Petite nouvelle

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Waleran Petite nouvelle 8 15/08/09 à 21:41

Voila il m'arrive d'écrire et il m'arrive d'utilisé mes expérience personelle pour écrire des nouvelles fantatisque

Déja les sombres rivages de mon existence me paraissent plein de promesse


Dans les geôles poussiéreuses d’un fort de l’inquisition. Un homme se trouvait-la : Waleran un hérétique et un infidèle qui jouait avec la sorcellerie.Soudain deux hommes rentrèrent dans sa cellule. Waleran était étendu, nu comme un vers, dans la geôle, la pourriture se mélangeais a ses propres déjections sa chair pourrie était parcourue de plaies béantes d'où s'était écoulé du sang noir qui à présent était séché. On avait posé la question au sorcier bien évidemment et les gardes n’étaient pas choqués de le voir ainsi. La seul chose qui était hors du commun chez Waleran était ses yeux rouges braise qui luisait dans le noir. Les gardes l’aidèrent à le relever et lui enfilèrent une robe noire, synonyme de magie noire et le firent sortir du couloir ou les cris et des lamentations des traîtres et des hérétiques résonnaient dans les sous-sols de pierre. Waleran savait très bien ce qu’il l’attendait et malgré son état physique il restait serein. Les gardes le firent sortir du fort et l’amenèrent sur un échafaud où le bûcher avait été installé. Devant Waleran se dressait une foule en colère qui l’insultait et le huait. Sur un balcon en face du bûché se tenais toute une assemblée de gens richement vêtues qui étaient sans doute des nobles venus se régaler du spectacle de sa mort. Waleran ressenti une haine pour ces gens qui ne comprenait rien a l’art qu’il pratiquait. Un de ses hommes pris la parole en s'adressant à la foule et à Waleran

« Waleran ! En vertu de la loi de notre divin sauveur Jésus Christ, par la grâce de Dieu et au nom de l'inquisition, je vous déclare traître et hérétique. Pour punition de vos péchées et de vos crimes je déclare la sanction de l'immolation par le feu purificateur! Que votre âme brûle en enfert ! »
Un homme approcha un flambeau a la main prête a en finir. Waleran savait qu’il avait fauté, mais pas au point de mériter de mourir comme cela ! Il ferma les yeux, le feu se rependis bien assez vite et une odeur de chair brûlée et pourrie flotta dans l’air, tandis que les cris de douleur résonnèrent dans la place.

Un homme sur le balcon regarda lentement brûler Waleran, il le savait coupable, maintenant son exécution accomplit, il allait ce pencher dans le journal de cette hérétique pour savoir ce qu’il avait exactement commis. Il salua ses frères inquisiteurs et se rendis a son bureau afin d’examiner ce document. Quand il entra dans son bureau le journal était la et il n’avait plus qu’a l’ouvrire !

[Journal de Waleran]

« J'ai un but, j'ai gagné bien des batailles sur ma route. Mais aujourd'hui j'ai perdu une chose qui m'avait accompagné toutes ces longues années. Mon humanité...

Aussi loin que je me souvienne, ma vie n'a été que suite de regret. Qu'ai-je fais pour mériter cela? Pourquoi moi? J'écrit ces choses tant qu'ils me restent encore assez de sentiments pour les écrire... mes angoisses, ma dépression lente, ma jeunesse a qui m'a conduit a mener cette vie...

Quand j’ai commencer a pratiquer la magie, j'ai continuer a me faire souffrir, a ouvrir plus encore mais plaies physique... et j'ai vu défilé toute ma vie devant mes yeux toutes mes plaies morale... qui jamais ne se refermeront... à cela aucune magie ne viendra a mon secours, aucun secret, aucune sombre révélation...

Je suis né dans une famille bourgeoise moyenne, mes parents n'avais de cesse de se quereller pour des broutilles. A présent j'ai le recul nécessaire pour comprendre que cela m'a affecté énormément... mon père, marchand dans une boutique de magie, rentrait souvent saoul à la maison et me battait moi et ma mère, ses frustrations quotidienne a la longue sont devenu notre cauchemar...

Un jour il mourus, ma mère avait fait appelle a un mage pour qu'il lui confectionne un breuvage empoisonné, qu'elle mélangeât a son rhum. Le premier mort que j'ai pu voir, le premier cadavre dont j'ai pu sentir la froide odeur... mon père.

j'écrit tout ceci, je me sent ridicule. Autant que j'ai pu me sentir ridicule toute ma jeunesse... j'étais l'enfant battu, le fils de l'ivrogne qui culbutait les catins et s'abonnait régulièrement au geôles de la villes. Les autres se moquaient de moi... j'ai vécu dans un monde de peur, et contrairement a la paranoïa, ma peur ne fabriquait pas le danger. Le danger était bien présent... a chaque coin de rue, dans les yeux de chaque personne croisant mon chemin je pouvais voir mon propre échec ma propre défaillance... la vie ne voulait pas de moi...

je devint l'apprenti d'un magicien de la campagne qui arriver a ce caché de l’église catholique. Ma mère se suicida l'année d'après, je n'eut le cœur d'aller a son enterrement. Pendant des années le magicien me fit récurer ses armoires et sa bibliothèque jusqu'au jours où il me posa cette seule question...
« Que cherche-tu Waleran ? Le pouvoir ou la maîtrise ? »


Dans mon ignorance et mon égoïsme, je répondit cette idiotie, je veux le pouvoir pour ne plus avoir peur... le magicien m'enseigna les bases, au fur et a mesure, mais jamais je n'était satisfait de moi...

