Présidentielles 2007

Moi aussi, comme fallen_angel13, je serais pour Olivier Besancenot.

tous pour JMLP

marie-george buffet... pas terrible terrible... J'ai bien aimé le débat sur la deux le 29 mai au soir, CT marrant de la voir s'exciter pr couper les autres et dire ensuite quede la merde ...

La monarchie absolue n'était pas une dictature peut-être ? Pour toi, Avarice, qu'est-ce que la dictature ?

C'est tout ce que tu as lu ?

sarko

Mais bien sur que non ce n'était pas une dictature. On était plus libres sous la monarchie qu'aujourd'hui ! Lisez des livres vous verrez.
En France, avant la Révolution les provinces étaient très indépendantes par rapport au pouvoir royale. Chaque région avait son propre droit en fonction de la coutume qui s'était élaboré avec le temps. Ce n'était pas le Roi qui définissait les règles de le vie quotidienne comme aujourd'hui les ministres édicte des lois que la France entière est obligée d'appliquer. Lorsque le roi édictait une ordonnance,il fallait l'accord des parlements et si ceux ci n'acceptait pas la loi ne passait pas. De plus, la loi votée était modifié selon les régions en fonction de la coutume qui régissait la vie des habitants. Il y avait presque un parfum d'anarchie dans l'ancienne France.

losteri , ken on a un opinion , on le garde pr soit , on ouvre po sa grde gueule !!!
je dirai kelkun de gauche ou lidéal serai de l'extremegauche , du PCF , ou de LO-LCR !

romuse59, on est en france, ds une démocratie et g autant le droit d'exprimer mon opinion que toi, libre à moi de préférer l'UMP aux communistes ...

Avarice, t'es un dangereux ! Moi je vote à gauche, seuls les politiciens de gauche sont capables d'apporter une justice sociale à la France, et non pas une Justice faite pour les patrons et les + riches comme celle qu'exerce le gouvernement de droite actuellement...
Donc je pencherai pour Olivier Besancenot voire un retour de Lionel Jospin
Hey Avarice ? Tu voudrais pas non plus rétablir la guillotine ? Le servage ? La censure ? La propagande ? Les privilèges ? La Bourgeoisie ? Tu crois que la révolution Française a été faite pourquoi ? Je te laisse un petit poème, toi qui a l'air si intelligent et persuadé de tes affirmations, tu devrais pouvoir le déchiffrer sous son coté implicite et te rendre compte des betises que tu débites... :

Les Animaux malades de la peste .

Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n'épiaient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents
On fait de pareils dévouements :
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J'ai dévoré force moutons.
Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m'est arrivé quelquefois de manger
Le Berger.
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
- Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;
Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur
En les croquant beaucoup d'honneur.
Et quant au Berger l'on peut dire
Qu'il était digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire.
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane vint à son tour et dit : J'ai souvenance
Qu'en un pré de Moines passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue
Qu'il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.