Nicolas Sarkozy en détails

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

Keupin-Cool Nicolas Sarkozy en détails 15 27/09/06 à 00:14

J'en ai marre des jeunes utopistes mal informés ou désinformés.Alors je vais vous instruire jeunes incultes Cool
Gare mes chéris ça va être lourd Cool
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NICOLAS SARKOZY A SAUVE DES ENFANTS DE MATERNELLE D'UN PRENEUR D'OTAGES EN 1993.
Voir Journal Télévisé:
http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&id_notice=CAB05044255

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SES DISTINCTIONS:

12 février 2005


Nicolas Sarkozy reçoit les insignes de chevalier de la Légion d'Honneur pour son rôle courageux dans la prise d’otage d’une classe de maternelle du groupe scolaire Charcot en 1993 à Neuilly. En temps que maire de la ville, il participe activement aux négociations et son courage le pousse à entrer dans la salle de classe sans aucune protection en proposant de se substituer aux enfants.


15 novembre 2004


Remise des insignes de commandeur dans l'Ordre de Léopold, haute distinction belge comparée à la Légion d’Honneur française dont elle est d’ailleurs inspirée,par Didier Reynders, ministre belge des Finances, à Bruxelles, "pour services rendus".


9 janvier 2004

Décoré la Grande Croix de Carlos III, la plus haute distinction civile espagnole, des mains du premier ministre espagnol de l’époque, José María Aznar, pour sa « lutte contre le terrorisme et notamment contre l'ETA »
A cette occasion M. Aznar a exprimé la « reconnaissance de toute une nation, les remerciements de l'Espagne pour un dirigeant politique et un ami »


11 avril 2003


Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a reçu le "prix de la tolérance 2003" du centre Simon Wiesenthal, pour son action contre l'antisémitisme et le racisme.

Ce prix lui a été remis lors de l'ouverture d'un colloque organisé à l'UNESCO par l'ONG américaine sur le thème "Education pour la tolérance: la résurgence de l'antisémitisme".



2002 et 2003



Nicolas Sarkozy a reçu en 2002 le prix de "ministre de l'année" et en 2003 celui "d'homme politique de l'année", décernés par le Trombinoscope, l'un des annuaires des hommes politiques.


"Ce n'est pas un prix pour moi, c'est un prix pour la politique, la vraie, (...) celle qui fait croire que tout est possible, qu'on peut avoir, un jour, un destin."

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SON POSITIONNEMENT


Où vous placez-vous sur l'échiquier politique?

"Je suis de droite dans la mesure où je n'ai jamais été de gauche. Mais je crois qu'on peut être de droite et rassembler à gauche, car il est des idées justes qui transcendent tous les clivages. Et c'est heureux. "



Est-ce du centrisme?

"Non! Je ne suis pas pour le plus petit dénominateur commun. Ce n'est pas avec une moitié d'idée de droite et une moitié d'idée de gauche qu'on fait une grande idée. Mais je ne veux pas être l'otage d'une partie de l'électorat. Je revendique la liberté d'aller faire mon marché idéologique partout, en prenant les idées que je pense justes. C'est ce que je fais avec la nécessaire réforme de la double peine." l’Express (19/06/03), La leçon du 21 Avril, c’est l’action.



Beaucoup présentent Nicolas Sarkozy comme un ultra libéral, dernière tentative pour tenter de l'attaquer et de refuser le débat, certains preferent s'intéresser aux mots parce qu'ils ne proposent rien pour lutter contre les maux.

« Il n’y a qu’en France qu’on pense que je suis libéral », a déclaré Nicolas Sarkozy lors d’un déplacement au Luxembourg.

"Les économistes, les chefs d’entreprises, les experts me disent parfois, en tout cas on me rapporte leurs propos : " Monsieur Sarkozy, le problème avec vous, c’est qu’on ne voit pas très bien qu’elle est votre vision de l’économie, les théories qui vous inspirent . C’est un reproche bien étrange puisqu’en même temps, dans les médias, dans les milieux politiques, et même dans mon propre camp, on me qualifie d’horrible ultra-libéral.

Au risque de vous décevoir, je ne suis en effet l’esclave d’aucune école de pensée.

