Début d'un roman... A continuer?

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I hope   Début d'un roman... A continuer? 35 06/07/08 à 15:16

Bon, je vous explique; j'ai commencé à écrire un roman (5 chapitres). Je mets le premier chapitre ici, si ça vous intéresse, faites-le savoir, si vous avez des critiques, c'est bon à prendre. J'accepte les "c'est de la merde", etc. Après tout, si je dis que j'accepte uniquement les critiques constructives, personne ne dira rien. Donc si vous voulez connaître la suite, il y a toujours les MP...
Je crois que j'ai tout dit... commençons.

Le soir tombait, lorsqu'Eric, essayant de fermer l'oeil, vit à terre une vieille photo de classe. La maternelle. Il se souvenait de ce temps-là. Bien que cette époque fût lointaine, elle restait douloureuse, comme si elle avait marqué son âme au fer blanc. Il n'avait pas d'ami, à cette époque-là. Il était comme tous les autres enfants, pensaient les instituteurs. Il était juste un peu différent. Un peu spécial. Au lieu de courir après un ballon, il écoutait les "grandes personnes" parler entre elles. Il enrichissait son vocabulaire, mais le manque de jeux, de contacts avec les autres enfants se ressentait encore dans sa carrure et dans ses quelques difficultés à s'exprimer.

Il se rappelait d'une certaine Lola. Il se rappelait encore de son prénom, mais impossible de savoir pourquoi. Il croyait qu'il en était tombé amoureux, ou quelque chose comme ça. Peut-être même que cette Lola n'avait jamais existé, peut-être qu'elle n'était que le fruit de son imagination. Cependant, il n'en avait sûrement pas parlé à sa mère, puisque dix ans après, quand il lui posait des questions sur cette fille, elle lui répondait par l'interrogative. Il ne saurait peut-être jamais ce qui liait cette fille à sa mémoire.

Car lui ne pouvait pas être lié à qui que ce soit. Il se répugnait, et se voyait comme inférieur, ou égal dans le meilleur des cas, à tout ceux qui l'entourait. Ce qui cultivait chez lui une haine profonde envers ses semblables, ainsi qu'un certain altruisme. Maintenant qu'il y pensait, il se disait que l'enfance d'un homme détermine son être profond. S'il avait changé, c'était pour s'adapter. S'il était timide auparavant, il avait cultivé une espèce de sympathie artificielle qui le répugnait au plus haut point, puisqu'il lui fallait faire quelques sacrifices sur l'autel de sa sociabilité, tels que le respect envers certaines personnes, y compris lui-même. Il devait se surévaluer contre son gré, et ce quotidiennement. En son for intérieur, il pensait être un déchet. Mais il voulait montrer un homme, un vrai, avec un véritable amour propre. Pour sauver les apparences. Il se trouvait laid, hideux, sa seule vue dans un miroir le troublait au point de haïr son reflet, en oubliant qu'au final ce n'était que lui. Mais il se persuadait du contraire. Il était beau. Il avait du charme. Il avait de l'humour... de l'humour... Il s'aimait.
Il avait envie de vomir.

Il tomba sur un poème qu'il avait écrit. Il y eut un temps où c'était la mode, chez les adolescents. Révéler son talent littéraire. Il avait puisé dans le lyrique à la limite du morbide. Ca plaisait aux filles. La belle affaire. Ca n'a jamais rien changé. Il restait désespérément seul. Il ne détestait pas ces moments de solitude. Il avait le temps. Il vivait à son rythme, tout en s'accordant des moments de détente. Il essayait de développer la fibre artistique. Il s'avéra que ses créations lui semblaient bien fades, et qu'il préférait de loin ne rien faire, et penser. Seul. Lui et lui seul, face à son égo qui lui semblait magré tout surdimensionné. Où qu'il fût, il avait toujours l'impression de gêner. Il dérangeait, mais il n'avait jamais l'impression de pouvoir compenser la gêne occasionnée. Il s'excusait mille fois, il s'applatissait, se courbait pour chaque erreur commise. Un vestige de perfectionnisme acharné, qu'il avait inconsciemment conservé depuis l'époque de la photo qui reposait sur son lit.

