Le naufragé

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axelum   Le naufragé 3 18/12/13 à 19:43

Plusieurs jours après le naufrage d'un ferry, un marin solitaire tombe sur un participant au voyage à moitié conscient. Ce gentil marin le tire dans son petit voilier, pour l'amener à la terre ferme, qui se trouve à des milliers de milles de leur localisation géographique... Le naufragé eut beaucoup de mal à reprendre ses esprits, mais maintenant que c'est chose faîte, il tente de questionner le marin : Où suis-je? Qui êtes-vous? Que m'arrive-t-il? Où allons-nous? Mais le marin ne répond absolument rien, il ne semble même pas écouter les questions de cet homme. Le marin se lève, part vers l'avant du navire et tente de se repérer grâce au soleil. Le naufragé ne comprend pas trop la réaction du marin. Et pour cause, cet homme solitaire est né sur ce voilier, sa mère est morte à l'accouchement et son père s'est suicidé dans la foulé, le marin ne connait pas la civilisation et ne sait donc pas parler...Pour le naufragé peut importe de savoir si le marin sait parler, pour lui qui n'a jamais eu de chance dans sa vie la roue a tourné, et le vent aussi. Mais le vent a changé si vite et si violemment, que la baume de la grand-voile heurte la tête du marin qui revenait vers l'arrière du voilier et le propulse contre la coque. Il meurt de ses blessures dans les secondes qui suivent... Le naufragé, après constatation de la mort du marin, jette son corps à la mer comme une vulgaire ancre. Comment retrouver un rivage quand on n’a aucune culture maritime, et qu'il n'y a même pas une boussole à bord. La nuit commence à tomber. Que ce soit le soleil ou l'étoile polaire, impossible de se repérer. Complètement déboussolé, il se sent à nouveau seul au monde face à la difficulté. Pour ne rien arranger, une grosse tempête éclate et la mer s'agite. L'homme commence à avoir le mal de mer, il préfère rester dans la cabine, car il risque juste de tomber à l'eau en restant dehors, et de toute façon il ne sait pas diriger un voilier. Tout seul au milieu d'une tempête, enfermé dans une cabine depuis plusieurs jours, le ventre vide. Livré à la nature, au courant marin ; il ne lui reste que ses mains pour prier, lui qui n'est même pas croyant... La tempête fait rage, et l'océan se déchaîne sur ce pauvre homme sans défense...Lui qui pensait que la roue avait tournée, n'a-t-il pas crié victoire trop tôt? Peut-on réellement lutter contre son destin? À bout de force l'homme s'endort, ce qu'il n'avait pas fait depuis trop longtemps...Le lendemain matin, la tempête a laissé place à une petite brume... Alors que l'Homme ne s'est toujours pas réveillé, au loin dans la brume on peut apercevoir une île, qui semble déserte...Le naufragé malheureux va-t-il se réveiller? Ou mourra-t-il dans cette cabine? Tout à coup, un crissement se fit entendre sous la coque. Le bateau s'est échoué sur une plage. Et cela réveille le pauvre homme; qui en assemblant ses dernières forces monte à l'avant du navire pour observer avec bonheur la plage juste devant lui. Il descend du bateau, fait quelques pas sur la plage, avant de s'écrouler sur le sable chaud... Malheureusement pour lui, les bêtes féroces de cette île, ne se sont pas faîtes prier pour manger cette viande fraîche apportée sur un plateau d’argent.
Axel

Le naufragé 1/3 18/12/2013 à 21:38
J'ai pas adhère.
Réalisme inexistant et psychologie inexistante.
Il faut pouvoir s'identifier si tu veux que ton texte ait du succès.
Le naufragé 2/3 19/12/2013 à 07:59
Personne n'a survécu à l'histoire XD
Moi j'avoue que je suis pas fan mais à la limite je trouve que c'est pas trop mal ^^
Le naufragé 3/3 19/12/2013 à 13:05
Mon but n'est pas d'avoir du succès, je sais très bien que seule une minorité de personne aimeront ce qui j'écrit. J'ai jamais aimé le Français et la Philo, j'ai toujours pris des cartons dans ces matières d'ailleurs (j'ai le Bac S). Si j'écrit, c'est parce que je pense être créatif, mais surtout que j'adore être le chef de chantier de mon histoire, c'est moi qui décide si tout le monde crève ou si il y a des survivants par exemple. Cette nouvelle, c'est la première que j'ai écrite; et je l'ai écrite pour moi, même si j'aime bien savoir ce que les autres en pense, mais si je réfléchit à "il faut que le lecteur s'identifie, etc", je ne l'écrivais plus pour moi, après les nouvelles ou je veux faire passer un message, là oui je ferais gaffe à l'identification.
Bref merci pour vos commentaires
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