deux moitiées... Camille et Mathieu

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ptitebille deux moitiées... Camille et Mathieu 1 14/04/06 à 17:02

Il se sentait seul. C’était un adolescent d’une quinzaine d’années, il s’appelait Camille Combessou. Il vivait avec ses parents dans une grande maison, il n’avait pas de frères et sœurs, ce qu’il regrettait. Il avait tout pour être heureux, pourtant un voile sombre couvrait en permanence ses yeux d’un bleu si limpides en effet il avait toujours l’impression de manquer de quelque chose, manque d’une moitié, moitié de corps, de cœur, de vie…

Ce jour là, il pleuvait, le ciel était sombre, les nuages étaient noirs et l’orage grondait. Il était seul chez lui. Quand tout à coup, il entendit un bruit sourd dans le grenier. Il décidât de monter pour voir se qu’il se passait, il grimpa les marches qui craquées, ouvrit la porte qui grincée et donnée un son terrifiant et là… Une colombe blanche comme la neige était posée sur une malle en bois. Lorsqu’il s’avançât, elle s’envola dans un bruissement d’ailes sur une des poutres qui soutenait la charpente de la toiture. Il ouvrit la malle toute poussiéreuse ; elle ne contenait rien sauf une petite photo posée tout au fond. Elle représentait deux petits garçons de deux ans environs qui riaient aux éclats. Il se reconnut, il était le petit garçon de gauche mais l’autre qui pourtant lui ressemblait étrangement lui était inconnu. Il retourna la photo et lut « Camille et Mathieu à Belle-Île »

Comme un signe le ciel s’illumina et il sut que cette trouvaille allait bouleverser sa petite vie. Belle-Île, il y allait tous les étés, ses grands-parents avaient une maison à Bordustard. Justement dans trois jours, c’était les vacances et il descendait avec ses parents en voiture jusqu’à Quiberon pour prendre le bateau et débarquait à Le Palais. Là il pourrait essayait de chercher des informations et pourquoi pas retrouver le garçon, Mathieu car sans vraiment savoir pourquoi une force mystérieuse le poussait a vouloir savoir qui il était.

Il redescendit dans le salon, s’assit près du feu, et contempla la photo. Il se dit qu’il devrait chercher dans les albums de ses parents pour voir si l’enfant apparaissait sur d’autres photos. Il commença par l’album de ses deux ans et trouva trois autres photos où il était toujours avec Mathieu. Deux encore à Belle-Île et une chez lui dans le jardin. Mais s’aperçu qu’il y avait pleins de photos qui avaient été enlevées. Surpris, il passa à celui du début de sa vie, là encore la moitié des photos avaient été retirées. De plus en plus étonnait, il allât se coucher car il était déjà tard

Les trois jours suivent passèrent très rapidement tellement il était pressait de partir et pensait à Mathieu et à qui il était. Quand il se réveillât le matin, le ciel était bleu sans aucun nuage, il entendait le pépiement des oiseaux et la vie lui sembla plus belle…

Vite, vite il se dépêcha de s’habiller, de prendre son petit déjeuner, de s’installer dans la voiture et voila enfin il était partit. Durant tout le trajet, il se demanda comment il allait s’y prendre. Il avait hésité à demander clairement à ses parents qui était Mathieu mais s’était arranger pour parler d’un certain copain qui s’appelait Mathieu et qui était formidable, il avait aperçu les yeux pleins de larmes de sa mère et le geste pleins de détresse de son père mais n’avait rien dit. Il y avait donc un secret qui entourait Mathieu. Quoi ? Il était bien décidait à le découvrir. Il décidât que tout d’abords il irait demandait à la vieille Mélanie qui était la mémoire de l’île et qui habitait à Sauzon…

Ca y est ! Ils étaient arrivés à Quiberon et allaient embarqués sur le bateau « Acadie ». Comme il aimait ce moment, il se sentait libre, grand et petit en même tant sur l’immensité de la mer… Déjà, le port s’éloignait et les phares rouge et vert de Le Palais se distinguaient à travers la brume. Il voyait apparaître les falaises et les plages de Belle-Île, il aimait cette terre, elle l’attirait et le fascinait...

