Juste une nuit.

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HoPe   Juste une nuit. 27 15/10/08 à 20:29

Bonjour (ou bonsoir), à toutes et à tous ! =D
Comme vous pouvez si justement le remarquer, la folie de la Plume (ouais, ça fait classe) s'est jetée sur moi, et j'ai écrit un nouveau texte.
Peut-être est-ce cette soirée morose qui m'a inspiré...

Bref. Nouveau texte qui m'a plût et que j'ai eu envie de partager avec vous, chers SEiens-iennes.
Peut-être trouverez vous ce texte un peu "naïf" ou "gnangnan" dans les sentiments. j'ai eu envie de changer, d'accoster un style un peu différent. Et j'avoue que je l'aime particulièrement.
Je vous invite à poster vos réactions et/ou critiques permettant un approfondissement du texte ou du style général, de l'approche et du rendu de la chose.
Le texte est plutôt long, je vous préviens.

En espérant vous offrir une agréable lecture.



Le ciel est noir.
Tandis que la fine pluie roule sur ma nuque et se mêle à mes cheveux, je contemple d’un air évasif les lumières lointaines d’un Paris en plein rêve éveillé. Le vent murmure un doux effluve d’automne, et je ferme les yeux un instant, bercé par la tiédeur humide de l’air.
Juste un instant. Histoire de ne pas être. D’abandonner cette eccéité qui me retient. De sentir le parfum qui m’entoure. D’écouter le vent. Les voitures, au loin, gronder. La pluie qui tombe. De me sentir libre. Capable de ne pas penser. Capable de tout oublier.
Debout, là, sur ce balcon au quatrième étage, accoudé sur cette rampe blanche. « Look After You » de The Fray dans les oreilles.
Ouais. Cette chanson doit y faire pour beaucoup.
Une soirée comme celle la est rare, je trouve. L’ambiance est étrange, presque mystérieuse. Non, pas mystérieuse, unique, ineffable.
Ca faisait longtemps que ça n’étais pas arrivé.
Il doit être près de 3 heures du matin. J’ouvre mes yeux, plongeant à nouveaux mon regard dans la mélodie des lumières de la capitale. J’aperçois au loin la tour Eiffel et son phare blanc qui tourne au dessus de la ville.
Il veille.
- Tu n’arrives pas à dormir ?
Je tourne la tête.
- Non.
- Viens. Rentre avec moi.
Je sens sa main prendre la mienne avec douceur. Son autre main me prend par la taille et me serre. Ses doigts glissent sur mes hanches.
Je referme à nouveaux mes yeux.
- Non… Tu n’es qu’un rêve.
Ses mains se détachent de mon corps peu à peu, et disparaissent.