La raison et l’expérience me font penser que, sans travail, il n’y a aucune chance de s’enrichir ; mes lectures et mes voyages, mon origine aussi, m’ont appris que l’égalitarisme ne produit ni richesse, ni bonheur, et que l’économie de marché reste à ce jour le système économique le plus performant ; mon cœur et, plus encore, la raison de mon engagement, me font agir pour que tout cela ait sens, c’est-à-dire soit mis au service du bien être des Français, de la solidarité et de la prospérité de la France.

Mes convictions économiques s’arrêtent à peu près là. Je ne me demande pas chaque matin ce que feraient Ricardo, Keynes ou Hayek. J’écoute ce que me disent les Français. Je prends l’avis de ceux qui sont plus compétents que moi. Je regarde ce qui réussit à l’étranger et je me demande ce qui rate chez nous. " 7septembre 2005.convention économique


"Je ne me demande pas tous les matins si je vais faire plaisir aux libéraux, aux souverainistes ou aux centristes. Je parle aux Français, à tous les Français! Je leur parle de ce qui est plus grand que nous: notre pays, notre patrie!.

Je ne suis pas un idéologue. Je ne suis ni madame Thatcher ni monsieur Reagan, je suis Nicolas Sarkozy, avec mes propres convictions, mes propres intuitions, mon propre regard sur la France et sur les Français. J'ai toujours été un homme libre. Je le suis et le resterai jusqu'au bout car c'est cette liberté qui me permet de rassembler et de dire aux Français ma part de vérité.

La France a besoin d'être réconciliée avec un libéralisme populaire et non avec un capitalisme sans règles et sans éthique."

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Nicolas Sarkozy est né le 28 janvier 1955 à Paris dans le 17ème arrondissement. Homme politique français, il est président du parti majoritaire de la droite (UMP, Union pour un Mouvement Populaire), premier parti de France, et Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du Territoire.


Il est le fils de Paul Sarkozy, un artiste peintre, aristocrate ayant fui la Hongrie à cause du communisme en 1949. Devenu publicitaire en France, Paul Sarkozy rencontre Andrée Mallah en 1949 qu'il épouse. Cette dernière, fille d'un médecin du XVIIe arrondissement de Paris, immigré juif de Salonique, est alors étudiante en droit.



Nicolas Sarkozy naît en 1955. Il a deux frères : Guillaume, né en 1952, futur patron de l’union des industriels textile et enfin François, né en 1957, qui deviendra pédiatre puis chercheur en biologie.



Lorsque Paul Sarkozy quitte le domicile conjugal en 1959, sa femme reprend ses études pour élever ses enfants. Elle devient avocate au barreau de Nanterre. Elle plaidera dans l'affaire Villarceaux, l'un des plus gros scandales politico-immobiliers des années 1970.



Nicolas Sarkozy passe son enfance dans le XVIIe arrondissement de Paris puis à Neuilly-sur-Seine. Elève assez turbulent, il redouble sa sixième et obtient son bac en 1973 sans mention. Cela ne lui empêche pas de poursuivre de brillantes études puisqu’il est en effet, titulaire d'une maîtrise de droit privé de la faculté de Nanterre (197Cool, d'un DEA de sciences politiques avec mention (sujet sur le référendum de 1969), il étudie à Science Po Paris, et enfin est titulaire du Certificat d’Aptitude à la profession d’avocat, ce qui le conduit tout naturellement à exercer cette profession au barreau de Paris.

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*Ses citations:

« Quand on a le sentiment que le temps est compté, on agit plus et plus vite. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Extrait d'une interview dans Le Monde - 17 Juillet 2004

« Si la vérité blesse, c'est la faute de la vérité. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Extrait d'une Conférence de presse - 4 Mai 2004

« Tout est complexe entre un homme et une femme, mais quand tout est public, alors les petits événements de la vie quotidienne deviennent des monuments. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

« Que celui qui ne prend aucun risque, en réalite, les prend tous. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

« Il n’y a pas de fatalité pour celui qui veut bien oser. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

« On me reproche d'aller piocher dans l'électorat FN.Mais Le Pen, aussi détestable soit-il, a comme tout homme politique des bonnes et des mauvaises idées.Si Le Pen dit que le Soleil est jaune, dois-je pour autant dire qu'il est bleu juste par esprit de rejet? »
[ Nicolas Sarkozy ] - Interview Le Monde 2005