Voila, ils étaient arrivés, avaient retrouvé avec plaisir la famille, l’île et la petite maison accrochait à la falaise. Tant il était pressé, Camille se dit qu’il irait dés demain chez Amélie et il se coucha en rêvant de mouettes, de Mathieu, de baignades…

Le lendemain, ne voulant surtout pas mettre ses parents au courant, il prit son vélo, dit qu’il allât se baigné et partit à Sauzon. Il retrouva sans peine la petite maison aux volets bleus, attachât son vélo et entra.
« Bonjour, Amélie nous voila comme tous les ans
- Oh ! bonjour mon petit Camille, entre ça fait plaisir de voir que tu ne m’oublis pas, viens t’asseoir
- Merci
- Attends j’ai fait des gâteaux »
Pendant qu’elle allât chercher les gâteaux, il sortit la photo qu’il avait trouvé dans la malle et la posât bien en évidence sur la table. Quand elle revient et la vit, elle laissât tomber son assiette de gâteaux qui se fracassât par terre mais elle ne parut pas sans apercevoir.
« Où a tu trouvé cela ?
- Dans une malle au grenier
- Tu en as parlé à tes parents, à quelqu'un ?
- Non, tu es la première, qui s’est ?
- Je ne peux pas te le dire, c’est un triste histoire, oublis cette photo !
- Mais…
- Il n’y a pas de mais, tu oublis, tu t’n’vas, tu t’amuses et tu passes de bonnes vacances !
- Bon… au revoir alors
- Au revoir Camille »

Bien embattait car il ne sait plus quoi faire, il rentre à Bordustard. La seule solution qui lui reste, c’est de suivre ses parents pour voir si ils ont des comportements bizarres. Il décide de commençait par sa mère. Les trois premiers jours rien et puis, le matin du quatrième jours, elle prit la voiture seule et allât jusqu’au cimetière. Très étonnait, il la suivit en restant caché. Il la vit s’arrêter sur une des tombes, déposer un bouquet de fleurs et ses lèvres se mirent à bouger, il comprit qu’elle parlée mais il était trop loin pour entendre se qu’elle disait. Deux grosses larmes coulèrent sur ses joues. Elle les essuyât et retourna vers la voiture…

Il s’avança pour lire le nom qui était écrit sur la tombe, poussa un cri et tout vacilla autour de lui. Il avait lut « Mathieu Combessou (1990-1992) »…

Quand il se réveilla, il était dans son lit à Bordustard. Tout sa famille était autour de lui, sa mère en entendant crié était revenu sur ses pas, avait vu son fils et avait compris qu’elle devait tout lui expliqué.
« Comment as-tu su ?
- j’ai trouvé une photo à la maison.... il y a moi est un autre garçon..... Mathieu.....
- C’est ton frère Camille......Ton frère jumeau..... Ton père et moi avions pensé qu’il valait mieux ne rien te dire...Nous avions pensés que cela te ferait trop de pêne.....
- C’est maintenant que je soufre ! Pourquoi ? Comment ?
- Vous aviez à peine un an quand nous avions découvert qu’il était atteint d’une maladie cérébrale..... C’était au mois de novembre.... Nous avons tout fait pour l’aider et le sauver. Nous avons étaient voir les plus grands spécialistes, achetaient les meilleurs médicaments... Mais cela na pas suffit.... Il est mort en décembre de l’année suivante...... Nous avons décidé de l’enterrer ici, lieu que vous adoriez...
A ce moment là, son père qui était sortit revint avec une boite en métal
- Tiens mon fils, c’est pour toi
Il l’ouvrit, elle contenait des photos, des dessins, un hochet et un petit ours bleu, il sourit, il avait le même en vert.....

Voila, même s’il était mort, il avait un frère. Il avait retrouvait la moitié qui lui avait toujours manquée. Le vide qui était en lui s’était comblé... Malgré sa tristesse et sa douleur, il n’était plus seul. Il n’était plus seul.

deux moitiées... Camille et Mathieu 1/1 14/04/2006 à 17:23
" il grimpa les marches qui craquées, ouvrit la porte qui grincée et donnée un son terrifiant et là… " Shocked Fameux problème de temps...

