une envie subite^^

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

_personne_   une envie subite^^ 56 06/06/06 à 21:05

allez j'ai une envie subite...

Quand après-demain sera hier, il nous faudra autant de jours pour atteindre dimanche qu'il nous en a fallu quand avant-hier était demain, pour que nous soyons aujourd'hui. Quel jour sommes-nous ?

une envie subite^^ 41/56 06/06/2006 à 22:15
stu ve jen ai une !! lol
une envie subite^^ 42/56 06/06/2006 à 22:16
ya 4 pomme sur la table ,é ya 2 père é 2 fils a table il en prenne chacun une mé il reste une pomme
pourkoi ?????
une envie subite^^ 43/56 06/06/2006 à 22:17
la réponse c'est samedi nan???
c'est pas si compliqué je crois mais là jsuis crevé dc si c'est pas samedi tanpis!
une envie subite^^ 44/56 06/06/2006 à 22:18
euhhhhh ...
une envie subite^^ 45/56 06/06/2006 à 22:20
mimi53
mdr y doit yavoir un truc avec les deux peres (ce qui est con parce qu'on peut pas avoir deux peres) mais je vois pas quoi xD
une envie subite^^ 46/56 06/06/2006 à 22:23
hé bien en fet il y a 3 personne ! le fils le père é le grand père se ki fé deux pères é deux fils !! tu comprend ?
une envie subite^^ 47/56 06/06/2006 à 22:24
a oui merciiiiii Faire la biz
une envie subite^^ 48/56 06/06/2006 à 22:28
derien !! jkiff se genr de truc !! Smile
une envie subite^^ 49/56 07/06/2006 à 06:58
étant donné que je serais pas la aujourd'hui je vous donne un texte long pour vous occupez^^
euh je compte le faire aujourd'hui en SVt...donc...euh...ne me demandez pas la réponse Wink



Lettre d'amour
Vous avez 15 minutes pour trouver le coupable.

Blondel regardait l’Isère rouler à ses pieds ses eaux boueuses. Une teinte en parfaite harmonie avec celle des dialogues échangés dans la salle d’audience qu’il venait de quitter. Depuis longtemps, il n’admirait plus la magnifique façade du XVième, donnant sur la rue, contradiction hypocrite de la sinistrose des couloirs et des pièces, sans oublier certains habitués, pontifes d’opérettes, dans leurs robes et costumes de scènes. Le juge ne comprenait pas pourquoi il s’était lui-même présenté à la place de son officier de police, déclaré « souffrant ». Qu’un flic se fasse injurier, souiller de crachats, n’était pour la justice qu’une simple péripétie sans conséquence et l’issue de la séance ne laissait planer aucun doute. Qu’importe, il n’était pas venu pour ça. L’esquisse d’un sourire effleura son visage. Deux vaguelettes aux reflets huileux s’unirent contre un rocher émergeant des eaux basses à cette époque, avant d’être happées par le courant. Un discret coup de Klaxon le sortit de sa rêverie - Voulez-vous profiter de ma voiture, monsieur le principal, lui cria Barrière?
- Non ! Merci ! Je rentre à pieds.
Barrière haussa les épaules et s’éloigna sans comprendre.

Le parc de l’Ile verte se situait à mi-distance entre le palais de justice et le commissariat central. Bien que ce mois de janvier fut relativement doux, les bancs étaient libres. Assis sur l’un d’eux, jambes et bras croisés, son esprit vagabondait dans ses réflexions. Ce n’était pas par innocence qu’il avait remplacé le policier, témoin dans cette affaire. Il désirait conforter son jugement sur elle, sonder ses réactions, souvent révélatrices de l’honnêteté de la personne, à chacune de ses déclarations, même si elles n’étaient pas toujours appropriées. C’était une femme brillante, sûre d’elle. Elle savait se servir de son charme, de ses effets de manche, de ses longs cheveux noirs qu’elle balançait pour mieux exprimer ses convictions et convaincre son auditoire. Il avait affaire à forte partie. C’est à peine si quelques chuchotements étouffés, quelques bruits de couloir, venaient troubler, sa notoriété et l’emprise qu’elle semblait exercer sur tout le parquet. Nous vivons le siècle des catalogues. Les gens sont catalogués. Il serait vain d’essayer d’en modifier les paramètres. Mais dans l’affaire Flambart il n’avait que des présomptions. Il lui manquait la preuve. Et dans ce cas, une preuve en béton s’imposait.