Il retrouva aussi une toile, sur un mur. Il ne l'avait pas perdue, seulement oubliée, abandonnée là, exposée à la fureur des ans. Une marine qu'il avait peinte. Il était fier de cette dernière. Même si la qualité des traits était médiocre, il se plaisait à la regarder. Une chose qu'il avait créée de ses mains. Un talent, aussi médiocre fût-il, qui était visible tout le temps, à la portée de tous, d'un seul regard. Cette toile représentait une époque où il était inspiré. Il avait des rêves. Il n'avait plus le temps. Ou il disait ne plus l'avoir. Une excuse de plus pour être inactif, sûrement. Quand il voulait se consacrer à une tâche, une autre venait effacer celle-ci de son esprit.

Tant pis. Il se disait que ce n'était que partie remise. Mais désormais, il n'avait plus le temps. Ou alors en avait-il trop... Beaucoup trop.

Il se surprenait à reprendre les vieilles habitudes qu'il avait adoptées à treize ou quatorze ans, telles que penser au lendemain avant de s'endormir, réfléchir sur la condition de l'homme, son avenir... Il philosophait, se disait que le monde allait mal, fantasmait en rêvant d'un monde meilleur, moins pollueur, plus partageur. S'il haïssait l'être humain, il était attaché à toutes les formes de vie. Sa maladie y était probablement pour quelque chose. En se remémorant les habitudes passées, il espérait peut-être rajeunir, ou remonter le temps, afin de se reconstituer une autre vie. Une meilleure vie.

Il savait qu'il n'était pas le plus à plaindre, la preuve en était qu'il regardait en arrière. Son passé n'était pas si dur que ça. Ses parents n'étaient ni divorcés, ni morts dans d'atroces souffrances, il n'avait jamais été battu, n'avait jamais eu faim. Mais derrière cette réalité matérielle se cachait un fléau. La paranoïa le guettait. De son enfance à cet instant, il n'avait jamais eu le sentiment d'être aimé. Ses parents l'avaient aimé, mais ce n'était pas la même chose. Sa haine cachait et remplaçait peu à peu son besoin d'aimer et d'être aimé.

D'autre part, il avait l'impression que l'on parlait de lui tout le temps, et qu'une fois qu'il avait tourné le dos, les moqueries fusaient. Les sourires et les rires amicaux lui semblaient antipathiques car provoqués par un humour qu'il ne considérait pas comme sien. Bien sûr, il avait pensé ces idioties pour faire rire, mais cet humour n'était pas naturel chez lui. Il faisait ça pour s'intégrer, malgré le fait qu'il pensait que les rires n'allaient pas toujours être sympathiques. Il sentait que ça allait se retourner contre lui. Ce jour là serait le plus douloureux de son existence.Le doute planait en lui, menaçant de le ronger de l'intérieur, avant même que les remarques acides de ses congénères ne l'anéantissent. L'un ou l'autre allait le détruire. C'était inéluctable.

Son humour n'était pas naturel, il s'était changé en machine à plaire, consensuel jusqu'à la moelle, jusqu'au point d'être rebelle... Intérieurement, il haïssait cette société prônant la révolte à outrance. Il plaisantait dessus. Cette fois-ci, cela ne faisait rire que lui. Qu'à cela ne tienne.

[Fin du chapitre]

Début d'un roman... A continuer? 1/35 06/07/2008 à 15:28
Récit sur la vie d'un misanthrope paranoïaque ? (Si j'ai bien compris. J'ai du mal en ce moment, à comprendre les idées des gens.)
Pas mal. Ça m'dirait bien de lire la suite. Smile.
Suave   
Début d'un roman... A continuer? 2/35 06/07/2008 à 15:40
Pas mal du tout.

La lecture est agréable du fait que tu écris très bien et l'histoire est intéressante.

J'ai simplement relevé quelques fautes :

-"carure" : carrure
-"Il se rappelait d'une certaine Lola. Il se rappelait encore de son prénom, mais impossible de se rappeler pourquoi." : Un peu maladroit. Je dirais plutôt de savoir pourquoi / d'en connaitre la cause.
-"à tout ce qui l'entourait" : Tu ne voulais pas plutôt dire "ceux"?
-"à tout ce qui l'entourait. Ce qui cultivait chez lui une haine profonde envers ses semblables, ainsi qu'un certain altruisme." Je mettrais une virgule entre ces deux propositions.
-"Il ne l'avait pas perdue", "oubliée", "abandonnée là", "exposée" : perdu, oublié, abandonné, exposé.

Voilà, sinon, j'aime. A continuer =].
Début d'un roman... A continuer? 3/35 06/07/2008 à 15:42
sa va, sa donne envie de suivre...

