Ecrire son propre roman

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

MELINA01710 Ecrire son propre roman 17 25/02/14 à 20:49

Bonjour, alors voilà, je suppose qu'ici il y a des personnes passionnées d'écriture comme moi. Vous pouvez donc poster ici le résumé de l'histoire que vous écrivez au fil des jours. Vous pouvez la faire partager avec d'autre sur ce topic Smile

Ecrire son propre roman 1/17 25/02/2014 à 21:57
Ah tiens, quelle bonne idée ce topic Smile
Allez, d'ordinaire secrète avec mon histoire, je me lance, si ça peut en encourager certains Smile J'ai commencé à écrire Ce que leur vengeance n'a pas pu me prendre lorsque j'avais 14 ans (c'est dire si ça date !) et cela fait donc un peu plus de trois ans que je bosse sur ce projet qui est mon cinquième roman. J'espère l'avoir fini cet été, avant la rentrée de septembre, pour recommencer un nouveau projet d'écriture Smile Voici le résumé de cette histoire qui me tient très très à coeur :

Comment continuer à vivre quand, à peine sorti du monde de l'enfance, on a déjà perdu tous ses repères ? Alors qu'il n'avait que douze ans, les parents de Jérémie ont tous les deux disparu sans laisser de trace. Cet évènement dramatique a engendré une série de catastrophes qui ont rapidement transformé la vie du jeune garçon en un véritable cauchemar...
A l'approche de ses seize ans, Jérémie subit toujours les conséquences de cette tragédie, et ce depuis maintenant trois ans. Trois longues années durant lesquelles la disparition de ses parents n'a jamais été éclaircie, ce que l'adolescent à fleur de peau finit par ne plus pouvoir supporter... Un beau jour, une découverte troublante le pousse à reprendre la dernière enquête de son père, journaliste d'investigation, persuadé qu'il s'agit de la clé du mystère. Il se lance alors en quête d'une vérité qui lui est devenue indispensable. C'est alors qu'il fait une rencontre aussi inattendue qu'inespérée. Si cette rencontre l'aide à reprendre goût à la vie et lui donne le courage de se battre, les choses se révèlent beaucoup plus compliquées qu'il n'y parait...
Se donnant corps et âme dans ses recherches, Jérémie se retrouve aveuglément instrumentalisé au beau milieu d'une machination sordide à laquelle un jeune adolescent idéaliste ne peut échapper seul, d'autant que le danger qu'il court est beaucoup plus proche de lui qu'il ne le pense...
Ecrire son propre roman 2/17 26/02/2014 à 16:06
Merci c'est gentil Smile

Ton histoire m’intéresse réellement ! Si j'ai bien compris tu n'en ai pas à ton ton premier, est-ce que tu penses les faire éditer un jour ?

En tout cas l'histoire de Jérémie à l'air pleine de problèmes, j'aime bien Smile
Anonyme_716218 
Ecrire son propre roman 3/17 26/02/2014 à 16:30
Voici le prologue de ce que je suis en train d'écrire. (Bien qu'inspiré de différentes personnes de mon entourage, il s'agit d'une fiction) Smile