Son regard suivit une jeune femme accompagnée d’un petit garçon accroché à la poussette du bébé. Je suis encore jeune, mais peut-être devrais-je penser, moi aussi à fonder un jour un foyer. Les années passent vite. Déjà 5 ans ! Mon boulot de principal dévore ma vie. Je devrais déléguer un peu plus. J’ai la chance d’avoir 5 bons commissaires. Barrière manque un peu d’expérience, mais il est très dévoué. Duranti, lui n’en manque pas, mais il commence à se faire vieux…
Il se leva. Une visite s’imposait avant de regagner le commissariat.
Quelques instants plus tard, il frappait à la porte de la famille Flambart.
- Monsieur le commissaire ? Entrez donc, fit madame Flambart, les yeux rouges en écrasant une larme d’un coin de son mouchoir. Asseyez-vous, je vous prie.
Blondel s’exécuta, Le visage allongé par la tristesse il ajouta après avoir salué :
- Je suis très peiné par ce qui vous arrive et je puis vous assurer que je ferai tout pour que ce crime ne reste pas impuni.
- Vous tenez le criminel ! C’est à la justice de le sanctionner comme il convient. La reconstitution a bien lieu cet après-midi ?
- En effet. Vous pouvez y assister si vous le désirez.
- Mon Dieu ! J’ai peur ! Mon mari est fou furieux. Il veut tuer le meurtrier de notre fille. J’ai perdu ma fille, je ne voudrais pas que mon mari fasse une bétise et aille en prison.
- Je sais. N’ayez crainte. Barrière s’occupera personnellement de votre mari. Il n’y aura pas de problème.
- Ah ! Tant mieux…. Je peux vous offrir quelque chose ?
- Un café, si vous le voulez bien.
- Oh ! Je suis désolée. Nous ne buvons pas de café. Par contre, j’ai du thé…Il est bientôt 11 heures, j’ai un bon petit blanc au frigidaire. Ca vous tente ?
- Je vais me laisser faire. D’accord pour un blanc.
Blondel dégusta son verre tout en posant quelques questions sur les habitudes de sa fille, son travail, ses ambitions. La détresse de la femme lui oppressait le cœur.
- Vous savez, son employeur, maître Cappellara l’estimait beaucoup. Vous la connaissez ? Blondel acquiesça dans un sourire, alors que la femme marmonnait :
- Dieu que je suis sotte, un commissaire connaît forcément tous les avocats. Elle nous a présenté son collègue. Un jeune homme charmant. Je crois bien que… Vous comprenez ?
Le policier se leva, prit dans ses mains la main de la mère.
- Sachez madame Flambart que je compatis sincèrement à votre douleur. Je vous souhaite beaucoup de courage. A cet après-midi.

