Marie-Jeanne

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

helouizz   Marie-Jeanne 20 14/03/10 à 16:11

Je vous l'accorde, c'est intolérable de poster ceci ici. En espérant ne pas être censuré, il ne s'agit que d'un abrupte déversoir, un petit bocal insoumis. Quoi qu'il en soit, j'attends vos critiques. J'écris beaucoup à travers des autres !


Comme un flot, n'importe quel flot, l'alcool qui coule à flot et mon flot de pensées, comme un matelot qui navigue sur les flots. Je ne suis que ce flot à l'instant où j'écris. Je coule à t'en noyer, à m'en noyer. Elle s'appellera Marie-Jeanne, il s'appelera Giovanni. '' Marie-Jeanne était une étoile. Elle était le firmanent. Un lueur incandescante invisible le jour. Son jour était venu. Giovanni était son jour. Marie-Jeanne s'affairait sous la véranda, elle faisait rutiler l'argenterie, redonnait leur forme initiale aux coussins, s'empressait d'accrocher parfaitement les rideau, arrosait les plantes sous la serre et par dessus tout elle vérifiait que sur sa jolie nappe rose ne subsiste aucun pli. Marie-Jeanne avait horreur des plis. Ces sinuosités, ces reliefs insoupçonnables de face, '' Venez me le dire de profil ''. Marie-Jeanne était d'une sainteté à toute épreuve. Vous l'auriez vu ce jour-là, avec sa jupe coupée droite, bleu marine qui couvrait son ventre et ses genoux. Sa chemise blanche munie d'un col Claudine bouffait admirablement, rehaussant l'image d'ensemble, cette chasteté singulière qui aurait trituré l'esprit de par sa vision le code moral de n'importe quel humain. Ses longs cheveux bruns étaient ramassés en chignons, ce même chignon embrigadé dans une sorte de tissu en dentelle. Exquise ! Elle était bonne à marier, la Marie-Jeanne. Elle avait tout d'une bonne épouse. La tenue de circonstance, le sourire, le plumeau. Elle n'y songeait pas, elle n'avait que 25 ans après tout. Lorsque son labeur toucha à sa fin, elle s'empressa de revêtir son adorable chafoune, son imperméable Armor-Lux, et, contre toute attente, s'en alla braver le froid.

La rue était parfaite, l'image de Marie-Jeanne dans cette allée si bien entretenu, aussi. Les bordures du trottoir était lisse, mais sans excès. Une résidence à gauche, sa jolie maison à droite. Ses pas s'enchaînaient avec une constance qui en devenait choquante, le métronome perpétuel qu'elle avait dans la tête régissait chacun de ses mouvements. Son port de tête inégalable était d'une perfection imbattable. Marie-Jeanne continua ainsi sa route, sans un regard pour autrui. Le vrai problème de cette femme était qu'elle avait peur des autres gens. Les seuls humains potentiellement fiables étaient ses deux adorables parents. Ils sont morts. Elle s'aventura dans '' le Fournil de Pierre '' et demanda une baguette. Le son de la monnaie cliquetant dans le petit support devant la caisse troubla son métronome. Ce fut toute retournée qu'elle tenta de rejoindre son domicile. Sous les arcades des archives, elle se fit interpeller par un homme. Il lui avait ouvert une porte, elle se contenta de le regarder fixement, détaillant de la base de ses sourcils aux léger renflement d'une veine au dessus de son oeil gauche. Son style laissait penser qu'il était haut gradé. Une petite valisette en cuir était en permanence avec cet homme. Il l'implora de l'accompagner boire un café. Sans ciller, elle prononça ces mots '' Le café, c'est moi qui vous l'offre '' et elle reprit sa route sans un regard pour lui, blême. Le pauvre homme la suivi, totalement décontenançé. Elle bifurqua dans sa rue, monta les petites marches, introduit la clef dans la serrure, et entendit ceci '' Je ne comprend pas, vous voulez que j'entre ? ''. Elle ne se tâta point, ne detourna pas le regard, à se demander si elle-même l'avait entendu. Elle laissa la porte entre-ouverte puis parti vers la cuisine, où elle mis la cafetière en marche. Elle sortit deux tasses, le sucre, et disposa convenablement sa table. L'homme se tenait debout dans l'entrée. D'un signe de tête, elle lui intima l'ordre d'avançer. Il prit place sur une petite chaise en bois. '' Je m'apelle Giovanni ''. Marie-Jeanne explorait à présent le placard du haut, elle devait absolument offrir un de ces petits Spéculoos à son invité. Après tout, qu'est ce qu'un café sans Spéculoos ? Il alluma une cigarette, Marie-Jeanne frôla l'évanouissement, elle dû s'asseoir. Il ne voulait pas du café, Monsieur exigeait que Madame lui apporte un whisky. Cette maison était un héritage de ces parents, son père avait du whisky. Elle partit à la cave en chercher; Resté seul, Giovanni s'interrogeait sur cette étrange petite moitié de femme. La féminité incarnée, pourquoi ce cachait-elle ainsi. Elle n'en demeurait pas moins jolie pour Giovanni. Elle servit le whisky, s'assit en face de lui et bût son café, tout en songeant à la couleur de la prochaine tapisserie. Lorsque Giovanni sortit sa Marie-Juanna, ce fut pour Marie-Jeanne, elle se leva et lui jeta un regard furibond tout en confisquant le précieux produit. Il saisit son bras, l'attira contre elle et s'appliqua à lui arracher ses vetêments. '' Tu dois payer pour ce que tu as fait, Marie-Jeanne! '' dit-il, et elle se débattait, hurlait, c'était peine perdue.

