Je viens d'écrire une connerie.Sous forme de journal intime, l'envie m'en a pris?C'est un peu long, avis aux âmes motivées.
Cher journal,
Beaucoup (trop) de choses blessent, beaucoup de choses abiment.Le charme s'en va, ainsi que la passion.Des sentiments, tels que la haine, ou encore la jalousie, arrivent à corrompre l'Homme, tel un fruit qui pourrit de l'intèrieur, pour ensuite tomber de son arbre. Pourquoi les mots ne sortent pas?Pourquoi la vérité n'éclate pas? Pourquoi suis-je obligé de me confier à toi, qui n'a ni âme, ni enveloppe charnelle, ni esprit?Peut être parceque toi, tu ne juges pas, et que tu sais rester de marbre. Tes effluves, cette odeur de papier ne me donne que plus confiance et toi, et me forcent encore plus à me livrer.
Pour en revenir au sujet de départ. Oui,je suis de plus en plus déçu, oui, j'en oublie les discours idéalistes qui ont pu berçer ma jeunesse, et qui me berçent encore, au plus profond de moi même, malgré que je puisse avoir conscience du mensonge.Mais pourtant, je m'accroche, je crois encore en la nature humaine, je crois encore en toutes ces choses.L'Homme peut faire le bien, et arrivera un jour où le mal cessera d'éxister.Mais malheureusement ce jour n'est pas prêt de montrer le bout de son nez.Pourtant beaucoup l'éspèrent, je l'éspère.
Ce que je te rédige là peut paraître brouillon, j'éspère que tu en saisiras le pauvre sens.
Parlons maintenant de ce fléau, qui ravage, qui tue même, parfois. C'est un fléau qui nous ronge, qui détruit tout notre être, en commençant par l'intèrieur, saccageant tout, tel de petites bestioles qui dévoreraient chaque organe vital, pour mieux nous tuer.Ce fléau finit par remonter tout le corps, pour en arriver à la boite cranienne, et toucher le principal organe, le cerveau. Il peut déclencher la folie, autant qu'il peut lacher un brume épaisse qui nous empêchera de voir, de réellement voir.Mais ce fléau contrairement aux autres, ne fait pas que le mal.Il est capable d'embellir un être, de le faire rayonner, autant qu'il n'aurait jamais rayonné sans lui. Il peut être cause de nombreuses joies, il peut être guide de nombreuses vies, aussi.Ce fléau est plus communémment appellé Amour.Il m'a frappé, frappé de tout mon être, pourrais-je m'en remettre?
Journal, je me sens fatigué, l'envie m'a abandonné, je vais donc te laisser ici.
A bientôt,cher journal.
| Parceque l'envie m'en a pris. |
1/7 |
26/08/2006 à 12:59 |
Connerie...Non pas vraiment, c'est tres juste
| Parceque l'envie m'en a pris. |
2/7 |
26/08/2006 à 15:20 |
Oui mais connerie dans le sens où c'est de la fiction, et dans le sens où c'est un truc pas retravaillé, c'est de l'écriture brut.
| Parceque l'envie m'en a pris. |
3/7 |
26/08/2006 à 18:36 |
Personellement,je m'attendais quand même à plus de réactions, qu'elles soient positives ou négatives.
| Parceque l'envie m'en a pris. |
4/7 |
26/08/2006 à 23:07 |
bof... c'est vite lassant l'idéalisme perdu et la tristesse.... t'as rien de moins cliché et plus joyeux??(cet avis n'engage que MOI!!)
| Parceque l'envie m'en a pris. |
5/7 |
26/08/2006 à 23:27 |
C'est une fiction.J'ai tenté de me mettre dans le peau de quelqu'un qui "découvre" la vie.
Cet avis n'engage que toi, et ton avis je le respecte
| Parceque l'envie m'en a pris. |
6/7 |
26/08/2006 à 23:33 |
Moi J'accroche ça fais 3 fois que je le relis xD
| Parceque l'envie m'en a pris. |
7/7 |
24/02/2007 à 18:19 |
J'remonte mon topic?Ah ouais, faut croire.