Tournant les talons à cette vue si paisible, je rentre dans le petit salon de mon appartement. Posant mon baladeur avec délicatesse sur une table basse, je me dirige vers ma chambre.
La moquette est chaude. J’ai mal à la tête. Posant ma main sur mon front blême, je cherche du regard mon échappatoire.
Elle doit être quelque part par là…
Ah, voilà.
D’un geste lent, je m’empare d’une seringue posée sur mon lit. J’enlève un tube vide coincé dans son corps, en place un autre, rempli d’un liquide translucide. Je pose un garrot sur mon bras, serre fort, et enfonce l’aiguille dans une des veines qui ressort, sur mon avant-bras.
Puis, j’appuie.
Une sensation de bien-être d’abord. De légèreté. D’insouciance. De liberté. Un peu comme la vue de Paris sur mon balcon, mais avec quelque chose en plus. Quelque chose qui fait planer. Qui fait tout oublier. Comme si je survolais la ville et que j’entrais dans chaque lumière, chaque coin d’ombre, que j’étais tout, et rien.
Un phare bleu m’aveugle. Je suis bercé dans un doux halo, léger, je plane.
Soudain, une silhouette se détache de cet océan brumeux qui m’englobe. Je suis tiré de ma rêverie, pour retrouver la dure vision du plafond blanc de ma chambre.
Elle est à côté de moi.
- Tu m’avais dit que tu arrêterais.
Mon regard se détourne.
- Ouais. Je sais.
- Tu ne tiens pas tes promesses.
Mes promesses…
- …J’aimerais tellement que tu sois réelle, tu sais.
Mais à peine ma phrase finit et mes yeux posés sur son image, elle disparaît. Elle s’évapore dans l’air, translucide puis invisible.
Je frotte mes yeux. J’enlève la seringue, la pose sur mon lit et jette le garrot sur le sol. Je sors de la poche de mon jean un portable blanc et noir, et compose un numéro à la hâte. Puis, je colle le combiné à mon oreille.
Quelqu’un décroche.
- Allô ?
- ‘Lut, Jenny. Je te dérange pas ?
- Hein ? Oh, salut Éric. Non, non tu ne déranges pas. Je dormais…
- J’ai besoin de parler.
- Ta meilleure amie est toujours là pour t’écouter.
- Ouais. Je sais. Merci.
- Qu’est-ce que t’as ?
- J’arrive pas à dormir.
Blanc.
- Tu en as repris ?
- … Hm.
- Putain Éric ! Tu vas finir par claquer un jour ! Tu ruines ta santé merde, tu joues avec le feu !
- Je sais…mais j’ai trouvé que ça pour ne pas la voir. Même pendant quelques instants. Je la sens, tu sais. Je sens ses doigts. Ses mains. Son corps contre le mien…
- C’est pas une raison, merde. T’agis vraiment en gros con. Écoute-moi pour une fois, et jette ce qui te reste de cette saloperie. Ensuite, va voir un psy, et…
- Et ? Pour que ça finisse comme la dernière fois, à prendre des médocs à en perdre la mémoire ?
- Faudrait savoir ce que tu veux. Oublier, non ?
- Non, enfin je…je voudrais…je voudrais…juste la…la…
Une larme coule sur ma joue. D’un revers, je l’essuie.
- Qu’elle soit là. Pas dans mon esprit. Ca fait trop mal, je crois.
- Faut que tu retournes chez ton psy, Éric. Ca vire à la psychose, ces hallucinations.
- Je sais, mais…ça à l’air tellement réel… A chaque fois, j’ai l’impression qu’elle se tient là, debout face à moi…comme avant…
- Éric, elle est morte. Depuis 2 mois. Faut que tu te fasses à cette idée.
- Mais bordel, je m’y suis fait !
Seuls mes sanglots discrets viennent perturber le silence qui suit. Soudain, je sens sa main qui me caresse les cheveux.
J’ai envie de partir. De la rejoindre. De m’abandonner.
- Elle est là…je la sens… juste là…
- Éric, ce n’est pas la réalité. Tu hallucines, tu vois quelqu’un qui est mort.
- Mais tu verrais son regard…il est tellement vrai…
- Bon, je viens chez toi.
- Non, je…suis pas en état.
- J’men fou, je ne vais pas te laisser délirer dans ton coin, s’pèce de cinglé.
Elle raccroche.
Soudain, Ses mains viennent masser tendrement mes épaules. Comme avant.
Alors, enivré par un vif et mordant souvenir encore chaud dans mon esprit, je lève la tête vers son visage.
Oui. C’est bien elle.
- Élodie… Tu es là ?
Je sens pourtant ses mains. Son souffle. Non, ça doit être…mon imagination… ça l’est forcément…
- Réponds-moi. Je t’en prie. Dis moi que tu es réelle… Que tu existes, que je ne rêve pas…
Mais ses mains s’évanouissent, et son visage s’efface dans l’air. Illusion évanescente. Seules mes larmes glissent sur mes joues.
Rien d’autre.


Il y a à peu près trois mois, j’avais une petite amie. Elle s’appelait Élodie.
Elle était d’origine française, mais sa famille se perdait dans des dédales de lointains parents allemands, italiens et espagnols. C’était une fille très belle et gracieuse, ses yeux verts pétillaient d’une lueur rassurante, bien qu’étrange. Ils avaient ce quelque chose que vous n’arrivez pas à saisir, comme si ils voyaient en vous. Quelque part, c’est apaisant. On se sent compris, en quelque sorte.
Sa bouche était pulpeuse. J’aimais beaucoup sa bouche. Elle est était dessinée gracieusement, et se mêlait parfaitement aux harmonieux traits sveltes de son visage. Ses cheveux blonds frisaient en de petites boucles quand elle ne les lissait pas. J’aimais jouer avec. Passer mes doigts dedans. Me couvrir le visage de leur odeur.
Oui. Oui, je l’aimais. Comme c’est pas permis. Comme un fou.
Je l’aimais tellement que ça m’en faisait mal, parfois.