Son cardigan, sa chemisette et sa jupe constituait un amas informe à leur pieds. Elle arrêta d'opposer une résistance, il était évident que tout était de sa faute. Chaudasse comme elle est, la Marie-Jeanne ! Giovanni prenait visiblement son pied, elle était souillée et un goût amer persistait dans sa bouche.
'' Journal de Marie-Jeanne. 17/01/2009 23:26; Chambre Tulipe.
Aujourd'hui, un homme nommé Giovanni m'a volé ma virginité. Il m'a violé, m'a fait mal et j'ai des traces de griffes partout. Dieu, pardonne-moi. En effet, à l'angle droit de ma jolie nappe rose, il restait un pli ! '' Une étoile s'éteint, comme on brise un roman, une vie. Marie-Jeanne s'éteindra avec l'ordinateur. Le jour l'aveugle, Marie-Jeanne. La lumière la meurtrit, elle vit terrée dans sa cave. Aujourd'hui encore, quand je vais chez mes grand parents, je la sens, je l'hume. Dans l'ombre, sous le billard, dans la cave à vingt, derrière le tas de bibelots, sous la pile de magazine. Je m'affaire à chaque fois à enlevé la jolie nappe rose. Elle demeure toujours intacte, lisse, quand je reviens. Giovanni est en cavale. J'ai comme envie d'arracher les tentures, massacrer les bibelots. Je sens encore son emplacement, j'ai une chaise portative. Marie-Jeanne, sa pureté, son innocence et sa naïveté, l'ont maintenue longtemps loin du mal. Sa naïveté l'a laissé porter un jugement rapide, commettre une erreur. Cette prude était tenu à l'écart de la société du fait de son envie de se donner uniquement à dieu. Dieu la garde.
A présent Marie-Jeanne goûte au plaisir de la mer, et sur une digue anonyme, elle balaye le paysage. Sa douleur ne s'enterre pas. Une mèche coquine s'est échappée de son chignon et s'amuse à contrarier sa splendide perfection.


Elle pense à Giovanni. Demeure t-il seulement vivant dans ce monde ? Son image reste gravée.
Il persiste à chaque coin de ses rêves, s'enquit à perturber une chasteté indéniable.
Giovanni reste un des seuls être qu'elle a connu. Il y a eu cette fille, en seconde. De jolis cheveux, comme une invitation à oublier l'opprobre, tombait sur ses épaules menues. Quand le soleil daignait apparaître, la clarté d'une terre promise leur donnait des airs de satin. Elle portait une veste en velours noir, que parfois, comme une initiative, elle agrémentait de pin's. Une besace U.S. était le seul signe de son appartenance au monde réel. Le reste était vague, infiniment gris, comme pour jouer avec une frontière sombre, à l'opposé du blanc, mais aussi du noir. Elle était son idole, Marie-Jeanne eut aimé à rire comme elle, limpide, haut et magnifique. Malheureusement, elle est depuis le saint départ vouée à être cette prude perpétuellement endimanchée.

