme porteur de pouvoirs magiques, comme la salive : on se souvient de la fameuse ‘bave de crapaud’ des mixtures préparées par les sorcières. Chez les Kirghises, on fouettait certains malades jusqu’au sang avant de leur cracher au visage pour les guérir.

Les crachats peuvent servir à lubrifier le pénis avant la pénétration anale ou vaginale. Les fétichistes du crachat sont excités lorsque leur partenaire leur crache dans la bouche ou sur diverses parties du corps. Il existe des femmes attirées par la ‘manière virile’ de cracher de certains hommes.

Dans le Journal d’une femme de chambre, d’Octave Mirbeau, l’héroïne boit les crachats d’un de ses amants. C’est un moment fort de cet ouvrage à l’érotisme puissant.

L’érotisme du crachat, comme ses vertus thérapeutiques, furent illustrés par Jim Morrisson, chanteur des Doors. Ayant mimé une masturbation sur scène et tenu des propos obscènes, il fut jugé à Miami. Lors de son procès, on évoqua l’une de ses phrases provocatrices. Morisson prétendait guérir les aveugles avec un crachat de putain. Le chanteur fut condamné par un juge austère, lui-même condamné dix ans plus tard pour outrage à la pudeur ! Plus tard, le chanteur Iggy Pop triomphera dans la provocation sexuelle, se livrant à d’intenses provocations scéniques, puis giflant les spectateurs avant de leur cracher au visage.

autre perversion:

La HIEROPHILIE

(du grec hieros : sacré, et philia : amour de)
Attirance érotique vers les choses sacrées. Le sexe et la religion entretiennent d’étroits rapports, ne serait-ce que par les positions sévères que certaines égliss conservent face aux pratiques érotiques. Les conduites d’abstinence, d’ascèse, de mortification mènent souvent le religieux à une véritable obsession sexuelle négative. C’est souvent la cause d’un sadisme exacerbé, non ressenti comme pervers puisque justifié par la loi divine. C’est ainsi que de bons moines, fort charitables au demeurant, en vinrent à brûler des sorcières par haine de leurs propres désirs, considérés comme impurs. D’autres moines sublimaient leur instinct et le tournaient vers les dieux et les saints.

Le blasphème mêle souvent des termes vulgaires ou obscènes au nom de Dieu tandis que les pratiques sexuelles hiérophiles constituent un sacrilège, une profanation. La célèbre scène du film L’Exorciste montrant une jeune fille possédée introduisant un crucifix dans son vagin représente l’une de ces pratiques hiérophiles. D’autres cas peuvent se présenter. Ainsi, certains adolescents aiment à insérer entre les pages des missels mis à disposition des fidèles dans les églises quelques photos obscènes en guise d’images pieuses. Le but est de s’étourdir, durant la messe, lorsqu’une digne dame patronnesse les découvre en cherchant la page de la prière du jour.

On connaît, dans les hôpitaux psychiatriques, quelques malades qui se masturbent en récitant des ‘Ave Maria’ ou des ‘Pater Noster’. Moins douloureux est le goût de certains amants pour les cimetières, ou les églises : faire l’amour sur l’autel ou dans le confessionnal, jouer à la confession sont des pratiques sinon courantes, du moins attestées. Se frotter à la statue d’un saint, lui toucher les parties sexuelles sont des pratiques assez courantes. La légende veut que dans certaines églises, des statues présentent un pénis en érection. Les fidèles de sexe féminin s’y accrochent afin d’en être pénétrées.

Certaines religions pratiquent une hiérophilie institutionnelle, femmes et hommes se servant d’une statue ou du sexe sculpté d’une statue comme objet érotique.

autre perversion:

L INFANTILISME

Excitation ressentie en jouant le rôle d’un enfant ou d’un bébé. Cette tendance s’accompagne parfois d’un refus, d’une aversion pour son propre corps d’adulte, pour la barbe et les poils axillaires ou pubiens. Il existe des infantilismes sexuels et non sexuels. On désigne l’infantilisme du terme de ‘masochisme puéril’.
L’infantilisme diffère de l’anaclitisme. Le premier consiste à vouloir régresser et jouer le rôle d’un enfant, tandis que le second est une sorte de fétichisme concernant les objets ou les attitudes associés à l’enfance (couche...). Les individus infantiles agissent parfois seuls. Ils s’habillent en garçonnet et passent des journées entières à se contempler ainsi vêtus dans un miroir. D’autres rasent tous les poils de leur corps, s’habillent en enfant et se photographient inlassablement. Dans certains cas, les infantiles passent la nuit dans une chambre d’hôtel sans négliger d’uriner dans les draps.

