besoin d'un titre

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Moins de 18 ans

18 ans ou plus

rockandguit   besoin d'un titre 6 04/03/08 à 22:18

pour ceux qui n'ont pas la flemme ..juste rien ecrir ,,, jaimerais juste avoir des remarques constructives et un titre Smile

Chapitre 1

Les craintes de Roxia
Cela faisait pas loin de 3ans que Roxia habitait Gatineau. Elle s'y était rendue avec sa mère à l'âge de 13 ans suite à la séparation de sa mère et son père. Elle c'était très bien adaptée, mais n'avait pas parcouru la ville. Un bon matin, alors qu'elle déjeunait, son amie Melissa, lui passa un coup de file:
- Hey Roxie ! Que fais-tu?
-Et bien la je déjeune. Pour quoi?
-Moi et martin on voulait te montrer un endroit qu'il a découvert.
-hum... Ça m'intéresse, dit-elle, mais laisse moi le temps de me préparer. Où est-ce qu'on se rejoint?
-Chez moi.
Elle partit donc se préparer. Elle, enfila un jeans, une camisole rouge sous un chandail, remonta ses longs cheveux bruns en une couette et passa une ligne de crayon noir sur ses yeux.
Avant de partir de sa paisible maison de campagne, elle prit sa casquette orange sur la table et cria à sa mère :'' Je pars avec Mel et Martin! Je reviens peut-être pas pour souper!''
Elle ouvrit la porte et dans son excitation, la claqua un peu.


Roxia marchait d'un pas pressé. On n’entendait que le claquement de ses gougounes et son souffle dans le silence des bois. Elle passa par son raccourcit habituel, le petit sentier qui traversait les route, et vu avec beaucoup de surprise, Melissa qui lui tendait les bras en attente d'un câlin. Son amie marcha en sa direction avec rapidité et après s'être un peu enfargé, elle ralentit son pas. Lorsque les filles se rencontrèrent enfin , elles se firent une longue et amicale accolade et puis vint le tour de Martin, qui attendait les bras croisés à côté des deux filles.
-Bon ! Vous me la montrez cette fameuse découverte? dit Roxia en se tapant dans les mains.
-Viens! C'est par là.
Martin montra une direction du doigt qui passait dans les bois.
Elle n'avait jamais vu ce chemin avant, mais se dit que s’il y était, ça devait bien aboutir quelque part. Craintive, elle les suivit en regardant ou elle mettait les pieds.

-Aïe! , se plaigna Melissa.
-Quoi? Dirent les deux autres
-Rien, rien. Un moustique, elle dit en tapent dans l’air.
Ils continuèrent leur route dans le sentier mince de terre sec et d'herbes hautes. Avec la chaleur suffocante qui régnait, Roxia ce dévêtit de son gros chandail et continua à les suivre à petit pas. Ils arrivèrent finalement à l'endroit que Martin avait découvert. ‘‘Ce n’est pas si impressionnant'', s'exclama Roxia lorsqu'elle aperçut le manoir ou Martin l'avait conduit. Le manoir était vieux, encore en bon état. De l’extérieur, il avait l'air riche. Il était de couleur vert et blanc puis était de style cathédral avec un toi en pente apique. Des fleurs dont on n’avait pas prit soin depuis un moment, se trouvaient sur le pourtour de la maison, toutes fanées.
-Hem bien, on t'attendait pour entrer, alors? On y va? Dit Martin avec ses yeux piteux. Lui qui, par son apparence, réussissait immanquablement à avoir tout ce qu’il voulait. Martin, il était plutôt grassouillet. Il était de couleur un peu mulâtre et avait les cheveux noirs. Melissa tant qu’à elle , était de taille moyenne avec de simple cheveux noirs qu’elle essayait tant bien que mal de friser mais évidemment toujours sans succès.
Ils se regardèrent un instant, puis se décidèrent.
Se fut Melissa la première à monter l'escalier. Tous le monde présent en ce lieux connaissaient Mélissa comme une fille très audacieuse, mais ce jour la, on pouvait la voir un peu craintive de la façon dont posait ses pieds sur les marches. Un mouvement plus lent un que l'autre, avec un léger tremblement dans sa voix lorsqu'elle leur dit:'' Allez suivez moi!''. Martin la suivie sans hésitation, prit son habituel air macho, puis passa devant. Roxia les suivait avec peine. En hochant la tête et en remontant la mèche de cheveux sur sa figure, elle se disait'' Je sais que sa va mal tourner'' Elle monta péniblement les quelques marches qu'il lui restait à monter et rejoignit ses amis qui commençaient à s'impatienter. La main tremblante de martin s'approchait de la poignée de porte dorée. Tranquillement, il la fit tourner. Le bruit de métaux rouillés qui se frottent l'un contre l'autre se fit entendre. Puis un petit clique. La porte ouvrit. Tous restèrent bouchés par ce qu'ils vient à l'intérieur. Deux jolis escaliers se croisaient au dessus du grand salon. Celui-ci était meublé de 3 magnifiques fauteuils en cuire noir. Ils étaient placés au font de la pièce, à côté de l'immense foyer au dessus du qu'elle, se trouvait un tableau d'une personne très élégante, entouré d'un cadre en bois épais. C'était une maison tout simplement magnifique. Avec beaucoup de stupeur, ils entrèrent. Le planché en bois du salon grinça lorsque Melissa y posa son pied. Elle sursauta, puis s'engagea dans l’escalier, suivit de Martin et de Roxia qui était toujours sur ses gardes et hochait la tête.


