Solitude

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

Errance   Solitude 9 09/07/12 à 16:48

[ Ceci n'est qu'un début. Des avis ? Merci d'avance Smile ]

Seule dans une maison qui n'est pas la mienne,comme la veille, je me suis réveillée. J'ai fait mon lit, puis, n'ayant plus le courage de me laver, je me suis assise sur le rebord de la fenêtre. C'était l'automne. Je regardais les feuilles tomber les unes après les autres avec un silence incroyable dans le lever du jour. C'était un lendemain de fête, pour chaque esprit, mais pas pour le mien. J'avais décidé de me pourrir la vie, j'avais perdu la personne la plus chère à mes yeux ce soir là.. Dehors, j'entendais des bruits, mais au fond de moi je savais que j'étais la seule éveillée à cette heure-ci. Ils étaient tous dans un univers de rêve, celui qui, en ouvrant les yeux, nous parait à tous être un passage de notre vie, mais qui n'en est qu'une idée, un film, ou même un conte. Le rêve... C'est une histoire dont chaque passage est improvisé, où chaque endroit est imaginé, où chaque détail ne se montre pas toujours compréhensible, et où la réalité se repose jusqu'au moment où nos yeux s'ouvrent et ou le rêve s'envole. J'aurais tant donné pour que cette soirée ne soit qu'un rêve …

Je ne veux pas quitter la fenêtre par le chemin habituel, je voudrais connaître une nouvelle sensation, je voudrais essayer occasionnellement d'être une feuille, sauter de ma fenêtre et atterrir au sol en douceur, sans souffrir, mais je ne le ferai pas.. Je suis bien trop lâche pour cela. Comme toujours, je descends de la fenêtre, l'esprit vagabond. J'attrape mon téléphone au passage, tout à fait machinalement. Et dire que bien souvent, d'autres personnes sont dans le même état d'esprit que moi, et qu'on ne les remarque même pas. Je mange, je mange, je ne suis jamais pleinement satisfaite, rien ne passe.. Marre de manger, Marre de boire, Marre de vivre, Marre de survivre, Marre d'être invisible, Marre d'être une «parmi tant d'autre'», Marre... Et pourtant peur de la mort..
Ma vie n'est qu'une banalité. Je n'ai plus rien à faire de mes journées, et je n'ai plus aucun projet. Je me retrouve là, perdue au milieu de cet univers qui n'est plus le mien. Sans repères. Il m'avait pourtant appris à me battre.

Les rues commencent à s'agiter. La routine repart de plus belle pour ces gens. Quel égoïsme. Ils semblent ne pas être conscient du moindre changement. Comme si depuis hier, aucun bouleversement n'avait eu lieu. Monde égoïste ou monde aveugle ? Après tout peu importe. Dans le fond, j'étais peut-être la seule à le connaître.

Aujourd'hui le soleil se lève sur ce qu'il reste de serpentins, il y a du bruit dehors mais je suis la seule réveillée. J'attends patiemment l'heure de rentrer, de me retrouver seule devant un plat de pâtes, encore un à avaler.

Je marche, je marche, j'ai l'impression d'avoir déjà fait plusieurs kilomètres, alors que je n'ai fait que traverser le couloir. La notion du temps m'a échappé. Une porte. Une seconde. Là voici. C'est elle. Il ne me reste plus qu'à appuyer sur cette fichue poignée. C'est vrai quoi .. Dans le fond, de quoi ai-je peur ? Depuis quand les portes attaquent-elles ? Je reste plantée là, quelques minutes, puis je reviens sur mes pas. Il ne faut pas. Ce serait mal. Je me contente de descendre chaque marche des escaliers une par une, et de m'affaler sur le canapé. Pourquoi n'ai-je pas ouvert cette porte … Ai-je peur de tomber nez à nez avec la réalité ? Mon téléphone se met à sonner. Je souris. Dans le fond, je savais bien que tout ça n'était pas réel. « Mathis ». Je soupire, et baisse de nouveau les yeux. Décidément, les gens choisissent toujours les moments les plus appropriés pour prendre de mes nouvelles. Aucune envie de parler. Je raccroche silencieusement. Soudain, je me mets à composer un numéro, de façon tout à fait instinctive. Je ne sais pas pourquoi, ni comment. Je sais aussi que ça ne m'apportera rien, mais je le fais. C'est lui que j'appelle. Pourtant .. Je sais très bien que .. « Salut, désolé, je ne suis pas là pour le moment, ou alors tu me déranges, c'est au choix. Rappelle moi plus tard ou laisse moi un message ! » Non, ce n'est pas possible. Rien de tout cela n'a eu lieu... Mes doigts commencèrent à se crisper. Sa voix. J'avais réentendu sa voix, et maintenant... Quoi qu'il en soit, maintenant, c'était à moi de parler.
« Bon écoute, je m'inquiète là, il faut qu'on parle ! Tu rentres quand ? » Je crois que je ne me suis jamais sentie aussi ridicule de ma vie. J'ai toujours haï parlé aux répondeurs, mais je crois que cette fois-ci fut la pire de toute mon existence. J'attrape la télécommande et allume la télé. Scoubidou. On va aller loin avec ça. Ce chien m'a toujours exaspéré. Enfin presque. Je rééteinds sur le champ. Je suis là, vautrée sur le canapé, à perdre mon temps. Il faut que je réussisse à ouvrir cette porte. On ne sait jamais après tout. Peut-être que je me trompe depuis le début. Pourquoi tout cela arriverait-il maintenant ? Et à lui en plus de cela ? Il a toujours été là pour moi quand ça n'allait pas, et grâce à lui, j'ai surmonté mes peurs. Je n'ai probablement pas été suffisamment reconnaissante envers lui, tout simplement.