D’autres adultes trouvent des partenaires consentants et jouent avec eux, suivant une multitude de scénarios possibles. Une scène d’infantilisme peut durer plusieurs heures et c’est pourquoi il convient d’en négocier préalablement la durée. Le partenaire peut jouer le rôle d’un parent, d’un ou d’une baby-sitter, d’un instituteur etc. On peut aussi ‘jouer au docteur’, se faire langer et, bien entendu, lire à haute voix un conte de fées pour endormir le ‘bébé’ récalcitrant qui pleure à en perdre le souffle…

L’infantilisme est aujourd’hui fréquent. La vie moderne pèse de plus en plus lourd sur les individus. Beaucoup d’adultes aiment ‘jouer à l’enfant’, ce qui leur sert de ‘soupape de sécurité’ allégeant les soucis, l’angoisse, le stress. Ils peuvent, durant un moment, se laisser aller émotionnellement, ce qui n’est pas ordinairement permis à un adulte. Beaucoup de personnes atteintes d’infantilisme recherchent des partenaires beaucoup plus jeunes qu’eux, ce qui augmente leur excitation.

Les scènes d’infantilisme sont fréquentes chez les dominatrices professionnelles comme le montre François Reichenbach dans le film Sex o’clock USA (1976). Rassurantes, lénifiantes, elles peuvent agir comme une thérapie sur une personne épuisée par ses responsabilités ou la pression familiale d’enfants exigeants, ingrats ou hostiles.

autre perversion:

Le COÎT INTERCRUTURAL
Insertion du pénis entre les cuisses du partenaires, parfois un enfant ou un adolescent de l’un ou l’autre sexe. Le coïtus interfemoris est une alternative à la pénétration anale ou vaginale et fut longtemps utilisé à des fins de contrôle des naissances avant le mariage.

Cette pratique est très ancienne. A tel point que le Talmud fustige les tribus dont les fils «frottent leur sexe entre les jambes des enfants, c’est-à-dire qui se masturbent entre leurs membres inférieurs». L’inflammation du périnée chez la victime d’un tel usage en est une preuve ou un indice.

Il existe quatre façons de pratiquer le coït intercrural:
Les pédophiles de la Grèce antique pénétraient l’entrecuisse des jeunes garçons quand ces derniers se tenaient debout ou couchés. Les hommes des tribus du Moyen-Orient préféraient que leur partenaire s’assoit sur leurs genoux. La troisième méthode est d’asseoir le partenaire sur un fauteuil, de le coucher sur un lit avant d’élever ses jambes et de les croiser, afin de former une petite cavité entre le haut des cuisses et le périnée, dans laquelle le pénis s’encastre. La quatrième façon est de placer le partenaire la tête en bas en le maintenant par les hanches ou par les genoux avant de pénétrer entre les jambes. Cet usage procure des sensations d’abrasion et de pression plus intenses que la pénétration vaginale.

autre perversion:

La SITOPHILIE

Utilisation de la nourriture à des fins sexuelles (du grec 'sitos': 'blé', et 'philia': 'amour de'). La nourriture comme l'amour est un plaisir des sens et, à ce titre, ils ont toujours été intimement liés. C'est ce qu'a fort habilement montré Marco Ferreri dans 'La Grande bouffe' (1973), film qui fit grand scandale à sa sortie. Les accessoires masturbatoires les plus courants sont les épis de maïs, les bananes, les carottes, les courgettes, etc., en guise de godemiché. Les saucisses, saucissons, andouilles ont aussi leurs adeptes, on nomme cettre pratique 'botulilonie'.

autre perversion:
La SIDERODROMOPHILIE

Excitation sexuelle procurée par les trains (du grec 'sidero': 'fer, 'dromo': 'chemin', et 'philia': 'amour de'). Cette forme particulière d'hodophilie est avantagée du fait que le train, avec ses compartiments, est plus intime que l'avion ou l'autocar. Des couples aiment se livrer à des activités sexuelles devant les fenêtres lorsque le train passe devant une gare.

