sexe

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

jogoni sexe 17 09/10/09 à 17:54

c'est quoi la sodomie

Tu as ta réponse détaillée post 12. Pense à faire un effort de syntaxe la prochaine fois, merci.
P0w

sexe 1/17 09/10/2009 à 17:56
La kekette qui passe par le cucu.
sexe 2/17 09/10/2009 à 17:57
Le côté obscur de la force.
Rose_ 
sexe 3/17 09/10/2009 à 18:01
Ta mere
sexe 4/17 09/10/2009 à 18:01
Une saucisse dans une bouche
sexe 5/17 09/10/2009 à 18:02
Lorsque la rivière rouge coule on emprunte le chemin boueux Sifflote
sexe 6/17 09/10/2009 à 18:08
Seau d'eau mi, en fait c'est un seau rempli à moitié d'eau voilà voilà voilà =)
sexe 7/17 09/10/2009 à 18:17
ca r'commence Mauvais ange
sauf que c'te fois c'est pas "bite" Surprised
p'tain gars SE serait ennuyant sans toi MDR
sexe 8/17 09/10/2009 à 18:20
Baaaaah caca tout ça, le sexe baaaaah. Papillon
sexe 9/17 09/10/2009 à 18:20
Hem. Tu devrais sans doute regarder sur Wikipedia, avant de chercher une réponse sur ce forum cultivé et délicat qu'est SE.
sexe 10/17 09/10/2009 à 18:58
C'est un pays
sexe 11/17 09/10/2009 à 19:02
Joke Air a écrit :

Hem. Tu devrais sans doute regarder sur Wikipedia, avant de chercher une réponse sur ce forum cultivé et délicat qu'est SE.


Les mots délicat et cultivé sont en effet de rigueur.
sexe 12/17 09/10/2009 à 19:04
Wikipédia (extrait) :

La sodomie est un rapport sexuel qui consiste en une pénétration de l'anus du ou de la partenaire, généralement avec le pénis ou à l'aide d'un objet représentant un phallus. Le godemichet, éventuellement monté sur un harnais (appelé aussi « gode-ceinture »), permet à une femme ou à un homme, de sodomiser un ou une partenaire.

Le terme de sodomie vient du nom de la ville de Sodome qui, selon la Bible, fut détruite par Dieu après que ses habitants eurent tenté de violer des anges de Dieu réfugiés chez Loth, le neveu d'Abraham.(cf. l’épisode de Sodome et Gomorrhe). Dans cet épisode, il n'est pas explicitement fait mention de la sodomie telle qu’on la définit actuellement : les autres références au péché de Sodome dans la bible évoquent plutôt le manque au devoir d'hospitalité très important dans le Proche-Orient ancien (Ez. 16,49 ; Jr. 23,14 ; Sir. 16,8 ; Lc 10,10-12). L'interprétation en termes de sodomie ou d'homosexualité commencerait à apparaître avec les apocalyptiques juives tardives et chez les juifs hellénisés au début du IIe siècle. Origène (185-253) et St Ambroise (340-397), pourtant grands ennemis du péché de chair, évoquent le manquement à l'hospitalité. Sans doute en référence aux alliances interdites entre les fils de Dieu et les filles d'humains qui provoquent la colère de Dieu en Gen. 6,1-4, les commentaires juifs attribuaient des relations interdites entre les femmes de Sodome et les anges. Ainsi, jusqu'au XVIIe siècle, le terme sodomie recouvrait un ensemble de relations sexuelles réprouvées, pas seulement anales ou homosexuelles[1]. Dans certains contextes, notamment les classifications légales de certains États fédérés des États-Unis d'Amérique, le terme anglais sodomy inclut d’autres pratiques sexuelles jugées déviantes par certains, notamment le cunnilingus et la fellation (contact entre la bouche et le sexe). En allemand (Sodomie) et en norvégien (sodomi), le terme ne fait aucunement référence à la pénétration anale mais désigne la zoophilie.