Chapitre 2
Les ennuis commence.

Les marches grinçaient au rythme des pas des aventuriers. Melissa regardait les photos de familles de différentes époques en riant un peu de leur style de vêtements et de coiffures. Martin tenta d'entrer dans une pièce mais la porte était fermée à clef. Martin fut attiré par cette porte dès le début, car c’était la seule qui portait un ruban rouge sur la poignée. Curieux comme il était, il ne pouvait cesser de se demander ce qu'il pouvait bien y avoir de si important. Il tenta le coup avec une autre porte, celle-ci s'ouvrit. Cette pièce était une chambre à coucher, garnit de deux belles grandes fenêtres. Deux lits y étaient. Les couvertures impeccablement placées, étaient rouge, puis les oreillers étaient blancs, comme le reste de la pièce. Deux petits bureaux, ainsi que 2 tables de chevets y logeaient. Des pyjamas blanc qui avaient l'air neuf, ce trouvaient sur chacune des tables. Comme si quelqu’un les avaient laissé la de 24 à 1h avant leur arriver. Roxia y porta attention mais les deux autres étaient trop préoccuper à fouiller pour trouver des bijoux et de la vielle argent pour juste les remarquer .Ils en ressortirent bredouille. Roxia figea tout d'un coup.
-Qu'est-ce qui ce passe? demanda martin
-J'ai entendu quelque chose.
-C'est ton imagination. Ah tien! Un téléphone!
Melissa se dirigea vers lui. Elle prit le combiné du vieux téléphone et roula les numéraux sur le vieux composeur.
- Hey ! Sa sonne! cria presque Melissa
Cela sonna bien un moment, puis en un instant plus rien. Comme si le fil du téléphone venait d'être coupé.
Ils vérifièrent et constatèrent avec horreur qu'il avait bien été saboté dans l'instant.
- Ça doit être un rat! Dit l'un
- Le fil devait déjà être fragile ! Hypothèsa l'autre.
Mais Melissa ne disait pas un mot. Elle restait la, le combiné à l'oreille.
Martin passa sa grande main devant ses yeux vitreux. Aucune réaction. Roxia pris alors le combiné.
-Sssccssssstttssuittssssttccct.!!!SSCCUITTTIUSSCCUI!!!,
Quelqu’un chuchotait dans le téléphone ! Puis, un petit clique, et plus rien. Ils installèrent Melissa, toujours paniquée, dans un fauteuil de cuire. Elle alla se blottir en vitesse sur un coin de l'accoudoir et n’y bougea plus. Roxia elle, fixait le mur tout en réfléchissant à une hypothèse scientifique à ce qui venait de se passer .Martin n'avait pas entendu ce qu'il y avait dans le téléphone, et aucune des deux filles ne voulaient lui parler. Donc il soupira et dit - '' Les filles! On reviendra demain.’’
Melissa prit appuie sur le divan gardant la tête effrayamment droite comme si elle ne pouvait plus la bouger. Elle tremblait. Lorsqu'elle mit sa jambe a terre, elle était certaine que quelque chose lui avait empoigné. Quelque chose d’étrange flottait dans l’air du manoir, une sensation déplaisante et malsaine. Tout le monde n’était pas comme d’habitude, Melissa qui était si saine d’esprit d’habitude, était devenu paranoïaque. En voyant la réaction de Melissa, Martin ne pu s'empêcher comme à son habitude, de faire un mouvement pour dire quelle était folle en imitant un cerveau qui marche à l'envers, mais ne pu s’empêcher de se demander ce qui c’était passé.
En ignorant se geste et en tremblant, Melissa se dirigea vers la porte en sursautent au moindre petit craquement que ses pas pouvaient produire sur le sol de la sombre pièce qu’ils s’apprêtaient à quitter. Lorsque qu’elle en entendait un, Elle regardait ou tour d’elle, les jointures de ses mains pliés sous son menton, elle avait l'air folle. Elle mit sa main sur la poignée et la retira aussitôt. Elle affirmait que quelque chose lui enlevait la main de sur la poigné lorsqu’ elle y touchait. Martin passa devant en la regardant comme si elle était stupide, la trouvant ainsi de plus en plus folle.


