premier extrait

Ce soir, ou plutôt cette nuit, nous allions procéder à l’attaque nocturne, notre arme redoutable. Surprendre l’adversaire , le désorienter , le déstabiliser… c’était le secret de notre technique! Il nous fallait tout d’abord maîtriser parfaitement le terrain de l’ennemi. Or, nous étions dans l’imprévu face à cet inconnu.
Zita avait été désignée comme espionne de notre groupe pour repérer les alentours pour pouvoir nous distinguer à distance sur le champ de bataille. Elle avait peu de chance d’être démasquée lors de sa visite-surprise car l’apparence des sorcières était semblable à une humaine. Sauf qu’elle avait des connaissances hors du commun , et que sa magie était dévastatrice! En cas de besoin , Grégoire serait à proximité d’elle pour la protéger.
Voici ce qui se passa: Zita se camouflait derrière le feuillage touffu, et perchée dans un chêne, elle observait de ses yeux perçants nos ennemis. Ils étaient tous là, réunis en Cercle!
Les vampires ressemblaient à des personnages manga-gothiques, mais un zeste plus sérieux. Leurs silhouettes, immobiles, étaient plus fines que la lame tranchante d’un poignard. Leurs cheveux étaient d’une couleur si unique, si brillante, si belle, que je ressentis une pointe de jalousie. Ils paraissaient si jeunes, peut-être ayant un an de plus que nous: c’étaient des nouveaux nés!
L’un d’eux, le plus âgé, souriait d’n air crispé, puis se mit à rire, un rire ténébreux qui résonna dans toute la forêt. Il se croyait invincible, avec l’aide de ses frères et des autres Varcolacs , car tous étaient en train de se nourrir du sang d’un humain; leurs lèvres étaient ensanglantées et le sang dégoulinait petit à petit sur leurs visages d’une beauté extravagante.

Les quatre loups-garous , se trouvaient à leurs Côtés , allongés, obéissant à leurs maîtres au doigt et à l’œil. Leur fourrure grise ou rousse s’entremêlait dans la poussière qui volait dans tous les sens. Leurs dents acérées déchiraient d’un coup la viande juteuse d’une bête ayant perdue la vie quelques heures plus tôt, et ils se pourléchaient les babines. La faim les rendait féroces, ils pouvaient dévorer tout sur leur passage.
Le loup gris foncé hurla dans la nuit, faisant un appel à la nature, ayant l’air nostalgique. Il semblait être une vraie machine à tuer, son regard de prédateur flamboyait l’horizon. Leurs univers mi-loup mi-homme cachait décidément bien des mystères. Heureusement que Grégoire n’était pas un tueur. Car il faisait parti de leur espèce imprévisible.



Les deux anges, deux ressemblant à des déesses , se tenaient non loin de là . Grâce à leurs ailes, toutes deux flottaient librement dans le ciel sombre de la nuit. Elles diffusaient une lumière chatoyante et éblouissante, et profitaient de chaque minute de leur pesanteur. Je sentis dès l’instant où je les vis, qu’elles étaient dotées d’un esprit tellement pur. Leurs pensées étaient de bonnes intensions, et je compris qu’elles étaient prises au piège au milieu des créatures malfaisantes du Mal. Leur visage était enfantin, parsemé de petites tâches de rousseur, et leurs cheveux blonds comme le soleil retombaient librement sur leurs épaules, créant de fines bouclettes dorées qui faisaient ainsi ressortir leurs fossettes.
Leur seul moyen de se défendre pendant le combat qui allait donner suite était de brandir leur épée Esther: une arme magique et puissante qui provenait d’un ancêtre, qui ,jadis , habitait dans les hautes Montagnes. L’épée était longue en en argent massif et la lame de celle-ci était à double tranchant. Elles se tenaient sur leurs gardes , prêtes à bondir.
Les sorcières. Elles étaient réunis en petit groupe, assises en lotus. N’importe qui, en passant dans le coin ,aurait cru qu’il s’agissait d’une bande d’humaines. Leurs cheveux longs emmêlés , d’un noir d’encre, étaient lisses et somptueux comme ceux d’une sirène.
Leurs prunelles d’un vert si intense impressionnaient et semblaient maléfiques. Elles essayaient tout en s ‘amusant de terribles sortilèges, qui provenaient d’une magie noire, et riaient d’une rire diabolique.
D’après Nérogine, Arane était une Strigai : c’était une sorcière ayant des capacités vampiriques. Elle était donc imbattable , sauf si l’on parvenait à s’emparer du lapis-lazuli.
Sa peau blafarde était plus pâle que quiconque. Ses cheveux rouges, teintés de reflets orangés, semblait être sa force éternelle et me faisaient songer à la couleur des flammes. Ses iris d’un gris pâle comme la pluie, s’agitaient dans tous les sens.

3 derniers commentaires sur le poème


cam29 [ le 03-05 à 14:53 ]
merci de ton avis j'aimerai bien d'autres critiques littéraires afin :-D de m'améliorer car je souhaiterais vraiment progresser :-p
Persephone [ le 02-05 à 11:38 ]
Sympa, j'aime bien. Histoire de faire ma chieuse, et en détaillant bien, il y a quand même des erreurs: ligne 4/5: Zita avait été désignée comme espionne de notre groupe pour repérer les alentours pour pouvoir nous distinguer à distance sur le champ de bataille. Attention à la répétition. Le mot "pour" n'étant d'ailleurs pas très soutenus, tu pourrais mettre par exemple, la deuxième fois "afin de". Ligne 9: Voici ce qui se passa: Zita se camouflait derrière le feuillage touffu Évites les deux points, ça a tendance à gâcher l'effet littéraire d'un texte. Les deux anges, deux ressemblant à des déesses , se tenaient non loin de là Qézaco ? Enfin bref, je vais pas tout mettre, d'autant plus que se sont de petites erreurs... Par contre, fais attention a l'utilisation des " ! ", tu en as mis beaucoup, à des endroits ou ils n'étaient pas forcément nécessaires. Hormis ça, l'histoire est sympatoche, bien que ce soit un peu du vue et revue.

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