Ma raison me lâche. La folie s'empare de moi. Chaque bruit est un nouvel espoir. Tout me renvoie à lui. Pourquoi ne reviendrait-il pas ? Le lien qui nous unissait était si fort … Je m'accrochais à lui, car il était le seul qui m'apprenait à vaincre. Il était le seul à apaiser mes peurs. Aujourd'hui, je sais que tout est différent. J'ai envie de hurler, de frapper tout ce qui se trouve sur mon chemin. J'ai envie de crier mon mécontentement à qui veut l'entendre, en espérant qu'il réapparaisse, qu'il revienne de nulle part, de je ne sais où, en espérant qu'il me prenne dans ses bras et qu'il me dise « Marie, calme toi. Je vais bien, et dans le fond tu sais que d'où je suis, je veille sur toi. » « Tu sais Lucas, c'est ce dont j'essaye de me convaincre, moi aussi j'aimerais pouvoir continuer à veiller sur toi, mais je ne sais même plus où tu es. C'est comme si, tout-à-coup, tout me coupait de toi. Si seulement j'avais ouvert les yeux. J'aurais tellement préféré être apte à réagir. Peut-être que j'aurais pu te sauver, te sortir de là … Dorénavant, je me contente de me réfugier dans le passé, dans nos souvenirs … C'est d'ailleurs la seule chose que je parvienne à faire. L'idée même d'un avenir sans toi me semble intolérable au plus au point. » Je dois rester réaliste. Rien ne le fera revenir. A quoi bon me battre ? Le champ de bataille est vide. Je n'ai plus d'épaule sur qui me reposer. Je me force à admettre que ce rire ne retentira plus, ni aujourd'hui, ni demain. Ta joie de vivre n'est plus de ce monde. Peut-être l'avait-elle déjà quitté sans même que je m'en rende compte … J'ai honte. Tellement honte. Et si tout ceci n'était qu'un rêve ? Mon subconscient me joue des tours. Plus j'y pense, plus j'ai la sensation d'être entrée dans un interminable processus de persuasion. Je suis partagée en deux. Une partie de moi veut y croire, l'autre refuse catégoriquement. Je suis dans le doute, dans l'incompréhension. Je n'ai en aucun cas l'intention de sortir. Je ne veux voir personne. J'attends, sans réellement savoir pourquoi. Peut-être te manifesteras-tu ... Avoir disparu à jamais, ce serait avoir signé ma démission, en es-tu conscient ?

Solitude 1/9 09/07/2012 à 22:43
Bon, ça fait longtemps que je n'ai pas donné mon avis, j’espère que tu acceptes la critique...

Sur le fond, un deuil, pas mal traité... mais cela reste trop flou ! Tu as surement quelque chose en tête, qui reste étranger au lecteur... On voudrait savoir plus précisément ce qu'il se passe, ou ce qu'il s'est passé, c'est un long passage sur de l'intériorité d'un personnage, mais ce n'est pas très intéressant si l'on n'en sais pas plus ! ( c'est le probleme de poster quelque chose qui "n'est qu'un début" )

Cependant, ce n'est pas un probleme pour la suite à mon avis, juste s'efforcer à rentrer plus dans l'intériorité de son personnage lorsqu'on écrit.

Je vais surtout m'exprimer sur la forme de ton texte, tu écris plutôt bien, il y a quelque chose qui nous tient légèrement en haleine, mais il y a des maladresses qui rendent ce que tu as écris moins bon, ça enlève du charme...
Tu abuses des points de déclarations, tu en mets beaucoup trop, et tes phrases deviennent hachées. C'est pas très joli, les phrases courtes peuvent avoir du charme, mais il y a des choses qu'on ne peut pas enlever
Marre de manger, Marre de boire, Marre de vivre, Marre de survivre, Marre d'être invisible, Marre d'être une «parmi tant d'autre'», Marre... Et pourtant peur de la mort..
Il n'y a pas un seul verbe conjugué ici, que tu laisses l'accumulation de "marre" comme une insistance de surcharge du personnage, pourquoi pas... Mais la fin de la phrase n'est vraiment pas belle, même s'il ne manque pas grand chose, comme : " Et pourtant j'ai tellement peur de la mort" ou en étoffant " Et pourtant je suis terrifié à l'idée de mourir"
You know what I mean ?