Roxia conduisit Melissa à l'extérieur comme elle n'y arrivait pas seule. Le soleil était presque couché. Donc ils se mirent en route.
- ''Ou est le sentier?? , s'époumona Melissa
Elle commençait à paniquer une fois de plus, quand Martin lui mit la main sur l'épaule et lui montra le chemin du doigt,
Ils partirent en passant par le chemin du matin qui déja avait été si claire, mais qui était maintenant si noir.
-Martin , chuchota Roxia, Je crois qu'on est déjà passé ici...
-Bien non, rassura martin, Je sais ou on est... on ne peut avoir déjà passé ici.
Elle resta muette. Quand tout à coup, lorsque le soleil fut entièrement couché, ils se retrouvèrent devant un manoir. Le même manoir du matin.
Ils reprirent leur route pour une deuxième fois en marquant leurs traces.
Lorsque Martin reconnu l'endroit, il se mit à tourné à gauche et à droite, à travers des buissons, etc.
Soudain il s’exclama.' Si le raccourci n'est pas derrière ce buisson nous nous sommes perdu.
Sur de lui, il passa le premier et resta bouchée, lorsqu’il vit que le manoir y était.

Melissa se mit à courir dans tout les sens. Puis, Martin la pris et lui dit qu’il allait essayer de trouver un autre téléphone pour avertir leurs parents. Ils rentrèrent dans le manoire. Tout comme la première fois, le plancher grinça lorsqu’ils pénétrèrent le salon. Martin tâta le mur à la recherche d’un interrupteur pour ouvrir une lumière. Le salon s’illumina aussitôt que Martin eu lever le bouton mais, le salon resta aussi lugubre. Roxia, elle, examinait les lieux. Elle alla près du téléphone ou elle avait entendu les chuchotements, puis, revérifia le file. Avec effrois, elle constata qu’il était comme neuf. Elle recula nerveusement et se cogna même contre un tabouret où se trouvait, un pot de fleur vivante qu’elle fit tomber. Martin et Melissa sursautèrent.
-Mais que c’est-il passé? dit Martin encore sous le choque.
-Le, le, le file, réussit à dire Roxia.
- Quoi le fil?
Il se dirigea vers lui et constata aussi que le fil était rétablit. Soudain, le téléphone sonna. Martin s’apprêtait à décrocher le combiné, quand Roxia lui interdit de commettre cet acte. Mais la sonnerie ne cessait pas. A bout de nerf, Melissa débrancha le fil. Mais le téléphone continuait de sonner. Puis, il cessa enfin. On pouvait lire un trait de réjouissance sur le visage épouvanté de chacun d’entre eux. Pendant un moment, tous restèrent immobiles à regarder le téléphone.
-Comment cela est-ce possible? J’avais débranché et… Et… Et…
Martin interrompu Roxia
-Voyons! Il doit fonctionner à batteries.
Ils vérifièrent. Et non, le téléphone avait bien comme seul et unique conducteur d’énergie, le fil qu’avait débranché Melissa.