Son regard se perd, l'incapacité à entrer dans ses songes est affolante. On eut dit qu'elle se refusait à tout contact, que le masque figé sur son visage était né pour déstabiliser l'adversaire. S'entretenir avec elle était tout bonnement impossible, parfois on pouvait espérer à quelques borborygmes en guise de réponse; Cette indifférence était motif de licenciement dans toutes les entreprises dans lesquelles elle osait postuler.
'' Bonchouur, je m'apelle Marie-Cheanne, j'aimerais donner ma candidatuuure pour le poste de caissière''. On lui rit au nez, cette demoiselle de 25 ans déjà vieille fille, incapable de créer un contact. Cette froideur m'amènera toujours à la comparé au marbre. C'est facile.
Marie-Jeanne n'existe pas. Elle est seulement cette figure qui sert de dernière demeure à chaque membre de nos familles qui ont cédé à un nouveau départ. Elle constelle la voie lactée, et confère cette caractéristique sacrée à nos cimetières. Ce froid, lisse et noir, je l'éclaire souvent de fleurs. J'y amène mes quelques bout de vie, je veux te redonner la tienne. Tu sais comme j'ai envie de tuer Marie-Jeanne, mais elle est déjà partie. Alors je m'assoie dessus et je perd des heures à pleurer sur elle. Marie-Jeanne, marbre, constellation, prude et j'en passe n'est qu'une illusion. Et cette illusion se perd à chaque instant dans les angles de nos âmes endeuillées. J'ai honte de moi comme de l'humanité, mais que voulez-vous, nous avons besoin de mettre une enveloppe corporelle sur tout.


Tout, n'excluant pas la jolie tombe cachée derrière un chêne, quelque part sur cette terre.


Marie-Jeanne 1/20 14/03/2010 à 19:09
Il y a quelques fautes, surtout d'inattention. Je trouve que ça a tendance à partir dans tous les sens et trouve la métaphore et la morale assez simplistes.
Je n'aime pas.
Samoth 
Marie-Jeanne 2/20 14/03/2010 à 19:43
Tout pareil que Frosties.
Marie-Jeanne 3/20 14/03/2010 à 21:01
Je sais, j'ecris rapidement, je ne me relis pas vraiment. En ce qui concerne la morale, que vous dites simpliste, pourriez vous dévelloper ? Je ne comprends pas.
Marie-Jeanne 4/20 15/03/2010 à 17:14
helouizz a écrit :

Je sais, j'ecris rapidement, je ne me relis pas vraiment.



Sauf que ça fait parti du travail d'écriture. Sinon, c'est une ébauche.
Marie-Jeanne 5/20 16/03/2010 à 13:26
Je ne considère pas l'écriture comme un travail. Ébauche ou pas, il s'agit pour moi de déverser les quelques litres de désarroi et de douleur qui coulent sur mes parois. Cependant je suis d'accord lorsqu'on me dit que je pars dans tous les sens, c'est évident. Peut-être qu'un jour je me donnerais du mal pour faire de l'écriture plus qu'un cimetière. Merci à vous tous pour vos critiques, cela me donne envie de modifier ce qui ne va pas. Bisous
Marie-Jeanne 6/20 16/03/2010 à 13:43
"Ébauche ou pas, il s'agit pour moi de déverser les quelques litres de désarroi et de douleur qui coulent sur mes parois"

Gnagn-gnan. Mais bon, t'as 16ans. Continue.
Marie-Jeanne 7/20 16/03/2010 à 18:12
Pourquoi pas Cucu-la-Praline ? Le journal de Virginia Woolf sort aux éditions stock. Elle avait 15 ans.
Je crois qu'on sort toujours grandi de ces lectures-là.
Je me place en observatrice, il est normal donc que j'en souffre.
Je ne pense pas qu'on puisse qualifier ce que j'écris de gnan-gnan, quoi que j'apprécie les onomatopées.
Je suis maladroite, j'essaie de décrire parfaitement, d'extérioriser. C'est difficile.
On ne condamne pas les gens pour ce qu'il n'ont pas commis. Je te remercie pour tes critiques.
Mais donne moi plutôt ton avis sur Marie-Jeanne !


Samoth 
Marie-Jeanne 8/20 16/03/2010 à 18:13
Je ne considère pas l'écriture comme un travail. Ébauche ou pas, il s'agit pour moi de déverser les quelques litres de désarroi et de douleur qui coulent sur mes parois.

Et c'est tout à fait respectable.
Marie-Jeanne 9/20 16/03/2010 à 21:18
J'ai lu.

Et j'ai pas compris grand chose, peut-être par manque de concentration, ou parce que j'suis très con: c'est vraiment pas le genre de lecture qui m'fait mouiller le slip à dire vrai, désolé.

Le images sont ratées, niaises, fausses ou... cul cul la praline, oui, même si ça te déplait. Par contre t'as une sacrée aisance avec les mots, y'a pas de doutes t'as beaucoup de qualités. En fait je trouve que ça pète plus haut que son cul, beaucoup de blabla pour pas grand chose....

helouizz a écrit :

Ébauche ou pas, il s'agit pour moi de déverser les quelques litres de désarroi et de douleur qui coulent sur mes parois.