D’une manière similaire, le terme « bougre » (du latin Bulgarus, qui donne l’ancien français bogre) désignait à l’origine les bogomiles (« amis de Dieu » du bulgare Bog « dieu » et mile « ami »), membres d’une secte bulgare hétérodoxe proche des mouvements cathares. On avait accusé ces bogomiles du péché de sodomie afin — entre autres — de les tourner en dérision. « Bougre » en est donc venu à ne plus désigner les seuls Bulgares bogomiles, mais aussi de manière injurieuse les sodomites. Par affadissement, le terme a désigné un « gaillard » et enfin un « individu ». Le cognat anglais bugger a gardé le sens original de sodomite.

La sodomie entre hommes, si elle ne fut pas la position sexuelle privilégiée, fut pratiquée dans la Grèce antique, ainsi qu’à Rome, dans le cadre d'une relation entre un homme plus âgé, le maître, actif, et son élève, passif, plus jeune. C'était donc considéré comme une façon de transmettre le savoir.

Il y a peu d’éléments directs parlant de la sodomie chez les Celtes et en particulier chez les Gaulois. Cependant, il y a quelques citations d’auteurs classiques déclarant que l'activité homosexuelle était acceptée et quelques productions culturelles en la matière. Par exemple Athenaeus, le rhétoricien grec et le grammairien, répétant des affirmations faites par Diodorus, a écrit que : « Les Celtes, bien qu’ils aient les femmes très belles, apprécient de jeunes garçons davantage : de sorte que certains d'entre eux aient souvent deux amoureux à dormir avec eux sur leurs lits à peau de bête. »[2],[3],[4]. Selon Aristote encore, les Celtes sont ouverts et approuvent les jeux amoureux masculins in « la politique II 1269b ». Cependant, selon la loi dite du brehon, si l’homme est marié la femme peut alors disposer librement d’elle-même[5].

Sous l’Inquisition espagnole des XVIe et XVIIe siècles[6], la sodomie, à l’instar de la bestialité, était considérée comme un péché abominable. La sodomie était qualifiée de parfaite si elle était le fait de deux hommes et imparfaite (donc moins grave) si elle était le fait d’un homme et d’une femme. Le terme incluait secondairement d’autres pratiques sexuelles, telles que fellation, cunnilingus, onanisme, etc. La torture était fréquemment pratiquée : y résister était une preuve de bonne foi.

La sodomie pouvait valoir à ses auteurs le bûcher, les galères, la prison à vie ou pour plusieurs années, le bannissement, des pénitences diverses ou simplement d’être fouetté en public, selon la gravité de l’acte soigneusement pesée par les inquisiteurs. Cependant, dans ce domaine, la justice civile était encore plus sévère et plus expéditive.

En France comme dans de nombreux pays, la sodomie fut longtemps interdite. Une des premières lois la réprimant fut la loi de 1533 de Buggery en Angleterre. En 1726, un lieutenant de police est brûlé vif en raison de « crimes de sodomie », le jour même de son accusation. D’après Michel Foucault « ce fut, en France, une des dernières condamnations radicales pour fait de sodomie » (Histoire de la folie à l'âge classique [réf. incomplète] ). La sodomie disparaît du Code pénal révolutionnaire en 1791.

Au Canada, la loi anti-sodomie est révoquée en 1969 par Pierre Elliott Trudeau, elle demeure néanmoins régie par le Code Criminel (article 159) où il est stipulé que la sodomie est interdite entre personnes âgées de moins de 18 ans et que sa pratique doit avoir lieu dans l’intimité.

Plusieurs États des États-Unis ont des lois prohibant la sodomie, tandis qu'en Inde elle est réprimée par la section 377 du Code pénal de 1860.

En Occident, la plupart des médecins et des sexologues du XVIIIe au début du XXe siècle pensait qu'il existait un instinct de la reproduction. Pour cette raison, comme la sodomie ne permet pas la fécondation, c'était une activité contre-nature. Elle provenait forçément d'un vice moral ou d'un dérèglement de l'instinct sexuel[7].

Dans les années 2000, les recherches en neurosciences ont montré que les êtres humains stimulent leurs zones érogènes car cela procure des récompenses / renforcements dans le cerveau[8]. Ces récompenses, en particulier l'orgasme, sont perçues au niveau de la conscience comme des sensations de plaisirs érotiques et de jouissances. En simplifiant, l'être humain recherche les activités sexuelles, comme la sodomie, car elles procurent des plaisirs érotiques intenses.

