La décharge

Ça fait longtemps que j'ai rien posté, alors voilà un p'tit sonnet sans grande prétention.

Le morne automne acide ayant fané l'été
Et la Lune impassible invitant au voyage
Je partis vers le Nord, avec pour tout bagage
Les souvenirs lointains d'une enfance exaltée

Je cherchais l'odorant paradis éthéré
Des ordures. Qui à l'Eden a fait ombrage
En ce temps insouciant, libre de tout ouvrage
Où nos pieds nus fumaient, sous le doux ciel glacé

L'on errait tout le jour dans les allées herbeuses
Ce palais merveilleux ; la marmaille rieuse
Rêvait des vies entières, près du poêle

Juchés sur nos montagnes, en se contant des fables,
Avec nos doigts levés, on se croyait capable,
De toucher le visage des étoiles.

La décharge

1/13

20/05/2010 à 13:37

J'ai un peu de mal à suivre l'histoire.

Fonzie  

La décharge

2/13

20/05/2010 à 15:40

Sans faute, sans prétention, sans gout, c'est ainsi que le voit Frosties (qui n'a pas pu pondre une remarque d'elle-même). Pour ma part je trouve cela assez bon sans que cela tienne du grand art

La décharge

3/13

20/05/2010 à 19:15

Arf, j'arriverais décidément jamais à pondre quelque chose qui plaise vraiment à Frosties. Merci

Alfy -> J'te comprend, c'est plutôt brumeux.

La décharge

6/13

25/05/2010 à 18:54

Merci.

(et un petit up au passage.)

La décharge

8/13

27/05/2010 à 21:28

Moi j'aime. Il n'y a pas de lourdeurs, c'est bien écrit, c'est beau sans en faire trop.
Bon après j'ai pas l'âme d'un poète

La décharge

9/13

27/05/2010 à 21:48

Ci-mer.

La décharge

12/13

03/06/2010 à 21:57

Merci Obsidien.