Barrière avait réussi à calmer le père Flambard. D’un bras à la fois affectueux et ferme posé sur ses épaules, il le tenait un peu en retrait de la scène.
- Otez-lui les menottes, ordonna le juge.
L’assassin présumé restait calme.
- Maître Capparella voulez-vous jouer le rôle de la victime ? Prenez le téléphone et commandez un café. La jeune femme s’exécuta.
Un policier mit dans les mains du garçon de café, le prévenu, un plateau supportant une tasse et un croissant.
- Refaites exactement les mêmes gestes. Allez ! Commencez ! Ordonna le juge
- Encore une fois, je vous répète que je ne suis pas l’assassin. Lorsque je suis arrivé, elle était par terre, dans une marre de sang, le couteau planté dans la poitrine. Je me suis affolé, j’ai renversé le plateau … j’ai retiré le poignard. J’allais appeler une ambulance, lorsque la dame est arrivée, du doigt il désigna Maître Capparella.
- Elle venait d’où ? De son bureau, ou de la porte d’entrée ?
Il désigna la porte d'entrée.
Le procureur, un homme aussi grand que sec, vêtu d’un costume gris de bonne coupe, tapota la liasse de papiers que son substitut tenait en mains et lui murmura.
- Soulignez le fait qu’il n’y avait personne d’autre dans l’étude. Maître Capparella était sortie et l’autre avocat, maître Person, était à la prison de Varces avec un de ses clients.
Le regard haineux, l’avocate invectiva l’homme.
- N’oubliez pas monsieur le juge que cet homme a déjà été condamné pour tentative de viol. Le scénario est d’une limpidité éclatante. Il a vu qu’il n’y avait personne d’autre dans l’étude et a voulu récidiver ; mais la petite Flambart ne s’est pas laissée faire. Peut-être a-t-elle crié . Alors, il s’est affolé. Pour la faire taire il a saisi, sur le bureau, le stylet qui servait de coupe papier et l’a frappée. Quand je pense que s’est moi qui l’ait recommandé au café d’en face, pour favoriser sa réinsertion à sa sortie de prison …. et pour me remercier, il tue mon employée.
Elle termina dans un sanglot étouffé qui semblait émouvoir le juge.
- Je vous en prie maître. Je comprends votre émotion, mais nous sommes ici, uniquement pour reconstituer les faits et gestes de monsieur Perrino afin de comprendre ce qui l’a amené à tuer mademoiselle Flambart.
L’avocate essuya une larme sur sa joue, en s’écroulant sur la chaise. Perrino lança un regard désespéré à Blondel qui restait de marbre.
Le juge et le procureur se relayèrent pour retracer dans le détail les faits, tels qu’ils s’étaient vraisemblablement déroulés.
- Je crois que nous en resterons là. Tout me semble clair, déclara le juge quelques instants plus tard. Il se tourna vers Blondel. Vous n’avez rien à ajouter monsieur le divisionnaire ?
Le jeune divisionnaire s’avança, s’adossa à la table, se caressa le menton, fixa un instant le plafond, comme pour chercher une inspiration puis s’adressa au juge.
- Tout d’abord, je vous rappelle que la condamnation pour viol de M. Perrino n’a jamais été formellement prouvée. Pour cette affaire présente, j’ai une autre version des faits, monsieur le juge. Si comme vous, je pense qu’il s’agit d’un crime passionnel, j’ai une toute autre approche des motivations et des circonstances qui ont abouties à ce crime. A mon avis les choses ne se sont passées comme ça.
- Ah ! s’exclama le juge étonné. Je suis curieux de connaître votre version. Parlez !
Les traits du divisionnaire se durcirent, puis son regard s’éclaira d’un sourire.
- Mademoiselle Flambart était une jeune femme superbe, intelligente, aimable… Elle possédait tout pour réussir et plaire. Son arrivée ici, il y a seulement quelques mois, ne passa pas inaperçue. Surtout aux yeux de son collègue : maître Person, lui aussi charmant jeune homme.
- Et alors ? Qu’est-ce que ça change ? Claironna le juge.
- Beaucoup de choses, monsieur le juge. Maître Capparella n’est pas femme à se faire débouter par une jeune débutante, surtout chez elle, ici même. Une haine viscérale…..
- Vous affabulez Blondel ! Interrompit le juge agacé.
- Il est fou ce type, hurla l’avocate hors d’elle. Parce que je n’ai jamais répondu à ses avances, il profite d’un drame qui s’est déroulé chez moi, à mon insu, pour me traîner dans la boue. Je n’ai pas l’intention de me laisser salir. Je…
- Du calme ! Intervint le procureur. Il s’avança vers Blondel. Attention, monsieur le divisionnaire, vos propos prennent mauvaise tournure, vous oubliez que vous vous adressez à un auxiliaire de justice et si vos insinuations s’avèrent calomnieuses ou entachées d’un certain parti-pris, vous risquez de graves sanctions. Je vous ai mis en garde, maintenant dites-nous ce que vous avez à déclarer, sans broder, sans fioritures. Des faits tout simplement.
Blondel ne manifesta aucune émotion et poursuivit :
- Je n’ai aucun parti-pris contre maître Capparella, par contre je n’ai pas encore succombé à ses charmes. Il lança une œillade au juge qui ne sembla pas apprécier l’allusion. Je continue. Tout d’abord, laisser moi vous dire que le coup de téléphone au café d’en face ne s’est pas fait de ce poste, mais de celui du bureau de maître Capparella.
- Et alors ? qu’est-ce que ça prouve ? Je n’étais pas là, elle a pu téléphoner d’où elle a voulu, mon bureau n’est pas fermé à clef. C’est un détail dénué d’intérêt.
De marbre, Blondel poursuivit :
- Ce n’est pas Liliane Flambart qui a téléphoné, mais vous, fit-il, un doigt accusateur pointé sur elle.
- Continuez Blondel. Dès que cette plaisanterie sera terminée je vous poursuivrai…. Ponctua Capparella, la voix acide.
- Vous avez téléphoné après avoir tué Liliane. Profitant de l’absence de Person, vous êtes venue la trouver pour lui dire que vous ne toléreriez pas qu’elle ait une liaison avec lui
- Complètement idiot ! Il me suffisait de la virer.
- Virer Liliane n’aurait pas empêché les jeunes gens de se voir. Et ça, vous le saviez. Vous avez insisté. Liliane très amoureuse de Person n’a pas cédé. Vous avez vu rouge. Habituée à voir les gens ramper devant vous, vous n’avez pas supporté que votre jeune employée vous défie et dans un accès de rage, vous vous êtes saisi du couperet et l’avez violemment frappée. Nous allons reconstituer le crime, tel qu’il s’est passé. Blondel fit signe aux deux jeunes auxiliaires d’intervenir. L’une pris la place de Liliane, l’autre pénétra dans le bureau de Capparella et réapparut pour jouer à la perfection la scène que venait de décrire Blondel. Après que l’auxiliaire eut téléphoné du bureau de Capparella, elle sortit et revint dans la pièce, après que le gendarme chargé d’un plateau sur lequel la boisson débordait de la tasse, fit son entrée.
- Bien joué fit le procureur le visage fendu d’un large sourire. Votre personnel joue parfaitement la comédie. Cette version serait plausible si nous ne connaissions pas l’intégrité de maître Capparella et si, et c’est là que le bas blesse, vous nous fournissiez une preuve tangible…. Et vous ne possédez pas la moindre preuve.
- Je suis innocente. Je vous l’ai dit, Blondel veut se venger de moi. Il n’a pas la moindre preuve. Ses yeux brillants lançaient des éclairs et rehaussaient sa beauté.
Le visage dur, avec un reflet ironique dans le regard Blondel répliqua:
- Dommage pour vous j’ai une preuve !