"Ce jour là, il pleuvait, le ciel était sombre, les nuages étaient noirs et l’orage grondait" A modifié, formulation trop lourde...

"Comme un signe le ciel s’illumina et il sut que cette trouvaille allait bouleverser sa petite vie" A modifié

"De plus en plus étonnait, il allât se coucher car il était déjà tard " A modifié

"Les trois jours suivent passèrent très rapidement tellement il était pressait de partir et pensait à Mathieu et à qui il était. Quand il se réveillât le matin, le ciel était bleu sans aucun nuage, il entendait le pépiement des oiseaux et la vie lui sembla plus belle…" A modifié, ne cole pas avec le début du texte... Ne devrait il pas être bouleversé?

"Ca y est ! Ils étaient arrivés ... voila, ils étaient arrivés," A modifié

"baigné et partit à Sauzon. Il retrouva sans peine la petite maison aux volets bleus, attachât son vélo et entra.
« Bonjour, Amélie nous voila comme tous les ans
- Oh ! bonjour mon petit Camille, entre ça fait plaisir de voir que tu ne m’oublis pas, viens t’asseoir
- Merci
- Attends j’ai fait des gâteaux »
Pendant qu’elle allât chercher les gâteaux, il sortit la photo qu’il avait trouvé dans la malle et la posât bien en évidence sur la table. Quand elle revient et la vit, elle laissât tomber son assiette de gâteaux qui se fracassât par terre mais elle ne parut pas sans apercevoir.
« Où a tu trouvé cela ?
- Dans une malle au grenier
- Tu en as parlé à tes parents, à quelqu'un ?
- Non, tu es la première, qui s’est ?
- Je ne peux pas te le dire, c’est un triste histoire, oublis cette photo !
- Mais…
- Il n’y a pas de mais, tu oublis, tu t’n’vas, tu t’amuses et tu passes de bonnes vacances !
- Bon… au revoir alors
- Au revoir Camille » " Ton dialogue est bien bien trop lourd... Tu ne devait pas tant hacher tes phrases...


"Bien embattait car il ne sait plus quoi faire, il rentre à Bordustard. La seule solution qui lui reste, c’est de suivre ses parents pour voir si ils ont des comportements bizarres. Il décide de commençait par sa mère" Problème de temps (Tu sembles oublier que le restant de ton texte est à l'imparfait oO)

"Voila, même s’il était mort, il avait un frère. Il avait retrouvait la moitié qui lui avait toujours manquée. Le vide qui était en lui s’était comblé... Malgré sa tristesse et sa douleur, il n’était plus seul. Il n’était plus seul." Trouves une autre conclusion...

Bien, alors commençons le massacre... Mauvais choix de temps.. L'imparfait est lourd, TRES lourd, pense à utiliser du passé simple... Mauvais choix de vocabulaire également, trop familier, c'est un texte que tu écris, pas un simple message alors pense à utiliser d'autre mots plus... Recherché et élaboré, ça rendrait la lecture de ton texte plus agréable et te permettrais de jouer sur les sonorités et d'éviter les répétitions intempestives...

Ton texte est plat... Il n'accroche pas le moins du monde... On le lit et on passe à travers sans une écorchure, sans qu'il ai retenu notre attention sans qu'il nous ai touché en fin de compte. Pense à jouer avec les mots et les sens, ça le rendrait plus distrayant.

Pourquoi tires-tu ton texte en longueur? Racourcis le, mais intensifie le ça le rendra plus attractif...

N'oublie aps ma remarque sur les dialogues, ils ne sont pas le fil conducteur de ton texte et pourtant ils occupent une place énorme... Sans oublier qu'ils sont... particulier oO... N'ai pas peur d'alonger les phrases dites par tes personnages pour, au final, diminuer l'espace que ton dialogue prendra...

Sur ce, bonne continuation et ne t'arrête pas d'écrire pour autant, ma critique peut t'aider à t'améliorer si tu y fait attention...
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