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masturbation : definition de verlaine
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| louis453 | masturbation : definition de verlaine | 31 | 22/10/05 à 20:18 |
j ai trouve dans un magazine l invitation de verlaine à rimbaud et je souhaite partager cette poesie
"Viens dresse
Ta caresse
De chaud satin violet
Qui dans ma main se harnache
En panache
Soudain d’opale et de lait ".
C est ti pas beau ??
| masturbation : definition de verlaine | 1/31 | 22/10/2005 à 20:19 |
c bien dit
| masturbation : definition de verlaine | 2/31 | 22/10/2005 à 20:20 |
ha ce Verlaine...j'aime beaucoup, il s'exprime ac une délicatesse hors paire...
Mr. <°))))))))><
Mr. <°))))))))><
| masturbation : definition de verlaine | 3/31 | 22/10/2005 à 20:22 |
| masturbation : definition de verlaine | 4/31 | 22/10/2005 à 20:23 |
MDR excellent ! 
| masturbation : definition de verlaine | 5/31 | 22/10/2005 à 20:33 |
a ce Verlaine qel branleur
| masturbation : definition de verlaine | 6/31 | 22/10/2005 à 20:34 |
mdr ta tro raison
| masturbation : definition de verlaine | 7/31 | 22/10/2005 à 20:52 |
en meme temps ça a une certaine classe 
| masturbation : definition de verlaine | 8/31 | 22/10/2005 à 20:57 |
opheli winter avai fai une chanson sur la masturbation mai c sur cetai - raffiner
| masturbation : definition de verlaine | 9/31 | 22/10/2005 à 21:21 |
Waaaaa c'est bien dit
| masturbation : definition de verlaine | 10/31 | 22/10/2005 à 21:42 |
pourquoi on apprends jamais ce genre de poeme en cours. c tt aussi beau qu un poeme de baudelaires sur ses passantes. (mais en plus excitant ptdr)
| masturbation : definition de verlaine | 11/31 | 23/11/2005 à 22:18 |
Trop bien ce poème !!! Et si c'est moi qui te dis ces quelques phrases, tu réagis comment??? lool
| masturbation : definition de verlaine | 12/31 | 23/11/2005 à 23:05 |
ytreza> A vous étudiez aussi Baudelaire "A une passante"?
| masturbation : definition de verlaine | 13/31 | 24/11/2005 à 06:48 |
il ne faut pas oublier que verlaine et raimbeau étaient copain copain, si vous voyez le truc...
| masturbation : definition de verlaine | 14/31 | 24/11/2005 à 08:45 |
jvé ldir a mon copin demin!
| masturbation : definition de verlaine | 15/31 | 24/11/2005 à 13:03 |
LOOl jétudi rimbaud et verlaine depui 2 semaine lool on arete pa de parlé de leur relation et on étudi tou type de poème mm lé plu cru lool sa me fé bien déliré parfois on diré ke ct d gro perver ils diz joliemen d choz ki vel dir en gro "g envi de te ...." ou d truc du genr lool non franchement c stylé 
| masturbation : definition de verlaine | 16/31 | 26/11/2005 à 00:28 |
a loic453
je repond en "prive" a ta question . bises
je repond en "prive" a ta question . bises
| masturbation : definition de verlaine | 17/31 | 26/11/2005 à 00:33 |
Rimbaud..... mon poete préféré... il a un style qui défrissa plu dune femme en son temps... un franc parler et une critique hors pair ...
| masturbation : definition de verlaine | 18/31 | 26/11/2005 à 18:03 |
ouai jadore c tro chou !!
| masturbation : definition de verlaine | 19/31 | 27/03/2006 à 01:00 |
Voici la lettre où ce passage est écris,
je la dédie à Mon Louis.
Gland, point suprême de l'être
De mon maître,
De mon amant adoré
Qu'accueille avec joie et crainte,
Ton étreinte
Mon heureux cul, perforé
Tant et tant par ce gros membre
Qui se cambre,
Se gonfle et, tout glorieux
De ses hauts faits et prouesses,
Dans les fesses
Fonce en élans furieux.-
Nourricier de ma fressure,
Source sûre
Où ma bouche aussi suça,
Gland, ma grande friandise,
Quoi qu'en dise
Quelque fausse honte, or, çà,
Gland, mes délices, viens, dresse
Ta caresse
De chaud satin violet
Qui dans ma main se harnache
En panache
Soudain d'opale et de lait
Ce n'est que pour une douce
Sur le pouce
Que je t'invoque aujourd'hui
Mais quoi ton ardeur se fâche…
O moi lâche!
Va, tout à toi, tout à lui,
Ton caprice, règle unique
Je rapplique
Pour la bouche et pour le cu
Les voici tout prêts, en selle,
D'humeur telle
Qui te faut, maître invaincu.
