Mes poemes


1 Petite fille entend des cris de douleurs,
Elle se demande qui pleure.
Elle va voir,
A l’entrebâillement de la porte elle peut apercevoir ;
Sa maman allongée,
En bas de l’escalier.
Roué de coup,
Elle ne tient plus debout.
Petite fille ce met à pleurer,
Ne la voyant plus bouger.
Elle a peur pour elle,
Elle ne se rappelle même plus de comment elle s’appelle.
Petite fille ce demande qui lui as fait ça,
Sans imaginé que c’est son papa.
Il lui dit de retourné au lit,
Et elle fait ce qu’il lui dit.
Elle repense à sa maman,
Mais elle finit par s’endormir doucement.
Ce matin sa maman n’est pas venue la réveiller,
Petite fille commence à la chercher.
Mais elle ne la voit pas,
Il y a seulement son papa.
Elle cour le voir,
Elle lui demande pourquoi sa maman étais comme cela hier soir.
Il lui dit quelle étais fatigué,
Et qu’ils ont dû l’hospitaliser.
Petite fille a du mal à le croire,
Et le lui fais savoir.
Elle le voit s’énerver,
Mais elle ne pensait pas qu’il allait la frapper.
Elle tente de se relever
Et le regarde bien attrister.
Elle a compris,
Et a peur que sa mère ne soit plus en vie.
Elle demande à son père,
De calmer sa colère.
Elle lui pose des tas de question,
Sur le pourquoi de ses actions.
Il ne répond pas,
Elle insiste tout bas.
Il prend l’enfant,
Et la tape brutalement.
Petite fille est assommée,
Petite fille est incapable de bouger.
Entre deux coups de poings,
Il lui dit que sa mère est très loin.
Elle tente de reprendre ces esprits,
Mais elle ne réagis.
Elle se laisse faire,
Par celui qui lui a servis de père.
Car c’est la seule manière,
De retrouver sa mère…


2 Ce regard vide,
De cette fille impavide.
Ses yeux souillés
Par les larmes qui ont trop longtemps coulé.
Ces cernes qui s’approfondissent,
Par les nuits blanches qu’on causait ses préjudices.
Son sourire asservi,
Me rappelle que son bonheur a été banni.
Les morceaux de son cœur,
Sont ici comme ailleurs.
Elle vous a tout donné,
Et vous en avez profité.
Avec vous elle a été généreuse,
A cause de vous elle est malheureuse

3 Ce monde s’étains peux à peux,
C’est pour cela que sur mes joues il pleut.
Nous sommes désespérants,
A tout baser sur les jugements.
Nous n’avons plus aucun respect,
Pour ceux qui sont tout près.
Nous nous obstinons à vouloir ce fonder,
Alors que notre vrais personnalité ;
Ce construit qu’auprès de ceux qui nous on aimer
Et qu’on a trop longtemps négligé.
Chaque minute nous rapproche un peu plus de la fin,
Allons vivre notre destin.
Allons oublier notre lendemain.
Et allons réfléchir à tous ceux à qui on aurait du tendre la main,
Au lieu de les laisser seule dans leur coin.
Réveillez-vous !
Regardez-vous !
Je sais qu’au fond de chacun Il y a un être bien.
Laissez le entrer dans votre vie en permanence,
Pour qu’enfin ce monde avance !

4. D'un coté,
Une fille bien entourée.
Qui ne sais même plus avec qui parler,
Tellement bien encadrer.
Elle se moque bien,
De toutes celles seule dans leur coin.
Elle se fiche de tout,
Tant que tout le monde est à son cou.
Elle ne ressent même pas de pitié,
Pour cette jeune fille en train de pleurer.
Elle n’ose même pas regarder,
Cette fille qui afflige tant de pitié.
Elle se moque bien,
De ce qui a pu la rendre si mal en point.
Elle ne s’imagine même pas,
Marcher un jour dans ses pas.
Elle ressent du dégout,
Pour cette fille qui la fixe debout.
Elle ne s’intéresse qu’à elle,
Tant qu’elle a des gens sous ses ailes...

