Avortement ==> L'après

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

BibiDark   Avortement ==> L'après 16 05/07/11 à 17:08

Bonjour le monde, je poste sa içi car bisaremment, c'est la qu'il y a le plus de visite (a priori)

J'ai avorter en Février ... Je ne veut ni reproche ni jugement, ce qui est fait est fait
J'aimerai aprler avec d'autre jeune fille ayant avorter ... Est ce que vous y penser, est ce que vous regretter, est ce que vous péter les plomb pour rien etc ...
Pourquoi pas en parler avec des garçons ? Avez vous déja été dans cette situation ? Avez vous quittez votre copine, avez vous assumez ? regrettez vous ?

Et si on rajoutait les jeunes parents? Arrivez vous a vous en sortir, etes vous celibataire, comment va le couple après cette epreuve, etes vous heureux ...

Pour ma part, j'ai avorter par aspiration et chose rare, par anésthésie générale. Mon copain ne ma pas quitter. norte couple survit. mais parfois, j'y repense, je me dit que j'aurai pas dut et parfois, je me dit que j'ai bien fait ...

Voila je veut juste bavarder avec d'autre SEiens ou SEiennes. Bisoux
(Oui bon, j'assume mon orthographe, tout le monde voit bien mes fautes, pas obliger de me jugez sur sa merci ^^)

Aleph 
Avortement ==> L'après 1/16 05/07/2011 à 17:42
Salut,

alors je précise que pour ma part je n'ai jamais eu besoin d'avorter. Mais j'ai accompagné plusieurs amies dans cette démarche qui m'est maintenant familière par procuration. Bien sur je ne peux pas en parler à titre personnel tant que je n'ai pas vécu la chose, cependant...
J'ai toujours été mortifiée par les pro-life et leur idéologie puante, mais jusqu'à récemment je voyais l'avortement comme quelque chose de négatif dans le sens "triste". On est souvent éduquées dans l'idée que l'avortement doit etre suivi d'un épisode dépressif puisqu'on ote une vie, quand on n'est pas carrément élevée avec des principes de procréation à tout prix. Je n'avais jamais remis en question ce dogme de si-tu-avortes-tu-déprimes. Et puis un jour une amie est tombée enceinte. Elle me l'a annoncé entre deux conversations sans importance, "au fait je suis enceinte, il faut que j'aille avorter". Sur le coup je l'ai regardée avec consternation comme si elle m'annonçait une très mauvaise nouvelle. Sur le moment son détachement m'a vraiment choquée. Et puis j'y ai réfléchi et j'ai compris que ma réaction était dictée par mon conditionnement. Qu'il n'y a objectivement aucun raison d'etre triste ou de culpabiliser puisque les accidents arrivent indépendamment de notre volonté. Et l'idée de meurtre appliquée à un embryon est tout simplement absurde. A mes yeux ce n'est pas plus sérieux que de tuer une fourmi (désolée si j'en choque) puisque l'embryon, au stade de l'avortement, ne peut pas etre qualifié d'humain. Alors pour les anti-spécistes oui c'est mal de tuer une fourmi mais ça n'a jamais empeché personne de dormir.
Pourquoi devrait-on déprimer après une IVG ? Si on ne sent pas capable de s'occuper d'un enfant, ou si plus simplement on n'en a pas envie, c'est notre droit le plus strict. Moi ce qui me ferait déprimer ce serait plutot de faire un déni de grossesse et de m'en apercevoir une fois passé le délai légal d'IVG...
Ton corps t'appartient à toi et à personne d'autre, ni à ta famille ni à la société ni à ton copain. C'est à toi seule de prendre cette décision meme si tout ton entourage te clamait le contraire. De meme que tu es la seule à décider de te battre ou de renoncer face à un cancer, d'utiliser l'homéopathie ou de t'épiler ou de te maquiller. Je sais, c'est étrange de comparer le choix d'avorter à des critères esthétiques, mais le principe est le meme : c'est ton corps, tu peux décider d'y voir grandir un etre ou non et il n'y a pas de culpabilité à avoir dans cette décision.
Bien sur je ne suis pas en train de reprocher une éventuelle culpabilité à celles qui ont fait le choix d'avorter. Je souligne simplement qu'à mes yeux cette culpabilité résulte - comme beaucoup de sentiments soi-disant naturels - d'un conditionnement dont il est possible de s'extraire, j'en veux pour preuve l'amie qui m'a ouvert les yeux et bien d'autres qui ont suivi.
En fait le seul désagrément que je vois dans l'avortement, c'est le déséquilibre hormonal qui s'ensuit. mais ce meme déséquilibre peut avoir bien d'autres sources, la pilule étant la plus connue. Toutes mes amies qui sont passées par là ont connu des règles désordonnées et des problèmes gynécologiques divers, c'est ce qui les a le plus genées dans l'IVG.
Voilà...
Sur ce, bonne continuation et si tu t'en veux pose-toi la question de l'origine de ce remords : est-ce qu'il est vraiment naturel ou est-ce qu'il t'a été suggéré par les conditionnements dont tu as soupé toute ta vie dans le carcan familial et social ? Parfois il est très difficile de faire la part des choses... puisque le principe meme d'un conditionnement c'est qu'il échappe à la sphère consciente pour se concentrer dans l'inconscient.
Avortement ==> L'après 2/16 05/07/2011 à 18:32
Aleph a écrit :

