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frtt   Mon histoire 0 09/10/12 à 19:01

Bonjour a tous! Donc,je me lance. Voici le prologue et le premier chapitre de l'histoire que j'ai commencé a écrire.
Avant tout , petit résumé des épées, afin de comprendre un peu ce qui ce passe.

Dans toutes les terres de {nom a trouver, a oui j'ai pas d'idées, si vous en avez, aidez moi ^^}, on trouve profusion de forgerons et de magiciens. Mais un seul maîtrise ces deux arts combinés. C'est le maître des épées magiques.

Voici la liste des quatre types d'épées magiques :

Tristesse :
Faite grâce aux larmes d'une mère, épée d'eau. Très courante, épée polyvalente plus ou moins puissante suivant le niveau de maîtrise de la magie de son propriétaire. Épée bleue avec un saphir incrustée dans la garde
Bonheur :
Faite du nectar des fleurs les plus pures, épée de nature.Courante, épée d'agilité. Plus ou moins puissante mais plus puissante que Tristesse. Épée verte avec une émeraude incrustée dans la garde.
Colère :
Faite dans le sang d'une mère blessée, épée de feu. Peu courante , épée d'attaque. Puissante. Épée couleur feu avec de l'ambre incrustée dans la poignée.
Confiance :
Faites d'un minerai très rare. Ce minerai est imprégné de magie alors que la magie des épées réside habituellement dans leur gemme. Ce minerai a été trouvé par deux jumeaux. Épée d'air pour l'une, de pierre pour l'autre. Il n'en existe que deux. Leur force est décuplée si elle se trouvent a proximité de leur jumelle lors d'un combat. Si on essaye de les faire combattre l'une contre l'autre, les lames fusionnent et il se produit un dégagement de magie tel qu'il anéantit les deux personnes. Elles s'imbriquent l'une dans l'autre quel que soit le sens des lames. Épée blanche avec un œil de tigre incrustée dans la garde pour l'épée d'air et épée noire avec un diamant incrusté dans la garde pour l'épée de pierre. Leurs maîtres actuels sont Sire Taran et Dame Loana


Et donc maintenant, l'histoire!