Chez l'être humain (et le Chimpanzé, le Bonobo, l'Orang outan ...), le comportement sexuel n'est plus un comportement de reproduction, mais devient un comportement érotique[9]. Au cours de l'évolution, l'importance et l'influence des hormones[10] et des phéromones[11],[12] sur le comportement sexuel a diminué. Au contraire, l'importance des récompenses est devenue majeure[8]. Chez l'être humain, le but du comportement sexuel n'est plus le coït vaginal mais la recherche des plaisirs érotiques, procurés par la stimulation du corps et des zones érogènes[13].
Article principal : Comportement érotique.

Pour ces raisons, la sodomie est "biologiquement normale" et ne peut être considérée comme un acte "contre-nature", une maladie ou un trouble psychologique. Chez l'être humain, le but du comportement érotique est la recherche des plaisirs sexuels, nouveaux, variés et intenses[14].

Le plaisir est clairement à l'origine de la sodomie pour l'homme qui réalise la pénétration. L'orifice anal est entouré par des muscles sphincters qui procurent des pressions intenses sur le pénis, ce qui augmente les sensations érotiques. Cette caractéristique anatomique, avec l'ajout d'un lubrifiant, explique que certains hommes préfèrent le coït anal au coït vaginal.

Pour la personne qui est pénétrée durant la sodomie, les motivations sont en partie différentes. L'anus n'est pas aussi spontanément érogène que les organes génitaux, et il faut parfois répéter régulièrement les stimulations pour éveiller la sensibilité érogène de la région anale. Être sodomisé n'est pas une activité préférée pour la majorité des personnes. Néanmoins, environ un tiers des personnes qui pratiquent régulièrement cette activité indiquent ressentir du plaisir érotique intense et l'orgasme[13].

Pour les personnes qui pratiquent régulièrement la sodomie, c'est une préférence sexuelle, qui se forme au cours de la vie de la même manière que les préférences alimentaires, olfactives ou musicales.

Les Sonnetts Luxurieux, de Pietro Aretino, illustration de Paul Avril.

Contrairement à la vulve et au vagin, l’anus et le rectum ne sécrètent pas de lubrification naturelle facilitant le rapport sexuel. Cependant, l'anus est une partie du corps, pour les hommes comme pour les femmes, particulièrement innervé, dont la sensibilité est similaire à celle des parties génitales[réf. nécessaire], source d'un possible plaisir pour le receveur. La sensation de va-et-vient chez la femme et la prostate chez l'homme peuvent conduire à l'orgasme pour le partenaire passif[15]. La salive est suffisante comme lubrifiant et le risque de lésions des fragiles muqueuses anales est mineur mais il est préférable d'utiliser un lubrifiant artificiel ou un préservatif lubrifié. Toutefois, même ce dernier requiert l'ajout d'un lubrifiant si les mouvements se prolongent. Autrefois, la vaseline était généralement utilisée, mais à base de gras, elle fragilise les préservatifs tout en étant plus difficilement lavable. De nos jours, sont donc plutôt utilisés des lubrifiants intimes à base d’eau ou de silicone.

Le rectum pouvant contenir des restes de matière fécale, certains pratiquent un lavement préalablement à une sodomie. Néanmoins, trop souvent répétée, cette pratique peut fragiliser le rectum. En outre, le rectum est normalement vide si l'individu a déféqué complètement quelques heures avant le rapport.