Quand je me réveillais, ces matins-là, j’avais le corps tout engourdi. J’avais des fourmis, disait-on. Elles bougeaient énergiquement et sans relâche, sous ma peau, de la tête aux pieds. Ma chambre n’était pas totalement obscure. Un léger faisceau lumineux perçait d’entre les volets et se posait sur les draps froissés de mon lit. Je me relevai, m’asseyait au bord du lit et enfilait mon short et mon maillot de la veille. Je n’ai jamais aimé le moment du réveil. Le fait de se lever ne me dérangeait en aucun cas mais c’est la sensation que j’ai quand je sors du sommeil qui me dérange. Cette impression est tout bonnement indescriptible. Mais, croyez-moi ou non, elle est désagréable. Ensuite, je sortais de ma chambre, je descendais dans la cuisine pour manger quelque chose, n’importe quoi, ce qui me passait sous la main, et j’allais me laver. C’était une routine si profondément installée chez moi que l’on aurait dit une sorte de rituel. Rien n’a jamais changé. Si quelque chose altérait ce train-train matinal, cela me rendait nerveux et de mauvais poil. Il fallait que tout se déroule comme prévu.
Après ceci, je regardais souvent la télévision. Je naviguais avec rapidité entre les chaines pour avoir des nouvelles du monde, pour savoir les résultats des matchs de la veille ou encore pour être informé que deux adorables chatons ont réussi à bloquer plusieurs stations de métro dans le quartier de Brooklyn en se réfugiant sous les rails. Je ne restais jamais bien longtemps devant le poste. Je trouvais que l’on voyait tout le temps la même chose car je me suis dit que les productions se basaient sur les audiences pour diffuser les programmes.
Je réservais la quasi-totalité de mon après-midi à mes passe-temps. Pendant une petite heure je m’installais au piano pour interpréter quelques morceaux de Louis Armstrong, Queen, et autre Erik Satie. Cela me procurait un bien fou et me rendait pleinement heureux. Durant le temps qu’il me restait, je faisais du sport. L’année passée j’avais découvert le basketball et en était devenu absolument passionné. Ainsi je me mettais en tenue de sport, prenait mon sac, mon ballon et j’allais jouer pendant au moins deux heures à chaque fois. Je me rendais au stade municipal seul. Je ne voulais pas perdre mon temps à chercher un autre joueur. Si quelqu’un était déjà là, tant mieux, sinon, tant pis. Je tentais de m’améliorer et je restais sur le terrain jusqu’à ce que la fatigue me prenne. Peu importe si des douleurs aux cuisses, aux genoux, ou bien aux chevilles se faisaient ressentir. Ces moments de l’après-midi étaient les seuls que j’appréciais dans une journée estivale comme celle-ci.

C’est ainsi qu’au début de l’été, mes parents nous annoncèrent, à mon frère, ma sœur et moi, qu’ils allaient se séparer. A vrai dire nous nous y attendions un petit peu. L’ambiance électrique des derniers mois et l’accumulation de problèmes divers et variés constituèrent des indices non négligeables.
Peu de temps après, je m’envolais pour les Etats-Unis. J’avais planifié de passer trois semaines à Philadelphie dans le cadre d’un stage linguistique. Je suis parti seul sans amis ni famille pour m’accompagner. Le fait de partir en ne connaissant personne ne me dérangeait pas le moins du monde. Cependant, je n’étais pas non plus totalement seul. On m’avait envoyé dans une famille de la banlieue ouest de Philadelphie. Des gens chaleureux et accueillant comme on en voit rarement. C’est l’école où j’ai étudié l’anglais pendant 3 semaines qui m’a trouvé un hébergement. Et c’est dans cette même école que j’ai pu faire la connaissance de gens merveilleux venant des quatre coins du monde. J’ai rencontré en particulier une jeune chinoise d’une vingtaine d’année avec qui je passais le plus clair de mon temps libre. Ce fut pour moi une véritable amie. Malheureusement, nous n’avons pu rester en contact après mon départ. Mais j’ai aussi fait la rencontre marquante d’un militaire coréen. En effet, j’avais pu remarquer que cet homme profitait pleinement de tout ce qu’il pouvait faire, voir ou même manger. Je n’avais jamais vu quelqu’un d’aussi joyeux et enthousiaste. Ainsi, en amorçant habilement le sujet d’une certaine manière, j’en suis venu à lui demander d’où lui venait cette gaieté qui lui était si particulière. « Je suis persuadé que, quand je rentrerai chez moi, je partirai faire la guerre. Et au moment de mourir, je ne voudrai avoir aucun regrets ». Ce fut sa réponse. Le plus étonnant dans tout cela est la manière si normale et si banale qu’il avait de prononcer ces mots. Sur le coup je restais sans voix. Je ne savais pas quoi répondre mais inconsciemment je me suis dit qu’il fallait que je me comporte de cette façon. Non pas de m’attendre à partir en guerre pour mourir mais d’adopter cette philosophie de vie qui consiste en quelque sorte à se satisfaire de ce qu’il peut nous arriver.
Mon séjour se déroulait de façon plutôt linéaire mais pas répétitive pour autant. Le matin, je devais me rendre à l’école, pour cela je devais prendre le bus et le métro. Et étrangement, j’appréciais particulièrement les moments passés dans le métro. Je me débrouillais toujours pour me trouver une place près de la fenêtre où personne ne risquais de venir s’assoir à côté de moi (par souci de tranquillité). Et comme ça, je pouvais continuer ma lecture d’un livre de H. Murakami tout en regardant le soleil se lever avec douceur sur la ville splendide et pleine d’histoire qu’est Philadelphie.
Une fois arrivé au centre-ville, entre les buildings d’une cinquantaine d’étage, je ne trainais pas et je marchais, chaque matin avec rapidité vers l’école ou je devais me rendre. Chaque matin je retrouvais mes amis de différents pays. Et chaque matin je suivais les cours de ce professeur follement drôle (ces deux termes lui vont comme un gant) qui n’appréciait pas vraiment les français. Je n’ai jamais trouvé un cours d’anglais aussi intéressant et instructif que celui-ci.
A mon retour de la ville de l’amour fraternel, l’ambiance tendue à la maison avait un peu augmenté et mes parents ne portaient plus leurs alliances. Chose peu étonnante. Un mois plus tard, arrivait la rentée.