Un jour un homme entra dans la boutique de mon maître... cet homme s'appelait Orsi, Philipe D’Orsi . Il me regarda dans les yeux et comprit que j'étais un garçon qui n'avait rien a perdre...

Il m'arracha à mon quotidien essoufflant et angoissant dans cette ville que je haïssais de tout mon cœur. Cette ville que je quittais avec un plaisir que même maintenant je pourrais considérer comme le plus grand plaisir de ma vie de mortel.

Philipe était un grand nécromant, sa grotte reculé dans la forêt était protégé par de nombreux garde payée par des seigneurs convoitant l’immortalité et ce moquant des précepte de l’église... C'est là que j'apprit... c'est là que Philipe fit de moi un chercheur de l'occulte... a tout jamais...

mais restait l'angoisse, cette peur indescriptible des autres, du regards que les vivant posait sur moi... fallait il qu'ils meurent tous pour que plus jamais leur regard ne me jugent de la sorte...

je n'aimait personne, et je n'aime toujours personne, mon égoïsme poussé a son paroxysme, j'était prés a m'engager dans ma carrière de nécromancien... me repliant toujours davantage dans ma solitude... Haïssant ma propre existence pour cet échec qu'avait été le chemin que j'avais parcouru...

déjà les rivages sombres de mon existance me paraissait plein de promesses...

Un jour je pris conscience qu’être l’acolyte d’un puissant mage ne me suffisait plus, j’avais moi aussi des envies de grandeur et de puissance. Je pensais que ce que son maître gardait pour lui-même dans son grimoire devait être d’une importance capitale et que Philipe ne me disait pas tout en ce qui concerne la nécromancie. Mon ressentiment à l’égard de mon mentor augmenta avec l’age en même temps que ma soif dévorante de pouvoir et de connaissance.

Je pris la décision de dérober le grimoire magique de Philipe et de m’enfuir vers avec, mon plan fonctionna comme prévu.

Apres plusieurs pages que l’inquisiteur tourna il s’arrêta sur une qui l’intéressé plus. »

L’inquisiteur tourna plusieurs page enduite de sang et de symbole qui représenter des rituels compliquer avant de s’arrêter à une autre page »

« Je me suis fait ridiculiser...
Ca m'apprendra a sortir de ma grotte seul...
Je devait me rendre a la cathédrale, j'aurais dû y aller de nuit. La lumière me fait mal au yeux, même avec des couches de vêtement et une capuche longue j'en ressentais la douleur. Abject catalyseur de vie, une nuit éternelle ne serait pas pour me déplaire.

La place était bondée, de chevaliers, de prêtres, de marchand, des alcooliques, la raclure vivante dans toute sa somptueuse splendeur clinquante et rutilante, les insectes qui grouillent, qui vive et meure et se relais de génération en génération pour se bouffer la terre où il vivent et meure au nom de leur Dieu... Ha! Les idiots...

Tous se voilent la face, ils ne comprennent pas...

J'ai toujours du mal a me déplacer, je dois me déplacer a l'aide d'une canne ou d'un bâton. J'avançait donc difficilement par mis tout ces représentant vivant du pourrissement progressif de la terre.

Tous me regardait, dans leur armure rutilante et brillante, l'odeur de pourrissement de mon corps devait sans doute les gêner car je ne m’étais pas laver depuis au moins cinq ans, cela m'amuse, mais en fait-je n'en ai cure... je n'étais pas mal a l'aise, j'essayais de me déplacer du mieux que je pouvais, mais j'ai tout de même trébuché dans la cape d'un prêtre, et me suis étalé de tout mon long sur le pavé de la place. Une petite fille alla chercher de l'eau dans une fontaine et me la jeta dessus... mignonne petite cobaye, j'adorerais lui arracher le cœur pour m'en faire un pendentif.

Preuve de la décadence du prêtre il ne m'aida pas a me relevé et me cria après au sujet de cette cape a laquelle il tenait. D’aussi basse considération esthétique m'amuse, de tel erreur de jugement aussi grossière mettent a jour le défaut de caractère de cette race maudite.... décadente, consommatrice…

Je me relevai dignement et m'appuya sur ma canne pour me tenir le plus droit que je le pouvait, tous me regardait avec horreur, je jura et leur fit comprendre par des gestes que je n'oublierais pas ce genre d'insulte sur ma personne...

Je repartit d'où je vient, avec la même difficulté a me déplacer, l’homme que je suis devra faire attention dorénavant avec ce genre de petite expédition...

