français

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18 ans ou plus

Espana75 français 3 21/03/07 à 13:59

bonjour

fo absolument que j'ai la oyenne au dernier trimestre de 3e sinon c possible que je double donc silvouplait aider moi pour ce sujet j'y arrive pas merci

voici le texte

du reste, la situation allait empirer encore. En septembre, l'architecte, craignant de ne pas être prêt, se décida à faire travailler la nuit. de puissantes lampes électriques furent établies, et le breanle ne cassa plus: des équipes se succédaient, les marteaux n'arrêtaient oas, les machines sifflaient continuellement, la clameur toujours aussi haute semblait soulever et semer le plâtre.alors,les baudu,exaspérés, durent même renoncer à fermer les yeux; ils étaient secoués dans leur alcôve, les bruits se changeaient en cauchemars, dès que la fatigue les engourdissait.puis, s'ils se levaient pieds nus, pour calmer leur fièvre et s'ils venaient soulever un rideau, ils restaient effrayés devant la vision du bonheur des dames flambant au fond des ténèbres, comme une forge colossale, ou se forgeait leur ruine.Au milieu des murs, à moitié construits,troués de baies vides,les lampes éléctriques jetaient de larges rayons bleus, d'une itensité aveuglante.deux heures du matin sonnaient,puis trois heures, puis 4 heure.Et dans le sommeil pénible du quartier, le chantier agrandi par cette clarté lunaire,devenu colossal et fantastique, grouillait d'ombres noires, d'ouvriers retentissants,dont les profils gesticulaint, sur la blancheur crue des murailles neuves.
L'oncle baudi l'avait dit, le petit ommerce des rues voisines recevait encore un coup terrible.chaque fois que le bonheur des dames créait des rayons nouveaux, c'étaient de nouveaux écroulements, chez les boutiquers des alentours.Le desastre s'élargissait,on entendait craquer les plus vielles maisons.Mlle tatin , la l'ingère du passage choiseul, venait d'être déclarée en faillite; Quinette, le gantier, en avait à peine pour six mois;les fourreurs Vanpouille étaient obligés de sous-louer une partie de leurs magasins; si Bédoré et soeur, les bonnetiers,tenaient toujours; rue gaillon, il mangeaient évidemment les rentes amassés jadis.Et voila que,maintenant d'autres ruines allaient s'ajouter à ces ruines prévues depuis longtemps: le rayon d'articles de paris menaçait un bimbelotier de la rue Saint-Roch,Deslignières, un gros hommes sanguins; tandis que le rayon des meubles atteignait les Piots et Rivoire, dont les magasins dormaient dans l'ombre du passage Sainte-anne.On craiganait même l'apoplexie pour le bimboelotier, car il ne dérageait pas, en voyant le bonheur afficher les portes-monnaiesà trente pour 100 de rabais. les marchands de meubles, plus calmes, affectaient de plansenter ces calicots qui se mêlaient de vendre des tables et des armoires; mais des cleintes, les quittaient déjà, le succès du rayon s'annonçait formidable .C4était fini, il fallait plier l'échine: apres ceux-la, d'autres encore seraient balayés, et il n'y avait plus de raison pour que tous les commerces ne fussent tout à tout chassés de leurs comptoirs.le Bonheur seul, un jour, couvrirait le quarier de sa toiture.

1/ situez l'extrait du roman.quels types de travaux ont lieu? dans quel but?
2/dans le 1er paragraphe, pourquoi le chantier semble-t-il fantastique?
3/dans le même paragraphe, quels sont les deux points de vue narratifs? justifiez votre réponse
4/dans l'ensemble du texte, répérez 3 procédés de style(différents) qui relèvent du registre épique
5/quels commerces du quartier sont petit à petit ruinés par le bonheur des dames? pourqoi? qu'est-ce qu'un binmbelotier?
6/réecriture: réecrivez le passage de "alors les baudu....(l.4)" à "se forgeait leur ruines...(l.Cool" , en remplçant "les baudu" par "baudu"

