17 ans et c'est tout...

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

jennyspace   17 ans et c'est tout... 8 05/03/09 à 22:57

Bon voila le début d'un récit que j'ai commencé à écrire ^^
Je vous promets pas d'écrire une suite, je verrai ^^

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"Katie Lindersberg ?
- Présente !" dis-je en sortant de mes rêves.
Le 4 septembre, jour de rentrée scolaire, je rêvassais sur ma chaise attendant que cette pénible matinée inutile finisse enfin. En classe de première S, les gens disaient de moi que j’étais une fille « sérieuse et réservée », ce qui était le cas. Je parlais peu et rêvais beaucoup. Physiquement, je ne savais que penser de moi avec mes taches de rousseur partout au point qu’on ne pouvait pas les louper et mes dents pas parfaitement droites (mais pas assez tordues pour que j’aie à subir le port d’un appareil dentaire). J’étais assez commune en fin de compte. Je n’aimais rien en particulier chez moi mais je ne me trouvais pas affreuse non plus. Oui, voilà j’étais banale et c’est tout. Et terriblement jalouse en général, défaut que je détestais au plus haut point chez moi. Mes amis ne semblaient pas en souffrir (j’essayais de le réprimer au maximum…) mais moi je savais que cette part faisait partie intégrante de mon être. A chaque fois que je voyais Estelle et sa bonne humeur (son excitation plutôt), je me disais intérieurement que je voulais aussi avoir une part de folie mais je n’y arrivais pas. Sûrement la faute à ma timidité… Et voilà !! Encore en train de remettre la faute sur autre chose, incapable d’assumer ce que j’étais, une fille pas drôle, ennuyante, trop timide, et pas vraiment jolie. Et très pessimiste. C’était sûrement à cause de ça que Thibaud n’avait pas insisté pour qu’on se remette ensemble…
Estelle m’adressa la parole, mais ne l’ayant pas écoutée, je lui demandai de répéter :
« Tu fais quoi cet après-midi ?
- Je ne sais pas, sûrement profiter des derniers moments de repos avant de reprendre vraiment les cours demain, dis-je mécaniquement, et toi ?
- Je vais aller chez Claire je pense »
Ah oui… Claire sa meilleure amie. Je ne la portais pas vraiment dans mon cœur. Pourquoi ? Peut-être par jalousie de la relation d’amitié profonde qui la liait à Estelle. Cette année, elle était dans la même classe qu’Estelle et moi, je devrais donc passer moins de temps avec Estelle. A côté de qui me mettrais-je donc en cours ? Peut-être Cécile, une amie à Claire, celle-là avait l’air vraiment sympa au premier abord. Je décidai de laisser ma jalousie au placard pour une fois et de faire connaissance avec le maximum de personnes possible. Ainsi, après la matinée de présentation de l’emploi du temps de la classe et des assurances scolaires possibles, etc... je parlai un peu avec Claire, Cécile et Estelle. On se retrouverait le lendemain en cours puis on partit chacun de notre côté. Enfin presque... Estelle et Claire qui habitaient dans des maisons jumelées rentrèrent ensemble. Je passai l’après-midi devant l’ordinateur à regarder des mangas, ne pouvant décrocher, emprisonnée dans l’histoire, captivée par les personnages et leurs relations amoureuses qui finissaient toujours bien. Pas comme la mienne…
Quelques jours après la rentrée, on avait notre premier cours de sport. Ayant déjà passé une année de lycée, pour la plupart, on connaissait les noms des professeurs, mais celui de notre prof de sport nous était inconnu. Selon une autre classe qui l’avait déjà eu, c’était un stagiaire qui passerait une année ici. Nous (eh oui j’avais passé outre mes appréhensions et commencé à parler avec Claire, Cécile et d’autres encore, dont je ne me rappelais pas encore le nom) étions impatients de le voir, c’est pourquoi sur le trajet menant au gymnase on tenta d’établir son portrait et son caractère : est-ce un prof cool et branché mais savant se faire respecter, un prof sévère et vieux et pas cool du tout, un prof qui se laisse marcher sur les pieds… ?