Une pénétration trop brutale peut provoquer micro-coupures ou saignements. La sodomie peut provoquer des fissures anales. Le sphincter anal est un muscle circulaire qui contrôle l'ouverture du canal au moment de la défécation. La sodomie avec un objet d'un certain diamètre sera vécue comme douloureuse à cause de la distension de ce muscle et à cause des fissures qui peuvent être induites par la sodomie. Toutefois, la pratique d'exercices d'assouplissement permet de modifier la dilatation. Il existe une pratique qui consiste à obtenir une très grande souplesse de ce sphincter par des exercices répétés d'insertion d'objet de diamètre de plus en plus grand. D'autre part, la muqueuse rectale est fragile et poreuse aux virus et bactéries. Elle a la propriété (dont tirent parti les suppositoires) d’absorber les substances déposées dans le rectum. En conséquence, elle est un terrain propice aux échanges de maladies sexuellement transmissibles, notamment du SIDA. C’est la raison pour laquelle il est fortement déconseillé d’avoir un rapport anal sans préservatif avec une personne dont on ne sait pas si elle est infectée par de telles maladies; et même avec un préservatif il est recommandé d'utiliser un gel lubrifiant adapté.
sexe 13/17 09/10/2009 à 19:11
en même temps il se décrit comme pas très intelligent.. Mais bon à 15 ans quand même :O >
sexe 14/17 09/10/2009 à 19:14
T'appelles ça un extrait Alfy ? XD
sexe 15/17 09/10/2009 à 19:20
Alfy a écrit :

Wikipédia (extrait) :

La sodomie est un rapport sexuel qui consiste en une pénétration de l'anus du ou de la partenaire, généralement avec le pénis ou à l'aide d'un objet représentant un phallus. Le godemichet, éventuellement monté sur un harnais (appelé aussi « gode-ceinture »), permet à une femme ou à un homme, de sodomiser un ou une partenaire.

Le terme de sodomie vient du nom de la ville de Sodome qui, selon la Bible, fut détruite par Dieu après que ses habitants eurent tenté de violer des anges de Dieu réfugiés chez Loth, le neveu d'Abraham.(cf. l’épisode de Sodome et Gomorrhe). Dans cet épisode, il n'est pas explicitement fait mention de la sodomie telle qu’on la définit actuellement : les autres références au péché de Sodome dans la bible évoquent plutôt le manque au devoir d'hospitalité très important dans le Proche-Orient ancien (Ez. 16,49 ; Jr. 23,14 ; Sir. 16,8 ; Lc 10,10-12). L'interprétation en termes de sodomie ou d'homosexualité commencerait à apparaître avec les apocalyptiques juives tardives et chez les juifs hellénisés au début du IIe siècle. Origène (185-253) et St Ambroise (340-397), pourtant grands ennemis du péché de chair, évoquent le manquement à l'hospitalité. Sans doute en référence aux alliances interdites entre les fils de Dieu et les filles d'humains qui provoquent la colère de Dieu en Gen. 6,1-4, les commentaires juifs attribuaient des relations interdites entre les femmes de Sodome et les anges. Ainsi, jusqu'au XVIIe siècle, le terme sodomie recouvrait un ensemble de relations sexuelles réprouvées, pas seulement anales ou homosexuelles[1]. Dans certains contextes, notamment les classifications légales de certains États fédérés des États-Unis d'Amérique, le terme anglais sodomy inclut d’autres pratiques sexuelles jugées déviantes par certains, notamment le cunnilingus et la fellation (contact entre la bouche et le sexe). En allemand (Sodomie) et en norvégien (sodomi), le terme ne fait aucunement référence à la pénétration anale mais désigne la zoophilie.

D’une manière similaire, le terme « bougre » (du latin Bulgarus, qui donne l’ancien français bogre) désignait à l’origine les bogomiles (« amis de Dieu » du bulgare Bog « dieu » et mile « ami »), membres d’une secte bulgare hétérodoxe proche des mouvements cathares. On avait accusé ces bogomiles du péché de sodomie afin — entre autres — de les tourner en dérision. « Bougre » en est donc venu à ne plus désigner les seuls Bulgares bogomiles, mais aussi de manière injurieuse les sodomites. Par affadissement, le terme a désigné un « gaillard » et enfin un « individu ». Le cognat anglais bugger a gardé le sens original de sodomite.

La sodomie entre hommes, si elle ne fut pas la position sexuelle privilégiée, fut pratiquée dans la Grèce antique, ainsi qu’à Rome, dans le cadre d'une relation entre un homme plus âgé, le maître, actif, et son élève, passif, plus jeune. C'était donc considéré comme une façon de transmettre le savoir.