... Et cette phrase représente parfaitement tout ce que je te reproche. Pompeux et pédant.

C'est juste mon avis, mais à ton age c'est normal. Tu comprendras peut-être en le relisant dans 5/6ans. Par contre j'ai pas pigé le rapport avec le Jounal de machin. C'est qui elle ?
Marie-Jeanne 10/20 16/03/2010 à 21:26
Monsieur Cheval a écrit :
Le images sont ratées, niaises, fausses ou... cul cul la praline, oui, même si ça te déplait. Par contre t'as une sacrée aisance avec les mots, y'a pas de doutes t'as beaucoup de qualités. En fait je trouve que ça pète plus haut que son cul, beaucoup de blabla pour pas grand chose....



En effet, si son texte ne vaut absolument rien c'est parce qu'outre l'image ultra niaise et superficielle, elle utilise un style bien trop pompeux. Elle a des qualités littéraires mais ne sait pas les exploiter. Au lieu de s'en servir à bon escient, elle préfère se la jouer et tomber dans les clichés rébarbatifs et inintéressants.
Marie-Jeanne 11/20 17/03/2010 à 13:03
Les amis, calmez vous ! Je ne suis pas prétentieuse du tout, et très loin de me la raconter dans mes écrits comme vous le laisser entendre. Je n'ai pas de qualités littéraires et je ne prétends pas à savoir faire quoi que ce soit de mes écrits. Je posterai sûrement prochainement un texte où je parle de moi, c'est tout de suite moins pompeux je vous l'assure.
La niaiserie n'est pas du à l'age crois-moi. D'ailleurs je n'ai pas 16 ans, je n'ai pas changé l'âge de ce profil niais qui date de ma petite jeunesse. C'est bien pire, j'ai 14 ans. J'avais effrontément menti lorsque j'avais 10 ans. Je pense que l'homme grandit d'actes, pas d'années. Je suis très lucide.
Pour le journal de Virginia Woolf, c'est une très grande auteur britannique, et le journal qu'elle tenait à ses 15 ans a été publié, je pense que c'est très intéressant pour tout ceux qui pensent que l'âge influe d'une quelconque manière sur la niaiserie ou la bêtise.
Pour ce qui est de ma phrase, j'essaie de donner l'image de se que je ressens parfois, une sorte d'acide intérieur qui dégouline. Cette remarque n'avait pas de but pompeux.
Je peux parler très normalement aussi, mais j'essaye toujours de mettre toutes les images possibles pour faire ressentir ce que je ressens.
Je ne pète pas plus au que mon cul, merci !
Marie-Jeanne 12/20 17/03/2010 à 13:13
Tu ne cherches pas forcément à paraître ainsi mais pourtant ta manière d'écrire te montre ainsi, tout simplement.
Et pour mouah la naïveté et la niaiserie ça joue beaucoup avec l'âge. T'as peu de gens qui à leur jeune âge sont plutôt lucides. Smile Jap
Marie-Jeanne 13/20 17/03/2010 à 13:20
Je suis d'accord avec toi, il suffit d'observer autour de moi la masse de gens à la vision complètement obstruée par des tonnes de parasites pour te donner raison. Cependant, je refuse la généralité, mon mot d'ordre serait plutôt relativité. Je me relirais dans 5/6 ans, c'est promis. Pour l'instant je pense que j'écris des amas de bêtises, je ne cherche pas vraiment autre chose. L'écriture à des vertus libératrices, je sais que je n'en vivrais pas. Je suis une fille lucide, et ça c'est une certitude. Un bon nombre de choses m'ont ouvert les yeux, et je ne remercie jamais assez la vie. Je me la pète pas, croyez moi, j'écris comme les mots me viennent et même si cela sonne comme tel, ce n'est pas le cas. Fleurs
Marie-Jeanne 14/20 17/03/2010 à 13:29
On peut pas nier qu'il y a une majorité qui se trouve être ainsi. En cela je pense qu'on peut donc généraliser, même si j'accorde plus d'importances à ces exceptions qu'à cette "masse" neutre.
Marie-Jeanne 15/20 17/03/2010 à 14:09
Alors le début m'a donné envie de lire car le texte est agréable à entendre. Mais j'ai absolument RIEN compris. Tu pars dans tous les sens, ça c'est clair. Et puis, bien qu'il soit agréable à entendre, ton style d'écriture est trop chargé, trop compliqué (phrases longues et bizarres, adjectifs sur tous les mots...), un truc qui a tendance à me gonfler.