Ils se regroupèrent afin d’établir un plan pour cette nuit. À la fin de cette discussion, ils avaient conclu qu’ils devraient chercher un endroit ou dormir. Melissa se souvint alors de la chambre qu’ils avaient trouvé durent la journée. Ils y allèrent se tenant bien serré un a côté de l’autre. Les deux filles se tenaient même par la main. Quand ils furent devant la porte, tous avaient peur de ce qu’ils allaient y trouver. Martin, la main tremblante, approcha de la poignée et ouvrit la porte. La chambre qu’ils avaient vu dans la journée était la même, mis a par l'air embiante qui etait devenue aussi lourde qu'une couverture en plume d'oie. Martin dit qu’il occuperait le lit près de la porte au cas où quelqu'un voudrait entrer. Les filles, qui riaient un peu de son caractère macho, n’eu pas d’autre choix que d’accepter. Ils s’installèrent dans leur lit, leur seule source de sécurité immédiate.

Martin était couché dans son lit et les deux filles étaient dans l’autre. Elles étaient placées de façon à ce que les pieds d’une arrivent au visage de l’autre. Ce qu’elles faisaient toujours chez elles. Cela prit un peu de temps avant que nos sorte de prisonniers ne trouve le sommeille mais ils en furent tout de même capable au bout de 2 impitoyables heurs.