La rentrée des classes. Chez beaucoup de personnes on trouve de l’appréhension ou de l’impatience, de l’excitement ou de l’énervement. Pour ma part, c’était plus l’envie de connaitre la classe dans laquelle je serais cette année. Rien de plus normal. En revanche, le motif n’est pas habituel : je ne voulais pas tomber dans la même classe que l’an dernier, je souhaitais faire de nouvelles rencontres, voir de nouvelles têtes. Quand les autres veulent retrouver leurs connaissances de l’année passée, moi, je veux m’en détacher. Rien de plus anormal. La raison ? Une fille. Non, pas une femme, une fille.
Woxio   
Ecrire son propre roman 4/17 26/02/2014 à 16:48
J'ai un ami qui a arrété lycée et qui depuis 3 ans écrit son bouquin,
Bon je lui laisse 2 ans et ensuite nous partiront faire le tour du monde .
Mais je pense que c'est une expérience intéressante . Et le partage entre auteurs ou même juste entreles personnes qui ont envis d’écrire est intéressant.
Ecrire son propre roman 5/17 26/02/2014 à 17:16
MELINA01710 a écrit :

Merci c'est gentil

Ton histoire m’intéresse réellement ! Si j'ai bien compris tu n'en ai pas à ton ton premier, est-ce que tu penses les faire éditer un jour ?

En tout cas l'histoire de Jérémie à l'air pleine de problèmes, j'aime bien




Merci beaucoup Mélina Smile
Non, je n'en suis effectivement pas à mon premier essai (les deux premiers sont catastrophiques, il m'arrive de les relire quand j'ai envie de rire de moi-même ^^', le troisième m'a permis de trouver mon style au niveau de la forme et le quatrième mon style au niveau du fond). Je n'en éditerai aucun, mais pourquoi pas mon petit dernier ? Il est beaucoup plus abouti et c'est un projet qui tient la route. Tout dépendra de l'avis de mes lecteurs et du résultat final. J'espère l'avoir terminé cet été pour passer à un autre projet en rentrant en fac Smile Mais la publication n'est pas ma priorité et certaines choses dans l'édition me rebutent plus qu'autre chose...

Ahah, effectivement, Jérémie a une vie plutôt bien remplie, pour le meilleur mais surtout pour le pire... Je déteste les personnages nés dans du coton. Je ne les trouve pas intéressants. Si mon histoire t'intéresse vraiment, nous pouvons toujours en discuter et je pourrais t'envoyer le document par mail.