« Aller au bout de soi-même, c'est toujours ce que j'ai voulu. »
[ Nicolas Sarkozy ]Témoignage

« J'aime les gens, y compris dans un univers hostile. Il y a toujours une façon de se parler. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

« Je préfère risquer en osant, que regretter de na pas avoir su saisir l'occasion qui se
présentait. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

« Etre candidat pour le prestige de la fonction ne m'intéresse pas »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

« J'abhore le racisme. Je déteste la xénophobie. Je crois dans la force et la richesse de la diversité. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

« L'épreuve, c'est l'absence, pas la blessure de vanité. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

« A chaque époque ses solutions, mais ses solutions fortes, volontaires, déterminées. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

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*Les amis et soutien de Sarkozy pour 2007:
Didier Barbelivien, Christian Clavier, Jean Reno, Michel Sardou, Bernard Laporte, Faudel, le tennisman Fabrice Santoro, Doc Gynéco,Jean-Marie Bigard et Johnny Halliday, sa femme et son fils.

*Qui vont bientôt afficher leur soutien:
Calogero, Pascal Obispo, Amélie Mauresmo

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LES VERITES.

- Nicolas Sarkozy, lors de sa visite à la Courneuve, a dit qu’il voulait « nettoyer » la cité des voyous. Ce terme est populiste et proche du FN, il est choquant.
FAUX FAUX FAUX

On retrouve ici une tentative de polémique alimentée par la gauche. Cette même gauche ne s’était pas offusquée quand le député maire communiste de Vénissieux avait déclaré, avant Nicolas Sarkozy : "Il serait temps de nettoyer la France de ces prédicateurs qui combattent la République au nom d'une idéologie intégriste".
Le maire PCF de la Courneuve avait t’il manifesté à l’époque contre son « camarade » ? Et le PS était t’il atteint d’une extinction de voix générale ?

Qui d’ailleurs avait été choqué par ce terme sinon les professionnels de la bien pensance (bo-bo et autres donneurs de leçon), ceux qui ne sortent jamais de leurs palais dorés et sont incapables de se confronter à ce que vivent les français au quotidien ?

"Le terme nettoyer s'applique parfaitement à ceux qui sont capables de tuer un petit garçon de 11 ans. Quand je vois des bandes qui trafiquent de la drogue dans les cours d'immeuble, je dis qu'il faut nettoyer. Quand je vois des voyous avec des fusils à pompe, je dis qu'il faut nettoyer" précisera Nicolas Sarkozy.

+

- Nicolas Sarkozy a utilisé le terme de "racaille", ce terme est choquant et stigmatise les jeunes de banlieues !
FAUX FAUX FAUX



Cette polémique sur la forme, quand on a rien à dire sur le fond, a été alimentée par la gauche et par certains à droite plus soucieux des calculs politiques que des problèmes de la France. Certains qui préfèrent se focaliser "sur les mots pour mieux oublier les maux".
Comme le dit Brice Hortefeux : " Pourquoi y aurait-il des mots tabous ? Pourquoi y aurait-il une pensée et un langage uniques ? Les mots qu'utilise Nicolas Sarkozy, peuvent déplaire aux élites et aux marquis de salon, mais ce sont des mots que la France comprend ".

Encore une fois il s'agit d'un raccourci de ce Nicolas Sarkozy a véritablement dit et pensé. Il s'agissait de faire la différence entre ceux qui veulent s'en sortir et ceux qui au contraire trempent dans les traffics. Nicolas Sarkozy répond donc :

"Je ne fais aucun amalgame entre les voyous et l'immense majorité des jeunes de banlieues qui ne songent qu'à réussir leur vie" Le Monde 6 nov 05

" Donc, arrêtons de parler des jeunes, parce que les jeunes méritent d’être respectés, les jeunes, la plupart, veulent s’en sortir et en ont assez d’être amalgamés avec les voyous." 2nov 05 europe1

"Je ne comprends pas pourquoi on continue à dire que "des jeunes ont fait ceci" ou que "des jeunes ont fait cela"... Vous créez ainsi, pardon de le dire, les conditions d’un amalgame. La quasi-totalité des jeunes ne demandent qu’une seule chose, c’est d’avoir une formation et un emploi, ils n’ont rien à voir avec ça. Quand il y a un braquage d’une banque et que celui qui braque la banque à 52 ans ou 53 ans, vous ne dites pas sur les chaînes, sur les antennes de vos radios, "c’est un vieux qui a fait ça".