Chapitre 3
Une voix dans la nuit

Dans la même nuit, Roxia ce réveilla. Elle entendait une voix l’appelée. Elle se leva de son lit, puis, ouvrit la porte avec douceur pour ne pas réveiller ses compagnons de chambre. Roxia suivit les voix. Celles-ci la conduisit, non pas au téléphone, mais à la porte au ruban rouge. Après avoir ouvert à moitié la porte au ruban ,un mauvais sentiment commençait à la paniquée, et dans son énervement, poussa un crie involontaire, qui vous le devinerez bien, on réveillé les deux autres qui dormaient. Ces deux la se levèrent en un saut, et furent triste d’appendre que le manoir n’était pas qu’un simple rêve. Suite à cette pensé, ils bondirent hors de leur lit, puis se précipitèrent vers la porte au ruban. Ils y trouvèrent Roxia, allongé sur le sol, un air de panique graver au visage. Martin se pencha et tendit la main pour toucher son front. Il était froid, humide et on pouvait apercevoir quelques veines qui avaient éclatées. Elle semblait avoir eu peur, très peur. Une crainte s'éprit alors des deux amis. Soudain, Roxia se mit à avoir des sortes de spasmes, comme si quelqu’un l'électrocutait. Martin paniquait, il la regardait avec horreur. Melissa, elle, sautillait sur place en sanglotant les mains serrées sur le cœur. Roxia s'arrêta tout d'un coup. Elle était essoufflé et avait du mal à parler mais réussit quand même à dire : FANTOME! Et sembla s’être assoupie après une longue et violente inspiration. Martin et Melissa se regardèrent. Puis, Roxia, qui s'était réveillée, continua.
-J'ai entendu qu'on m'appelait. Je me suis levé et j'ai suivis la voix. J'ai pensé qu'elle me conduirait au téléphone mais elle ma conduite devant cette porte. J’ai ressentie un soudain besoin de l'ouvrir. Ce que je fis. Mais je ne me souviens plus de grand chose. Une porte ouverte, quelque chose qui me transperce des deux côtés. C'est vraiment flou.
Tous restèrent silencieux.
Martin pris la parole :
-Tu es sur que tu n'as rien pris? Drogue, hallucinogène?
Roxia offusquée, se leva brusquement et lui lança une gifle, elle reprit:
- Bien sur que j'ai rien pris! Tu me prends pour une folle?
Melissa était blottit dans un coin, elle se balançait et semblait chantonner. Ses long cheveux noirs couvrait son visage, comme si elle était une petite fille qui a vu quelque chose de traumatisent.
Sans s'en attendre, les deux virent Celle-ci ce se diriger robotique ment vers la porte. Lorsqu'elle tendit la main pour tourner la poigné. Martin eu un peu peur de la laisser continuer, alors il la stoppa:
-QUOI? Cria Melissa
-pour quoi veux-tu aller dans cette pièce?
- Parce que quelque chose a fait du mal à ma meilleure amie et je veux savoir ce que c'est!
Martin pensa un peu, puis lui dit qu'il allait l'ouvrir avec elle.
Roxia alla s'Accoter contre la rampe de l'escalier et se cacha les yeux à l'aide de ses mains. Martin posa sa main sur la poigné en hésitant un peu et se fut le tour de Melissa. Ils la tournèrent, mais elle était encore fermée à clef. La curiosité de Martin était déchaînée, tellement qu'il s'approcha furieusement de Roxia, la pris violemment par les épaules et l'accota contre le mur.
- Qu'avait-il dans cette pièce? Lui lança furieusement martin.
-Une lumière ! Avec des choses qui bougeait! Je ne sais pas trop ce que c'était ! Je n’ai pas pris trop attention! Lui rétorqua Roxia un peu sous le choque de cette agressivité.
Martin baissa la tête avec honte. Il s'excusa a son amie d'avoir été si monstrueux avec elle et lui dit qu'il ne savait pas se qui lui avait pris. Melissa accouru à la rencontre de sa meilleure amie, et lui demanda si tout allait bien.
-Oui oui! Je me demande seulement ce qu'il a.
Après cela, comme plus personne n'arrivait à dormir, ils décendirent au salon. Ils s'asseyerent chacun sur un divan. Martin regardait la pièce, il sentait quelque chose l'épier. Comme il ne trouvait rien à faire, il décida d'animer la pièce en faisant un bon feu de foyer. Melissa était accroupit sur un coussin et grattait l'accoudoir. Roxia, elle s'était levée, incapable de rester en place. Elle demanda si un de ses amis pouvaient l'accompagner dans une petite excursion. Melissa l’accompagna. Car Martin ne voulait pas laisser son feu sans surveillance. Elles se promenèrent dans la maison ou il y avait un peu de la lumière du salon qui s'y reflétait, puis allèrent en se tenant la main, vers la porte qui menait dans la cour extérieur. Elles regardèrent dehors sur un coup de tête puis éclatèrent de rire lorsqu'elles ne virent pas de bécausse dans la sombre lumière du matin .Cette fenêtre était dans la grande et majestueuse pièce qui servait de cuisine. Lorsqu’ elles finirent de rire, elles se mirent à regarder au tour. En plus de régner une ambiance chaleureuse et entraînante dans cette pièce, elle était belle, et bien décorer, de nombreuses armoires garnissaient 4 murs et un énorme réfrigérateur se trouvait entre 2 de celles-ci. Par habitude, Roxia se dirigea vers le frigidaire. Puis ouvra la porte. Ce qu'elle vit lui coupa le souffle. De la nourriture. Beaucoup de nourriture s'y trouvait. Du poulet, du jus, du lait, des fruits, lait au chocolat. En fait, tout ce que les trois aimaient le plus. Les deux filles se regardèrent, puis avec un sourire en coin, Roxia dit:'' GO!''. Puis elles se mirent à fouiller dans les grandes armoires elle y trouvèrent plein de chose d'une utilité presque infinie. Alors qu'il ne restait qu'une seule armoire à fouiller, Mélisse décida de servir des vers de lait. Elle alla dans l'armoire où se trouvaient les verres, en prit trois et y versa ce liquide blanc si apaisant. Telle une serveuse diplômée, elle prit méthodiquement les verres pour les apporter à bon port. Elle longea le corridor pour se retrouver dans le salon ou flottait encore, une étrange peur. La petite déposa doucement les verres sur la table basse du salon puis invita martin à la rejoindre. Pendant ce temps, Roxia s'apprêtait à fouiller la dernière armoire. Lorsque qu'elle l'ouvrit, elle sentit qu'elle était plus lourde que les autres. Avec peine et misère elle reussit à ouvrir l'armoir en chêne massif et ce pencha dans l'obscurité de l'ombre ce celle-ci. Elle y découvrit un passage rocheux qui avait l'air d'un tunnel. Elle ne voyait pas bien dans l'armoire malgré le soleil qui pénétrait peu à peu la pièce antique. Roxia alla rejoindre ses amis qui étaient dans le salon, parlant des événements qui s'étaient produit plus tôt.
Roxia- ''Je suis sur que ce n'est qu'une plaisanterie que veux nous faire Mathias! Il est toujours de plus en plus vil dans ses mauvais tours!
Melissa-'' Comment expliques-tu qu'on ne puis retourné chez nous?
Roxia-'' Il a sûrement brouillé le chemin. De sorte qu'on emprunte celui le plus visible. En d'autre mots : Celui qu'il a fabriqué.
Melissa était soulager de pouvoir avoir une autre conclusion que le paranormal. Martin enchaîna:'' D'accords. Écoutez-moi bien les filles. Nous allons jouer à son jeu. Pour avoir le contrôle.
Nous allons fouiller les pièces de la maison, puis trouver tout les pièges qu'il nous a réservés à l'avance. Je suis sur qu'il n'est pas ici 24h sur 24.
Ils finirent leurs verres de lait. A l'exception de Roxia, qui n'aimait pas beaucoup le lait. Puis, se dirigèrent vers le couloire qui menait à la cuisine. Ils remarquèrent qu'au milieu de celui-ci se trouvait une porte. Roxia mis sur la faute de l'absence de lumière qu’il n’ait pas vu cette porte plus tôt ce matin. Martin posa sa main sur la poignée et l'empoigna solidement avant de la faire pivoter très doucement. Melissa se tenait contre le mur. Elle tourna la tête, et aperçu quelque chose avec eux. Cette chose qui la regardait était d’apparence humaine, mais était transparente et luisante. La chose semblait être d’un certain age et avait l’air bougonneux. Aucun trait ne rassurait Melissa. Cette créature ne détachait pas des yeux du regard de celle-ci. Après qu'elle eu complètement réalisé se qui la regardait, elle poussa un cri. La chose lui souris bêtement dans sa moustache et lui fit un au revoir moqueur avant de complètement se dissoudre dans l'air. Les deux autres se retournèrent, mais pour ne voir seulement que leur amie, pétrifié par la peur.