Woxio a écrit :

J'ai un ami qui a arrété lycée et qui depuis 3 ans écrit son bouquin,
Bon je lui laisse 2 ans et ensuite nous partiront faire le tour du monde .
Mais je pense que c'est une expérience intéressante . Et le partage entre auteurs ou même juste entreles personnes qui ont envis d’écrire est intéressant.




Par contre, ce n'est pas quelque chose que je ferais, arrêter mes études pour écrire. J'admire le cran de ton ami, mais j'espère qu'il a d'autres projets professionnels derrière car il est quasiment impossible (et encore, le quasiment est déjà excessif...) de vivre de ses écrits. Et bonne chance pour votre projet de tour du monde, ça doit vraiment être super comme expérience ! Smile
Ecrire son propre roman 6/17 26/02/2014 à 17:49
J'écris que des fanfics maintenant.

Y'en avait une que j'aimais bien et j'aurais pu changer les noms pour la faire publier, mais bon. Non.
C'était une rencontre forcée entre un gars qui avait tout et un gars qui n'avait jamais rien eu, et c'était censé être une critique du fait que "le bien" et "le mal" sont des notions abstraites définies par la société dans laquelle on vit.

J'ai arrêté de l'écrire parce que dans la logique de l'histoire, un des personnages était censé expliquer que la pédophilie était quelque chose de bien d'après son expérience.

Donc bref, 1) ça serait jamais publié, 2) j'veux pas me retrouver en taule.
Mais j'adore cette histoire, donc j'vais surement la finir pour moi-même.
Smile Jap
Woxio   
Ecrire son propre roman 7/17 28/02/2014 à 08:53
Qu'entend tu par vivre ?
La conception de chaqu'un la dessus est différente, et les études sservent à gagner de l'argent simplement, la vie de tout le monde ne résume pas que au travail, à sa maison , sa télé et les soirée du samedi soir.

Mais merci pour lui Smile ! Ce n'est par contre pas une simple expérience, ce serais une vie.
Ecrire son propre roman 8/17 28/02/2014 à 14:39
Je fais un recueil de mes rêves,
En gros j'ai un ex qui m'a transformée en zombie et je suis en train d'enquêter sur lui dans une dimension parallèle et pour qu'il ne me reconnaisse pas, je suis un agent de sécurité des gros fromage, à côté de ça, je suis aussi Oedipe et je me balade dans les égouts en faisant couler des tortues pour retrouver Jocaste, ma mère, et en plus, comme si c'était pas assez compliquée, mon autre ex m'a emmenée en vacances chez la princesse Zelda qui veut que je l'aide à chopper des voleurs dans le métro parisien parce qu'ils font du trafic de saucisson et de bruschetta. Ah, et j'ai aussi une actrice porno qui doit tourner des films dans toutes les chambres d'un hôtel sauf que comme elle y va trop vite, elle se croise dans les couloirs et elle se tape la discut.
Et ça continue tous les soirs.
Ecrire son propre roman 9/17 06/03/2014 à 00:56
Bastard Barbie a écrit :

J'écris que des fanfics maintenant.

Y'en avait une que j'aimais bien et j'aurais pu changer les noms pour la faire publier, mais bon. Non.
C'était une rencontre forcée entre un gars qui avait tout et un gars qui n'avait jamais rien eu, et c'était censé être une critique du fait que "le bien" et "le mal" sont des notions abstraites définies par la société dans laquelle on vit.

J'ai arrêté de l'écrire parce que dans la logique de l'histoire, un des personnages était censé expliquer que la pédophilie était quelque chose de bien d'après son expérience.

Donc bref, 1) ça serait jamais publié, 2) j'veux pas me retrouver en taule.
Mais j'adore cette histoire, donc j'vais surement la finir pour moi-même.