Salut,

alors je précise que pour ma part je n'ai jamais eu besoin d'avorter. Mais j'ai accompagné plusieurs amies dans cette démarche qui m'est maintenant familière par procuration. Bien sur je ne peux pas en parler à titre personnel tant que je n'ai pas vécu la chose, cependant...
J'ai toujours été mortifiée par les pro-life et leur idéologie puante, mais jusqu'à récemment je voyais l'avortement comme quelque chose de négatif dans le sens "triste". On est souvent éduquées dans l'idée que l'avortement doit etre suivi d'un épisode dépressif puisqu'on ote une vie, quand on n'est pas carrément élevée avec des principes de procréation à tout prix. Je n'avais jamais remis en question ce dogme de si-tu-avortes-tu-déprimes. Et puis un jour une amie est tombée enceinte. Elle me l'a annoncé entre deux conversations sans importance, "au fait je suis enceinte, il faut que j'aille avorter". Sur le coup je l'ai regardée avec consternation comme si elle m'annonçait une très mauvaise nouvelle. Sur le moment son détachement m'a vraiment choquée. Et puis j'y ai réfléchi et j'ai compris que ma réaction était dictée par mon conditionnement. Qu'il n'y a objectivement aucun raison d'etre triste ou de culpabiliser puisque les accidents arrivent indépendamment de notre volonté. Et l'idée de meurtre appliquée à un embryon est tout simplement absurde. A mes yeux ce n'est pas plus sérieux que de tuer une fourmi (désolée si j'en choque) puisque l'embryon, au stade de l'avortement, ne peut pas etre qualifié d'humain. Alors pour les anti-spécistes oui c'est mal de tuer une fourmi mais ça n'a jamais empeché personne de dormir.
Pourquoi devrait-on déprimer après une IVG ? Si on ne sent pas capable de s'occuper d'un enfant, ou si plus simplement on n'en a pas envie, c'est notre droit le plus strict. Moi ce qui me ferait déprimer ce serait plutot de faire un déni de grossesse et de m'en apercevoir une fois passé le délai légal d'IVG...
Ton corps t'appartient à toi et à personne d'autre, ni à ta famille ni à la société ni à ton copain. C'est à toi seule de prendre cette décision meme si tout ton entourage te clamait le contraire. De meme que tu es la seule à décider de te battre ou de renoncer face à un cancer, d'utiliser l'homéopathie ou de t'épiler ou de te maquiller. Je sais, c'est étrange de comparer le choix d'avorter à des critères esthétiques, mais le principe est le meme : c'est ton corps, tu peux décider d'y voir grandir un etre ou non et il n'y a pas de culpabilité à avoir dans cette décision.
Bien sur je ne suis pas en train de reprocher une éventuelle culpabilité à celles qui ont fait le choix d'avorter. Je souligne simplement qu'à mes yeux cette culpabilité résulte - comme beaucoup de sentiments soi-disant naturels - d'un conditionnement dont il est possible de s'extraire, j'en veux pour preuve l'amie qui m'a ouvert les yeux et bien d'autres qui ont suivi.
En fait le seul désagrément que je vois dans l'avortement, c'est le déséquilibre hormonal qui s'ensuit. mais ce meme déséquilibre peut avoir bien d'autres sources, la pilule étant la plus connue. Toutes mes amies qui sont passées par là ont connu des règles désordonnées et des problèmes gynécologiques divers, c'est ce qui les a le plus genées dans l'IVG.
Voilà...
Sur ce, bonne continuation et si tu t'en veux pose-toi la question de l'origine de ce remords : est-ce qu'il est vraiment naturel ou est-ce qu'il t'a été suggéré par les conditionnements dont tu as soupé toute ta vie dans le carcan familial et social ? Parfois il est très difficile de faire la part des choses... puisque le principe meme d'un conditionnement c'est qu'il échappe à la sphère consciente pour se concentrer dans l'inconscient.





