Histoire d'un jeune ado...

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

_StAn_   Histoire d'un jeune ado... 54 06/07/05 à 15:53

Voila c'est une histoire que j'ai lu sur un site de témoignage ya pa longtps, j'ai trouvé sa assé hummm chokan voir horible oué jcroi ke c le mot donc jvou laisse lire (c un peu long mé sa en vo le cou) :

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Bonjour ; je m’appelle Guillaume et j’ai 17 ans (je sais, ce n’est pas très original, mais pas fait exprès). Je suis homosexuel, même si j’ai toujours du mal à l’avouer. Je ne sais pas pourquoi je livre mon témoignage ; sûrement parce que j’ai besoin de parler, d’évacuer un peu ce qui me hante nuit et jour, ce qui me rend triste et me fait pleurer la nuit, ce qui me déprime et me dégoûte, ce qui fait que maintenant je n’arrive plus à me regarder dans la glace et que je me trouve méprisable, et ce qui fait que j’ai essayé de me suicider et que je n’en ai encore parlé à personne.
Comme je l’ai déjà dit, j’ai 17 ans et je n’ai jamais rencontré d’homosexuel de ma vie. Il y a trois ans maintenant, je suis tombé amoureux d’un garçon (appelons-le H.) ; c’était en Troisième, et si j’avais conscience que je n’étais attiré que par les garçons, j’étais loin de me représenter en tant qu’homosexuel : non pas que j’avais des doutes, mais tout simplement que je n’y pensais pas. Je savais que je préférais les garçons, mais je ne voyais pas plus loin ; et avec le recul, ce n’était pas plus mal...
Bref, je suis tombé fou amoureux de ce garçon, H. , dont je me suis fait un ami ; jamais alors je n’aurais osé aller plus loin. Malheureusement, à la fin de la Troisième, il est parti dans un autre lycée que moi ; j’ai cependant réussi à garder contact et on se voyait de temps en temps pendant les vacances. En deux ans, je n’ai jamais réussi à l’oublier ; car même si je ne le voyais pratiquement jamais, je n’arrêtais pas de penser à lui. Et puis, en Terminale, surprise, il a changé de lycée, est venu dans le mien et même jusque dans ma classe. Au début, c’était comme si le plus beau de mes rêves se réalisait : il était dans ma classe, il se mettait à côté de moi pour tous les cours, et enfin on devenait les meilleurs amis du monde, même si moi, j’espérais plus...
J’ai nagé dans le bonheur total jusqu’au mois de Décembre ; mais comme chaque jour j’étais encore plus fou de lui que la veille, ça devenait de plus en plus lourd à porter ; je n’arrivais pas à me limiter à de l’amitié, je l’aimais et je voulais le lui dire...
Le soir des vacances de Noël, j’ai craqué : je lui ai tout avoué sur MSN, parce que je n’aurais jamais osé lui dire en face.
Il l’a très très très mal pris.
Au début il a cru que c’était une blague et il ne voulait pas me croire.
Quand il a vu que je m’entêtais, il a commencé à comprendre et il s’est mis à m’insulter. Il m’a dit que je le dégoûtais, que j’étais « gore », « dégueulasse », « contre-nature », et surtout qu’il « avait les boules », et puis il s’est déconnecté.
Comme vous pouvez l’imaginer, je n’ai pas dormi de la nuit, je me sentais mal, j’ai pleuré pendant des heures, j’avais envie de vomir, envie de mourir, envie de me suicider.
Autant toutes les remarques homophobes, même de vos proches, peuvent vous glisser dessus et vous être indifférentes, autant quand elles viennent de celui pour qui vous auriez tout donné, jusqu’à votre âme, jusqu’à votre vie, alors elles vous arrachent le cœur.
Je n’ai rien pu avaler le lendemain ; en début d’après-midi, il s’est reconnecté, et là ça a été encore plus dur. Choqué par ce que je lui avais dit, H. l’avait répété à un copain que nous avions en commun ; ils s’étaient connectés ensemble, et faisaient une sorte de psychanalyse dans mon dos.