Les trépidations du chemin de fer, certes moins importantes aujourd'hui qu'autrefois, ont souvent inspiré les amants, comme les écrivains. Leur effet, indiscutablement excitant, est à l'origine de nombreuses idylles ferroviaires. Une nouvelle de Guy de Maupassant, justement appelée 'Idylle', montre une nourrice encombrée de sa lactation importante et qu'un voyageur soulage en la têtant. La même scène se retrouve dans 'Les Valseuses' (Bertrand Blier, 1974) alors qu'Alphonse Allais a écrit plusieurs textes sur ce thème.

autre perversion:
la PODOPHILIE:
c'est quand tu bande sur des pieds(jla fait cour)
autre perversion:

Les PINCES

Pinces à linge, pince 'crocodiles' d'électricien, pinces à rideaux ou autres, ou encore spécialement fabriquées pour cet usage, ces ustensiles sont fort prisés dans le cadre des jeux érotiques. Alternative plus douce du piercing, elles peuvent être décoratives tout en produisant, selon la force de leurs mâchoires, toutes sortes de sensations, du chatouillement à la douleur. Elles permettent d'éprouver le pincement tout en laissant les mains du partenaire libres pour les caresses. Elles renforcent la sensibilité aux attouchements.

On les place sur les seins, les parties génitales, le nombril. Certaines sont munies d'une vis de réglage permettant d'ajuster leur tension à la sensation voulue.

Souvent, une sensation douloureuse apparaît lorsqu'on les ôte après les avoir longuement laissées en place. Il suffit de pincer avec les doigts la zone concernée avant de les enlever pour réduire cette douleur. Cette manœuvre permet une irrigation progressive des tissus cutanés. Elle est particulièrement efficace lorsqu'on a installé des pinces à linge sur les petites lèvres.

On peut accrocher des poids légers à des pinces mordant les tétons. Cette 'torture des seins' peut devenir dangereuse si les poids sont trop lourds. Pour les parties génitales féminines, on préférera les pinces à linge en plastique: elles ne collent pas à la peau, ne présentent pas de risque d'échardes et se désinfectent facilement à l'aide d'une solution d'eau additionnée de 10% d'eau de Javel.

Le 'jeu du pantin' est une pratique de domination où l'on applique des pinces à linge aux bras, aux mains et aux pieds d'un 'esclave'. Après quoi, des fils ont accorchés à ces pinces. Leur autre extrémité est reliée à une croix de bois. Le dominant monte alors sur une chaise ou un escabeau et manœuvre son partenaire comme s'il s'agissait d'une marionette à fils.

autre perversion:
La PEDIOPHILIE(et non la pedophilie)

Attirance pour les poupées, les ours en peluche, les jouets zoomorphes ou anthropomorphes (du latin 'pedis': 'pieds', et du grec 'phili': 'amour de').

Un Californien était fort amateur de poupées Barbie. Il leur rasait les cheveux et avalait leur tête, ce qui l'excitait sexuellement. Un examen radiologique permit de découvrir six têtes de poupées dans ses intestins. Lorsqu'il les rejetait dans les toilettes, il les récupérait, les nettoyait soigneusement, les faisant boullir afin de pouvoir les avaler de nouveau.

Un cas fort connu est celui d'une femme qui fut molestée dans son enfance par plusieurs personnes. Toutes la traitaient comme une poupée. Elle oublia l'aventure et devin pédiophile. Elle collectionna donc les poupées. Un jour, son mari la découvrit en train de jouer avec ses poupées. Furieux, il jeta toute la collection. La femme sombra dans la dépression, devint frigide et kleptomane: elle se mit à voler des poupées pour remplacer celles qu'elle n'avait plus.

autre perversions:
L HARPAXOPHILIE

Excitation sexuelle à l'idée d'un vol (du grec 'harpax': 'voleur', et 'philia': 'amour de'). L'harpaxophilie peut aussi être une chresmatistophilie, excitation à l'idée d'être volé.

L'expérience d'avoir été cambriolé est généralement pénible. La déclaration habituelle des victimes d'un tel acte est, en plus de la perte financière, l'impression d'indiscrétion, d'intimité rompue. Le mot 'viol' est souvent pronnoncé, ce qui nous ramène à des connotations sexuelles. Le fait d'être dépossédé illégalement de son bien produit évidemment une sécrétion d'adrénaline que certains trouvent agréable, au point même de vouloir revivre cette expérience au cours de mises en scène érotiques.