En effet, tu n'as jamais connu ça, et cela se voit. Comment peux-tu te permettre de dire qu'un avortement est comparable à tuer une fourmi ? Mais sincèrement, tu te rends compte de ce que tu dis là ?
Des amis qui ont avorté, j'en ai un petit lot aussi, et je suis heureuse pour ton amie quelle le vive bien mais c'est un cas très rare.
Un avortement n'est pas quelque chose d'anodin bon sang ! On ne se réveille pas un matin avec le test de grossesse positif dans les mains et en notant sur la liste de courses '' penser à avorter ''.
En te lisant, j'ai l'impression que tu banalises complètement l'IVG et sincèrement, j'en viendrais presque à dire que c'est honteux.
Là, dans ce sujet, on parle d'une gamine de 16 ans qui avorte ! Pas d'une femme de 30 ans qui n'a tout simplement pas envie d'avoir un goss.
Avortement ==> L'après 3/16 05/07/2011 à 18:39
moi personnellement je pense que tu a fait le bon choix car, plusieurs personne aurai dit 'tu tue un enfant innocent' mais est-til mieux ainsi ou lui donner un avenir qui ne sera pas aussi beau que si tu avait eu l'enfant a 25 ans et qu'il n'aura peut etre meme pas d'avenir. fait toi en pas avec sa. quand on parle d'avortement il n'y a pas de bon choix, tout dépend du point de vue que tu a sur les bon coté et les mauvais de l'avortement alors que aurai garder le bébé ou non tu a fait le bon choix Rire
Aleph 
Avortement ==> L'après 4/16 05/07/2011 à 18:43
Best I ever had >> Je te réponds par MP, je pense pas que ce soit une bonne idée d'entamer un débat idéologique sur un topic aussi personnel. Eh oui je le reconnais c'est moi qui l'ai engagé, j'ai peut-etre eu tort.
Si d'autres considèrent aussi que je suis monstrueuse merci de me le faire savoir par MP, j'ai vraiment pas envie de pourrir ce topic.
Merci ! (je savais que j'aurais du réagir par MP)
Avortement ==> L'après 5/16 05/07/2011 à 18:55
Une ex a avorté après un viol. Je l'ai pas quitté (enfin pas pour ça) je trouvais ça excitant Mr. Green !
Et elle le vivait plutôt bien ... même très bien, elle était contente de son choix vu qu'elle n'aime pas les enfants.
Avortement ==> L'après 6/16 05/07/2011 à 18:56
Aleph a écrit :