Moi je ne voulais pas que ça se sache ; j’essayais de parler à H. en privé, mais lui se complaisait à rapporter tout ce que je disais à son copain, avant de me forcer à parler devant lui. J’ai eu le droit à toutes sortes d’insultes, du classique « pédé » (que je continue à voir comme une insulte) jusqu’aux phrases du genre « eh, faut que t’ailles dans les vestiaires des filles en sport », bref, ce genre de plaisanteries ; moi je suppliais vainement H. de ne pas répéter ce que je lui avais dit, et lui, au contraire, disait qu’ « il fallait que ça se sache » et semblait prêt à le crier au monde entier.
J’étais complètement anéanti ; je n’aurais jamais cru qu’un ami aussi proche puisse être salaud à ce point ; et quand la personne que vous aimez le plus au monde vous dit que vous lui donnez envie de vomir, eh bien ça vous coupe l’envie de vivre. _Sur la fin H. ne voulait même plus me parler.
Je me sentais plus mal que jamais ; pour moi, la douleur morale que j’éprouvais était pire que toute torture physique.
J’ai avalé dix boîtes de médicaments au moins ; j’ai avalé pilule sur pilule jusqu’à tirer au cœur et j’ai continué encore et encore, plus d’une centaine en tout, de n’importe quoi, des médicaments pris au hasard, je voulais mourir, je voulais crever.
Et je suis parti à vélo de chez moi, j’espérais sûrement que les médicaments m’assommeraient assez pour que je me paye un camion en pleine face, et je continue de penser, parfois, que ça n’aurait pas été plus mal. Alors évidemment, j’ai pris au maximum des nationales avec beaucoup de circulation, mais à part quelques nausées et des étourdissements, les médicaments n’avaient aucun effet.
Consciemment ou non, j’ai fini par m’arrêter à la médiathèque, où j’ai retrouvé un de mes amis, à qui j’ai tout confié, et qui, j’ai cru, ne l’a pas mal pris et m’a remonté le moral.
Rentré chez moi, j’ai été malade pendant trois jours à cause de toutes ces pilules que j’avais ingurgitées ; comme je ne mangeais toujours rien, ma mère s’inquiétait, et la convaincre de ne pas appeler le médecin n’a pas été chose facile, mais l’idée qu’on puisse me prescrire d’autres comprimés me donnait encore plus envie de vomir.
J’ai passé les vacances de Noël dans la dépression la plus totale ; j’ai dû paraître désagréable à bien des gens, mais qu’y a-t-il de plus dur que d’afficher un sourire et de parler de la pluie et du beau temps, quant toute votre âme et tout votre corps aspirent au désespoir le plus profond ? Pourquoi vivre, si ce devait être sans H. ? Pourquoi vivre, si je n’inspirais plus que haine et dégoût à celui qui était pour moi toute ma vie ?
Bref, sinistres vacances, qui présageaient une rentrée encore pire. H. et moi devions nous voir pendant les vacances ; naturellement, tout avait été annulé à l’annonce de mon homosexualité ; il parlait même d’arrêter les TPE (travaux personnels encadrés) que nous faisions en commun. Mais c’est à la rentrée que j’ai réalisé avoir perdu à tout jamais son amitié : alors qu’avant, nous passions toutes les journées ensemble, maintenant il parlait à tout le monde sauf à moi. En cours, il se prenait d’un subit intérêt pour le livre du voisin, fût-il mal placé à l’autre bout de la table, alors que celui que je lui présentais était sous ses yeux.
Il n’y a qu’aux repas qu’il ne pouvait m’éviter ; mais même alors il trouvait le moyen pour qu’à tout prix nous ne soyons pas seul à seul ; il évitait et refusait le dialogue. Que dire du subit intérêt qu’il prit pour les filles, au point que pas une ne pouvait passer devant lui sans qu’il donne son opinion sur elle, sinon que ça me faisait souffrir encore plus, car avant il n’en parlait pratiquement jamais...
