plusireurs poemes

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Petit monde pleins d'horreurs, parles-moi,
De cette vie, des gens bien et de l'espoir,
De mon coeur, du tiens et des pourquois,
De la peine, de la douleur et du pouvoir.
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Un poème n'a pas besoin d'être long.
C'est la souffrance qu'on y met qui compte.

Ne t'en fais pas, j'ai fais un poème d'exemple juste pour emy_arts, perso,je suis comme toi, je préfère la prose. C'est vrai, c'est plus beau.

ouais, c'est pas mal ce que tu nous a ecrit, mais ça bat pas ce que je fait

ok, je te fiat ça, on va voir combien de temps je met^^
Je te previens, C pas vraiment le même genre ke toi:p:p
Et la, j'ai envie d'ecrire une nouvelle, j'espere ke ça vous derange pas les gens ^^


C'est sur le perron qu'elle s'esseyai. Sa main délicate, nerveusement déposée sur sa cuisse, elle regardait passer le temps, le temps qui prenait son temps à passer devant chez elle, accompagné de la silouhette. Non, cette silouhette n'était pas très imposante, mais quel charme elle avait.

Il portait un chapeau de haute forme noir qui lui glissait quelque peu sur le front pour ne presque plus voir ses yeux dans l'ombre que laissait l'ornement sur sa tête . Un long manteau de soie noire lui recouvrait entièrement le corps ou presque. Il avait les yeux d'un vert pur, ceux que l'on n'ose admirer par peur d'ambîmer ce regard si honnête.

Elle se leva lentement, sans bruit, sans geste brusque, comme pour approcher un jeune enfant qui dort. Elle l'aborda, beggayant, les joues pourpres...qu'allait-elle lui dire. -Elle désirait tant l'approcher, lui parler, elle en rêvait durant des mois! Il passait à la même heure, chaque jour, jettant un coup d'oeil à la maison et surout..au balcon.- Il lui prit la main, sans un mot, la caressa lentement le visage tout en la regardant d'un air charmant et doux que même la rose déjà morte s'en ouvrirait de vivacité. Elle sentait ses jambes perdre de leur fermeté, elle ne les sentait presque plus en fait..

Il la tint par la taille pour finalement la raccompagner à son fameux perron de bois vieilli. Ils s'asseyèrent tous deux, l'un contre l'autre, pour parler lentement de la vie. L'homme lui demanda, entre-temps, si la famille de la femme avait rénové quoi que ce soit dans la vieille maison du balcon. À ce qu'elle en savait, rien n'avait changé depuis qu'ils l'occupaient. L'homme parti, un sourire en coin, vers la direction qu'il venait. Elle le regarda s'en aller, le coeur vascillant.

L'inconnu revint, des mêmes habits, du même regard plongeant sur le terrain de la vieille maison. mais ce jour, une vieille dame en sortie. L'homme l'interpella d'une voix vive. Elle vint, ses mains jadis délicates déposées sur une canne en bois, dans les bras de l'homme. Il l'invita sur le perron ,et échangèrent quelques mots sur la vie. Elle versa une larme, pour une raison qui restra éternellement inconnue.

L'homme repartit comme à l'habitude des jours précédents. Puis, la dame alla se coucher..et ce fut leur dernière rencontre.

20 ans passèrent, une jeune femme blonde s'asseya sur le perron de la bien vieille maison, la main sur le coeur, les yeux posés sur la chaussé. Puis l'heure arriva..accompagnée d'un homme pas très imposant..mais d'un tel charme méconnu...ou presque..



Voila, C fini^^ j'espere ke ça vous aura plu... il m'a fallu... 11 minutes pour le faire