Salut,

alors je précise que pour ma part je n'ai jamais eu besoin d'avorter. Mais j'ai accompagné plusieurs amies dans cette démarche qui m'est maintenant familière par procuration. Bien sur je ne peux pas en parler à titre personnel tant que je n'ai pas vécu la chose, cependant...
J'ai toujours été mortifiée par les pro-life et leur idéologie puante, mais jusqu'à récemment je voyais l'avortement comme quelque chose de négatif dans le sens "triste". On est souvent éduquées dans l'idée que l'avortement doit etre suivi d'un épisode dépressif puisqu'on ote une vie, quand on n'est pas carrément élevée avec des principes de procréation à tout prix. Je n'avais jamais remis en question ce dogme de si-tu-avortes-tu-déprimes. Et puis un jour une amie est tombée enceinte. Elle me l'a annoncé entre deux conversations sans importance, "au fait je suis enceinte, il faut que j'aille avorter". Sur le coup je l'ai regardée avec consternation comme si elle m'annonçait une très mauvaise nouvelle. Sur le moment son détachement m'a vraiment choquée. Et puis j'y ai réfléchi et j'ai compris que ma réaction était dictée par mon conditionnement. Qu'il n'y a objectivement aucun raison d'etre triste ou de culpabiliser puisque les accidents arrivent indépendamment de notre volonté. Et l'idée de meurtre appliquée à un embryon est tout simplement absurde. A mes yeux ce n'est pas plus sérieux que de tuer une fourmi (désolée si j'en choque) puisque l'embryon, au stade de l'avortement, ne peut pas etre qualifié d'humain. Alors pour les anti-spécistes oui c'est mal de tuer une fourmi mais ça n'a jamais empeché personne de dormir.
Pourquoi devrait-on déprimer après une IVG ? Si on ne sent pas capable de s'occuper d'un enfant, ou si plus simplement on n'en a pas envie, c'est notre droit le plus strict. Moi ce qui me ferait déprimer ce serait plutot de faire un déni de grossesse et de m'en apercevoir une fois passé le délai légal d'IVG...
Ton corps t'appartient à toi et à personne d'autre, ni à ta famille ni à la société ni à ton copain. C'est à toi seule de prendre cette décision meme si tout ton entourage te clamait le contraire. De meme que tu es la seule à décider de te battre ou de renoncer face à un cancer, d'utiliser l'homéopathie ou de t'épiler ou de te maquiller. Je sais, c'est étrange de comparer le choix d'avorter à des critères esthétiques, mais le principe est le meme : c'est ton corps, tu peux décider d'y voir grandir un etre ou non et il n'y a pas de culpabilité à avoir dans cette décision.
Bien sur je ne suis pas en train de reprocher une éventuelle culpabilité à celles qui ont fait le choix d'avorter. Je souligne simplement qu'à mes yeux cette culpabilité résulte - comme beaucoup de sentiments soi-disant naturels - d'un conditionnement dont il est possible de s'extraire, j'en veux pour preuve l'amie qui m'a ouvert les yeux et bien d'autres qui ont suivi.
En fait le seul désagrément que je vois dans l'avortement, c'est le déséquilibre hormonal qui s'ensuit. mais ce meme déséquilibre peut avoir bien d'autres sources, la pilule étant la plus connue. Toutes mes amies qui sont passées par là ont connu des règles désordonnées et des problèmes gynécologiques divers, c'est ce qui les a le plus genées dans l'IVG.
Voilà...
Sur ce, bonne continuation et si tu t'en veux pose-toi la question de l'origine de ce remords : est-ce qu'il est vraiment naturel ou est-ce qu'il t'a été suggéré par les conditionnements dont tu as soupé toute ta vie dans le carcan familial et social ? Parfois il est très difficile de faire la part des choses... puisque le principe meme d'un conditionnement c'est qu'il échappe à la sphère consciente pour se concentrer dans l'inconscient.



Je t'aime, épouse moi Rendez-vous !
Avortement ==> L'après 7/16 05/07/2011 à 18:59
Jabberwock03 a écrit :
Une ex a avorté après un viol. Je l'ai pas quitté (enfin pas pour ça) je trouvais ça excitant ! Et elle le vivait plutôt bien ... même très bien, elle était contente de son choix vu qu'elle n'aime pas les enfants.