14/20 Yeux qui tournent
Début d'un roman... A continuer? 4/35 06/07/2008 à 15:43
Suave > merci beaucoup. Pour carrure, je sais pas ce qui m'a pris^^
Pour les fautes de syntaxe, je m'étais pas appliqué plus que ça... je vais éditer et voir ce que je peux faire pour que ça passe mieux... D'autant plus que tout ce que tu dis est parfaitement justifié, et que si je le publie ici, c'est pour avoir quelques avis, et pour le perfectionner. Et merci des compliments. Je suis conscient de pas être parfait au niveau écriture, mais j'me soigne Rire
D'autre part, je ne me suis pas relu. Donc, difficile^^

(perdue, oubliée [...]: la toile Smile )
Début d'un roman... A continuer? 5/35 06/07/2008 à 16:23
Bah oui, c'est bien, c'est bien écris, il y a des choses interressantes !
Sa me dirais bien de lire la suite, en tout cas !

Piwakati Twisted Evil
Début d'un roman... A continuer? 6/35 06/07/2008 à 16:24
bien écrit oui, mais ça ne m'emballe pas plus que ça, la suite peut-être, à voir...
Début d'un roman... A continuer? 7/35 06/07/2008 à 18:40
TheSongWriter a écrit :
bien écrit oui, mais ça ne m'emballe pas plus que ça, la suite peut-être, à voir...