Chapitre 4
Le tunnel
‘’Cou donc Melissa! Est-ce que c’est juste ça que tu es capable de faire : Crier pour rien?’’ Dis martin sur un air baveux.
‘’Quoi?? Pour rien?? Je viens de vivre l’expérience la plus traumatisante de ma vie!!!! Je viens de voir un fantôme !! UN VRAI!! Je n’ai pas halluciné!....
Elle continua ainsi durant 5 bonnes minutes avant que Martin se décide à entrer dans la pièce lugubre qu’ils venaient de découvrir. Il ordonna à Melissa d’aller à la cuisine, elle qui l’avait exploré avec Roxia le jour d’avant, pour y trouver des lampes de poche. En premier, ce fut un non catégorique, mais après l’avoir rassuré, elle céda. Elle y alla d’un pas timide, tout doucement, avec la nette impression que quelqu'un ou, quelque chose la regardait constamment. Une fois arrivée elle se pencha pour fouiller les armoires du dessous. Mais ses recherches fut soudain interrompu, par la découverte du tunnel que Roxia avait trouvé un peu plus tot. Elle se pencha pour regarder à l’intérieur mais ne vit rien, il faisait trop noir. Elle se remit à la recherche des lampes de poche et, grâce au ciel, en trouva un tiroir plein. Elle en prit une et regarda dans le tunnel. Elle ne vit rien d’étrange, alors elle y pénétra. Accroupis, elle avançait à genoux dans le sol rocailleux, la lampe de poche dans la bouche. Elle s’enfonçait de plus en plus dans le tunnel et sur les murs elle remarqua des traces de mains, comme si quelqu'un si était fait traîner de force et soudain, Elle sentit une mains agripper son pied, elle eu le réflexe de se retourné et revis le fantôme au visage à qui appartenait les traits si traîtres. Melissa aurait bien voulu bouger mais elle eu à peine le temps de regarder la chose, qu’elle se fit propulser au font du tunnel. Elle atterrit dans une pièce. Un endroit sale et laid. Elle avait juste envie de sortir de la car elle n’y sentait rien de bon. Elle explora la pièce à la recherche d’une autre sortie car elle avait peur de retourner dans le tunnel, si il fallait qu’elle revoit le sourire moqueur de la chose qui s’emblait la suivre, elle ne s’en aurait pas sortis sans séquelles. Donc elle regarda autour d’elle. Melissa longea ce qui semblait être des murs en pierres. Il y avait beaucoup de choses étranges dans cette pièce. Des tables d’opérations, des miroirs, des tiroirs encastrés dans le mur… ça ressemblait à une salle d’opération. ‘’ Il faut que je sorte d’ici, je crois que je n’aurai pas d’autre choix que de sortir par ou je suis entré!’’ Pensa tout haut la prisonnière.