Il y a peu d’éléments directs parlant de la sodomie chez les Celtes et en particulier chez les Gaulois. Cependant, il y a quelques citations d’auteurs classiques déclarant que l'activité homosexuelle était acceptée et quelques productions culturelles en la matière. Par exemple Athenaeus, le rhétoricien grec et le grammairien, répétant des affirmations faites par Diodorus, a écrit que : « Les Celtes, bien qu’ils aient les femmes très belles, apprécient de jeunes garçons davantage : de sorte que certains d'entre eux aient souvent deux amoureux à dormir avec eux sur leurs lits à peau de bête. »[2],[3],[4]. Selon Aristote encore, les Celtes sont ouverts et approuvent les jeux amoureux masculins in « la politique II 1269b ». Cependant, selon la loi dite du brehon, si l’homme est marié la femme peut alors disposer librement d’elle-même[5].

Sous l’Inquisition espagnole des XVIe et XVIIe siècles[6], la sodomie, à l’instar de la bestialité, était considérée comme un péché abominable. La sodomie était qualifiée de parfaite si elle était le fait de deux hommes et imparfaite (donc moins grave) si elle était le fait d’un homme et d’une femme. Le terme incluait secondairement d’autres pratiques sexuelles, telles que fellation, cunnilingus, onanisme, etc. La torture était fréquemment pratiquée : y résister était une preuve de bonne foi.

La sodomie pouvait valoir à ses auteurs le bûcher, les galères, la prison à vie ou pour plusieurs années, le bannissement, des pénitences diverses ou simplement d’être fouetté en public, selon la gravité de l’acte soigneusement pesée par les inquisiteurs. Cependant, dans ce domaine, la justice civile était encore plus sévère et plus expéditive.

En France comme dans de nombreux pays, la sodomie fut longtemps interdite. Une des premières lois la réprimant fut la loi de 1533 de Buggery en Angleterre. En 1726, un lieutenant de police est brûlé vif en raison de « crimes de sodomie », le jour même de son accusation. D’après Michel Foucault « ce fut, en France, une des dernières condamnations radicales pour fait de sodomie » (Histoire de la folie à l'âge classique [réf. incomplète] ). La sodomie disparaît du Code pénal révolutionnaire en 1791.

Au Canada, la loi anti-sodomie est révoquée en 1969 par Pierre Elliott Trudeau, elle demeure néanmoins régie par le Code Criminel (article 159) où il est stipulé que la sodomie est interdite entre personnes âgées de moins de 18 ans et que sa pratique doit avoir lieu dans l’intimité.

Plusieurs États des États-Unis ont des lois prohibant la sodomie, tandis qu'en Inde elle est réprimée par la section 377 du Code pénal de 1860.

En Occident, la plupart des médecins et des sexologues du XVIIIe au début du XXe siècle pensait qu'il existait un instinct de la reproduction. Pour cette raison, comme la sodomie ne permet pas la fécondation, c'était une activité contre-nature. Elle provenait forçément d'un vice moral ou d'un dérèglement de l'instinct sexuel[7].

Dans les années 2000, les recherches en neurosciences ont montré que les êtres humains stimulent leurs zones érogènes car cela procure des récompenses / renforcements dans le cerveau[8]. Ces récompenses, en particulier l'orgasme, sont perçues au niveau de la conscience comme des sensations de plaisirs érotiques et de jouissances. En simplifiant, l'être humain recherche les activités sexuelles, comme la sodomie, car elles procurent des plaisirs érotiques intenses.

Chez l'être humain (et le Chimpanzé, le Bonobo, l'Orang outan ...), le comportement sexuel n'est plus un comportement de reproduction, mais devient un comportement érotique[9]. Au cours de l'évolution, l'importance et l'influence des hormones[10] et des phéromones[11],[12] sur le comportement sexuel a diminué. Au contraire, l'importance des récompenses est devenue majeure[8]. Chez l'être humain, le but du comportement sexuel n'est plus le coït vaginal mais la recherche des plaisirs érotiques, procurés par la stimulation du corps et des zones érogènes[13].
Article principal : Comportement érotique.