Et un jour, elle est morte.

C’était dans un carrefour. Elle le traversait, et une voiture à déboulé. Elle aurait pût freiner, ou même la contourner. Mais ce jour là, il faisait chaud. Très chaud. Un des pneus de la voiture s’est percé, et le conducteur à perdu le contrôle.
Élodie était sur la trajectoire. Happée comme une vulgaire poupée.

Puis, j’ai commencé à fumer, à me droguer, à faire des tentatives de suicide. Le genre de conneries qu’on fait tous quand on perd un être irremplaçable, le genre de personnes sans laquelle vous ne pouvez, ou vous croyez ne pas pouvoir vivre, survivre.
Puis un jour, je l’ai vu. D’abord, au carrefour où elle est morte. Puis dans ma rue. Puis devant mon immeuble. Devant ma porte. Et maintenant, partout où je vais.
Elle me suit, ça et là. Elle apparaît sans prévenir, et ressasse les mêmes scènes de notre vie quotidienne, un passé révolu qu’elle continu de faire revivre devant mes yeux. Dès que je tente de la toucher, elle disparaît. Dès que je tente de lui parler en la regardant, elle s’évanouit. Comme un spectre.
Comme une ombre.

- Éric.
- Tais-toi…
- Éric.
- Tu n’es que le fruit de mon imagination…
- Éric.
- Une pensée, un souvenir, un passé que je ressasse, que je n’arrive pas à oublier…
- Je suis là, Éric.
Je sursaute.
- H…hein ? Tu me parle ?
- C’est toi qui ne m’écoute jamais ! Ca fait des heures que je te cause !
Encore une scène de notre passé.
Je la contemple. Je sais. C’est une hallucination, un désir que je n’arrive pas à refouler, une mémoire impossible à effacer. Elle est là, sous mes yeux, et pourtant elle n’est pas là vraiment. Juste dans ma tête. Juste dans mon cœur.
- Pardon. Je ne voulais pas…t’énerver.
- Ouais, sans doute. T’a la tête ailleurs, ces temps-ci. J’ai l’impression que quelque chose à changé.
- Mouais…
- Quoi ?
Sérieux. Je suis en plein délire psychotique là.
- Rien. Non, rien.
- Alors viens, j’ai quelque chose à te montrer.
- Quoi ?
- C’est une surprise !
Je commence vraiment à basculer dans la folie. J’imagine qu’elle me répond, maintenant. La schizophrénie n’est pas loin…
Soudain, elle me prend par la main, et je suis soulevé par son bras. Mon cœur fait un bond, et je me dégage de son étreinte.
Alors, ses yeux rencontrent les miens. Mon cœur bat très vite. Trop vite.
- Élodie ?
Elle me fait un petit sourire.
- Enfin. Je t’ai retrouvé.
- Mais non…non…tout ça n’est pas réel !
Elle me contemple.
- Est-ce vraiment si important ?
Elle reprend ma main.
- Viens. Laisse-toi guider. Tu n’as pas à avoir peur. La chose est déjà faite.
- Quelle chose ?
- Tu le sauras bientôt.
Soudain, ma chambre tremble. Les murs s’affaissent, le sol se dérobe sous mes pieds, le plafond disparaît pour laisser place à la nuit. J’entends des bruits, derrière moi. Des enfants. Tournant ma tête, j’aperçois un manège.
- On venait souvent ici, avant.
Elodie est à côté de moi.
- Je rêve ?
Elle ne répond pas.
- Tiens, regarde. C’est nous là-bas.
Je regarde dans sa direction. Sur un banc trônent deux personnes. Ils s’embrassent.
- Pourquoi je vois ça ?
- Je n’en sais rien. Je ne suis qu’une partie de toi, après tout. Je ne connais pas toutes tes intentions. Peut-être pensais-tu à me déshabiller, à ce moment.
Je rougis.
- Bah, c’est le passé. Maintenant, tu es…
Elle prend ma main, et la serre. Sa peau est douce.
- Je suis ici. Nul part ailleurs.
- J’aimerais. Si tu savais comme j’aimerais…
Sa main s’empare de mon cou et elle m’embrasse.
Toutes les questions, toutes les souffrances, ses lèvres les font disparaître. Sa langue se fraye un chemin à travers mon âme et tait mes peurs, mes pleurs.
Oui…elle est là…
Malgré tout, et à contrecœur, je me détache d’elle.