Pendant ce temps, Martin et Roxia s’impatientaient. ‘’Mais ou elle est? Ça doit faire au moins 20 minutes qu’elle est là .’’ À vrai dire … ils commençaient à s’inquiéter

besoin d'un titre 1/6 04/03/2008 à 22:26
Personne lira ce pavé..

C'est vraiment trop long et ca nique les yeux de lire sur un écran..
besoin d'un titre 2/6 04/03/2008 à 22:28
J'ai lu les 6 premières lignes, j'ai vu le reste du texte, j'ai renoncé à tout lire =O.
besoin d'un titre 3/6 04/03/2008 à 22:29
Je me lance, je lis tout, et j'éditerai ou posterai de nouveau selon l'évolution.
besoin d'un titre 4/6 04/03/2008 à 22:30
DreamLeaf a écrit :
Je me lance, je lis tout, et j'éditerai ou posterai de nouveau selon l'évolution.


T'as rien à faire toi, j'me trompe x) ?
besoin d'un titre 5/6 04/03/2008 à 23:16
Chapitre 1 : titre accrocheur ; on se demande de quoi Roxia peut avoir peur.

1er paragraphe.

Introduction courte, mais qui semble suffisante pour introduire le personnage. Cela laisse supposer un perso tout ce qu'il y a de plus commun "comme vous et moi", qui n'a rien de spécial à mettre en avant.
On peut penser à de futurs évènements où l'on en apprend plus sur le personnage.
Au niveau de l'intrigue, tout est simplifié. La description de l'action est agréablement concise.
Des précisions supplémentaires sur son environnement n'auraient peut-être pas fait de mal.

2ème paragraphe.

*Gougoune, mot incompris (mais deviné).
*enfargée, mot incompris.
L'action se poursuit, on apprend seulement que les amis se retrouvent et savent où aller. Dommage ceci dit, une description supplémentaire aurait été la bienvenue, concernant les amis. Peut-être est-ce une façon de nous montrer que les amis ne sont pas des protagonistes et que c'est volontaire de la part de l'auteur.
L'adjectif "craintive" nous réfère au titre du chapitre, il est dommage de faire référence au suspence principal de façon aussi directe.
Conclusion : L'action devrait être plus courte, le décor plus long.

3ème paragraphe.

*plaindre : mauvaise conjugaison.
*"elle dit" : incise incorrecte.
On se réjouit de voir la fausse précipitation annoncée par le cri de Melissa. La découverte du manoir n'est pas un grand choc pour le lecteur : il aurait fallu commencer par une longue description de l'environnement, pour finir sur "c'était un manoir". Ainsi, on se dit moins "un manoir, pfff, que c'est classique =)"
Ah ! Smile La description des amis nous arrive finalement, mais un peu tard. Dommage.
*Syntaxe : "Mélissa Quant à elle" (correction)
La pause narrative suit directement la description, mais sert aussi de transition pour revenir à l'action. Drôle d'effet.
*"craintive", répétition (exemple : "moins téméraire")
La description de l'intérieure est correcte et bien située dans le texte. Ceci dit, la "crainte" (beaucoup de répétition, dommage) des personnages n'est pas vraiment justifiée. Il aurait peut-être fallu insister un peu plus dessus.
Paragraphe un peu plus long que les deux autres, mais qui par sa longueur captive la concentration et fait plonger dans l'histoire. Les éléments sont un peu en désordre, mais on a une idée précise de ce qu'il se passe dans le récit jusque là.

Chapitre 2 : Titre logique et (trop) annonciateur.

1er paragraphe.

La première phrase est reprise du chapitre 1. Pratique pour faire une pause entre les deux chapitres.
* Martin, répétition successive.
*"Cette pièce" => "La pièce". (A mon goût).
* "y logeaient" => "s'y trouvaient", à moins que ce ne soit un clin d'oeil de l'auteur pour nous annoncer des objets mouvants.
*"de 24 à 1h avant leur arrivée", phrase incomprise. (mais devinée, après réflexion).
"avec horreur", peut-être trop exagéré.
L'onomatopée du téléphone est inutile, et casse l'ambiance. La phrase suivant ne devrait pas être exclamative, ça fait un peu "eh bien ça alors, dites donc !", et donne l'impression au lecteur qu'il n'apprend rien de nouveau.
*"tout le monde n'était pas comme d'habitude", maladroit.
*"paranoïaque", trop exagéré pour être accepté par le lecteur.
Le changement brutal de Melissa est mal exprimé, je trouve. par exemple, on aurait pu davantage adopter un point de vue interne, afin de pousser le lecteur à s'interroger davantage.
Ceci dit, ce changement soudain refait jaillir une petite flamme de curiosité : voyons la suite.