Il s’avéra assez rapidement qu’il appartenait à la première catégorie. Déjà de loin, il était jeune et souriant. Je ne fis que l’apercevoir une première fois, il discutait avec mon ancien prof de l’année dernière : un vieux prof sympa. Connaissant le chemin des vestiaires, nous nous y rendîmes sans même attendre que quelqu’un nous le dise. Nous nous changeâmes, ne sachant pas encore quel sport nous allions pratiquer ce trimestre-ci puis nous sortîmes nous dirigeant vers M. Kingbell, le stagiaire qui nous tournait encore le dos. Nous attendîmes patiemment que le reste de la classe soit prêt et que notre prof daigne nous accorder un brin d’attention. En effet, il discutait encore avec mon prof de sport de l’année dernière. Tous deux portaient un pantalon de sport, l’un gris l’autre noir, ce dernier seyant à merveille au grand et jeune athlète que paraissait être le stagiaire. Quelques minutes à peine après que je me sois faite cette réflexion, je vis enfin le vieux s’écarter, signe qu’il allait bientôt partir et nous laisser. Estelle me donna un coup de coude dans le bras, mais je n’en avais pas besoin, j’avais déjà les yeux rivés sur son dos à lui depuis un bon moment. Après avoir discuté un bon moment sur le physique potentiel que pouvait avoir notre stagiaire, Estelle, Claire, Cécile (eh oui… en fait je m’entendais bien avec elles, certes j’avais plus d’affinités avec Cécile mais bon…) et moi étions tout excitées, il nous tardait de voir enfin son visage de près afin de savoir qui avait gagné certains paris !
Un dernier mot d’au revoir fut prononcé, un dernier signe fut fait, et puis là, il était tout à nous et à nos deux heures intensives de cours d’EPS…
Il se retourna alors pour nous faire face et nous découvrîmes enfin son visage. J’en restai tout ébahie, il était magnifique, mon cœur fit quelques embardées. Lorsque je me rendis compte que j’avais flashé sur mon prof de sport et ses yeux verts, j’eus un frisson. Ce n’était pas bien, de plus c’était juste son physique, seulement son regard tendre, ses sourcils ni trop épais ni trop fins, ses lèvres fines, sa peau rongée par une barbe de trois jours (mais ce n’était pas déplaisant, au contraire), mmh… Sans m’en rendre compte j’avais poussé un soupir assez bruyant et je gardais un sourire béat sur mon visage. Je me repris en main et tentai d’être attentive à ce qu’il disait, mais rapidement je retombai dans l’admiration de son magnifique visage. Estelle me donna de nouveau un coup de coude, elle avait sûrement dû remarquer mon attitude indiscrète, je me tournai vers elle en lui lançant un regard de reproche. Eh ! Elle m’avait obligée à détourner le regard de l’homme de mes rêves, cela ne me donnait pas le droit de lui en vouloir ?
« Il est pas mal, hein ? » me dit-elle.
Je me rendis alors compte, que je n’étais pas la seule à l’observer ainsi : Estelle, Claire, Cécile et même les pimbêches de la classe semblaient lui vouer une admiration sans pareille. C’est alors que je compris que cette attitude pouvait être insultante pour lui, une quinzaine de fille littéralement scotchées à ses lèvres n’avait rien de reposant, au contraire, cela ajoutait un malaise à l’atmosphère déjà pas légère. J’espérais alors que ce comportement disparaîtrait au fur et à mesure des heures de cours, je me sentais déjà mal pour ce stagiaire qui devait se faire respecter par ses élèves et non être seulement un homme à séduire. Bien que cette idée ne me déplaise, je décidai de l’abandonner immédiatement. Ce n’était vraiment pas bien. Surtout qu’il avait quand même plusieurs années de plus que moi, il ne pouvait pas être intéressé par une « gamine » de 17 ans. Je me mis alors à le regarder dans les yeux, écoutant avec une attention particulière son discours sur le programme de l’année (non, rectification, avec une attention normale…). On ferait tout d’abord du volleyball, il continua avec les précautions à prendre et les échauffements à bien appliquer si on ne voulait pas se blesser. Sur ce, nous nous miment tous à trottiner tranquillement pour donner à notre cœur une vitesse appropriée à l’effort. La séance se déroula normalement, j’étais trop absorbée par le fait de ne pas me prendre un ballon en pleine figure que je n’eus pas le loisir de repenser au stagiaire et son tee-shirt moulant avec perfection ses pectoraux bien développés.