Tout comme l'amour et tout ce que nous sommes, tout n'est qu'éducation.
Ecrire son propre roman 10/17 25/03/2014 à 14:04
Salut, à mon tour Smile
C'est une histoire que j'imagine tout les jours tout le temps depuis plus de cinq ans, et je me décide enfin à le construire petit à petit, voilà donc le petit résumé :

Garton, enfant de Betelgeuse. Dans ce monde, une espèce humaine évoluée tente tant bien que mal de survivre à elle-même. Grâce à la technologie, les différentes factions de la planète se dispute les territoires. Mais l'Empire Algaroth, dont le territoire n'est autre que le continent de l'Est tout entier, harcèle le continent de l'Ouest depuis des milliers d'années, tentant d'éradiquer impitoyablement l'Est tout entier quoi qu'il en coûte, ce qui mène les différentes nations biens que se détestant pour de multiples raisons historiques à former des coalitions aussi temporaire que fragile. En l'an 3422 naquit Auronos Orion, dernier descendant de la lignée des Orion, dont leur intelligence leurs a valus d'être les plus grands scientifiques de l'Ordre Alkian. En même temps que sa naissance, Valkarios Macharial, ex-gradé de l'Empire Algaroth sort du Rêve, un univers virtuel dont il devint accro après son exclusion de l'armée impériale. Razlaran Megaeras, simple civil de la république d'Alkatros, membre fondateur de la Confédération, mécontent de la faiblesse de sa patrie face à l'oppresseur ordrique, décide d'infiltrer les cités de l'ennemi et commettre divers attentat dont tous ont pour but d'affaiblir l'Ordre. Tandis que du point de vu de Proteus, androïde du Firmament, nation dépendante de l'Ordre uniquement constitué d’androïdes basés sur la lune Tehra et Uhra, Garton semblait si paisible et agréable d'y vivre. Entre guerre, découverte scientifique, progrès technologiques, politique et mort, les héros de Garton devront évolués et contribuer d'une manière ou d'une autre à ce qui deviendra rapidement le plus grand conflit depuis le début des temps. Un conflit qui s'étendra jusqu'aux systèmes stellaires voisins, jusqu'à atteindre une certaine planète bleue...
Nyne   
Ecrire son propre roman 11/17 26/06/2014 à 11:48
Bonjour, moi ça fait environ 8-10 mois que je suis sur mon roman "Jusqu'aux étoiles", je suis un peu en manque d'idées et de temps surtout donc j'ai arrêté pendant un moment et là j'aimerais le reprendre. J'espère qu'un jour j'arriverai à publier un roman (pas forcément celui-ci). Bref, voilà le résumé.


Emily Shine, jeune adolescente âgée de seize ans, voit sa vie s’achever alors que, dans son esprit, les projets d’avenir ne manquent pas. Atteinte d’une leucémie, la jeune fille décide malgré tout de réaliser ses rêves avant de mourir. Ses parents, qui prennent soin d’elle depuis sa naissance et qui n’ont rien lâché à l’apprentissage de la maladie de leur fille, acceptent de l’emmener à Londres, la ville de ses rêves, pour rencontrer son frère aîné, Léandro, dont on lui a tant parlé. Mais la famille se rend compte que le jeune homme, âgé de dix-neuf ans, est parti faire ses études au Japon afin de trouver un traitement pour la leucémie. Bien décidée à ne pas se laisser faire, Emily décide de partir là-bas pour y retrouver son frère. Pourtant, la surprise sera de taille pour la jeune fille.
Alors que sa fin devenait dangereusement proche, Emily fait une rencontre inattendue qui va bouleverser le cours des événements. Hayden Felton, dix-sept ans, va lui permettre d’apprendre à se battre contre la maladie et de repousser son heure. La bonne étoile sera avec elle pour une fois.
Ecrire son propre roman 12/17 26/06/2014 à 14:00
Bonne idées de topic voici une histoire que j'ai commencé y a pas longtempsIl existe quelques part un monde fantastique on raconte que dans se monde se trouve toute les créature que les mythes de notre monde décrit ce monde s'appelle Libéria car toute les chose vivante dans ce monde été libre jusqu'au jours ou deux soeurs vienne en Libéria pour gouverner se monde les créature de Libéria ne sachant pas comment réagir se scindant en 2 groupe la résistance et les black hell qui juraire fidélité au soeur
Les soeurs donnaire du pouvoir au black hell et la résistance ne fit pas long feu car la chef de la résistance Julia prêtresse dragon fut capturé et enfermer alors il fut décider de demander de l'aide à un autre monde le notre un jeune garçons nommé wolf fut choisi par l'ange au six ailles qui invocat alors un portail et fit venir wolf c'est ainsi que commence mon histoire à vous de me dire se que vous penser
Ecrire son propre roman 13/17 26/06/2014 à 22:33
Vu les fautes que tu fais je te conseille ardemment d'arrêter l'écriture.
Ecrire son propre roman 14/17 09/07/2014 à 11:56
TheSongWriter a écrit :