En général, la victime supposée fait semblant de dormir dans son lit, tandis que le partenaire, déguisé en cambrioleur, pénètre dans la chambre par la fenêtre, ou par toute autre issue à pas de loup. La 'victime' continue de 'dormir' tandis que le voleur ou la voleuse fouille partout. Parfois, la victime s'éveille est une lutte s'ensuit: l'érotisme de cet affrontement s'ajoute à celui procuré par l'harpaxophilie satisfaite.

Parfois, le 'voleur' ligote sa victime et la malmène pour lui faire révéler la cachette de ses économies, de ses bijoux.

Ces simulations sont généralement fort excitantes et comptent parmi les plus efficaces des mises en scène.
autre perversion:

Le FIST FUCKING:

Insertion de la main ou du poing fermé dans le vagin ou l'anus (de l'anglais 'fist': 'poing', et 'fuck': 'baiser').

autre perversion:

L'HYGROPHILIE

Attirance pour les sécrétions corporelles humides, gluantes ou visqueuses (du grec 'hygro': 'humidité', et 'philia': 'amour de').

L'hygrophilie comprend la nasomycinophilie, goût pour les sécrétions nasales, la dacryphilie, goût pour les larmes, la salirophilie qui concerne la sueur, l'urophilie pour l'urine, la coprophilie pour les fèces, ainsi que l'excitation au contact du sperme, des sécrétions vaginales, du sang des règles ou des blessures. Certains hygrophiles consomment ces sécrétions, d'autres les reniflent directement, à moins qu'ils préfèrent les trouver sur des vêtement souillés.

L'hygrophilie ne concerne pas forcément les seules sécrétions humaines: certains hygrophiles s'excitent au moyen de sang, de sperme, de salive animale. Le goût des fluides généralement considérés comme répugnant est illustré par Paul Verlaine dans le célèbre 'Album Zutique':
"Nous reniflerons dans les pissotières
Nous gougnotterons loin des lavabos
Et nous lécherons les eaux ménagères
Au risque d'avoir des procès-verbaux"

autre perversion:

L'ACROTOMOPHILIE

(de ‘acro’: extrémité, membre ; de ‘tomo’: coupure et ‘philia’: attirance, amour de)

Un acrotomophile est excité par l’idée d’avoir des relations sexuelles avec une personne amputée. Les acrotomophiles parviennent parfois à persuader leur partenaire de porter un bandage autour d’un bras ou d’un pied. Le Docteur Eustache Chesser rapporte qu’un homme atteint d’acrotomophilie demandait à sa femme de parcourir leur chambre en s’appuyant sur des béquilles. Elle claudiquait ainsi en préliminaire à leur étreinte.

Les causes de l’acrotomophilie sont diverses: fétichisme, sadisme par procuration, estime de soi défaillante, prétexte pour masquer une défaillance sexuelle. Il peut s’y mêler l’envie de secourir un handicapé, parfois jointe à la peur de se retrouver soi-même dans cet état. Ce dernier point pouvant évoquer la crainte de la castration chez l’homme.

L’acrotomophilie est généralement liée à une attirance pour l’amputation relative à un souvenir d’enfance. Le sujet ayant échappé à un accident ou en ayant été le témoin est mis en contact avec l’idée, voire la réalité d’une amputation. La peur, la compassion éprouvée s’accompagnent alors d’une forte impression, celle-ci pouvant s’érotiser à la vue d’une personne amputée. Ces acrotomophiles peuvent tout aussi bien être des femmes que des hommes, des hétérosexuels ou des homosexuels, l’attirance initiale envers les amputés devenant la clé de leur comportement sexuel d’adulte.

voila c'est tout c'est tres long mais bon pour ceux que ca interesse ca doit etre sympa je ne met pas ma source car ce site contient des trucs porno
mais bon enfin lisez que le debut si ca vous parez trop long Wink

les Perversions 21/22 26/08/2005 à 04:20
femme ? oui homme !
oh par chez moi si,enfin la lumiére de la lampe je vois éclaircir ma vie grace à celle ci Papillon
les Perversions 22/22 26/08/2005 à 04:25
n'oublis pas adepte l'abbé pierre n'est pas un homme (ou plutot n'est plus...) il est un sage exprime toi avec d'avantage de respect je te prie. quand la lumiere du soleil brulera ta retine , du ricoré je te porterais Salut
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