Je fis équipe avec Estelle, nous nous renvoyions des ballons et constations toutes deux que nous n’étions vraiment pas douées dans ce sport. D’ailleurs nous nous entrainions à faire des services lorsqu’Estelle envoya la balle bien à côté du terrain, malheureusement (étant assez feignante) je voulus l’intercepter pour éviter d’aller courir pour la chercher à l’autre bout de la salle, je tendis alors le bras et je touchai le ballon du bout des doigts. Ce dernier avait une telle vitesse que je ne pus l’arrêter, seulement dévier sa trajectoire avec mes pauvres doigts qui se trouvaient sur son chemin. Sur le coup je ne sentis rien et affirmai à Estelle que tout allait bien, puis allai chercher le ballon. Mais lorsque je le pris dans la main ayant subit le choc, mon index me fit souffrir. Je ne m’étais jamais blessée, jamais une jambe cassée ou un poignet foulé. J’étais certaine de pouvoir endurer ce petit bobo de rien du tout, je ne voulais pas être celle qui « a mal pour un rien », une pauvre chochotte quoi… Je relançai alors la balle à Estelle, et lorsque j’essayai de rattraper son service, les larmes me vinrent aux yeux malgré moi. Mon amie comprit que ça n’allait pas et me força à aller voir le prof.
« Quelle cruche ! » pensai-je, « me blesser au premier cours de sport !! Pff, je suis vraiment trop douillette. »
Estelle me tira par le bras pour rejoindre M. Kingbell et lui montrer mon doigt meurtri. Il nous regarda approcher et nous demanda ce qui n’allait pas. Je sentis un coude me tapoter le bras pour que je me lance dans les explications :
« Eh bien… euh Estelle a envoyé un ballon un peu fort et j’ai essayé… de le rattraper… mais il y avait mon doigt… et… la balle allait trop vite… »
Je me ridiculisais, j’en étais sûre. La seule chose qu’il voyait lui était une lycéenne se lamentant d’un petit bobo de rien du tout, tout ça pour ne plus faire de sport. Et au premier cours en plus !
Mais il me prit la main et me demanda quelle était la victime. Je lui désignai mon index gauche. Gardant ma main dans sa main il regardait toujours, son visage était impassible, ne trahissant aucune réaction particulière. Devant ce silence qui me parut une éternité je lui tendis mon autre main afin de comparer la taille de mon index gauche avec le droit, la différence était pour le moment à peine perceptible mais j’étais certaine qu’elle serait rapidement visible. Je sentais bien que mon index n’allait pas s’en remettre de si tôt ! Mais en attendant, le beau stagiaire tenait en captivité mes deux mains, les observant tour à tour. Cet instant me sembla durer une éternité. Que pensait donc Estelle sur ce silence prolongé ? De l’extérieur avait-on l’impression que c’était un geste tendre de sa part ?
Non ! Je m’étais interdit cette hypothèse, je devais arrêter de rêver bon sang ! Ca ne signifiait absolument rien pour lui ! Pour combler mon malaise, je retirai légèrement mes mains et il sembla comprendre, il me les rendit et me regarda dans les yeux.
« Ca commence un peu à gonfler, ça va ? Ca ne fait pas trop mal ?
- Nan je crois que ça ira, c’est un peu douloureux mais bon… » dis-je en baissant le regard.
A mon avis, c’est à ce moment-là qu’il regarda mon tee-shirt (pour info : j’avais mis mon tee-shirt du club de kayak, le logo se positionnait au niveau de ma poitrine… hum) puisqu’il me fit la réflexion :
« Tu fais du kayak ? »
Instinctivement, je regardai mon tee-shirt, qui m’avait trahie puis je répondis affirmativement à sa question.
« Je comprends mieux pourquoi tu ne te plains pas alors, une dure de dure »
Cette réflexion me fit redresser le regard pour terminer sur ses yeux, il me sortit un sourire trop craquant et un clin d’œil adorable. Malgré mes résolutions, je m’autorisai un instant de bonheur, il me faisait un compliment ! Ou alors c’était pour me réconforter et me faire oublier la douleur ? Je ne savais pas trop. Il dit à Estelle de retourner jouer tandis que je me dirigeais vers un banc. Je m’étais fait remarquer dès le premier cours de sport… Encore une fois, quelle cruche !


