je ne me reconnais plus

A quoi se résume une crise d'angoisse? Qu'est-ce que tu penses à ce moment là?

J'plussoie.

Yorudenu quand je fait une crise d'angoisse sa va tres vite envie de vomir mal au ventre je tremble pour rien envie de pleuré du mal a respiré et dans c'est moment j'ai plus envi de quoi que se soit


y0u_addict je voudrais pouvoir elargir mon cercle de connaisse mais je ne veux pas pour autant lacher mon copin je l'aime vraiment et je sais que meme si pour le moment sa va pas du tout sans lui se serais pire

Tu voudrais? Quelque chose t'en empêche? Dis-nous tout ;D.

Je sais que l'idée de lâcher le copain que tu as depuis 1 an est une décision somme toute dur à comprendre. La pilule n'est pas évidente à avaler, je le conçois fort bien. Je te laisse y réfléchir et te rendre toi même lucide et consciencieuse sur le sujet, ce n'est pas mon objectif de juger ton entourage, et je n'en ai pas le droit.
A court terme, tu crois que ce sera la fin du monde.
A long terme, t'en rencontre beaucoup d'autres et c'est le plaisir à l'état pur.

A l'époque, je me disais que quitter ma copine, c'était dur. Et puis elle me connaissait mieux que quiconque, et puis j'avais des relations sexuelles fréquentes avec elles (la peur de ne pas avoir de partenaires post-ruptures est symptomatique de la peur de larguer son partenaire actuel, prouvé ;)), et puis je n'avais pas à re-engager tout le processus de séduction (ce qui est fondamentalement faux, une relation est une connection constante entre deux êtres humains, la séduction doit être là à tout instant et c'est le vecteur principal pour garder une relation saine, et a fortiori de garder sa femme/petite amie), etc.
Je me cherchais je ne sais combien de raisons pour me contraindre à ne pas changer de vie, à garder mes acquis et à me complaire vis à vis de ceux-ci. A quoi bon stagner?

Désormais, ayant observé que plus aucun homme ne sait séduire et que les femmes ont plus tendance à séduire et aller de l'avant que les hommes, j'ai saisi ma chance. Je prend soin de moi, je suis un tant soit peu égoïste, je vis MA vis en fonction de MES envies. Je rencontre les femmes/filles que JE souhaite rencontrer. Je continue avec certaines, je ne vais pas plus loin que le lit (ou la table ;p) avec d'autres, j'en garde commes amies, j'en laisse tomber d'autres, je prend mon pied avec d'autres, etc. Je suis LIBRE de faire MES choix, pas ceux des autres.

Epanoui, heureux et croquant la vie à pleines dents. Voilà le résultat.

La balle est dans ton camp.

Merci d'écrire français, j'ai un peu de mal à te lire ;D.
Après une re-explication de ta part, peut-être que nous aurons compris la fausse idée.

"voila je vais avoir 17 ans, sa fait un ans que je suis avec mon chéri on s'aime j'ai une famille extras enfin tout pour etre heureuse et pourtant voila je fais des crises d'angoise"

relis ça,et si tu te rends pas compte que t'angoisse pour rien,

pends toi

ou alors,un an avec le même mec,quand on en a 17 ya de quoi angoisser !

sans déconner vous vous prenez trop la tete les ptits gars .. La vie c'est pas le fait de s'prendre la tete du pourquoi j'vais mal en ce moment dans ma petite existence .. Laisse pisser , de toute facon tu voudras regler ce probleme pour en avoir un autre sur le dos !
A quoi bon ? C'est bien la seule chose que j'ai appris de la vie du haut de mes 17 ans pour l'instant

Je vois tout à fait ce que tu ressens. Cette envie de vomir, de pleurer, cette impression d'étouffer ...
Il y a plus d'un an de cela, ça m'est arrivé, comme ça, sans aucune raison. Sauf que moi ça m'a bouffé presque 6 mois de ma vie, des moments de solitude extrèmes, je ne savais plus quoi faire, je ne sortais plus, je pensais que je ne m'en sortirais jamais. J'ai vu un médecin et rien n'a changé. Puis j'ai décidé de me concentrer vraiment sur mes cours, j'ai changé d'air, j'ai rencontré de nouvelles personnes et cette sensation d'étouffement est partie peu à peu. Doucement, mais c'est parti. Il m'arrive encore d'angoisser quelques fois, mais ça part vite. Je te conseille de ne pas y penser (même si c'est parfois dur) et de ne pas non plus te morfondre sur toi-même. Ça va passer :].