Et puis en plus, même en aimant le enfants, je me verrais mal élever un enfant d'un mec qui m'a violé. Tu pourrais pas regardé le gosse sans te rapeller ce jour là.

Sinon j'ai lu pas mal de témoignages de filles qui vivaient mal l'avortement, pas forcément parce que c'était un mauvais choix, mais parce qu'il parait que c'est trés difficile ( et j'veux bien l'croire, ça doit pas être facile, c'est un peu comme une partie de toi, même si c'est qu'un ptit truc de rien du tout )
Avortement ==> L'après 8/16 05/07/2011 à 18:59
HOOOO les paragraphes quoi respect a celui ou celle qui les lis tous !
Avortement ==> L'après 9/16 05/07/2011 à 19:05
Aleph : Oui ce n'est qu'un embryon, mais je pense qu'en sachant que t'es enceinte (enfin si je l'étais je ne penserai qu'à ça) tu penses que ce petit embryon encore sans vie et aussi petit qu'une fourmi est un petit quelque chose qui en grandissant sera le fruit du mélange de toi et de la personne que t'aimes. Je touche du bois pour que je n'ai pas à avorter, parke ce raisonnement que j'viens d'exposer serait le truke qui me ferait le + douter face à un avortement... Alors que je suis complètement contre le fait d'avoir un enfant jeune avant d'avoir une situation et la capacité de pouvoir lui donner le maximum.
Avortement ==> L'après 10/16 05/07/2011 à 19:07
Lenny. a écrit :

Aleph : Oui ce n'est qu'un embryon, mais je pense qu'en sachant que t'es enceinte (enfin si je l'étais je ne penserai qu'à ça) tu penses que ce petit embryon encore sans vie et aussi petit qu'une fourmi est un petit quelque chose qui en grandissant sera le fruit du mélange de toi et de la personne que t'aimes. Je touche du bois pour que je n'ai pas à avorter, parke ce raisonnement que j'viens d'exposer serait le truke qui me ferait le + douter face à un avortement... Alors que je suis complètement contre le fait d'avoir un enfant jeune avant d'avoir une situation et la capacité de pouvoir lui donner le maximum.


Et tu te coupes pas les ongles ?
Peut être que tu as des ongles spéciaux qui seraient devenu vivant et autonome !

Tout comme l'enfant que tu te refuses à tuer par égoïsme peut avoir une vie merdique et des problèmes mentaux ou physiques ^^ !
Avortement ==> L'après 11/16 05/07/2011 à 21:18
Merci a ceux qui ont repondut (serieusement ou pas, après tout, sa ma fait sourir, autant assumer se que l'on pense)
Personnelement, il y a des jorus ou je le regrette pas mal ... Bon on est jeunes, quand la grossesse n'etait pas sur, on voyait sa magique, on se disait que sa fonctionnerai, qu'on pourrai l'élever etc ... quand le resultat nous est tomber dessus sa a tout changer ... après crise de colère et crise de larme, reve brizer et paroles tromper, on a tout considéré, le pour et le contre avec mon copain, et nos familles respectives ... moi je voulait sincèrement le garder ... mes parent etais partager mais il mon assurer qu'il me suivrait ... mais force a été de reflechir, je me serait trouver bien egoiïste de le garder ... et j'avoue que sa ma bien fait mal de dire a tout le monde "j'avorte" ... j'ai eu mal se jour la ... mon père ma enmener mais est partie au bout de 30mn (boulot oblige) mon copain avait cour et avait conduite accompagné (pour le permi pour sa formation pour qu'il passe en classe superieur) et ma mère travailler, elel na pu venir que l'aprem ... la maintenant, je reste encor partager ... et je croit que sa me fait du bien de parler ... quand je suis en soirée, je me dit que j'aurai garder le petit, j'aurai pas pu etre la a profiter de ma jeunesse, des amis, de la fète ... mais quand je voit ma mère qui garde les petit (assitante maternelle) je me dit que j'ai eu tord ... je reste encor dans l'incertitude ...
Avortement ==> L'après 12/16 05/07/2011 à 21:31
T'aurais pu faire des raviolis avec le fœtus Smile ! (voir le film Nouvelle Cuisine)
Aleph 
Avortement ==> L'après 13/16 05/07/2011 à 21:36
BibiDark a écrit :