J’ai voulu lui parler en tête-à-tête : tout ce qu’il me dit alors, c’est que j’étais vraiment dégueulasse, qu’il fallait que je me trouve une copine, et que je me trompais, qu’il n’avait rien changé dans son comportement. Ce qu’il disait surtout, c’est qu’il fallait que je change, que je devienne hétéro, que j’arrête de le kiffer : j’ai compris plus tard qu’il craignait pour sa réputation. Il voulait que les rumeurs (dont il était la cause) cessent de circuler, que surtout on ne puisse pas le prendre pour un pd. Il voulait en quelque sorte que je fasse un « coming-in » auprès des deux ou trois personne qui savaient que j’étais homosexuel.
Je ne l’ai pas fait. J’ai voulu lui expliquer que devenir hétéro était aussi difficile pour moi que de demander à un Noir de devenir blanc ; il m’a ri au nez.
Alors il a commencé à faire des allusions pernicieuses à mon homosexualité : dès que l’occasion se présentait, il se plaisait à s’écrier à n’importe qui « Eh, dégage, je suis pas pd moi ! », devant moi de préférence, et bien fort pour que j’entende. Dans mon dos, il faisait des remarques que les gens ne comprenaient pas, disait par exemple que je pouvais toujours faire antiquaire, et riait de ses plaisanteries.
Et moi, malgré cela, et même si je faisais tout pour arrêter, vraiment tout, je l’aimais encore. Et j’en souffrais d’autant plus.
Il y a une semaine, je me suis décidé à ne plus lui parler et à l’éviter jusqu’à ce qu’il vienne mettre les choses au clair ; je l’évitais les midis, dût-il se retrouver tout seul pour manger : moi, je ne mangeais pas du tout. En cours, je me plaçais ostensiblement à l’autre bout de la classe, alors que nous étions d’habitude côte à côte. J’attendais sa réaction. J’espérais une réaction : j’avais vraiment besoin de lui parler. Il n’en a eu aucune. Il m’ignorait superbement.
J’étais de plus en plus tout seul ; en fin de semaine, j’ai appris qu’un de mes prétendus « amis », en qui j’avais eu confiance, avait répété à quasiment toute la classe que j’étais « pd », et sans épargner les détails. Le vendredi, la veille des vacances, pas une personne de ma classe ne m’a dit bonjour. J’ai eu droit à toutes sortes de réflexions dans mon dos : exemple au hasard, en cours de SVT, le professeur demande, en rapport avec la lignée humaine, quel fut après l’australopithèque le premier représentant du genre « homo » : et là j’entends crier derrière moi mon nom : c’était tellement facile, toute la classe était écroulée de rires. Dans la cour, des types que je connaissais à peine, me demandaient d’un air menaçant ce que j’avais à les regarder, alors que j’avais à peine levé le regard sur eux.
Bref, j’aurais passé la journée entièrement seul si une amie -la seule qui me reste- ne m’avait soutenu du mieux qu’elle pouvait le midi.
Ce n’est que le soir, sur MSN, que H. s’est enfin décidé à me parler. Sur MSN, la moitié des pseudos de mes contacts étaient faits pour se foutre de ma gueule : du genre « Paraît que c’est cho entre PD et H. !!! » « A quand le coming out devant toute la classe ? I want to die I fly with the suicide », « Eh, Steevy, c quand la gaypride ? mdr », etc.
Et là, la première chose que H. m’a dite, c’est que j’étais un « fils de pute ». On a parlé pendant deux heures ; à la fin, désemparé, je suis parti. Je ne lui ai jamais demandé qu’une chose : qu’on reste amis.J’ai argumenté pendant des heures, j’ai tout essayé, je suis passé par la colère, par les sentiments, je lui ai rappelé comment, avant, nous étions les meilleurs amis du monde. Mais que répondre à la haine, quand elle est injustifiée ? Que répondre à l’homophobie ? Il n’a pas arrêté de m’insulter du début jusqu’à la fin (il avait commencé assez doucement avec son « fils de pute ») ; j’ai appris plus tard qu’en même temps il copiait-collait notre conversation à un « copain » et se foutait de ma gueule dans mon dos. Puis il a tout enregistré et fait circuler la conversation en entier à ses contacts.
Voilà, j’en suis là : j’ai tout perdu, tous mes amis, toute ma réputation, je n’ai gagné que le mépris de mes camarades de classe, et la haine pure et simple d’un garçon que j’ai eu le tort d’aimer un peu plus qu’il ne faudrait...