Du même avis.
Début d'un roman... A continuer? 8/35 07/07/2008 à 19:59
Bon, comme on veut en juger par la suite, la voici...
Ce matin-là, il s'était levé avec difficulté vers six heures et demie. En retard. Il se doucha, face au miroir. Ça lui était difficile de se regarder dans les yeux. Il avait envie de tourner le dos à son image, à long terme de décrocher le miroir. Par superstition, sans doute, ou peut-être simplement par prudence ou par souci d'économie, il n'avait jamais brisé de miroir, même si son reflet ne semblait attendre que ça. Ce jour-là, il avait supporté son double, se demandant tout de même si ce n'était pas dû à son état de profonde fatigue. Sorti de la douche, il se passa un gant d'eau froide sur la figure. Ce geste eut l'effet d'un coup de fouet. C'était mardi. Le jour le plus difficile de la semaine était passé. Il se regarda une fois de plus dans le miroir. Il était éveillé, à présent. Il se rendit compte du goût affreux du réveil qui avait envahi sa bouche et qui ne le quittait pas, même après avoir rincé sa bouche une demi-douzaine de fois. Il lui fallait manger. Il s'installa à table, et réfléchit. De quoi avait-il envie? Après tout, c'était peut-être son dernier repas. Il mangea un peu de fromage sur du pain, avec un verre de jus d'ananas. Il ne se brossa pas les dents. Il n'en avait que faire, de toutes façons il puerait le mort dans un an, irrémédiablement. Les autres, leur regard, leurs regards, il s'en contrefichait à présent. Comme il passait pour une sorte de bouffon,un peu plus ou un peu moins de notoriété lui importait peu. Il sortit, puis rentra. Il partit se laver les dents. Il se retint de cracher sur la glace. Il était devenu un esprit faible, dépendant du regard des gens. Malgré lui, sa vie sociale et associative avait pris une place importante, quoi qu'il pense de l'être humain. Il avait en lui à la fois cette haine profonde envers l'Homme, mais aussi un altruisme inexplicable, un amour propre plus bas que terre, et une pensée lui venait souvent à l'esprit: il était un paradoxe humain. Il se souciait de ce que disaient les autres à son propos, tout en les haïssant; et, c'était plus fort que lui, en les aimant. Il les haïssait en tant qu'humains, mais les aimait en tant que personnes. Il ne savait pas s'apitoyer sur le sort des victimes de catastrophes naturelles, mais était le premier à aider un ami, pour le peu qu'il en avait, tout en sachant qu'il ne lui rendrait jamais la pareille.
En effet, depuis sa maladie, il avait perdu son humour, il avait mauvaise mine, le teint pâle ou jaunâtre, il était rejeté par beaucoup de ses prétendus amis à cause de sa tristesse. Il était triste, donc il n'avait plus aucune utilité au sein de la communauté: il était accepté grâce à son humour, s'il arrêtait de débiter des idioties et commençait à devenir pessimiste, il ne servait plus à rien. Trente ans, célibataire, une durée de vie de quatre mois maximum. On était fin août, avec un peu de chance il passerait Noël en famille avant de passer l'arme à gauche. Dans tous les cas, son espérance de vie diminuait en même temps que la durée des journées. Comme si un compte à rebours lui rappelait chaque jour que l'échéance approchait. Au fur et à mesure du raccourcissement des jours, il verrait son pessimisme augmenter de façon exponentielle. Même s'il haïssait l'être humain, il aimait la vie. Il n'avait pas eu le temps de vivre. Il avait eu droit à la moitié, voire le tiers du temps qu'on avait accordé aux autres hommes pour vivre. Il avait moins bien vécu. La plupart des personnes de son âge étaient en couple, ou avaient même un ou plusieurs enfants, mais lui n'avait jamais rien connu de toutes ces joies. Il n'aurait personne pour le regretter. Il était trop tard pour chercher. Il se consacrait à ses arts. La littérature, la peinture, la musique - les trois domaines ayant été à la mode chez les adolescents voulant s'affirmer artistiquement, ou même socialement. Ainsi, il mourrait dans son imaginaire, qui serait plus beau que n'importe laquelle des réalités qu'il avait vécues. Tout était possible, là-bas, nulle part. Et à ce moment, il pensait à une chose qui lui paraissait d'une absurdité frappante: une vie heureuse. Il peignait ses rêves, ainsi tout le monde le croyait optimiste, alors qu'il avait depuis longtemps renoncé à une vie si belle, et il sentait qu'il n'allait pas tarder à éprouver le même sentiment à l'égard de sa vie, tout simplement. Chaque matin, son visage transfiguré paraissait de plus en plus mort. Non pas sa maladie, son abandon. La nécrose de son pessimisme envahissait son faciès de façon de plus en plus prononcée, à commencer par ses yeux qui reflétaient toute la morbidité de ses pensées. Il pensait le soir, peignait l'après-midi, pleurait souvent. Il comblait ses temps libres avec la musique. Il écoutait souvent de la musique, car il s'allongeait fréquemment sur son lit, en allumant la radio. Il se posait les mauvaises questions: « pourquoi moi? », au lieu d'essayer de se sortir de son cocon de tristesse. Son état de santé mentale se dégradait progressivement.
Un jour, il reçut la visite d'une femme d'une trentaine d'année, cheveux châtains, yeux verts et regard intelligent, différent des yeux sans expression dont la plupart des femmes étaient dotées. Elle est jolie, pensa-t-il. Mais il ne pouvait pas se permettre de séduire cette femme qui lui demandait à présent s'il était intéressé par une nouvelle cafetière. Son espérance de vie et son physique miteux ne le lui permettraient pas. La femme eut un mouvement de recul quand Éric la regarda dans les yeux. Un regard interrogateur, puis compatissant. Éric lui dit qu'il n'avait pas l'intention d'acheter un quelconque appareil. Elle lui demanda ce qui n'allait pas. Il la remercia de sa sollicitude, et fit un pas vers la porte et amorça un geste pour l'ouvrir. La femme fit quelques pas vers la porte, puis sortit un morceau de papier de sa poche. Elle écrivit une série de chiffres dessus, puis le donna à Éric.
« Si vous vous sentez seul un jour, vous pouvez m'appeler.
- C'est de la pitié que je lis dans vos yeux... » Pas de réponse.
« "Est-ce que j'ai vraiment l'air d'une épave? » Elle hésita une fraction de seconde, puis répondit:
« Non, vous avez l'air d'un homme malade, seul pour affronter ça. Après, c'est possible que je me trompe. Je peux m'en aller tout de suite et vous n'entendrez plus jamais parler de moi... Mais toujours est-il que je ne vois pas d'alliance à votre doigt, j'en conclus donc que vous n'avez personne à qui confier vos états d'âme. » Éric eut une drôle d'impression, un assez mauvais pressentiment. Il avait une poussée de colère qui montait comme une bille le long de sa gorge.
« J'aime la solitude, dit-il d'un ton sec. Elle ne vous trahit pas. Pas besoin de compagnie
- La solitude trahit tout le monde un jour ou l'autre. Ce n'est qu'une question de temps. »
Éric explosa. Cette dernière phrase le mit hors de lui. La bouche sèche et les larmes aux yeux, il cria: "Le temps, c'est bien ça qui me manque! Ne m'en faites pas perdre d'avantage! Sortez de chez moi!" Elle s'empressa de sortir, après quoi Éric claqua la porte. Il se mit à pleurer. Un sentiment mêlant rage, désespoir et impuissance noua sa gorge alors qu'il sanglotait, assis, recroquevillé dos à la porte. Il prit le papier chiffonné et lit les lettres rondes.
"Éva"
Ce nom était suivi du numéro de la femme qui avait provoqué les larmes qui coulaient sur ses joues. Pleurer lui faisait du bien. Cela faisait quatre mois qu'il en avait besoin. Quatre mois passés seul dans son appartement, à sortir uniquement pour faire les courses et pour payer son loyer. Il n'avait pas prévenu sa famille afin d'éviter qu'ils se morfondent, qu'ils ne se fassent du souci pour lui. Il voulait partir sans que son entourage ne s'en aperçoive. Il le dirait quelques jours avant l'échéance. Il le saurait quand son heure serait venue. Il souffrirait beaucoup plus durant ses derniers jours que ces derniers jours. Là, il préviendrait sa famille pour la voir une dernière fois avant son dernier soupir. En attendant, il pleurait, en pensant à la vie qu'il n'avait pas vécue, à sa vie qu'il avait passée à être malheureux au lieu de profiter de chaque instant qu'il vivait. Le soir même, il se coucha, tourmenté par ses regrets, par les paroles de la femme, par la pensée qu'il perdait du temps à dormir, un temps qu'il considérait désormais comme plus précieux que de l'or.
Début d'un roman... A continuer? 9/35 07/07/2008 à 20:05
hum... je réitère bien écrit, on s'intéresse déjà plus à l'histoire maintenant qu'il y a l'intrigue.
Début d'un roman... A continuer? 10/35 07/07/2008 à 20:10
C'est déjà plus encourageant ^^
Début d'un roman... A continuer? 11/35 07/07/2008 à 20:19
j'aime bien ton style d'écriture!! on a envie de lire la suite!! elle arrive quand?? Question
Début d'un roman... A continuer? 12/35 07/07/2008 à 20:27
Pour la suite, maintenant, il faut me contacter par MP, je vais essayer de continuer ça pour, qui sait, peut-être trouver un éditeur... On peut rêver Rolling Eyes
Début d'un roman... A continuer? 13/35 07/07/2008 à 20:48
Pourquoi par mp?Tu veux avoir plus de messages dans ta messagerie ou quoi?xD
Et bien oui,faut bien etre optimiste si tu veux trouver un éditeur^^