- Non. Non, je suis en train de délirer, de faire une grosse hallucination.
- Peut-être. Mais alors, c’est une très belle hallucination.
Le décor change. Du sable apparaît sous nos pieds nus qui se chevauchent. Nos mains sont enlacées. Allongés, sa tête sur mon torse. Une belle aube englobe la scène d’une douce fraîcheur estivale. Le soleil se lève. Le doux frou-frou des vagues de l’Atlantique donne envie de s’allonger et de ne penser à rien d’autre. D’écouter. Encore et encore.
- Tu te souviens ? C’est là qu’on a fait l’amour pour la première fois.
Je souris. Comment ne pas s’en rappeler ?
- Oui. Je m’en souviens. C’était magnifique.
Elle lève la tête et m’embrasse une nouvelle fois.
- Et si on le refaisait ?
Tout à coup tout s’effondre. Le sable devient noir, le soleil disparaît. Nous sommes assis sur des chaises. Elle pleure.
- Pourquoi tu pleures ?
- Tu ne te souviens pas ?
- Non…pas de cette fois.
- Ma mère venait de décéder.
Elle enfoui ses pleurs dans ses bras. Doucement, je l’enlace. Pour la consoler. Pour ne pas la laisser seule.
- Je serais toujours là pour toi.
Elle relève sa tête. Je lui remets lentement ses cheveux sur les côtés, pour voir ses yeux. Une larme coule sur sa joue.
Nouveau changement soudain de décor. Nous sommes dans un lit, nus. On vient de faire l’amour.
- Dis…pourquoi je vois tout ça ?
Mon regard se perd dans les courbes de son corps.
- Voir quoi ? Me voir ? J’y peux rien, tu me regardes !
Je rougis une nouvelle fois, avant d’étouffer un petit rire.
- Non…tout ça. Tous ces souvenirs. Nous avons déjà fait tout ça.
- Tu n’a pas envie de revivre tout ces moments avec moi, une dernière fois ?
- Dans quel but ? C’est déjà terminé.
- Pas dans ton esprit.
- Mais ce n’est qu’un souvenir. Un rêve. Pas ce que je veux.
- Qu’est-ce que tu veux ?
Je la regarde.
- Toi.
Je sombre tout à coup dans le vide. Mes pieds battent l’air, je tombe. Enfin, je touche un sol gris et râpeux.
- Qu’est-ce que…
- Nous y sommes arrivés. Le moment est venu de te dire au revoir.
Je me retourne d’un geste brusque : elle se tient au centre d’une route. Un carrefour.
Oh non.
- Ne reste pas planté là ! Bouge !
Je me précipite vers elle. Je lui attrape le bras, et la tire en arrière. Mais elle refuse de bouger. Ses pieds sont ancrés dans l’asphalte.
- Qu’est ce que tu fais ? Viens avec moi !
- Tu l’a dis toi-même. C’est le passé. Et on ne peut pas changer le passé.
- Non, viens, je ne veux rien entendre, rien voir.
- S’il te plait, ne rend pas les choses plus difficiles qu’elles ne le sont.
Ca ne sert à rien. Elle ne bouge pas. Je n’y arrive pas.
- Je voulais…te dire un vrai au revoir. Te consoler.
- Je m’en fous, c’est toi que je veux !
- Comme les enfants…on veut toujours ce qu’on ne peut que regarder.
Un bruit au loin. La voiture.
- Je voulais juste que tu saches…ce n’est pas ta faute. Fatalité, destin, hasard, appelle ça comme tu veux. C’était ça. Pas toi. Pas moi. Juste ça.
- Je m’en fous… De tes excuses, de tes leçons, de tout, du passé, de l’avenir, de moi, des autres…je te veux toi, juste toi…comme avant.
J’agrippe son tee-shirt. Calmement, elle pose ses mains apaisantes sur ma tête. Je n’arrive pas à m’empêcher de pleurer. Je suis là, devant elle, et je ne peux rien faire.
- Je ne suis rien sans toi… Je ne suis qu’une ombre…
- Éric.
Je lève mes yeux. Elle sèche mes larmes.
- Je t’aime.
Un bruit assourdissant. On dirait un volcan. De la lave, un séisme. Alors, je jette mon corps contre le sien. Nos lèvres. Nos mains. Nos corps. Fusion. Apogée d’un rêve et fin brutale. Tout s’arrête, je suis projeté dans un tourbillon, j’ai mal, mal à mon cœur, mal à mes yeux.