Il y a une heure à peine, j’ai appris, sur MSN, que H. et mes deux meilleurs amis ont été au restaurant et au cinéma ensemble, alors qu’avant nous ne faisions rien sans être tous les quatre réunis. Maintenant, je n’existe plus. C’est un de ces deux « amis », qui pour mieux me provoquer l’a écrit en lieu et place de son pseudo sur MSN : « c’était trop bien la pizzeria et le ciné avec H. !!! » Pure méchanceté. Je ne lui ai jamais rien fait. Il voulait me faire mal, il a réussi.
C’est le point où j’en suis. Il y a quatre jours, j’ai voulu me taillader les veines avec des lames de rasoir. Manque de volonté, de détermination, je n’ai réussi qu’à faire rosir l’eau du bain et à barbouiller une serviette toute propre ; mais j’ai compris comment il fallait faire. Je ne sais pas si je le referai ; je ne sais plus si j’ai vraiment envie de vivre.
J’ai malgré tout pris un peu de recul avec H., même si je continue de l’aimer ; c’est ce recul qui me permet d’en parler, avec la froideur et l’indifférence de la douleur. Je ne souhaite à personne ce qui m’est arrivé et ce qui continue de m’arriver ; sans doute certains ont eu à subir pire : en témoigne le taux de suicide élevé chez les jeunes homosexuels. Je ne sais pas si, bientôt, je ne vais pas venir grossir ce taux, un infime point de plus dans les statistiques, vite oublié et rayé de toutes les mémoires...
Que ceci constitue alors un adieu, la marque de mon passage... Je m’excuse auprès de tout le monde, auprès de H., à qui je n’ai pas su parler, auprès de mes amis, s’ils veulent encore bien l’être... J’espère que vous saurez mieux profiter de la vie que moi, et vous souhaite tout le bonheur que j’ai eu le tort de vouloir, que j’ai eu le tort de demander, et que je n’aurai jamais...

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Voilà. Vraiment horrible cette histoire...

Histoire d'un jeune ado... 21/54 03/07/2005 à 12:18
pfffffffff abuZé faut pas se laisser faire !! GRRRRR
Histoire d'un jeune ado... 22/54 03/07/2005 à 12:18
putain bonjour lambiance... jvi1 dme lvé, bah la g envi dretourné me kouché. enfin bon c pa non plu dsa fote si tte sa klass é homophobe, nempéche il a vrément pa u dbol. pi il é un peu kon, kitte a se suicidé, autan fére sa ds la cour du bahu, tu tplante un kouto ds lkoeur avt davoir bien sur égorgé ce H. oula kesky marrive moi?? je krake un pti peu..
Histoire d'un jeune ado... 23/54 03/07/2005 à 13:56
le monde est cruel...
Histoire d'un jeune ado... 24/54 04/07/2005 à 00:00
waw tro triste l'histoire j'en pleure tellement elle est triste; Tout ca parce qu'il a osé dire a une personne qu'il l'aimé
kiiko 
Histoire d'un jeune ado... 25/54 04/07/2005 à 01:29
Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet Pistolet et VIVE LES GAYS!!!!!!!!!!!!!!!
Histoire d'un jeune ado... 26/54 04/07/2005 à 02:21
J'ai des frissons partout... partout... olalala.... Confused .. lol
Ca ma vraiment touché cette histoire, le pauvre...
Et qui, chez les gays, n'a jamais aimé un hétéro?.. a moi aussi ca m'ai arrivé, mais je ne pensais pas au sucide, mm si ct différent que lui. Il a besoin d'un vrai ou d'une vraie ami (e) qui soit au près de lui pour le réconforter et lui donner du courage.. il en a vraiment besoin pour sa vie sourtout... je me demande ce qu'il est devenu mnt... j'espère qu'il nous a pas encore quitter...