Merci a ceux qui ont repondut (serieusement ou pas, après tout, sa ma fait sourir, autant assumer se que l'on pense)
Personnelement, il y a des jorus ou je le regrette pas mal ... Bon on est jeunes, quand la grossesse n'etait pas sur, on voyait sa magique, on se disait que sa fonctionnerai, qu'on pourrai l'élever etc ... quand le resultat nous est tomber dessus sa a tout changer ... après crise de colère et crise de larme, reve brizer et paroles tromper, on a tout considéré, le pour et le contre avec mon copain, et nos familles respectives ... moi je voulait sincèrement le garder ... mes parent etais partager mais il mon assurer qu'il me suivrait ... mais force a été de reflechir, je me serait trouver bien egoiïste de le garder ... et j'avoue que sa ma bien fait mal de dire a tout le monde "j'avorte" ... j'ai eu mal se jour la ... mon père ma enmener mais est partie au bout de 30mn (boulot oblige) mon copain avait cour et avait conduite accompagné (pour le permi pour sa formation pour qu'il passe en classe superieur) et ma mère travailler, elel na pu venir que l'aprem ... la maintenant, je reste encor partager ... et je croit que sa me fait du bien de parler ... quand je suis en soirée, je me dit que j'aurai garder le petit, j'aurai pas pu etre la a profiter de ma jeunesse, des amis, de la fète ... mais quand je voit ma mère qui garde les petit (assitante maternelle) je me dit que j'ai eu tord ... je reste encor dans l'incertitude ...



T'es pas devenue stérile. Si ça te déprime autant dis-toi que ce n'est que partie remise...
Avortement ==> L'après 14/16 05/07/2011 à 21:38
ya que certains jours ou j'y pense, je deprime pas a bloc non plus tout le temps

je voulait juste parler a des filles ayant fait le meme acte que moi et savoir avec quoi elles ont tenu, et si elle avait souvent des moment de blues
Avortement ==> L'après 15/16 05/07/2011 à 21:54
Jabberwock03 a écrit :



Et tu te coupes pas les ongles ?
Peut être que tu as des ongles spéciaux qui seraient devenu vivant et autonome !

Tout comme l'enfant que tu te refuses à tuer par égoïsme peut avoir une vie merdique et des problèmes mentaux ou physiques ^^ !




C'est débile comme argument ! Je te dis que ça peut faire du mal de penser que l'enfant qu'on a pas gardé était un mélange de toi + la personne que tu aimes et aek qui tu envisages de passer un bout de temps. Donc métaphore idiote.

Ensutie, t'as pas bien lu, je dis JUSEMENT que je suis totalement contre le fait d'avoir un gosse si jeune et avant qu'une situation stable, solide et serieuse soit installée.
Avortement ==> L'après 16/16 05/07/2011 à 21:57
Lenny. a écrit :

Jabberwock03 a écrit :



Et tu te coupes pas les ongles ?
Peut être que tu as des ongles spéciaux qui seraient devenu vivant et autonome !

Tout comme l'enfant que tu te refuses à tuer par égoïsme peut avoir une vie merdique et des problèmes mentaux ou physiques ^^ !




C'est débile comme argument ! Je te dis que ça peut faire du mal de penser que l'enfant qu'on a pas gardé était un mélange de toi + la personne que tu aimes et aek qui tu envisages de passer un bout de temps. Donc métaphore idiote.

Ensutie, t'as pas bien lu, je dis JUSEMENT que je suis totalement contre le fait d'avoir un gosse si jeune et avant qu'une situation stable, solide et serieuse soit installée.


Rahhh mais tu fais toute une histoire de quelque chose qui ne sera de toutes façons pas. C'est mignon ton histoire de mélange, mais concrètement ça reste un tas de cellule un peu difforme scotché à ton utérus c'est tout.
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