Suite post 7.


Mello

17 ans et c'est tout... 1/8 05/03/2009 à 22:58
Aère ton texte s'il te plaît histoire que ce soit plus simple à lire. Un pavé comme ça, ça donne direct moins envie ;-)
17 ans et c'est tout... 2/8 06/03/2009 à 00:16
Les aventures d'une lycéenne =P .
J'trouve ca sympathique à lire .
Dommage qu'il n'y ai pas plus d'action sinon ^^
Smile
17 ans et c'est tout... 3/8 06/03/2009 à 05:28
WALNUT GROVE_ a écrit :
Aère ton texte s'il te plaît histoire que ce soit plus simple à lire. Un pavé comme ça, ça donne direct moins envie ;-)


Et met des images
MDR

Il est bien aéré compte tenu du genre... Il est bienstructuré je pense...
17 ans et c'est tout... 4/8 06/03/2009 à 06:08
J'aime Bien Coeur
Skyte 
17 ans et c'est tout... 5/8 08/03/2009 à 13:56
LE texte est bien aéré, bien construit hein xD
J'ai bien aimé Very Happy
17 ans et c'est tout... 6/8 10/03/2009 à 18:15
plus de dialogue, monte des paragraphes .
mais l'intrigue est vraiment interessante ...la suite .... Bravo
17 ans et c'est tout... 7/8 10/03/2009 à 18:22
bon vouala je mets la suite :

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Je m’assis tranquillement sur le banc, me préparant à attendre la fin des deux heures de cours. Il ne restait qu’une demi-heure à supporter. Je m’installai le plus confortablement que je pus, ce qui n’est pas chose facile sur un banc puis me mis à regarder mes camarades de classe. Beaucoup jouaient très bien et peu jouaient très mal, autant dire un bon niveau de classe en volley. Cécile et Claire faisaient partie de ceux qui avaient un niveau moyen, voire bas, comme Estelle et moi. Nous serions sûrement du genre à baisser la moyenne de classe ce trimestre-ci mais, heureusement, nous n’étions pas les pires. Ceux-là étaient assurément les garçons les plus intelligents de la classe, ceux qui restent des heures devant leurs bureaux pour travailler sans cesse, sur livre ou sur ordinateur. Je remarquai, amusée, leur petit stratagème afin de ne pas trop se fatiguer. Dès que le prof avait le dos tourné, ils arrêtaient de s’envoyer la balle et ils reprenaient le jeu dès que le stagiaire semblait pouvoir les voir. Enfin… quand je dis « reprendre le jeu » c’est exagéré, de mon point de vue j’avais la nette impression que ces garçons passaient leur temps à ramasser le ballon, ce qui me fit sourire. J’étais tellement concentrée sur eux que je ne remarquai même pas mon prof venir vers moi, je ne me rendis compte de la chose que lorsqu’il fut assis à côté de moi. Il me regardait dans les yeux. Waouh, et quels yeux en plus ! Un magnifique vert qui vous hypnotise dès qu’il se pose sur vos prunelles.
Ses lèvres s’étirèrent peu à peu en un sourire amusé trop craquant ! Puis il m’adressa la parole :

- Tu n’as pas l’air malheureuse de ton sort dis-moi.
- Je me fatigue pas c’est sûr ! Mais je souffre un peu, je préférerais ne pas m’être blessée je pense.
- Sauf quelques rares exceptions, personne n’aime se faire mal, dit-il en riant.
- Ouais c’est sûr… répondis-je.