"Il n’y a aucune raison que la République recule. Donc, je verrai systématiquement les jeunes, les vrais jeunes, en leur disant “ les choses sont simples. Il y a ceux qui ne respectent pas la loi, ceux-là il y aura la sanction et la sanction sévère et immédiate. Et puis il y a ceux qui veulent s’en sortir, eh bien ceux qui veulent s’en sortir, la République les aidera ”. dimanche31oct05,TF1

+

- Nicolas Sarkozy a fait voter une loi sur l’ « immigration choisie », ce terme est contestable. Cette loi est mauvaise (dixit le parti socialiste).
FAUX FAUX FAUX


Au risque de se répéter, nous avons encore une fois ici une preuve que les responsables politiques préfèrent les querelles de mots aux débats de fond sur les maux, les vrais. Ne sachant que critiquer sur le fond, ayant des positions contradictoires, les adversaires de Nicolas Sarkozy se sont donc concentrés sur la forme, sur ce terme uniquement.

Il faut donc leur rappeler quelques réalités :

- le terme d’"immigration choisie" n’a pas été inventé par Nicolas Sarkozy lui-même, il figurait dans le Livre Vert présenté en 2005 par la Commission européenne sur l'approche communautaire de la gestion des migrations économiques.

- Nicolas Sarkozy a toujours complété le terme d’"immigration choisie" par celui d’ "intégration réussie", chose qu’oublient trop facilement les critiques, peut être pour ne pas parler de leur échec dans ce domaine ?

L'immigration choisie est pratiquée par la quasi-totalité des démocraties dans le monde.

Le projet de Nicolas Sarkozy est issu d’un large débat : 14 séances à l’Assemblée Nationale, 54 heures de débat, 610 amendements présentés dont 189 votés, 15 amendements venants des bancs de gauche.

Selon un sondage BVA pour Le Figaro et LCI publié le mardi 9 mai 2006, ce projet de loi reçoit un soutien massif des Français. Trois Français sur quatre approuvent les mesures du projet de loi, et cela au-delà des appartenances politiques.

Une approbation massive qui concerne aussi bien les électeurs de droite que les électeurs de gauche: ces derniers sont respectivement 76% et 71% à l’approuver, contre 81% et 80% des sympathisants de droite.

Comme le souligne à l’époque Yves Thréard dans l'éditorial du Figaro, c'est la "preuve supplémentaire que le décalage est grand entre ce qu'il est convenu d'appeler le pays réel et certaines élites, davantage occupées à vilipender Nicolas Sarkozy qu'à apporter des réponses aux craintes exprimées par leurs concitoyens."

+



- Nicolas Sarkozy favorise le communautarisme.
FAUX FAUX FAUX


Cette accusation vient des rangs de la gauche mais aussi de certaines personnes de droite qui prenne trop souvent leur plume pour une épée. C’est une des accusations les plus infondées qu’on puisse porter sur Nicolas Sarkozy.

En 2003, Nicolas Sarkozy a reçu le "prix de la tolérance 2003" du centre Simon Wiesenthal, pour son action contre l'antisémitisme et le racisme. Aucun ministre de l’Intérieur et des cultes ne peut se prévaloir du même dévouement que Nicolas Sarkozy pour le dialogue entre les religions. Nicolas Sarkozy est un fervent défenseur de l’égalité entre tous et de l’intégration.

"Finissons-en une bonne fois pour toute avec cette rumeur complètement absurde selon laquelle je serais un partisan du communautarisme et des quotas ethniques. C’est totalement ridicule. Je n’ai jamais soutenu une telle idée. Je n’ai jamais envisagé l’institution, par exemple, comme on l’entend trop souvent, de quotas au profit de Français musulmans ou d’autres catégories de personnes issues de l’immigration.

