1er experience gay ? racontez vos experiences

Moi la premiere fois c'est passé avec un mec au ciné,j'avais rencontré le mec a travers un site de blog bien connu,pendant le film j'ai noté un rapprochement de sa main vers moi,puis vers la jambe!la je l'ai regardé et nous nous sommes embrassé,puis durant le film ont s'est branlé par alternance.
une semaine plus tard on s'est revu et la il m'a sucé,il est vrtai que les mecs que font mieux que les filles

Hé hé je désespere pas :p

Le Jeudi 2 Septembre, les vacances sont terminés, c'est la rentrée. Je ne dormais pas de la nuit, non je ne dormais plus depuis que je l'avais vu. Je ne savais pas son nom, ni qui il était. J'avais juste une apparence, une ombre.
Vendredi 3 Septembre, j'ai enfin un nom. Oui, il est beau. Il représente mon idéal. Je lui plaie ? Je n'en sais rien, je sais juste que je suis entrain de tomber amoureux d'un inconnu, du nom de Matthieu. Il n'était pas comme les autres, mais il était inaccessible. Il faisait partie de ce groupe de 'mec' qui trainait et qui courrait dernière les terminales en jupes. Mon idéal, mon rêve était terminé. Je m'en veux, oui. Je n'aurais jamais du dire que je voulais une fille du nom de Janine, car ça fait Ninja en verlan. Les garçons de ma classe me nomme ainsi. Ils le savent, j'ai une attirance pour les garçons, une forte même. Il suffit d'une après-midi à la plage, il jouait torse nu sur la plage. Je ne voulais pas le fixer, je savais très bien que je me faisais du mal. Matthieu, Matthieu. Son prénom résonne sans cesse dans ma tête, mon cœur bat pour lui. One by one, je souffre chaque seconde. Lundi 19 Septembre, j'en suis sur. Notre professeur d'Économie-droit m'envoya faire des photocopies, avec Matthieu. C'était une torture. Le couloir qui menait a la photocopieuse était sombre, et c'était calme. Il me jeta un coup d'œil, et la je compris. Il poussa l'immense porte en bois, et :

- Je peux te poser une question ?

Je souris niaisement. Matthieu, me plaqua délicatement sur le mur et approcha ses lèvres contre les miennes, je ne sentais plus que mon cœur battre et l'envie de ne plus le quitter. J'étais dans ses bras musclés. Lui et moi formons un 'nous' qui ne pouvait durer. Un baiser, puis il partit seul. Je m'effondra au sol, ne sachant quoi faire.

Présente-les moi ! \o/

C'est fou comme les gens s'inventent des vies...

WynGreen a écrit :
Le Jeudi 2 Septembre, les vacances sont terminés, c'est la rentrée. Je ne dormais pas de la nuit, non je ne dormais plus depuis que je l'avais vu. Je ne savais pas son nom, ni qui il était. J'avais juste une apparence, une ombre.Vendredi 3 Septembre, j'ai enfin un nom. Oui, il est beau. Il représente mon idéal. Je lui plaie ? Je n'en sais rien, je sais juste que je suis entrain de tomber amoureux d'un inconnu, du nom de Matthieu. Il n'était pas comme les autres, mais il était inaccessible. Il faisait partie de ce groupe de 'mec' qui trainait et qui courrait dernière les terminales en jupes. Mon idéal, mon rêve était terminé. Je m'en veux, oui. Je n'aurais jamais du dire que je voulais une fille du nom de Janine, car ça fait Ninja en verlan. Les garçons de ma classe me nomme ainsi. Ils le savent, j'ai une attirance pour les garçons, une forte même. Il suffit d'une après-midi à la plage, il jouait torse nu sur la plage. Je ne voulais pas le fixer, je savais très bien que je me faisais du mal. Matthieu, Matthieu. Son prénom résonne sans cesse dans ma tête, mon cœur bat pour lui. One by one, je souffre chaque seconde. Lundi 19 Septembre, j'en suis sur. Notre professeur d'Économie-droit m'envoya faire des photocopies, avec Matthieu. C'était une torture. Le couloir qui menait a la photocopieuse était sombre, et c'était calme. Il me jeta un coup d'œil, et la je compris. Il poussa l'immense porte en bois, et :- Je peux te poser une question ?Je souris niaisement. Matthieu, me plaqua délicatement sur le mur et approcha ses lèvres contre les miennes, je ne sentais plus que mon cœur battre et l'envie de ne plus le quitter. J'étais dans ses bras musclés. Lui et moi formons un 'nous' qui ne pouvait durer. Un baiser, puis il partit seul. Je m'effondra au sol, ne sachant quoi faire.
tresbelehioir mac éuoi ka ameumec de a cl c'est sur que sa se finira jamais comme sa

moi c'était chez un pote on a fait des paris genre se branler et puis apres c'est allé plus loin on s est sucer et sodo. depuis on la refait 4-5 fois

Moi etai avec mon couzin puis on jouer puis 1 moment iil a commencer a ce toucher devant moi et ensuite il ma demander si je vouler la toucher je ai repondu pourquoi pas et on c'est deshabillez on c'est sucer et sa a fini par se sodomiser

Ancien membre a écrit :

Le Jeudi 2 Septembre, les vacances sont terminés, c'est la rentrée. Je ne dormais pas de la nuit, non je ne dormais plus depuis que je l'avais vu. Je ne savais pas son nom, ni qui il était. J'avais juste une apparence, une ombre.
Vendredi 3 Septembre, j'ai enfin un nom. Oui, il est beau. Il représente mon idéal. Je lui plaie ? Je n'en sais rien, je sais juste que je suis entrain de tomber amoureux d'un inconnu, du nom de Matthieu. Il n'était pas comme les autres, mais il était inaccessible. Il faisait partie de ce groupe de 'mec' qui trainait et qui courrait dernière les terminales en jupes. Mon idéal, mon rêve était terminé. Je m'en veux, oui. Je n'aurais jamais du dire que je voulais une fille du nom de Janine, car ça fait Ninja en verlan. Les garçons de ma classe me nomme ainsi. Ils le savent, j'ai une attirance pour les garçons, une forte même. Il suffit d'une après-midi à la plage, il jouait torse nu sur la plage. Je ne voulais pas le fixer, je savais très bien que je me faisais du mal. Matthieu, Matthieu. Son prénom résonne sans cesse dans ma tête, mon cœur bat pour lui. One by one, je souffre chaque seconde. Lundi 19 Septembre, j'en suis sur. Notre professeur d'Économie-droit m'envoya faire des photocopies, avec Matthieu. C'était une torture. Le couloir qui menait a la photocopieuse était sombre, et c'était calme. Il me jeta un coup d'œil, et la je compris. Il poussa l'immense porte en bois, et :

- Je peux te poser une question ?

Je souris niaisement. Matthieu, me plaqua délicatement sur le mur et approcha ses lèvres contre les miennes, je ne sentais plus que mon cœur battre et l'envie de ne plus le quitter. J'étais dans ses bras musclés. Lui et moi formons un 'nous' qui ne pouvait durer. Un baiser, puis il partit seul. Je m'effondra au sol, ne sachant quoi faire.


je trouve ton histoire merveilleuse ... et tragique a la fois ( avec un fort penchant pour le tragique )
je trouve que ce qu'il ta fait est... ignoble, impardonable. mais j(aimerais s'avoir comment ça a continuer ( relation vis-a--vis de lui ) tout au long de l'anné