Je ne savais plus quoi ajouter après ça, je restai silencieuse. Voilà une partie de ma personnalité qui avait tendance à m’exaspérer : j’avais de l’imagination quand j’écrivais mais elle me quittait dès qu’il s’agissait d’entretenir une conversation. Heureusement, il reprit la parole, ne laissant pas le silence s’installer plus longtemps :

- Tu en fais où du kayak ?
- A La Colle sur Loup, sur une petite rivière…
- Je ne savais pas qu’il y avait un club là-bas.
- Ouais enfin… ya pas beaucoup d’eau dans la rivière, c’est à peine si on arrive à naviguer à sept dessus. Du coup on fait plein de stages et de déplacements pour aller dans des rivières plus difficiles.
- Moi j’en ai fait quelques fois avec un ami sur l’Ardèche, puis on a fait un peu de rafting aussi.
- Ah oui moi j’aime bien le rafting surtout en été sur une rivière artificielle. Du coup on peut tomber à l’eau, ça fait rien puisque la rivière est pas très longue et se termine sur un lac. On peut quasiment rejoindre la rive quand on veut ! Puis ensuite on remonte le raft sur la berge et on recommence !
- Ca a l’air sympa.

Il me fixait toujours de ses prunelles vertes qui paraissaient étinceler d’envie. Un grand gamin quoi, attiré par tout ce qui produit des sensations fortes et toujours partant pour un nouveau jeu. Je trouvai ça adorable de sa part.

-Oui, ça l’est.

Je souriais en me remémorant tous ces moments passés avec les gens du club, tous les délires auxquels j’avais participé (enfin pour la plupart je faisais juste m’incruster dans les conversations des autres, mais ça me faisait mal d’admettre que j’avais jamais été totalement intégrée au groupe).

- Ca va ton doigt ?
- Pas vraiment… Il gonfle de plus en plus.

Il me prit d’office ma main droite (celle où j’écris… forcément…) et l’observa, soucieux. Il fronçait les sourcils formant une ligne sur son front. J’eus un mal fou à ne pas lui caresser sa peau ainsi déformée, heureusement qu’il tenait ma main droite, celle que j’utilisais en général pour tout faire. Et me voilà encore repartie dans mes rêves ! Je m’imagine déjà caressant ses cheveux soyeux et restant à ses côtés à observer des heures durant sa peau encore légèrement bronzée de l’été, ses sourcils ni trop fins ni trop épais, sa bouche fine et son nez parfait, mais surtout ses yeux émeraude.

- Tu devrais mettre de l’anti-inflammatoire dès que tu rentres chez toi.

Il m’avait sorti (encore une fois….) de ma contemplation de son merveilleux corps d’athlète.

- Oui, je vais faire ça…

Je baissai mon regard, je n’étais pas habituée à ce qu’on m’accorde une quelconque attention quand on me voit pour la première fois… Il me tenait toujours la main mais regardait les autres s’entraîner donnant par-ci par-là un petit conseil technique ou de stratégie. Ce n’est que quand il a voulu simuler un mouvement pour montrer comment faire qu’il réalisa ma proximité. Il s’excusa d’un coup d’œil et se leva pour de nouveau prodiguer son enseignement. J’étais déçue, cette présence était agréable et apparemment, elle avait aussi fait passer le temps plus vite, il ne restait plus que cinq minutes de cours. Je me levai et j’eus le malheur de remuer d’un poil mon index droit, une douleur lancinante me parcourut le bras entier. Ce n’était donc pas qu’un petit bobo… Ca allait durer une bonne semaine estimai-je. Comment donc allais-je pouvoir écrire ?

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voili voilou Mauvais ange
_DHZ_   
17 ans et c'est tout... 8/8 10/03/2009 à 19:29
j'ai vraiment beaucoup aimé Mr. Green moi qui habituellement n'aime pas trop lire, surtout quand c'est long...un peu feneasse sur les bord Innocent la j'ai vraiment accroché , j'espere qui aura une suite Langue qui pend
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