Mais bon,je trouve ton début dhistoire vraiment captivant ; de toute facon,ca dépend des gens mais moi je l'adore^^
Début d'un roman... A continuer? 14/35 07/07/2008 à 21:03
Les MP, c'est pour ne pas avoir à TOUT publier ici
Sinon, si je veux trouver un éditeur, ce serait stupide de tout vous montrer, sinon qui c'est qui achèterait? ^^
Début d'un roman... A continuer? 15/35 07/07/2008 à 21:14
Moi?Juste pour relire...

Bon,ok,jtenvoie un mp pour ne plus pourrire ton topic xD
Début d'un roman... A continuer? 16/35 07/07/2008 à 21:23
Y a rien à pourrir, y a pas d'mal^^
Sans ça, je doute fort que beaucoup de monde paierait pour lire quelque chose disponible gratuitement... Smile
Début d'un roman... A continuer? 17/35 07/07/2008 à 21:27
Mouais,hein,cest logique Sifflote
Mais bon,tu pourrais te faire de la publicité avec ces deux premiers chapitres^^
Début d'un roman... A continuer? 18/35 09/07/2008 à 22:28
JaimeAimer a écrit :
Mouais,hein,cest logique Mais bon,tu pourrais te faire de la publicité avec ces deux premiers chapitres^^

C'est un peu ce que j'ai voulu faire ^^
Toujours s'il y a des amateurs, le MP est disponible
Début d'un roman... A continuer? 19/35 10/07/2008 à 10:17
TheSongWriter a écrit :
bien écrit oui, mais ça ne m'emballe pas plus que ça, la suite peut-être, à voir...

Ben oui, c'est comme tout, 'faut une intro.
Début d'un roman... A continuer? 20/35 10/07/2008 à 12:06
C'est pas mal, ça a du style, bien que ce soit une tantinet pessimiste. J'attends avec impatience la suite ! Mr. Green Smile Jap
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