Fin

Alors, vous avez trouvé ?

Lettre d'amour
une envie subite^^ 50/56 07/06/2006 à 07:01
trop long a lire loooooooool sorry d'hab j'aime ce genre d'enigme mais la j'ai pas vraiment dormit ^^
une envie subite^^ 51/56 07/06/2006 à 07:23
j'ésite entre lundi, mardi mercredi, jusi, vendredi, samedi et dimanche ??
jespere kil y en a un de bon dans ceux la !!
une envie subite^^ 52/56 07/06/2006 à 08:03
c'est pas 108 le nombre danimaul ki se rendent o point do ? lol, si c pa sa ba ché pa ..... Very Happy lol, tu sais ton enigme é tro longue!!!!!!!!!!!! tro la flem de lir dsl! lol
une envie subite^^ 53/56 07/06/2006 à 12:35
@g@01449
t'es trop forte t'as trouvé Rolling Eyes t'as plus qu'a choisir xD

didile976
c'est pas 108 Wink
kinou   
une envie subite^^ 54/56 07/06/2006 à 13:05
celle d animo ien a kun ki va a lo...cr lé otre sen revienne...
une envie subite^^ 55/56 07/06/2006 à 13:20
yen a 16 animaux qui vont au point d'eau
une envie subite^^ 56/56 07/06/2006 à 20:56
pourquoi_pas

ya pas 16animaux Confused
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