Ce n’est pas l’idée que je me fais d’une nation et encore moins de la France. La spécificité de notre nation est justement de savoir intégrer toutes les populations en une seule communauté de valeurs et de destin : celle des citoyens de la République française." 26/10/05

J'en rajouterais d'autre au fur-et-à-mesure Cool

Nicolas Sarkozy en détails 1/15 27/09/2006 à 00:16
ca va partir en couille je sens sur ce topic Sifflote Sifflote Pistolet Rire
Tr03x 
Nicolas Sarkozy en détails 2/15 27/09/2006 à 00:24
Grav' Sifflote

les liens sont interdits
Nicolas Sarkozy en détails 3/15 27/09/2006 à 00:25
oui mais c'est la vérité
Nicolas Sarkozy en détails 4/15 27/09/2006 à 00:27
personelement je pense pas kil y en ai bocou ki vont lire le truc en entier!!
Nicolas Sarkozy en détails 5/15 27/09/2006 à 00:38
Bonne nuit à vous.
Nicolas Sarkozy en détails 6/15 27/09/2006 à 00:44
ouai lire tous sa...
mais bon c'est la seul chose qu'il a faite de bien donc voila quoi .
Nicolas Sarkozy en détails 7/15 27/09/2006 à 00:52
"ouai lire tous sa...
mais bon c'est la seul chose qu'il a faite de bien donc voila quoi ."

Il a fait énormément de bonnes choses.

MDR le gars qui s'arrête au paragraphe sur l'école maternelle et se permet de critiquer.Aveuglisme, méconnaissance...mon dieu.
Nicolas Sarkozy en détails 8/15 27/09/2006 à 01:01
« Etre candidat pour le prestige de la fonction ne m'intéresse pas »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage

« J'abhore le racisme. Je déteste la xénophobie. Je crois dans la force et la richesse de la diversité. »
[ Nicolas Sarkozy ] - Témoignage


MDR MDR MDR serieu....voila koi
Nicolas Sarkozy en détails 9/15 27/09/2006 à 01:04
leguitariste, quand on connais l'homme on sait que ces déclarations sont vraies désolé mon gars.Encore une fois c'est détaillé dans mon post Rolling Eyes
Nicolas Sarkozy en détails 10/15 27/09/2006 à 01:22
L'IMMIGRATION CHOISIE DE NICOLAS SARKOZY DETAILLEE ET FACTEUR D'INTEGRATION POUR LES IMMIGRES:

Mesdames, Messieurs, mes chers amis,

[…]
Dans le nouveau gouvernement, j’ai la responsabilité de coordonner l’action de l’ensemble des administrations en charge de l’immigration. C’est la traduction concrète de la première chose qu’il faut faire en la matière : se doter d’une politique migratoire unique – actuellement nous en avons trois – et en confier la mise en œuvre à un seul ministère, comme c’est le cas chez tous nos partenaires.

Des débats de notre journée, je retiens trois idées principales :

- d'abord, l'immigration est une chance pour notre pays. Ce fut une chance dans le passé, pour la reconstruction, pour la démographie, pour la diversité. La France est multiple. C’est sa richesse et sa personnalité. Mais l’immigration est aussi une chance pour aujourd'hui, car un pays fermé est un pays qui se sclérose. Je veux rétablir un discours positif sur l'immigration. C'est à la fois ma conviction profonde et une condition de l'intégration. Faut-il en effet s'étonner que la société française ait tant de mal à accepter la différence, alors qu'on lui promet depuis 30 ans l’immigration zéro, qui n’a aucun sens économique et ne correspond à aucune réalité ?

- ensuite, il est possible de mieux organiser et choisir les flux migratoires. D'autres pays l'ont fait, comme la Grande-Bretagne, le Canada, la Suisse. Je ne crois pas au fatalisme de l'immigration, pas plus que je ne crois au fatalisme de l'insécurité. Il faut reconnaître au Gouvernement et au Parlement le droit de fixer chaque année, catégorie par catégorie, le nombre des personnes admises à s'installer sur le territoire. Actuellement, moins de 5% des immigrés viennent pour répondre à des besoins précis de l'économie, ce qui n'empêchent pas les autres de peser eux aussi sur le marché du travail. En Grande-Bretagne, en Australie, cette proportion est de plus de 50%. Nous accueillerons mieux les réfugiés et les immigrés si nous sommes capables d’endiguer l’immigration clandestine et de réguler l’immigration familiale. A tout subir, à ne rien choisir, nous méconnaissons à la fois nos intérêts économiques et nos convictions humanitaires. Je veux passer d'une immigration subie à une immigration choisie ;