Paragraphe 2

Les 3 premières phrases auraient pu tenir en une seule.
La disparition du sentier est interessante.
* opposition entre clair et sombre serait plus judicieux.
Je me rends compte que le texte est écrit avec une interprétation enfantine de l'environnement, c'est peut-être fait exprès pour la suite (un narrateur interne à l'histoire, genre "et moi, je suis le fantôme qui a tué tout le monde").
* Syntaxe "avoir déjà passé ici" => "être déjà passé par ici".
Le retour dans le manoir manque cruellement de transition.
*Syntaxe : "le même manoir QUE le précédent", par exemple.
2ème paragraphe court, pour nous annoncer que les personnages tournent en rond. Manque d'évolution, il faut faire attention à ne pas laisser le suspense se faire dépasser par la lassitude.

Paragraphe 3

*"un pot de fleur vivante" => MDR.
A vouloir être trop concis, il manque des liens.
Il faut aimer les téléphones. =)
Plus sérieusement, l'action est trop centrée sur le téléphone. Pour faire durer la sonnerie, un point de vue omniscient sur l'avis de chaque personnage aurait été le bienvenu : la sonnerie semble insistante mais courte, comme le texte.
"Et non", même remarque qu'au dessus concernant l'effet de style "ben mince alors !".

Paragraphe 4

Des fautes d'orthographe, de conjugaison, et de syntaxe à quasiment chaque phrase.
*"macho" est mal utilisé ici. Protecteur conviendrait mieux.

Paragraphe 5 (qui aurait pu rester dans le 4, avec un retour à la ligne simple.)

Répétition de "lit", des ponctuations trop intempestives.
"nos sortes de prisonniers", TRES maladroit.
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JE FAIS UNE PAUSE.

Le résumé est très vite fait :

Une fille rejoint ses amis pour visiter un manoir qu'ils avaient découvert plus tôt. L'ambiance intrigante du manoir semble pouvoir modifier les personnalités, ainsi la peur est poussée en avant (trop pour être crédible). Les personnages tournent en rond, et semblent perdus / retenus dans ce lieu unique où la seule chose interessante est... Un téléphone ! >=D

2 chapitres qui auraient pu tenir en un seul, même si je suppose que tu as voulu conserver une certaine clarté. L'expression est assez "enfantine"(ou maladroite) quant à certains évènements, qui ne sont du coup pas vraiment pris au sérieux. C'est d'ailleurs dommage, autant que les fautes d'orthographe, ou la ponctuation mal placée. Correct au niveau de l'emploi des temps, ceci dit.

Le scénario semble en même temps basique et bien trouvé, j'attends de voir la suite. Le prénom Roxia est très accrocheur, mais "Mélissa et Martin" contrastent très fortement. Dommage, ils auraient pu apporter de l'originalité : Roxia est décrite comme banale, tout est tellement banal que c'est l'idée qui déteint sur l'histoire. Très dommage.

VOilà, je décide de faire une pause, le suspense ne m'a malheureusement pas tenu en haleine pour que je ne m'en décroche pas un instant. L'histoire en elle-même est une bonne initiative, mais il ne faut jamais perdre de vue que l'on s'adresse à quelqu'un : aussi faut-il absolument savoir faire jouer les émotions d'un lecteur, et il me semble que c'est un point trop peu approfondi pour rendre au texte l'intérêt qu'il mérite.

Je continue plus tard, je vais boire un peu.

Bonne soirée !

NiiXamère, oui, je n'ai que ça à faire. J'ai déjà fait ma dissert', mon DM de maths, mes 9 exercices de Physique Chimie et donné à manger au chat et aux chiens.

Et puis tant que je m'occupe, je ne pense à rien d'autre, alors même si c'est un gros pavé, merci de l'avoir posté ! ;)
besoin d'un titre 6/6 04/03/2008 à 23:20
J'ai pas le courage de me relire moi-même, mais ça devait être très constructif et utile Mauvais ange
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