En tout cas merci de nous avoir partager ce texte si touchant _StAn_ Wink
Faire la biz

P:S tu disais que c'était un peu long.... le un peu est en trop... mdr
Histoire d'un jeune ado... 27/54 04/07/2005 à 04:15
cette histoire est horrible.... il y a juste un point qui me chiffonne, je cite :
"Je m’excuse auprès de tout le monde, auprès de H., à qui je n’ai pas su parler, auprès de mes amis, s’ils veulent encore bien l’être... "
S'excuser auprès de H. ??? Mais pourquoi ?? S'excuser d'etre lui-même ?? Je dit peu etre des conneries, m'enfin il n'a pa a s'excuser d'avoir été sincère, non ?
Histoire d'un jeune ado... 28/54 04/07/2005 à 09:27
je viens de lire tous vos commentaires et je suis très touché par cette histoire et par vos commentaires qui reflètent très bien la réalité de notre monde démocratique et dit de tolérance. c'est une histoire qui me touche tellement que je ne sais pas dans quel ordre écrire mes sentiments tellement ils sont confus. En tout cas il aurait été utile à Guillaume d'aller voir son Directeur pour atteinte à la liberté et aux croyances d'un élève. De plus comme le dit SaXoGuY Guillaume n'a pas à s'excuser auprès de ceux qui l'ont méprisé, dénigré,... Je pense que cette histoire même si elle est dégeulasse et qu'elle a sans doute fait beaucoup de bruit dans l'entourage de Guillaume ca finira par s'attenuer, les gens ne l'ont pas forcément rejeté parce qu'ils étaient homophobes mais parce que les hommes en eux-même ont peur du changement et de la différence. Cette histoire sera dur à supporter au début je pense mais par la suite cette haine envers Guillaume s'en ira et il trouvera les bonnes personnes qu'il cherche et comme plusieurs personnes l'ont dit, il ne faut pas que Guillaume se scuicide, ce serait leur donner raison. Je pense que cette histoire il n'est pas le seul à l'avoir vécue mais bien d'autres gays l'ont vécue je pense. Moi-même, et je terminerai par ca, j'ai eu un 'ami' qui m'a présenté une autre personne qui était gay et après avoir discuté longuement il me répétait tout le temps 'ok' (celui qui était sencé être gay) et je lui ai demandé 'tu ne sais pas dire autre chose?' (faut dire que les ok à répétition ca a parfois le don de m'exaspérer) et il m'a rpondu 'oui je sais dire autre chose attend' j'ai attendu cinq minutes et il m'a répondu 't'es qu'un sale dégue de pd, espèce de con dégueulasse sale gay, va voir à la gaypride si je n'y suis pas,...' et encore bien d'autres choses. Voila ceci est un témoignage parmis d'autres.

Nicolas
Histoire d'un jeune ado... 29/54 04/07/2005 à 10:26
je pensse meme qu'avecla nouvelle réglementation de nos jour il pourrai aller porté plainte avec se t'émoignage la il es sur de gagné
il y a vraiment des cons sur terre
Histoire d'un jeune ado... 30/54 04/07/2005 à 10:36
je pensais a ca aussi altair mai vois-tu je connais plus la legislation belge que francaise mais je pense qu'a quelque differences pres c'est la meme
Histoire d'un jeune ado... 31/54 04/07/2005 à 10:37
je suis vraiment dégouté ..... meme si je suis pa homosexuel c horrible ce ke H a fé .......