De l’autre coté,
Cette fille bien cachée.
Elle non plus ne sait pas à qui parler,
Car personne ne veux de cette « coincée ».
Elle passe ses semaines,
A essayer d’essuyer sa peine.
Le peu de gens qui vienne auprès d’elle,
L’oublie dès qu’ils n’ont plus besoin de ses ailes.
Elle sourit malgré sa peine,
Elle aimerait déverser sa haine.
Es trop demander d’être simplement aimé ?
Elle ce dis à présent que ce monde n’a plus de place à lui donné…

Ce cauchemar peux arriver à qui que ce soit,
Alors s’il te plait t'ai toi.
Si tu n’as pas le courage de l'aider,
Fais au moins l’effort de ne pas l'insulter


5 Je le savais,
Je le voyais.
C'était écris,
Mais j'ai tout laissé dans l'oubli.
J'ai fermé les yeux,
Et maintenant c'est trop tard pour te dire adieux.
Si j’avais écouté mon cœur,
Je ne ressentirais pas cette rancœur.
Je savais,
Que tu partirais.
Je savais,
Que je m'en voudrais.
Il y avait des indices,
Mais maintenant tu es au font du précipice.
Pourquoi ai-je tout ignoré ?
Et avancer tête baissée ?
Je t'ai laissé sauter,
Sans même m'en préoccuper.
Je ne te pensais pas capable
Et maintenant je me sens coupable.
Je sais bien que ce poème,
N'est que blasphème.
Car malgré mes regrets,
Jamais je ne te reverrais.


6 Si tu regardais à l’intérieur de mes yeux,
Tu verrais que dans mon cœur il pleut.
Si tu t'intéressais un peux a moi,
Peut-être verrais-tu que je ne suis pas celle que tu croies.
Si tu prenais le temps de voir qui je suis,
Peut-être ne te serais-tu pas enfuit.
Si tu m'avais dit la vérité,
Si tu ne m'avais pas mentis sur ce que je croyais réalité.
Ce soir-là mes larmes n'aurais pas coulé.
Si seulement tu m'avais vraiment aimé,
Je ne serais pas la a me lamenter.

7
0n peux dire que je suis folle,
0n peux dire que je ne le suis pas.

0n peux dire que je n'en vaut pas la peine,
0n peux dire que l'on m'aime.

0n peux dire que je passe ma vie dans la mélancolie,
0n peux dire que c'est grâce à elle que je sourie.

0n peux dire que je me drogue,
0n ne peux pas dire que je ne me drogue pas.

0n peux me demander à quoi,
Je répondrais, à toi.

Et voila pour le moment (: Des avis ?


3 derniers commentaires sur le poème


Kida [ le 27-08 à 21:15 ]
Personnellement je prefere savoir que tes poémes sont écrit par une fille de 14ans que par une fille de 16 ans! J'pense que tu devrais varier les figures de style, et rendre tes textes plus passionnant par je ne sais quelle methode j'suis pas une pro x) bref t'as lair de vraiment aimer ça, donc continu, demande des conseils et surtout suis bien tes cours de français ça sert!
Yuna44 [ le 26-08 à 20:52 ]
Sa me fais vraiment bizzare de voir que la personne (ou presque) n'aime mes poemes alors que les mêmes plaise un peux partout ! En réaliter je suis sur plusieurs forum et certains j'ai mis que javais 13 ans (maintenant 14) et sur d'autre javais mis 16 ans, et bizzarement les même poemes plaise seulement quand je dis que j'ai 16ans ! Alors moi je vous dis que si vous n'aimez pas vous avez complement le droit mais si c'est a cause de mon age que vous dites que c'est nul avant de lire, et ben je me passerais de vos critique innutils. Voila et merci d'arretter les jujement par raport a lage (!
Dakota_ [ le 03-08 à 13:56 ]
ça ne veut rien dire parce que c'est mal formulé. Après je me doute bien que ça a du sens, et je comprends ce que tu veux dire, mais c'est très mal dit. Quand tu dis "Allons vivre notre destin. Allons oublier notre lendemain." ça ne veut rien dire. On peut pas oublier notre lendemain, le lendemain c'est du futur, donc on l'a pas encore vécu... En fait y a plein de trucs comme ça, on voit que ce sont des rimes forcées, c'est rimer pour rimer mais dans le fond ça veut pas dire grand chose.

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