- enfin, dans un monde qui a profondément changé depuis trente ans, nous ne pouvons plus penser les questions migratoires avec les mêmes concepts qu'en 1974. Nous avons de nouveaux besoins économiques et démographiques. La mondialisation exige une circulation croissante des cerveaux. La biométrie, si elle est repose sur un cadre juridique adapté, offre des outils puissants pour concilier une plus grande liberté de circulation et la lutte contre l'immigration illégale. Je me réjouis que la France ait été le premier pays européen à expérimenter la délivrance de visas biométriques, grâce à la loi du 26 novembre 2003. Je veux que la France soit désormais systématiquement la première en Europe pour proposer et bâtir une stratégie migratoire adaptée aux enjeux du monde contemporain.

Plusieurs priorités d’action ont été dégagées au cours cette convention :

- il faut d’abord retrouver la maîtrise quantitative des flux. C’est une condition impérative si nous voulons restaurer une vision positive de l’immigration et rendre possible l’intégration des immigrés.
Depuis 2002, des progrès importants ont été accomplis. L’immigration légale, qui avait augmenté de plus de 70% entre 1997 et 2002, est maîtrisée. Nous avons endigué la dérive catastrophique de la demande d’asile, que Daniel Vaillant avait mis autant d’énergie à combattre que l’insécurité, et qui a produit des milliers de déboutés. Enfin, la lutte contre l’immigration illégale est redevenue une priorité de l’action publique. Entre 2002 et 2004, les reconduites effectives à la frontière ont augmenté de 72%, grâce à l’allongement du délai de rétention et à l’implication des services.
Tous ces résultats doivent être consolidés. Je souhaite que les reconduites à la frontière augmentent encore de 50% en 2005. A cet effet, je ferai le lien entre la délivrance des visas et la délivrance des laissez-passer consulaires. Par ailleurs, je veux mettre un terme aux détournements de procédure, en particulier les mariages blancs, l’aide médicale d’Etat et la demande d’asile. Sur ce point, il faut imposer aux demandeurs la domiciliation fixée par l’administration ;

- il faut ensuite un meilleur équilibre entre l’immigration de travail et l’immigration de droit. Nous devons attirer des travailleurs qualifiés, des créateurs d’entreprises, des chercheurs, des professeurs d’université, par un système de points à la canadienne. De même, je souhaite que la France se dote d’une stratégie nationale pour attirer les meilleurs étudiants étrangers dans les meilleures filières.
C’est en participant aux flux mondiaux de l’intelligence et des compétences que la France pourra imposer un autre modèle que la fuite des cerveaux : la circulation des cerveaux, dans un cadre gagnant-gagnant pour les pays d’accueil et les pays d’origine ;

- le regroupement familial constitue l’un des enjeux majeurs de l’immigration. D’un côté, le respect de la vie familiale est une de nos valeurs et constitue une condition de l’intégration. D’un autre côté, le regroupement familial tient aujourd’hui une place trop importante dans l’équilibre des flux migratoires et est à l’origine de nombreuses fraudes (mariages blancs ou forcés, fraudes à l’état-civil…).
Il faut avoir le courage de poser autrement les termes du débat. Le regroupement familial est certes un droit, mais pas un droit qui peut s’exercer dans le mépris absolu des règles. Il faut donc être plus rigoureux sur l’appréciation des conditions de revenus, de logement, d’intégration préalables au regroupement ; et créer une obligation, pour les regroupants, de prendre en charge les besoins de leur famille pendant une durée minimum.
Il faut également cesser de traiter de la même manière les immigrés qui respectent les procédures et ceux qui ne les respectent pas. Ceux qui respectent l’Etat de droit doivent être récompensés par des procédures plus rapides et plus souples. Les autres n’ont aucune vocation à s’installer durablement sur le territoire français. Je suis pour une politique de confiance, mais aussi de justice. Je n’accepte pas que l’insertion des immigrés qui respectent nos lois soit dénaturée par ceux qui les méprisent ;

- enfin, il faut être plus volontariste et exigeant en matière d’accueil et d’intégration. Le contrat d’accueil doit être obligatoire et le contenu des formations plus dense. Nous sommes fiers des valeurs de la République, de l’égalité entre les hommes et les femmes, de la laïcité, de l’idéal français d’intégration. Alors, osons en parler à ceux que nous accueillons. Et agissons pour que les droits de la femme française s’appliquent aussi aux femmes de l’immigration.