Ah oui et puis le prénom Marie-Jeanne, à moins qu'il ait une signification, c'est un peu ridicule je trouve Mr. Green

Enfin voilà, essaye de rester simple et d'organiser ton truc.
Marie-Jeanne 16/20 17/03/2010 à 14:27
J'ai pas dis que tu étais niaise, mais que ton texte l'était. Cependant je tiens à renouveler mon commentaire: T'as vraiment une bonne plume pour 14ans, et ça me fait chier de te critiquer.

Bien sur que le poids des années joue un rôle sur la naïveté, mais tu ne t'en rendras compte que plus tard. N'essaie pas de grandir trop vite.
Marie-Jeanne 17/20 17/03/2010 à 16:01
Pour moi c'est pas ton plus beau texte, y en a d'autre que j'ai trop aimé. Peut être par ce qu'ils étaient moins subtiles à la compréhension.
Tout le monde dit qu'ils ne comprennent rien, moi j'ai eu le droit à des explications qui m'aident mais j'avoue que c'est hyper complexe. Tu as ce truc de dire une chose si simple la plus compliqué possible (je parle pas de quand tu te met à parler anglais hein lol). Mais avoue, suffit de regarder des textos, c'est pas méchant mais quand je comprend pas j'ai l'impression d'être c** :S

Par contre je suis d'accord ça part un peu dans tous les sens (ca reflète ta personnalité remarques), mais y a pire d'après mes souvenirs. Moi je trouve que tu as du talent, je te l'avais déjà dit mais le talent ne suffit pas faut savoir le maitriser. Par contre je trouve ça ridicule de parler d'âge dans ces critiques, faut pas tenir compte de ça, certes l'âge influe sur l'écriture mais on est tout a fait capable de savoir écrire jeune, sinon tous les auteurs seraient vieux (oops c'est le cas lol)

Je te conseillerais, ceux qui m'ont le plus parlé, ceux que j'ai le plus apprécié, on verra bien ce qui est dit :

Ce fameux rebord, place Hoche, un jour glacé.

Bonjour, welcome, enchantée et j'en passe !


Et moi je suis d'accord, tu ne dois pas te faire de film en te disant que tu vivras de ton écriture par contre ca pourra t'aider à finir les fin de mois. Moi je reste persuader que tu écriras des livres, et je serais trop fier de te voir dans une librairie et te lires. Y a pas à tortiller du cul pour chier droit, tu as du talent tu as réussi à me faire lire Razz
Marie-Jeanne 18/20 17/03/2010 à 18:10
Marie-Jeanne est pour moi l'image de la pureté, la pureté est donc morte.
MaryJuanna, et Marie-Jeanne, cela se contredit. Et j'aime beaucoup les paradoxes.
J'aimerais vous expliquer du début à la fin, malheureusement et vous avez bien raison, je crois que j'en suis incapable, à vrai dire je pars dans tous les sens.

Monsieur Cheval, ne revois pas ton jugement en sachant mon âge, cela me vexe, et je ne voudrais pas avoir de regrets de l'avoir communiquer.
C'est vrai qu'à 14 ans, je ne suis pas forcément crédible. Mais j'aimerais que tu fasses une concession, à savoir que certaines années sont plus noires que d'autres et pèsent leur poids aussi, quelque soit l'âge.

Tom35400, Je suis flattée, quelle belle attention une fois de plus. Je serai choqué à vie des panneaux, de Listen to your heart et des phares. Et de la Chaume, et de tellement d'autre. Quand mon esprit sera organisé pour pouvoir décrire, et cela uniquement, ce que je vis ressens, et ce que je vois, je t'assure que j'écrirai nos mémoires ! ( te reste-il encore quelques lettres? ). Bisous !
Marie-Jeanne 19/20 17/03/2010 à 19:12
Nan mais on est tous pareil Helouizz, personne n'aime être jugé par rapport à son age. Moi le premier, quand j'avais 14 piges c'était la même. Voir les gens être condescendants seulement parce qu'ils ont quelques années de plus, c'était super gonflant. Pourtant c'est vrai, et pour défigurer Rimbaud, on est pas sérieux quand on a 14ans.

Mais c'est que du positif hein, être un affreux gamin naif, le collège, les seins qui poussent, ça a du bon. On ne s'en rend compte qu'après.
Marie-Jeanne 20/20 17/03/2010 à 19:23
J'ai toutes les photos et toutes les lettres, j'ai rien jeter et tu le sais
Recommande ce site a tes ami(e)s | Aller en haut

Partenaires : Énigmes en ligne