Faits divers

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CaroFreeHugs   Faits divers 7 01/03/07 à 09:57

Qu'est-ce qu'une aiguille intramusculaire faisait dans une boîte de flageolets ? C'est la question que se pose encore un couple de Saint-Sauveur, dans le Médoc, près de Bordeaux. Mardi, Irma Mothes a découvert une aiguille de cinq centimètres recouverte d'une gaine plastique dans la boîte de légumes qu'elle cuisinait. La ménagère quadragénaire a isolé l'objet intrus et a replacé la nourriture dans sa boîte de fer blanc.
Irma Mothes et son époux, Jean-Claude, ont prévenu la mairie et ont signalé l'incident à la gendarmerie proche de Pauillac. Les militaires ont alerté le procureur de la République et sont intervenus auprès du distributeur dont le gérant, André Rigal, a affirmé avoir "retiré tous les lots de boîtes de flageolets des rayons". La centrale d'achat, sur avis de la gendarmerie et de la Direction départementale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, s'est engagée à retirer dès mercredi ces produits dans toute la région. La gendarmerie va enquêter auprès du fabricant, "Notre jardin", sur les causes de l'incident.


Un adolescent de 16 ans a été mis en examen pour "assassinat" et écroué dimanche pour avoir étranglé un camarade de lycée, jeudi dans un appartement parisien, avant de tenter de faire disparaître son cadavre en le découpant. C'est ce qu'on a appris mardi de source judiciaire, confirmant une information du Parisien. Le jeune homme était inconnu des services de police et son comportement n'avait jusqu'alors jamais suscité d'inquiétude.
La victime, un camarade de lycée du même âge, s'était rendue jeudi, à l'invitation de son ami, au domicile des parents de ce dernier qui étaient absents, dans un appartement du XXe arrondissement de Paris. Une dispute a alors opposé les deux garçons, au cours de laquelle le mis en examen a étranglé son camarade.
Selon le Parquet, l'adolescent reprochait à la victime de tourner un peu trop autour de sa petite copine. Le meurtrier présumé a ensuite cherché à se débarrasser du cadavre en tentant de le découper dans la baignoire de la salle de bain avec un couteau électrique. Pour achever son travail, il a demandé à l'une de ses amies, âgée de 16 ans, de lui apporter une bâche et de l'acide chlorhydrique. Vingt-quatre heures après le crime, les parents du jeune homme ont découvert vendredi le corps de la victime à leur retour de vacances et immédiatement prévenu la police.


Un petit garçon de 8 ans, dont l'oncle a été mis en examen pour violences habituelles et écroué vendredi, est décédé le 3 novembre à l'hôpital de Montauban après avoir été battu à mort, a-t-on appris de sources concordantes.
Le petit Samir, natif de Mayotte, était arrivé en France l'an dernier. Après avoir séjourné avec son père chez une tante et un oncle à Saint-Etienne, il avait été confié à la garde de son oncle, un sérigraphiste de 26 ans qui vivait avec sa compagne de 23 ans et leurs deux enfants, âgés de 3 ans et 8 mois, dans un appartement du centre de Montauban, a-t-on appris de source policière.
De même source, on a expliqué que les premiers éléments de l'enquête laissaient penser que l'enfant aurait pu déjà être victime de brutalités durant son séjour à Saint-Etienne.
Selon La Dépêche du Midi qui a révélé l'affaire dans son édition de samedi, l'oncle, qui aurait reconnu "avoir régulièrement battu son neveu, parfois même à grands coups de poings", a été mis en examen vendredi pour "violences habituelles ayant entraîné la mort sans intention de la donner" et placé en détention provisoire.
De source policière on a précisé que sa compagne, laissée en liberté, était poursuivie pour complicité et que les deux enfants du couple faisaient l'objet d'un placement.
Samir avait été transporté à l'hôpital par le Samu dans la nuit du 2 au 3 novembre et était mort quelques heures plus tard, victime d'une hémorragie méningée massive. Les médecins avaient noté que l'enfant "ne pesait que 17 kg" et que "son corps squelettique était couvert d'hématomes", précise le journal. La veille de son décès, il aurait passé plusieurs heures "au coin" sans boire et aurait ensuite été frappé, à coups de poing puis avec un manche à balai.
L'enfant, poursuit La Dépêche, décrit comme "sage et appliqué" par le milieu enseignant, était scolarisé depuis la rentrée en CE1 à Montauban mais n'était allé qu'une dizaine de jours en classe depuis la rentrée.
Toutefois, ajoute le quotidien, son oncle et sa compagne l'ont dépeint comme insupportable et l'oncle, en rentrant du travail, "relevait le détail des bêtises" commises par Samir "et établissait ensuite les punitions".
Selon la police, ces punitions et privations étaient d'une "brutalité hors normes". L'oncle de l'enfant aurait indiqué avoir lui-même été "puni" de cette manière durant son enfance à Mayotte.
Selon l'enquête, Samir aurait même un jour passé plusieurs heures les pieds et poings liés par une corde en plastique et devait parfois, en guise de punition, rester debout durant 5 heures.


