Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ]

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Frosties   Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 15 19/04/10 à 22:33

C'est pas un titre, mais je le pense et c'est donc le principal. A nouveau, comme la section n'est pas très vivante cette semaine, je poste un tuper texte (ou pas), tout frais pondu de tout à l'heure. Amusez-vous coupains. *O*

Noir sur blanc, c'était écrit là : nous sommes éphémères.

Mais je n'ai jamais voulu croire. Il m'était impossible de penser que ma passion pouvait ne pas être éternelle. Je devais croire encore et encore que je ne me trompais pas. Plus je m'enfonçais dans ce mensonge plus ma crainte se dissipait.
Vouz savez, je suis un type banal, le genre auquel on ne prête pas attention. Ne pas s'écarter du chemin dominant n'est pas à mon sens un mal ou une tare, bien au contraire, je me sentais bien dans mes pompes ainsi. J'incarne l'imbécile heureux et je revendique à tout bout de champ mon désir de rester à l'écart de toutes ces questions existentielles qui nous pourrissent l'existence. A quoi cela sert-il de s'égarer dans des pensées brumeuses alors qu'on peut très bien vivre le lendemain sans ?
J'aimais les couchers de soleil, les vagues qui venaient se briser à mes pieds, le souffle du vent sur mon visage et me laisser porter par mes pas, me laisser entraîner par la vitesse et me perdre dans un décor pittoresque. Oui, j'aimais la nature. Cela faisait-il donc de moi un esprit dérangeant, une personnalité déconnectée de son époque ?
Je ne me prétendais pas en osmose avec mère nature, ni ne me pensais comme le défenseur de celle-ci...non à vrai dire, je trouvais tout cela bien loin de ma personne.
Je n'ai jamais voulu me faire remarquer, c'est peut-être pour ça que je dédaignais tous les statuts qui confèrent un minimum de responsabilités. Je ne critiquais pas pour autant; je n'avais pas assez de personnalité pour cela. J'voulais juste suivre mon petit bonhomme de chemin sans qu'on me dérange, sans qu'on me gronde parce que je n'étais pas à la hauteur de telle ou telle demande extérieure (à ma personne).
Oui je l'avoue, j'étais un lâche. Est-ce un tort ? Je n'ai au juste jamais fait la différence, et il faut se rendre à l'évidence, cela m'importe peu au fond. Je ne cherche pas à nier ma nature, elle est comme elle est et ce n'est pas si mal dans l'ensemble.
Tout cela pour en revenir au fait que je suis quelqu'un de simple qui ne recherche pas les complications et qui avance sur un chemin en continu, déserté par les obstacles. Je n'avais donc pas de quoi me plaindre et quand bien même les choses auraient changées aujourd'hui, cela ne me donnerait pas plus envie qu'auparavant de me lamenter sur mon sort.
Vous savez, personne ne contrôle totalement sa vie alors pourquoi vouloir à tout prix se culpabiliser ? C'est se tuer à petits feux et je ne suis qu'un pauvre hère qui essaye de se maintenir en vie, pas de s'en aller pour de bon.
Vous voyez donc que je suis normal et que rien d'insolite ne peut naître de mon intérieur. Mais il y avait ma passion, ces sentiments qui s'exaltaient, s'embrasaient et me transportaient loin, loin dans les nuages. J'étais un enfant, perdu dans mes fantasies. Tout était magnifique dans ma fougue passionnelle, je vivais dans un monde merveilleux et j'étais au summum de la béatitude : heureux.
Elle me prenait à la gorge et alors je me sentais vivre, vraiment ivre. Ivre de sensations, ivres d'aventures. Le temps défilait sans que je puisse m'y raccrocher, seule la passion me dominait. La raison s'était envolée pour une destination inconnue, elle m'avait laissé en prise avec mon inconscient.
Dès que je parle d'elle, je ne suis plus maître de moi-même, je délire et je m'enivre de son ancienne ascendance sur ma personne. Je ne comprends plus rien et je me replonge dans un passé éternel, dans mon paradis artificiel.
Oui, c'est la passion qui me faisait fuir la réalité et m'empêchait de voir autre chose que la beauté qui réside en chaque objet ici bas. Je n'étais pas mécontent d'être enfermé dans un cocon de faussetés. Je ne voulais pas qu'on m'ouvre les yeux, je rejetais l'univers entier car il ne me convenait pas.
Telle était ma vie : une passion qui m'éloignait de la fadeur de ma conscience pour me plonger dans les splendeurs de mon inconscience.
Tout était coloré, ce n'était plus cette uniformité qui s'imposait à ma vue lorsque je jetais un coup d'oeil alentour. Tout était changé, amélioré, embelli. C'était un tout passionné, éternellement.
Et vous savez ce qu'on m'a dit ? Tenez-vous bien, voici la fin de l'anecdote : "Monsieur, vous êtes un idéaliste, vous rêvez trop sans faire attention aux priorités de la vie."
Pour eux, j'étais un aliéné et la folie m'avaot submergée. Mille misères, je n'étais même plus un type...j'étais la folie pure.

Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 1/15 19/04/2010 à 22:36
T'as même pas corrigé ton texte, j'suis déçu (dernière ligne notamment).
En plus, comme je te l'ai dit, tu devrais changer de thème, faire preuve d'originalité è_é
Paul_ 
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 2/15 19/04/2010 à 22:44
La forme, nickel, aux quelques accords près mais à ce niveau là, c'est du chipotage xD.


Mais au niveau du fond ... Je suis désolé, la première chose qui me vient à l'esprit, c'est "Et ... ?".

J'adhère pas =X.


Et sinon, je sais pas si l'élision du je est volontaire, mais ca casse réellement le rythme du texte, à mon avis.
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 3/15 19/04/2010 à 22:50
Ouais, la forme, rien à redire, mais le fond, bof bof, pas très palpitant.
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 4/15 19/04/2010 à 22:56
J'ai tout lu, mais comme les autres, j'accroche pas. Et finalement j'ai l'impression que tu répètes toujours la même idée en te contentant de la formuler de manières différentes.
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 5/15 19/04/2010 à 22:56
Freud t'as eu Téléphone
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 6/15 20/04/2010 à 16:57
Sayou a écrit :

Freud t'as eu


Je te l'avais dit en plus. é_è

Bah ouais, j'ai pas corrigé faut pas me tapey pour autant. *O*
Sinon, bah c't'un peu normal que la forme soit assez creuse puisque j'ai écrit ce qui me passait par la tête et j'avais pas d'idée précise dès le départ. Yeux Bleus
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 7/15 20/04/2010 à 18:15
Tu la jouerais vache si quelqu'un d'autre t'avais répondu la même chose Yeux Bleus
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 8/15 20/04/2010 à 18:23
Apricot cake a écrit :

Tu la jouerais vache si quelqu'un d'autre t'avais répondu la même chose


Bah ça dépend. Mais bon, j'vais pas te dire que j'l'ai bossé des heures alors qu'en fait c'pas vrai du tout.
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 9/15 21/04/2010 à 00:12
Parlons peu, parlons bien.

Je trouve ça un peu long. Je veux dire, c'est vrai que des fois tu te répètes un peu, alors que tu pourrais faire des phrases un plus incisive.
Par contre, au contraire des autre, sans pour autant me faire kiffer ma race, j'ai bien aimé l'histoire et le personnage, bien qu'il soit peut-être un peu mis de côté par rapport à l'argumentation. Il a peut-être pas assez de caractère.
Mais dans l'ensemble, j'ai bien aimé, malgré quelques longueurs et maladresses. =D

M'enfin, moi, j'dis ça, j'dis rien.
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 10/15 22/04/2010 à 22:07
T'as des goûts bizarres touah. :m
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 11/15 22/04/2010 à 23:07
Discret le up. Sifflote

Et mes goûts pètent le feu. =D
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 12/15 22/04/2010 à 23:16
SkyRoads a écrit :

Discret le up.

Et mes goûts pètent le feu. =D


C'était pas un up, c'était juste que je t'avais pas répondu. x)
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 13/15 22/04/2010 à 23:18
Frosties a écrit :

C'était pas un up, c'était juste que je t'avais pas répondu. x)


Que des excuses en mousse Sifflote
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 14/15 22/04/2010 à 23:20
Touah tu te pouet. è_é
Freud m'a bousillé les neurones [ Texte ] 15/15 22/04/2010 à 23:22
Et je floode même pas Star
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