Pour ces raisons, la sodomie est "biologiquement normale" et ne peut être considérée comme un acte "contre-nature", une maladie ou un trouble psychologique. Chez l'être humain, le but du comportement érotique est la recherche des plaisirs sexuels, nouveaux, variés et intenses[14].

Le plaisir est clairement à l'origine de la sodomie pour l'homme qui réalise la pénétration. L'orifice anal est entouré par des muscles sphincters qui procurent des pressions intenses sur le pénis, ce qui augmente les sensations érotiques. Cette caractéristique anatomique, avec l'ajout d'un lubrifiant, explique que certains hommes préfèrent le coït anal au coït vaginal.

Pour la personne qui est pénétrée durant la sodomie, les motivations sont en partie différentes. L'anus n'est pas aussi spontanément érogène que les organes génitaux, et il faut parfois répéter régulièrement les stimulations pour éveiller la sensibilité érogène de la région anale. Être sodomisé n'est pas une activité préférée pour la majorité des personnes. Néanmoins, environ un tiers des personnes qui pratiquent régulièrement cette activité indiquent ressentir du plaisir érotique intense et l'orgasme[13].

Pour les personnes qui pratiquent régulièrement la sodomie, c'est une préférence sexuelle, qui se forme au cours de la vie de la même manière que les préférences alimentaires, olfactives ou musicales.

Les Sonnetts Luxurieux, de Pietro Aretino, illustration de Paul Avril.

Contrairement à la vulve et au vagin, l’anus et le rectum ne sécrètent pas de lubrification naturelle facilitant le rapport sexuel. Cependant, l'anus est une partie du corps, pour les hommes comme pour les femmes, particulièrement innervé, dont la sensibilité est similaire à celle des parties génitales[réf. nécessaire], source d'un possible plaisir pour le receveur. La sensation de va-et-vient chez la femme et la prostate chez l'homme peuvent conduire à l'orgasme pour le partenaire passif[15]. La salive est suffisante comme lubrifiant et le risque de lésions des fragiles muqueuses anales est mineur mais il est préférable d'utiliser un lubrifiant artificiel ou un préservatif lubrifié. Toutefois, même ce dernier requiert l'ajout d'un lubrifiant si les mouvements se prolongent. Autrefois, la vaseline était généralement utilisée, mais à base de gras, elle fragilise les préservatifs tout en étant plus difficilement lavable. De nos jours, sont donc plutôt utilisés des lubrifiants intimes à base d’eau ou de silicone.

Le rectum pouvant contenir des restes de matière fécale, certains pratiquent un lavement préalablement à une sodomie. Néanmoins, trop souvent répétée, cette pratique peut fragiliser le rectum. En outre, le rectum est normalement vide si l'individu a déféqué complètement quelques heures avant le rapport.

Une pénétration trop brutale peut provoquer micro-coupures ou saignements. La sodomie peut provoquer des fissures anales. Le sphincter anal est un muscle circulaire qui contrôle l'ouverture du canal au moment de la défécation. La sodomie avec un objet d'un certain diamètre sera vécue comme douloureuse à cause de la distension de ce muscle et à cause des fissures qui peuvent être induites par la sodomie. Toutefois, la pratique d'exercices d'assouplissement permet de modifier la dilatation. Il existe une pratique qui consiste à obtenir une très grande souplesse de ce sphincter par des exercices répétés d'insertion d'objet de diamètre de plus en plus grand. D'autre part, la muqueuse rectale est fragile et poreuse aux virus et bactéries. Elle a la propriété (dont tirent parti les suppositoires) d’absorber les substances déposées dans le rectum. En conséquence, elle est un terrain propice aux échanges de maladies sexuellement transmissibles, notamment du SIDA. C’est la raison pour laquelle il est fortement déconseillé d’avoir un rapport anal sans préservatif avec une personne dont on ne sait pas si elle est infectée par de telles maladies; et même avec un préservatif il est recommandé d'utiliser un gel lubrifiant adapté.




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Coeur
sexe 16/17 09/10/2009 à 19:25
Rose_ a écrit :

Ta mere



Et la tienne ?
sexe 17/17 09/10/2009 à 19:26
Ben tu connais pas tes gammes?

so do mi fa sol la si do =D
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