Histoire d'un jeune ado... 32/54 04/07/2005 à 12:35
ba je n aurais jamais imaginer que certains puissent autant souffrir. moi, déja, jai eu du mal, mais je navais jamais subi depreuves aussi epouvantables. je compatis vraiment poue ce jeune homme. j aimerais savoir ou est ce que vs avez vu (je parle a _stan_ en particulier puisque c lui qui a poste ce message). c vraiment dommage que des jeunes veuillent se suicider. je pense qu en se soutenant, que si, plus precisement, ce garcon avait rencontre un homo plus tot pour laider a mieux saccepter et a savoir qu il peut compter sur qqun, il aurait deja ete plus facile de vivre sa vie. si vs pouviez me dire comment je pourrais le contactez, ce serait sympa. (enfin... si maintenant, il se sent parfaitement bien et arrive a ignorer completement les remarques blessantes des autres, ce nest pa la peine de me filer ses coordonnes)
Histoire d'un jeune ado... 33/54 05/07/2005 à 02:04
trés triste mais encore un lache qui a pas les bolox de sasumer et d'afronté la soufrance aucun courage aucune determination des personne aussi faible je ne leur done meme pas ma pitié
Histoire d'un jeune ado... 34/54 05/07/2005 à 02:39
il se fou pa mal de ta pitié, Wolwerine
il aurai eu plus besoin de conseil et d'une oreille atentive
ke de ton regard compatissant et vide de sentiment
Histoire d'un jeune ado... 35/54 05/07/2005 à 15:57
c'est la qu'ont se rend compte que des personnes horribles comme hitler peuvent "vivre leur passion", celle de l'execution, des gens comme ça, ça ne devrait pas exister
Histoire d'un jeune ado... 36/54 05/07/2005 à 19:18
ce temoignage est vraiment poignant. Quand on le lit on se croirait devant un bon bouquin dont on veut connaitre la fin. MAis malheureusement ce n'est pas du fictif. C'est l'oeuvre d'un gars qui bien malgrè lui c'est rendu compte que les bons copains se comptent sur les doigts d'une main.. Et encore..... C'est la preuve qu'il y a dans ces foutus lycées des imbéciles qui ne savent pas quoi faire pour se rendre interressant.. Qui pensent que ce genre de remarques peuvent faire d'eux des hommes respectés par les autres..... Pensent ils vraiment ca qu'ils disent.. je n'en suis pas sur... Mais la connerie fait qu'ils font tout pour ne pas passer inaperçus.... pour pour que l'on ne leurs collent pas cette terrible etiquette sur le dos... Pourquoi terrible? Tout simplement car on les a élevé dans ce sens.. Mais ces gars sont tellement imprégnés par les discours et opinions parentaux qu'ils pensent même pas.. Ils ne font que refléter la triste éducation que leurs inculquent leurs pères bien souvent incultes...... Je leurs donnent rendez vous dans quelques années afin de voir su leurs vies est aussi mornes et sans intérêt que celle qu'ils avaient lors de leurs adolescences. malheureusement ces rétrogrades ne progressenty que très peu dans leurs vies.. Ils resteront comme leurs géniteurs.. Des boulets pour la société.... Je hais ces gens là autant que je respecte les gays !!!!!! je n'ai aucune tolérance pour des gens comme ça.
Et je prie dieu pour qu'un jour, un de leur fils leur dise: Hé p'pa je suis gay !!!!
Peut être se rappelleronst ils leurs ado et tout le mal qu'ils ont fait !!!!!
Histoire d'un jeune ado... 37/54 06/07/2005 à 01:41
ben alor je suis complétement dacor avec toi fender on voit vraiment la méchanceté envers la diférence Confused et je ne comprend pas pourkoi cette réaction de vouloir faire du malet surtout a quelqun qui nous aime
surtout que je dis "diférence" mais quelle diférence? celle detre Homo es un crime pour traiter les gens comme sa? et bien voila la bétises humaine Sad Mad
je ne suis pa dacor avec sa pa du tout nous sommes tous diférent et aussi tous identiques il ny a pas de de noirs, jaunes,beurs,homos,juifs, crétiens;Cathos Exclamation
nous sommes des etres Humains sauf 2 : l'intolérant et le rasiste(antisémithe, homophobes...)
Pistolet
pffffffff
je trouve sa + que navrant!
hugo Fleurs
Histoire d'un jeune ado... 38/54 06/07/2005 à 15:53
Oula je ne sais pas trop qoui dire.... Je ss complétement tt retourné, tt boulversé par cette histoire... Ms pkoi les gens ont-ils si peur de la différence ????
Ca crain...
Histoire d'un jeune ado... 39/54 26/10/2005 à 12:47
c la ktu reconait t vrais amis....
Histoire d'un jeune ado... 40/54 26/10/2005 à 12:49
Je l'ai déja lu, c'est triste, mais ca métoneré ke ce soit vrai, peu de personnes écrivent leur vie en exprimant ouvertement leurs envie de suicide
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