Vu les fautes que tu fais je te conseille ardemment d'arrêter l'écriture.




Ce n'est pas parce qu'il fait des fautes qu'il doit arrêter l'écriture. Après tout on peut écrire pour soi-même, pour se divertir ou pour rêver. C'est sûr que si il souhaite publier il y aura un petit problème mais ce n'est pas pour autant qu'il ne doit pas faire ce qu'il aime. Le mieux ce serait de l'aider à corriger ses fautes pour le faire progresser, plutôt que de le décourager comme ça..
Ecrire son propre roman 15/17 13/07/2014 à 23:32
oh dear a écrit :

Je fais un recueil de mes rêves,
En gros j'ai un ex qui m'a transformée en zombie et je suis en train d'enquêter sur lui dans une dimension parallèle et pour qu'il ne me reconnaisse pas, je suis un agent de sécurité des gros fromage, à côté de ça, je suis aussi Oedipe et je me balade dans les égouts en faisant couler des tortues pour retrouver Jocaste, ma mère, et en plus, comme si c'était pas assez compliquée, mon autre ex m'a emmenée en vacances chez la princesse Zelda qui veut que je l'aide à chopper des voleurs dans le métro parisien parce qu'ils font du trafic de saucisson et de bruschetta. Ah, et j'ai aussi une actrice porno qui doit tourner des films dans toutes les chambres d'un hôtel sauf que comme elle y va trop vite, elle se croise dans les couloirs et elle se tape la discut.
Et ça continue tous les soirs.



J'adore x) Ça vaut vraiment le coût d'écrire quand on a des idées aussi farfelues

Sinon, perso, j'ai pas vraiment envie de partager tout ce que j'ai commencé sachant que je vais forcément mettre encore quelques années avant de n'en finir ne serait-ce qu'un. (j'ai commencé à écrire (des romans) au primaire, sauf que même avec les idées ça a pas donné grand chose sur le moment) Enfin bref, c'est compliqué.
Ecrire son propre roman 16/17 16/07/2014 à 17:20
J'aimerai me lancer dans un roman que je pourrai publier, j'ai écris beaucoup d'histoires, des nouvelles lorsque j'étais petite (8-13 ans) et des chroniques pour les jeunes ces temps ci mais j'ai vraiment envie de me lancer dans l'écriture d'un roman, je ne sais pas si je dois me baser sur ma vie, si je dois inventer en m'inspirant de personnes de mon entourage... Comment écrire un roman qui me passionnera? Je me lasse vite si c'est un projet sur la longue durée mais je tiens à écrire un roman depuis petite et je me sens prête.... Merci Smile
Ecrire son propre roman 17/17 19/08/2014 à 15:37
TheSongWriter a écrit :

Vu les fautes que tu fais je te conseille ardemment d'arrêter l'écriture.



Euh... c'est une réflexion idiote. TOUS les écrivains sont corrigés à la sortie de leurs livres Mr. Green . Nous faisons tous au moins une faute Rolling Eyes .
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