Prologue :
« Ils » sont revenus. Moi, maître des épées magique, j'ai été prévenu et me suis caché. « Ils » ont tout saccagé car « Ils » veulent le secret des épées magiques. Mais je ne laisserai pas ces représentants de la magie noire posséder ce secret. Sinon ce sera le chaos. Je ressens de la colère , de la haine même envers ces ennemis de la paix. J'ai entrepris de forger une 17ème épée Colère. Je n'ai pas de sang d'une mère actuellement. Je veux tenter de forger Colère avec mon propre sang. Cela risque de me détruire mais tous les propriétaires des épées combattent actuellement, je ne peux pas laisser notre monde sombrer sans rien faire.
Je prends mon petit poignard et l'approche de mon bras. Ma main tremble, je commence à avoir peur. Non! Je ne dois pas avoir peur sinon Colère sera gâtée. Il faut que je me concentre sur le sentiment de colère. On frappe à ma porte. Je grommelle : « Entrez! » sans plus de précautions, seuls les initiés connaissent ma cachette. Qui me dérange?
Oh, mon Dieu! Une jeune femme entre, laissant une traînée rouge sur le sol, provenant d'une plaie a son coté. Je ne la reconnais pas mais les initiés sont tellement nombreux... Elle tient un petit paquet serré contre elle. Après avoir fermé difficilement la porte, elle titube puis s'effondre au sol. J'entendis sa voix faible essayer d'articuler je me penche afin d'entendre ce qu'elle souhaite me dire:
« Ils, m'ont attrapé... Ils voulaient mon bébé!
- Mais, que... » C'est alors que je vis que le petit paquet n'était autre qu'un enfançon, enveloppé dans des langes tachées de sang. Ah les salauds. Pour tenter de forger une épée de sang, ils s'attaquent aux fils et aux filles de nos peuples, afin d'avoir le sang le plus pur possible. Quels autres ravage le mal avait il causé ? La jeune femme reprit :
« Mais je me suis interposée... Je veux qu'elle vive!... Je l'ai protégée... Je me meurs...Je sens la vie s'échapper de moi en même temps que mon sang.... Protégez la!... Vous seul pouvez... Je l'aime!
Vous n'allez pas mourir!
Protégez la... »
La jeune femme se tut. Elle respirait encore, mais avec difficulté. Son souffle se muait en un râle. C'est alors que je me décidais. Son sang forgerait Colère. Sa fille vivrait. Et aurait une épée puissante. Je pris un flacon et, l'appuyant contre la plaie, recueillis un peu du sang de cette femme. Je laissai tomber quelque gouttes de ce fluide précieux dans le creux de la lame de métal prévu à cet effet. Je murmurai l'incantation complexe qui lançait la phrase de transformation, phase sans laquelle l'épée ne serait qu'une simple lame de fer. L'atelier rayonna d'un coup. . La phase pendant laquelle la lame prendrai sa forme et sa couleur définitive avait démarré. Le joyau apparaîtrai. Le rayonnement se fit plus intense, et m'éblouit. Quelque chose clochait. Colère n'émettait pas autant de lumière, que ce passait t-il ?La lumière redoublait d'intensité, je cachais mes yeux derrière ma main. Cette couleur rouge-rosée était anormale, elle aurait du être couleur d'Ambre! L'obscurité revint soudain. La femme ne respirait plus. Son sang formait une mare écarlate sur le sol de l'atelier. Je tournais mon regard vers l'établi . Une épée bien différente de Colère s'était formée. Une épée scintillant d'éclats rosés avec un rubis dans la poignée. J’effleurai la lame du bout de mes doigts et la magie déferla en moi. Un flux surpuissant déferla en mon esprit comme un torrent et une voix étrangement douce comparée à la puissance magique de cette lame me souffla :cette épée s'appelle Amour. Je ramassai alors l'enfant, le considérant pour la première fois. Ses yeux violets me dévisageaient avec toute l'innocence d'un nouveau-né. Pauvre petite qui n'avait plus de mère. Ses oreilles pointues m'indiquèrent son origine : fille d'elfe. Mais je ne pouvais pas rester. La création d'une nouvelle épée modifie les lignes de magies qui parcourent notre atmosphère. Et ça, les mages noirs savent le détecter. Ils remonteront immanquablement à moi. Même sans mages, les racines d'un arbre mort émettant une lumière écarlate se ferait remarquer par n'importe quel informateur de l'obscurité. J’attrapai un fourreau quelconque et y glissais l'épée. Je vidai mon panier a bûches, y installai une vielle cape et un oreiller et installer l'enfant dans ce berceau improvisé. J'attachai une lanière de cuir autour de la petite afin d'éviter qu'elle ne tombe. Je pris ma cape ainsi que mon sac, et sortit en courant. Mon cheval m'attendait dans grotte du sous bois. J'installai l'ex panier a bûches devant moi et partis au galop. Je galopai a perdre haleine. Sentant mon cheval fatiguer, je puisai dans mes ressources afin qu'il tienne. Soudain, j’aperçus un clocher. C'est un bon signe. Dans les villages investis par les ombres, l'ennemi abat les églises, car ce sont les seuls bâtiments ou ils ne peuvent pénétrer. Je posai le bébé sur le seuil de l'église et frappai au lourd battant de chêne. Puis je m'enfuis. Les mages repérerait ma trace sans doute mais n'auraient pas l'enfant. Si mon cheval tient le coup, j'atteindrai le désert. Les flux émanant de ce lieu magique seront suffisants pour brouiller ma trace .


Si vous voulez la suite, mp car cette histoire se trouve sur booknode et ca me fera de la pub ^^

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