Tiens. Je reconnais ce phare bleu, au loin.

Murmure.
De quoi ? Je n’entends pas.
Ah, mais non. C’est juste mon cœur qui bat. Très vite. Trop vite.
Mes yeux sont embrumés, ma bouche pâteuse. La lampe de ma chambre me fait mal aux yeux.
Et je suis seul.
J’effleure ma bouche de mes doigts tremblants. Je sens encore le goût de la sienne. Je ne peux pas ignorer ça. Même si c’était une hallucination.
*Alors, c’est une belle hallucination…*

Déposant une rose sur la tombe marbrée, je regarde, pensif, sa photo. Elle sourit. Radieuse, lumineuse.
Cela fait trois jours que je ne la vois plus. Rien. Tout est calme.
Je fourre mes mains dans mes poches. Il fait froid, aujourd’hui. La brise du nord gèle mes oreilles. Ou peut-être est-ce dû à l’atmosphère du cimetière, elle-même glaciale, austère.
- Merci.
Mais le simple fait de regarder sa photo me réchauffe.
- Mais je pense que tu seras encore dans mon esprit pendant un long moment, tu sais.
Vraiment unique.
- Sans me hanter, cette fois.
ELODIE BAUTRIN. 1992 – 2008.
Je souris.
- On se retrouvera. Dans mes rêves. Et cette fois ci, sans seringue.


Juste une nuit. 21/27 21/10/2008 à 17:00
Ah! J'adore. D'habitude je n'aime pas lire des textes aussi longs, mais là, je ne voulais même pas que ca s'arrête. J'aime beaucoup les changements de décor et la fin est bonne.
Ca m'a même fait pleurer. Et c'est rare qu'une personne arrive à me faire pleurer avec un texte!
Enfin bref, j'adore Coeur
Juste une nuit. 22/27 22/10/2008 à 09:28
WahOu, ca m'a fichu les larmes aux yeux.. C'est vraiment magnifique, plein d'émotion..
T'as vraiment du talent.!
=D
Juste une nuit. 23/27 28/10/2008 à 23:41
Bah dit donc entre ta trilogie inachevée et cette nouvelle on voit un grande différence...
C'est flippant.
Il est super ton texte (pour ne pas dire magnifique Mauvais ange )
HoPe   
Juste une nuit. 24/27 29/10/2008 à 23:46
Merci. Merci à tous pour ces réponses, et plus encore, pour vos réactions. Je prend beaucoup de plaisir à lire vos réactions, et j'en ai plus encore à savoir que le but que je m'étais fixé a été atteint avec plus ou moins de succès.
Encore une fois, merci.

@Pommes : Tu vois quand je te disais que je trouvais le texte que je t'avais envoyé trop immature =)
Juste une nuit. 25/27 30/10/2008 à 23:11
Ouai ouai, tu dis ça mais moi si je savais écrire comme tu l'avais fait (dans ta trilogie)... Je pense que je serai déjà bien contente Cool

Enfin bref.
Juste une nuit. 26/27 31/01/2009 à 16:32
je l'ai trouvé fantastique cette histOire...je crOis que tu pOurrais en faire tOn métier...Tu es de l'avenir dans le mOnde de l'écriture et de la rêverie lol ;) merci à toi de nOus dOnné de quoi révé^^
Juste une nuit. 27/27 01/02/2009 à 02:01
J'ai beaucoup aimé la première partie du texte.

Par contre,à partir des changements de décors,je me suis un peu détaché de l'histoire.
Dommage.
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