Le monde des vivant me parait de plus en plus hostile, ma perception de cet univers n'est plus la même qu'auparavant. La compagnie de la mort, et ma grotte son a mes yeux tellement plus rassurants...

J'ai demandé a bob le fossoyeur de m'amener une dizaine de corps bien entretenu venant du cimetière, celui ci les a chargé a la crypte du cimetière dans un endroit reculé de l'endroit où personne ne pourra voir ce que je fabrique... personne ne doit rien savoir

Je commence mon ouvrage, les corps que m'a amené bob sont tous très bien conservé. Je les découpe un par un, les démembres les ré assembles en commençant par la charpente osseuse et le muscles que je recouds. Je vois grand, la chose fera deux fois la taille d'un homme.

Je le fais vigoureux, massif, difforme... je couds les tendons, les chairs, les muscles ensemble. J'utilise des onguents spécifiques à la forte odeur, dont j'enduis les membres avant de les assembler.

Apres des heures de travail il ne reste plus que la tête que je dote du cerveau le plus frais que j'ai a ma disposition la chose est prête pour le rituel d'animation...

je joins ici la liste des sortilèges dont j'aurais besoin lors du rituel


La page et déchiré et l’inquisiteur souri. Waleran avaient été pris au moment ou il allait réaliser sa grande expérience, il n’avait donc pas pus continuer. Il regarda son scribe et assistant Geoffroy.

« Cet ouvrage me sera utile, au lieu de le détruire comme le protocole l’exige, je vais utiliser ses secrets pour la plus grande gloire de Dieu ! »

Un mince sourire ce dessina sur les lèvres de l’inquisiteur mais ce qui stupéfia Geoffroy c’est les yeux de son maître qui parurent luirent un instant d’un rouge sang…

Paul_ 
Petite nouvelle 1/8 15/08/2009 à 21:45
Voila il m'arrive d'écrire et il m'arrive d'utilisé mes expérience personelle pour écrire des nouvelles fantatisque.


--> Heu, pardon ?

*Sinon, malgré toute ma bonne volonté, j'ai pas réussi à dépasser le premier paragraphe.*
Petite nouvelle 2/8 15/08/2009 à 21:46
C'est pas court dis donc tout ça.

Bonjour Smile
Petite nouvelle 3/8 15/08/2009 à 21:51
J'adore, mais il y a beaucoup de fautes.
Petite nouvelle 4/8 15/08/2009 à 22:17
Il y'à des fautes de conjugaison, tu ne sais pas trop à quel moment utiliser les temps, ainsi dire : l'imparfait et le passé (simple), tu décris beaucoup les choses qui nous paraissent superflu. Tu sais mon petit, tu as beaucoup de l'imagination mais trouve comment l'utiliser
Petite nouvelle 5/8 16/08/2009 à 12:00
Fautes de temps, de grammaire, de syntaxe, d'orthographe entre autres.
Répétitions excessives des mêmes termes, genre : "rutilante, brillante". (au fait, ces deux mots sont synonymes, donc ça sert à rien de les mettre ensemble à chaque fois hein).
Les virgules, ça existe et c'pas fait pour faire joli mais pour donner le ton et éviter d'avoir des longues phrases bien lourdes et indigestes.
Quant au fond, ça reste banal, inintéressant, superficiel voire creux. Le personnage principal est grotesque, ses pensées sont dignes d'un rebelle pré-pubère. Du style : "les autres c'tous des gros nazes parce qu'ils me comprennent pas, snif."
Bref, j'aime pas. (et Allan non plus).
Petite nouvelle 6/8 16/08/2009 à 12:31
Frosties a écrit :

Fautes de temps, de grammaire, de syntaxe, d'orthographe entre autres.
Répétitions excessives des mêmes termes, genre : "rutilante, brillante". (au fait, ces deux mots sont synonymes, donc ça sert à rien de les mettre ensemble à chaque fois hein).
Les virgules, ça existe et c'pas fait pour faire joli mais pour donner le ton et éviter d'avoir des longues phrases bien lourdes et indigestes.
Quant au fond, ça reste banal, inintéressant, superficiel voire creux. Le personnage principal est grotesque, ses pensées sont dignes d'un rebelle pré-pubère. Du style : "les autres c'tous des gros nazes parce qu'ils me comprennent pas, snif."
Bref, j'aime pas. (et Allan non plus).


Je pense à peu près la même chose nonobstant je n'aurais jamais osé le dire de cette manière.
Petite nouvelle 7/8 16/08/2009 à 17:28
Désolé pour les fautes je souffre de dislexie, j'ai du mal a écrire, mais j'essaye de m'améliorée
Petite nouvelle 8/8 16/08/2009 à 18:23
la pourriture se mélangeais a ses propres déjections sa chair pourrie était parcourue de plaies béantes d'où s'était écoulé du sang noir qui à présent était séché.

Il se bourre les plaies avec de la merde oô ? Pas étonnant qu'il soit en tôle.

Je n'aime pas ton texte.
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