Un policier a été agressé vendredi matin par deux personnes en gare de Conflans, dans les Yvelines, qui venaient d'apprendre sa profession, a-t-on appris vendredi soir auprès de la police. Un suspect a été arrêté tandis qu'un second suspect était activement recherché par la police vendredi soir.
La victime, un officier de la PJ de Rouen, qui prenait le train à 5h30 vendredi matin, en gare de Conflans-Sainte-Honorine pour se rendre en Normandie, a été pris à partie par une dizaine de jeunes dont l'un avait un dogue argentin, selon la police.
Lorsque ses agresseurs, qui lui ont volé son portefeuille, se sont aperçus qu'il était policier, deux d'entre eux l'ont roué de coups, le blessant au visage pendant que l'autre sortait un couteau pour lui faire plusieurs estafilades, selon la police.


Un père suicidaire de 38 ans a fait boire de l'acide chlorhydrique à son fils, âgé de trois ans, dans la nuit de lundi à mardi à Villeneuve-le-Roi (Val-de-Marne), a-t-on appris de source policière. Après avoir fait boire son fils, il a lui même ingéré la substance toxique, avant de se rendre compte de la gravité de son acte. Il a alors alerté les voisins, qui ont immédiatement appelé les secours.
Le Samu a transporté le père à l'hôpital Saint-Louis à Paris et le garçonnet à l'hôpital Robert Debré. Tous deux se trouvaient dans le coma mardi matin. L'enquête a été confiée au commissariat local. Selon les premiers éléments, le père aurait agi à la suite d'une rupture avec sa compagne.


Une fille de 18 mois, que sa mère avait confiée à une adolescente de 14 ans en fugue depuis environ un mois, a disparu depuis vendredi soir à Beauvais, a annoncé dimanche le procureur de la République de la ville.
Vendredi matin, cette mère de 20 ans, habitant un quartier populaire de Beauvais, a confié, avec des habits de rechange et une poussette, la petite Andréa pour quelques heures à cette jeune fille avec qui "elle avait de vagues relations", a expliqué le procureur. L'adolescente a prévenu en début d'après-midi par un message envoyé avec son téléphone portable qu'elle rapporterait l'enfant dans la soirée. Le samedi matin, n'ayant aucune nouvelle de sa fille, la mère a prévenu la police.
Pas d'alerte enlèvement : l'enfant a été confié volontairement
"On recherche deux personnes" : la jeune fille et le bébé. Toutes deux "nous paraissent en danger", a expliqué le procureur. La jeune fille de 14 ans, "en difficulté, en grande souffrance, suivie par un juge des enfants dans le Puy-de-Dôme", le département où résident ses parents, est "en galère depuis environ un mois sur Beauvais", a ajouté le procureur qui a parlé d'une jeune fille "suffisamment débrouillarde pour donner le minimum de subsides à l'enfant".
L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Creil et à la sécurité publique de Beauvais. De 10 à 15 policiers recherchent activement depuis samedi la jeune fille et le bébé, qui ont été aperçus par des témoins dimanche matin dans le quartier où réside la mère. Le procureur a indiqué qu'elle s'était refusée à déclencher la procédure de l'alerte enlèvement car "l'enfant a été remis volontairement".
Le 13 janvier, cette alerte avait été déclenchée après l'enlèvement d'un bébé âgé de moins d'un mois à l'hôpital de Montfermeil (Seine-Saint-Denis), par une jeune fille décrite comme ayant 18 ans. Le bébé en bonne santé et sa ravisseuse, une fugueuse de 12 ans hébergée par les parents du bébé, avaient été retrouvés trois jours plus tard.