Mon intention est de consacrer les 22 prochains mois à mettre en place, au sein du ministère, les structures nécessaires pour appliquer cette politique moderne, cohérente, positive, mais aussi déterminée.

Nous devons nous doter d’une direction d’administration centrale investie de toutesles compétences ; créer un réseau d’officiers de l’immigration chargés de mettre en œuvre unepolitique migratoire unique, dans nos consulats, à nos frontières et dans nos préfectures ; créer les structuresnécessaires pour mieux connaître les chiffres de l’immigration, évaluer nos capacités d’accueil, anticiper nos besoins démographiques et économiques.

Nous devons aussi inscrire notre action dans un cadre européen et mondial ; renforcer le codéveloppement ; mettre en place des coopérations gagnant-gagnant avec les pays d’origine. Et je reprendrai bien sûr, dès le début du mois de juillet, les réunions du G5, c’est-à-dire les cinq pays les plus concernés en Europe par les questions d’immigration, auxquels j’exposerai le contenu de nos conclusions.
[…]
J’ai parlé de la discrimination positive ; j’ai parlé du préfet musulman ; j’ai parlé du financement des mosquées. Tous ces tabous, je les ai soulevés, car ma conviction est qu'il faut aussi, sur ces sujets, faire bouger les lignes.

Le modèle républicain d’intégration est fondé sur le principe de l'égalité des individus, sans considération de leur origine, de leur religion, ou de leurs convictions. Il n’y a rien à redire à cela. C’est une idée universelle, celle de la philosophie des Lumières. Mais nous devons reconnaître que discourir sur l'égalité formelle ne suffit pas à assurer l'égalité réelle. Quand le taux de chômage des jeunes issus de l'immigration est deux fois supérieur à celui des Français de naissance, quand le major d'un doctorat est le dernier de sa promotion à trouver un emploi, cela veut dire que le modèle républicain d'intégration est autant en panne que le modèle social. Et c'est cette panne qui créé le communautarisme dont nous ne voulons pas.

Une action volontariste de tous les acteurs de la société est nécessaire et urgente pour que l'égalité des chances ne soit plus simplement un concept, mais devienne une réalité ; c'est cela la discrimination positive.

Les ZEP doivent cesser d'être un marqueur de pauvreté sociale et l'éteignoir de la réussite de ceux qui veulent travailler. Nous devons y mettre les meilleurs professeurs et les payer en conséquence. Nous devons donner de l'autonomie à des équipes pédagogiques renforcées. Nous devons créer des internats de ville et des études encadrées. Nous devons garantir qu’un enfant de ZEP n’est pas condamné à se retrouver dans une formation sans avenir et peut lui aussi rejoindre une filière d'excellence. Je propose que nous nous fixions comme objectif que les 5 à 10% des élèves les plus motivés de chaque établissement scolaire accèdent aux classes préparatoires et aux instituts d'études politiques.

L'emploi est le deuxième vecteur déterminant de promotion sociale. Si nous ne voulons pas être contraints de recourir aux quotas, il faut rechercher dès maintenant la diversité dans les entreprises et dans les administrations publiques. Se fixer des objectifs chiffrés n'est pas contraire à nos valeurs. Ce qui est contraire à notre idéal, c'est lorsque l'origine ethnique empêche de reconnaître la valeur professionnelle.

L'Union pour un mouvement populaire prendra toute sa part de cet effort pour l'égalité des chances : pour toute élection proportionnelle et uninominale, elle proposera des candidats en situation d’être élus.

Malgré ses fragilités, malgré ses doutes, la société française est en mesure d’accepter cet effort parce qu'il se nourrit de la volonté de consolider le modèle républicain d'intégration, et non pas de l'affaiblir ; et parce qu'il s'inscrit dans le cadre d'une remise en marche de l'ascenseur social pour tous.