merci beaucoup de m'aider

français 1/3 21/03/2007 à 14:05
EHHH réfléchis un peu, on va pas te faire ton devoir non plus
C'est fou, les gens sur SE, ils veulent qu'on leur fasse tout leur truc Oo
français 2/3 21/03/2007 à 14:06
feignasse ! fait ton truc to meme !
français 3/3 21/03/2007 à 14:25
Du reste, la situation allait empirer encore. En septembre, l'architecte, craignant de ne pas être prêt, se décida à faire travailler la nuit. De puissantes lampes électriques furent établies, et le branle ne cassa plus : des équipes se succédaient, les marteaux n'arrêtaient pas, les machines sifflaient continuellement, la clameur toujours aussi haute semblait soulever et semer le plâtre.Alors,les baudu,exaspérés, durent même renoncer à fermer les yeux; ils étaient secoués dans leur alcôve, les bruits se changeaient en cauchemars, dès que la fatigue les engourdissait.Puis, s'ils se levaient pieds nus, pour calmer leur fièvre et s'ils venaient soulever un rideau, ils restaient effrayés devant la vision du bonheur des dames flambant au fond des ténèbres, comme une forge colossale, où se forgeait leur ruine.Au milieu des murs, à moitié construits,troués de baies vides,les lampes éléctriques jetaient de larges rayons bleus, d'une itensité aveuglante.Deux heures du matin sonnaient,puis trois heures, puis 4 heure.Et dans le sommeil pénible du quartier, le chantier agrandi par cette clarté lunaire,devenu colossal et fantastique, grouillait d'ombres noires, d'ouvriers retentissants,dont les profils gesticulaint, sur la blancheur crue des murailles neuves.
L'oncle baudi l'avait dit, le petit commerce des rues voisines recevait encore un coup terrible.Chaque fois que le bonheur des dames créait des rayons nouveaux, c'étaient de nouveaux écroulements, chez les boutiques des alentours.Le désastre s'élargissait,on entendait craquer les plus vielles maisons.Mlle Tatin , la lingère du passage Choiseul, venait d'être déclarée en faillite; Quinette, le gantier, en avait à peine pour six mois;les fourreurs Vanpouille étaient obligés de sous-louer une partie de leurs magasins; si Bédoré et soeur, les bonnetiers,tenaient toujours; rue gaillon, il mangeaient évidemment les rentes amassés jadis.Et voila que,maintenant d'autres ruines allaient s'ajouter à ces ruines prévues depuis longtemps : le rayon d'articles de paris menaçait un bimbelotier de la rue Saint-Roch,Deslignières, un gros hommes sanguins; tandis que le rayon des meubles atteignait les Piots et Rivoire, dont les magasins dormaient dans l'ombre du passage Sainte-anne.On craignait même l'apoplexie pour le bibelotier, car il ne dérangeait pas, en voyant le bonheur afficher les portes-monnaies à trente pour 100 de rabais. Les marchands de meubles, plus calmes, affectaient de plansenter ces calicots qui se mêlaient de vendre des tables et des armoires; mais des cleintes, les quittaient déjà, le succès du rayon s'annonçait formidable .C'était fini, il fallait plier l'échine: apres ceux-là, d'autres encore seraient balayés, et il n'y avait plus de raison pour que tous les commerces ne fussent tout à tout chassés de leurs comptoirs.Le Bonheur seul, un jour, couvrirait le quartier de sa toiture.

1/ Situez l'extrait du roman.quels types de travaux ont lieu?Des travaux de démolition
Dans quel but?Dans le but de tout rénover
2/ Dans le 1er paragraphe, pourquoi le chantier semble-t-il fantastique?Parce qu'il est immense
3/ Dans le même paragraphe, quels sont les deux points de vue narratifs? Le point de vue omniscient et le point de vue extérieur
4/ Dans l'ensemble du texte, répérez 3 procédés de style(différents) qui relèvent du registre épique
5/ Quels commerces du quartier sont petit à petit ruinés par le bonheur des dames? La lingerie,la ganterie,la fourrurerie,la bonneterie,la bibeloterie,les marchands de meubles.Pourquoi?Le chantier les ruine.Qu'est-ce qu'un bibelotier?C'est un vendeur de bibelots
6/ Réecriture : réecrivez le passage de "alors les baudu....(l.4)" à "se forgeait leur ruines...(l." , en remplçant "les baudu" par "baudu"
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