Quatre hommes âgés de 20 à 26 ans ont été arrêtés pour des "actes de torture et de barbarie" à connotation homophobe, ayant visé un homme de 28 ans resté cinq semaines dans le coma. C'est ce qu'on a appris mercredi de source policière.
Les faits se sont déroulés en juillet 2006. La victime est abordée par les suspects à la sortie d'un café branché du Ier arrondissement de Paris et mise en confiance par ceux-ci. Ces derniers l'auraient ensuite emmené dans un parc de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) afin "de le dévaliser", selon leurs explications au service départemental de la police judiciaire (SDPJ) de ce département saisi de l'enquête. Toujours selon cette source, voyant que la victime n'avait aucun argent sur lui, ils l'ont violemment frappé et brûlé ajoutant que "le fait que la victime était homosexuelle" a "décuplé les coups et les sévices". Le jeune homme est sorti de l'hôpital "avec des séquelles".
Trois des suspects ont été arrêtés dans une cité sensible du Val-de-Marne en août 2006: l'arrestation suivie de leur mise en examen et de leur incarcération s'inscrivait dans le cadre d'une information judiciaire pour "tentative d'homicide volontaire, enlèvement, séquestration, accompagnés d'actes de torture et de barbarie". Un quatrième homme s'est livré mardi à la PJ et a été placé en garde à vue avant sa mise en examen et son incarcération, selon la source policière.


Un petit garçon de trois ans, qui se promenait avec sa grand-mère dans le village de Nattages (Ain), a été mordu à la tête jeudi par un rottweiler qui avait quitté son enclos, a-t-on appris vendredi auprès des gendarmes et des pompiers.
Le chien, vacciné et déclaré, s'est échappé pendant que son propriétaire consolidait son enclos. Il a attaqué l'enfant qui se promenait dans un pré à proximité, et ce dernier, hospitalisé, souffre de plaies importantes au crâne, à la joue droite et dans le dos, selon les gendarmes. Le garçonnet ne devrait cependant pas garder de séquelles graves de ces morsures, selon les pompiers. Une voisine a pu maîtriser le chien, qui a été emmené dans un chenil en attendant une décision de la justice sur son sort.


Les ossements retrouvés le 23 janvier à Lingèvres (Calvados) ne sont pas ceux de Marie-France Godard, a annoncé vendredi le procureur de la République de Saint-Malo Jean-Luc Desport dans un communiqué. "L'ADN mitochondrial extrait des ossements ne correspond pas, selon les analyses, à celui de Marie-France Godard ni à celui d'aucun membre de la famille", a précisé le magistrat.
La famille Godard avait disparu en septembre 1999 dans des conditions qui n'ont jamais été élucidées. Des ossements appartenant au médecin et à sa fille Camille ont été retrouvés au large des côtes bretonnes par des pêcheurs en 2006 et 2000, mais le sort de son fils Marius et de son épouse restent incertains. Le procureur a précisé vendredi qu'il souhaitait désormais clore "le plus rapidement possible" l'information judiciaire ouverte en septembre 1999 contre le médecin de 44 ans pour homicide volontaire, après la découverte de traces de sang de son épouse au domicile familial et dans leur camionnette. Mais la procédure pourrait prendre "plusieurs mois".
Une multiplication de fausses pistes.
Sur les indications d'un courrier anonyme indiquant qu'il pouvait s'agir des restes de Mme Godard, des débris d'os avaient été retrouvés le 23 janvier parmi les déchets végétaux du cimetière de Lingèvres, une commune située à quelques kilomètres de Tilly-sur-Seulles où résidaient les Godard. Un radiesthésiste normand s'est signalé depuis comme étant l'auteur de cette lettre. Il a expliqué au enquêteurs avoir travaillé avec un pendule sur une photo de Mme Godard et une carte routière, ce qui l'avait conduit au cimetière de Lingèvres.
Le docteur Yves Godard avait été vu pour la dernière fois en septembre 1999 à Saint-Malo à bord d'un voilier qu'il avait loué, le Nick, en compagnie de ses deux enfants mais sans son épouse. Au fil des mois suivants, la mer a rejeté des objets du bateau en plusieurs endroits de la côte bretonne, mais l'épave du Nick n'a jamais été retrouvée.
Les enquêteurs ont déjà été lancés à plusieurs reprises sur de fausses pistes dans l'affaire Godard, notamment par des témoignages signalant la présence du médecin en plusieurs endroits du globe, avant que des os lui appartenant ne soient repêchés en octobre dernier au large de Roscoff (Finistère).