Puis, gland, nectar et dictame
De mon âme,
Rentre en ton prépuce, lent
Comme un dieu dans son nuage,
Mon hommage
T'y suit, fidèle - et galant.
je la dédie à Mon Louis.
Gland, point suprême de l'être
De mon maître,
De mon amant adoré
Qu'accueille avec joie et crainte,
Ton étreinte
Mon heureux cul, perforé
Tant et tant par ce gros membre
Qui se cambre,
Se gonfle et, tout glorieux
De ses hauts faits et prouesses,
Dans les fesses
Fonce en élans furieux.-
Nourricier de ma fressure,
Source sûre
Où ma bouche aussi suça,
Gland, ma grande friandise,
Quoi qu'en dise
Quelque fausse honte, or, çà,
Gland, mes délices, viens, dresse
Ta caresse
De chaud satin violet
Qui dans ma main se harnache
En panache
Soudain d'opale et de lait
Ce n'est que pour une douce
Sur le pouce
Que je t'invoque aujourd'hui
Mais quoi ton ardeur se fâche…
O moi lâche!
Va, tout à toi, tout à lui,
Ton caprice, règle unique
Je rapplique
Pour la bouche et pour le cu
Les voici tout prêts, en selle,
D'humeur telle
Qui te faut, maître invaincu.
Puis, gland, nectar et dictame
De mon âme,
Rentre en ton prépuce, lent
Comme un dieu dans son nuage,
Mon hommage
T'y suit, fidèle - et galant.
| masturbation : definition de verlaine | 20/31 | 27/03/2006 à 01:03 |
Voici encore une autre lettre:
Même quand tu ne bandes pas,
Ta queue encor fait mes délices
Qui pend, blanc d'or entre tes cuisses,
Sur tes roustons, sombres appas.
- Couilles de mon amant, sœur fières
A la riche peau de chagrin
D'un brun et rose et purpurin,
Couilles farceuses et guerrières,
Et dont la gauche balle un peu,
Tout petit peu plus que l'autre
D'un air roublard et bon apôtre
A quelles donc fins, nom de Dieu?-
Elle est dodue, ta quéquette
Et velouté, du pubis
Au prépuce fermant le pis,
Aux trois quarts d'une rose crête.
Elle se renfle un brin au bout
Et dessine sous la peau douce
Le gland gros comme un demi-pouce
Montrant ses lèvres justes au bout
Après que je l'aurai baisée
En tout amour reconnaissant,
Laisse ma main la caressant,
La saisir d'une prise osée,
Pour soudain la décalotter,
En sorte que, violet tendre,
Le gland joyeux, sans plus attendre,
Splendidement vient éclater;
Et puis elle, en bonne bougresse
Accélère le mouvement
Et Jean-nu-tête en un moment
De se remettre à la redresse.
Tu bandes! c'est ce que voulaient
Ma bouche et mon cul! choisis, maître,
con
Une simple douce, peut-être?
C'est ce que mes dix doigts voulaient.
Cependant le vit, mon idole,
Tend pour le rite et pour le cul -
Te, à mes mains, ma bouche et mon cul
Sa forme adorable d'idole.
Même quand tu ne bandes pas,
Ta queue encor fait mes délices
Qui pend, blanc d'or entre tes cuisses,
Sur tes roustons, sombres appas.
- Couilles de mon amant, sœur fières
A la riche peau de chagrin
D'un brun et rose et purpurin,
Couilles farceuses et guerrières,
Et dont la gauche balle un peu,
Tout petit peu plus que l'autre
D'un air roublard et bon apôtre
A quelles donc fins, nom de Dieu?-
Elle est dodue, ta quéquette
Et velouté, du pubis
Au prépuce fermant le pis,
Aux trois quarts d'une rose crête.
Elle se renfle un brin au bout
Et dessine sous la peau douce
Le gland gros comme un demi-pouce
Montrant ses lèvres justes au bout
Après que je l'aurai baisée
En tout amour reconnaissant,
Laisse ma main la caressant,
La saisir d'une prise osée,
Pour soudain la décalotter,
En sorte que, violet tendre,
Le gland joyeux, sans plus attendre,
Splendidement vient éclater;
Et puis elle, en bonne bougresse
Accélère le mouvement
Et Jean-nu-tête en un moment
De se remettre à la redresse.
Tu bandes! c'est ce que voulaient
Ma bouche et mon cul! choisis, maître,
con
Une simple douce, peut-être?
C'est ce que mes dix doigts voulaient.
Cependant le vit, mon idole,
Tend pour le rite et pour le cul -
Te, à mes mains, ma bouche et mon cul
Sa forme adorable d'idole.