Personnellement j'admire ta philosophie et ton attitude. C'est un peu celle que je cherche à adopter, mais perdue sur un île de 25km², dur dur de changer tout ce qui m'encercle et ce qui me construit. Toutefois, je compose avec et dans 2 ans et demi je serai enfin seule arbitre de ma vie. Il n'en reste pas moins que les gens si "détachés" comme tu sembles l'être et qui, somme toute, arrivent à profiter ainsi de la vie qu'on leur offre, ça m'intrigue, ça me fait réfléchir et j'ai envie de leur tirer mon chapeau bas(oui, celui de Noël entre autres).

Bref, tout ce que j'avais à dire.
Et je m'appuie sur tes propos pour donner conseil à justloulou. Quelle brise la routine une bonne fois pour toute, au moins le temps de sa jeunesse et aille s'y confiner une dernière fois si elle a "besoin de cet équilibre" et souhaite se poser avec un homme pour le reste de sa vie.

Am Stram Gram.

Un bonheur egoïste? Si tu savais .

Non, plus franchement. Je ne souhaite pas dépendre des autres, pas d'une chose quelconque. En soi, je pourrais dire que je dépend des fringues, de l'envie de prendre soin de moi, de la beauté des femmes. Je suis dépendant de la séduction, je suis dépendant des sorties, je suis dépendant du dandysme..

Mais je ne suis dépendant de personne. De qui voudrais-je être dépendant à 17 ans?
De ma famille? Je ne suis dépendant que de l'autorité parentale. Socialement et moralement, il me laisse faire mes choix car je leur ai démontré que j'étais en mesure de les faire et que j'avais atteind la maturité nécessaire pour prendre les choix qui s'imposent.
De mes amis? Je peux être dépendant de leur compagnie et de leur souffrance, mais je ne le suis pas. C'est un bonheur pour moi de pouvoir les aider et les supporter quand ils le demandent. C'est un bonheur de passer du temps avec eux, de partager un lien fort et intime. Cependant, j'entends par ami ceux qui se comptent sur le doigt de la main.
Des femmes? Je prend mes décisions sans elles, et être dominé et dépendant d'une femme qui va jusqu'à prendre les décisions à votre place, je refuse ;). Ce n'est pas une généralité, mais la vue que j'ai de certains couples me fait redescendre sur Terre bien vite. Je ne suis pas dépendant d'elle dans le sens où cela ne me ferait aucun mal de larguer ou de me faire larguer. J'en tire des conséquences, j'en apprend et retrouver une femme n'est pas un travail bien difficile..
Des gens en général? Je ne suis pas dépendant de leur jugements, de ce qu'ils pensent de moi. Je suis MA ligne de conduite et MES ambitions. Néanmoins, je reste humble, respectueux et tolérant envers ceux-ci, ce qui m'assure de ne pas me mettre à dos la majorité des gens qui m'entourent.

Dépendance et réciprocité sont bel et bien distincts chez moi C'est peut-être une particularité de ma personne, je ne sais pas. J'entretiens des rapports réciproques avec mes amis, ma famille, mes petites amies, mes partenaires occasionnelles, mes camarades de classes, etc.
On trouve la réciprocité en chaque relation humaine. L'obligation d'une pseudo relation amoureuse est un mythe et un carcan qui vous empêche de vivre..

A vous de faire votre choix.

Au plaisir Levine


PS : Se perdre? Je ne suis pas encore perdue. Au pire, je suis sur un projet de GPS, mes repère sociaux sont là pour moi.