Selon Le Parisien, c'est un conflit à propos d'un loyer impayé qui serait à l'origine du drame du quartier de la Réunion, dans le XXe arrodnissement de Paris. Le meurtrier et l'une de ses victimes se connaissaient : le premier, Bellaïd, 80 ans, était hébergé dans une petite chambre par le second, Ramdan, propriétaire d'un restaurant de cuisine berbère d'une soixantaine d'années.
Selon Le Parisien, ce dernier était venu réclamer samedi matin ses arriérés de loyer en compagnie de l'un de ses serveurs. Mais la discussion a dégénéré, et face aux menaces d'expulsion, l'octogénaire a saisi une carabine. Le patron du restaurant est mort sur le coup, son serveur a succombé peu après l'arrivée des secours. Quant au meurtrier, arrêté sans opposer de résistance et mis en garde à vue par la deuxième division de la police judiciaire, il n'a pas cherché à nier les faits. Selon une source policière contactée par l'AFP, le locataire devenu meurtrier était un habituel "mauvais payeur".
"Le restaurateur voulait virer son locataire", a témoigné le serveur d'un restaurant voisin cité par le journal. Et Bellaïd "l'avait prévenu qu'il lui ferait la peau s'il le mettait à la porte". Un drame qui a provoqué une vive émotion dans ce quartier sité entre Nation et porte de Montreuil, dont les habitants interrogés par Le Parisien ont décrit le meurtrier comme "une figure du quartier", un homme "très gentil" qui "distribuait même des bonbons aux enfants".


Voici plusieurs faits divers,sans aucun rapport,mais qui sont graves...

Faits divers 1/7 01/03/2007 à 09:58
. Faits divers . Faits d'hiver .
Faits divers 2/7 01/03/2007 à 10:25
interressant tout ca.
Faits divers 3/7 01/03/2007 à 10:26
ta pas le droit de recopier cmme sa les journeaux et les distribuer aux autres.
ta même pas mis les sources...
Faits divers 4/7 01/03/2007 à 10:29
Des morts, des tortures, de la violence...ben ça va le monde est pas trop triste tout compte fait.
Faits divers 5/7 01/03/2007 à 10:37
Pour le chien : 'Fallait pas l'enfermer le pauvre ! Il est frustré , quoi !
Pourquoi y'a pas la savane des chients ? là au moin, ils sont libres et on sait que leur territoire, c'est le leur !

Et on les nommerai d'animaux "sauvages"


pour les homophobes : sans commentaire, j'deteste ça.


les meurtres et autres : Oh oui ! les pathoextraterrestre existent !
Faits divers 6/7 01/03/2007 à 10:42
skaloprie>ça n'a rien à voir et c'est pas comme si je l'avais vraiment fait...
Faits divers 7/7 01/03/2007 à 10:47
Pff oui de la violence, je dirait j'ai pas tout lu mais si on fait le tour, 50% des truc que ta noté est du a une éducation ou une présence insufisante des parents.... avant de blamer les enfants, allons aprendre au parents a avoir des enfants.
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