Les Français le seront d'autant plus que cette action sera bénéfique pour toute la société. C'est ma conviction profonde. Donner de l'autonomie aux établissements scolaires, valoriser les enseignants qui s'impliquent, c'est rendre du souffle à la fonction publique. Lutter contre les discriminations à l'embauche, c'est aider les entreprises à élargir leur vivier de recrutement et valoriser des critères vraiment professionnels. Réfléchir à la présence des minorités dans les différents scrutins électoraux, c'est aussi repenser toute la question de la représentativité politique.

Une remise en marche de l'ascenseur social ; une immigration choisie ; une intégration réussie… Au fil de ses conventions, l'UMP construit son projet populaire pour une France ambitieuse, réconciliée avec elle-même, qui récompense le succès de chacun, et permet la réussite de tous.
Nicolas Sarkozy en détails 11/15 27/09/2006 à 01:45
Tu comptes nous faire un copier collé de tous les articles de presse qui parlent de Sarko... ?
Evidement que personne lira le tissu de conneri que tu nous envois... tout simplement... parce que monsieur Sarkozy a des idées ultra libérale.. et qu'on ne les partage pas tous...

Alors il est vrai que beaucoup de monde ici connait peu de chose au niveau politique... mais c'est pas en nous envoyant un bouquin de propagande... de morceaux choisis de la bio de Srakozy que tu feras changer qui que ce soit d'avis ici...
XtrA   
Nicolas Sarkozy en détails 12/15 27/09/2006 à 01:54
Merci Keupin-Cool Smile
Enfin quelqu'un qui le voit à ses justes valeurs
Nicolas Sarkozy en détails 13/15 27/09/2006 à 01:55
Hihihi si tu le dis.Mon but c'est la vérité.Si ça fait chier ceux qui colportent des idées fausses sans preuves ça me ravit Langue qui pend

Au moins moi j'apporte les preuves, je balance pas comme ça Rire
Nicolas Sarkozy en détails 14/15 27/09/2006 à 03:07
Dire que des extraits de discours d'un homme politique sont des preuves de sa valeur, c'est un peu comme si tu disais qu'une publicité pour de la lessive prouve son efficacité... Mr. Green

Sarkozy n'a pas de bilan à défendre. Il n'a pas apporté de réponse efficace au problème de l'insécurité, et c'est entre autres pour ça qu'il s'en est pris aux magistrats récemment. Pour camoufler sa propre médiocrité.
L0rDs 
Nicolas Sarkozy en détails 15/15 27/09/2006 à 03:43
"Keupin-Cool" => Tu ne prouves rien avec ça, et tu te contredis même.

On es sur un site ou la politique n'est pas très bienvenue, il est peut-être nécessaire d'être objectif, et tu en manques totalement dans ton "texte", il n'y a que des extraits, et on peut faire dire ce qu'on veut à des extraits, ou presque.

Si tu veux apporter des preuves, tu ne le pourras pas de tte façon, tout le monde peut mentir, et pourquoi pas lui ? Pourquoi pas les médias ?

Personne ne peut voter ici de toute façon. Enfin, sauf les modérateurs normalement.. Ce que je veux dire, c'est que même si j'étais d'accord avec ce que tu dis, je serai obligé de clôturer ton topic qui est subjectit. Apporte les arguments de ceux qui sont contre lui. Au début, en te lisant, je pensais que c'est ce que tu allais faire, car la vérité peut faire mal à ceux qui "croient" en lui également, mais tu ne parles que de ce qu'il aurait fait de "bien", tu parles des gauchistes avec dédain, enfin bon.. Pas la peine de demander les idées politiques de tes parents pour le deviner.

"Pas de solutions, pas de problèmes." Or il y a toujours une solution, donc toujours des problèmes x) (bon, raisonnemement pour te montrer que ses arguments ne valent pas grand chose, d'ailleurs, un concept un peu con : Ce que j'ai du mal à comprendre, c'est que 51/49% à une éléction ça satisafait les politiques... 49% de la population mécontente, c'est beaucoup je trouve, tant qu'on ne sera pas à 90% au moins pour qqun ou une entité, je considèrerais la mission des politiques comme incomplète : dans sa "propagande" ou dans sa réussite à contenter tout le monde. On peut très bien imaginer que 90% des gens deviennent des crétins profond à cause d'une campagne d'éducation visante à inculquer aux jeunes certaines valeurs.. Bref.. Merci de me me rappeller ce qu'on peut être con parfois.
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