J'attrape la télécommande et allume la télé. Scoubidou. On va aller loin avec ça. Ce chien m'a toujours exaspéré. Enfin presque. Je rééteinds sur le champ.
D'un coté c'est pas nécessaire, mais admettons ! La phrase n'apporte rien à ce que tu a écris et elle est assez lourde, le "enfin presque" est complètement inapproprié et rééteindre, en plus de ne pas exister, c'est vraiment laid, reste sobre en utilisant éteindre.

Bon, et puis je devrais peut être continuer, mais j'ai pas envie de me casser le.... pied si tu ne prend pas compte de ce que j'ai écris, en bref situe plus précisément ton sujet, étoffe tes phrases, et allège ton style !
J’espère que ce commentaire pourra t'être utile !
Solitude 2/9 09/07/2012 à 23:03
Momoxx a écrit :

Bon, ça fait longtemps que je n'ai pas donné mon avis, j’espère que tu acceptes la critique...

Sur le fond, un deuil, pas mal traité... mais cela reste trop flou ! Tu as surement quelque chose en tête, qui reste étranger au lecteur... On voudrait savoir plus précisément ce qu'il se passe, ou ce qu'il s'est passé, c'est un long passage sur de l'intériorité d'un personnage, mais ce n'est pas très intéressant si l'on n'en sais pas plus ! ( c'est le probleme de poster quelque chose qui "n'est qu'un début" )

Cependant, ce n'est pas un probleme pour la suite à mon avis, juste s'efforcer à rentrer plus dans l'intériorité de son personnage lorsqu'on écrit.

Je vais surtout m'exprimer sur la forme de ton texte, tu écris plutôt bien, il y a quelque chose qui nous tient légèrement en haleine, mais il y a des maladresses qui rendent ce que tu as écris moins bon, ça enlève du charme...
Tu abuses des points de déclarations, tu en mets beaucoup trop, et tes phrases deviennent hachées. C'est pas très joli, les phrases courtes peuvent avoir du charme, mais il y a des choses qu'on ne peut pas enlever
Marre de manger, Marre de boire, Marre de vivre, Marre de survivre, Marre d'être invisible, Marre d'être une «parmi tant d'autre'», Marre... Et pourtant peur de la mort..
Il n'y a pas un seul verbe conjugué ici, que tu laisses l'accumulation de "marre" comme une insistance de surcharge du personnage, pourquoi pas... Mais la fin de la phrase n'est vraiment pas belle, même s'il ne manque pas grand chose, comme : " Et pourtant j'ai tellement peur de la mort" ou en étoffant " Et pourtant je suis terrifié à l'idée de mourir"
You know what I mean ?

J'attrape la télécommande et allume la télé. Scoubidou. On va aller loin avec ça. Ce chien m'a toujours exaspéré. Enfin presque. Je rééteinds sur le champ.
D'un coté c'est pas nécessaire, mais admettons ! La phrase n'apporte rien à ce que tu a écris et elle est assez lourde, le "enfin presque" est complètement inapproprié et rééteindre, en plus de ne pas exister, c'est vraiment laid, reste sobre en utilisant éteindre.

Bon, et puis je devrais peut être continuer, mais j'ai pas envie de me casser le.... pied si tu ne prend pas compte de ce que j'ai écris, en bref situe plus précisément ton sujet, étoffe tes phrases, et allège ton style !
J’espère que ce commentaire pourra t'être utile !




Pour commencer, merci beaucoup. C'est gentil d'avoir pris le temps de me répondre, et oui ,j'accepte volontiers la critique, puisque c'est en partie ce que je recherche. Smile

"Tu as surement quelque chose en tête, qui reste étranger au lecteur... On voudrait savoir plus précisément ce qu'il se passe, ou ce qu'il s'est passé, c'est un long passage sur de l'intériorité d'un personnage, mais ce n'est pas très intéressant si l'on n'en sais pas plus ! "

C'est justement ce que je recherchais. Je compte être de plus en plus précise par rapport à ce qui s'est passé dans la suite de mon texte. Je voulais que le lecteur se pose des questions : "Ah, tiens, qu'a-t-il bien pu se passer exactement ? Qui est-il pour elle ? Pourquoi évoque-t-elle "une maison qui n'est pas la sienne" ?" Et plus le récit avancera, plus la situation s'éclaircira (ou du moins c'est l'intention que j'ai). Penses-tu que l'idée est mauvaise et qu'il serait mieux d'être claire dès le début ?

"Tu abuses des points de déclarations, tu en mets beaucoup trop, et tes phrases deviennent hachées. ".

Maintenant que tu me le dis ! Il faudrait que je remédie à ça en effet ;)

"
J'attrape la télécommande et allume la télé. Scoubidou. On va aller loin avec ça. Ce chien m'a toujours exaspéré. Enfin presque. Je rééteinds sur le champ.
D'un coté c'est pas nécessaire, mais admettons ! La phrase n'apporte rien à ce que tu a écris et elle est assez lourde, le "enfin presque" est complètement inapproprié et rééteindre, en plus de ne pas exister, c'est vraiment laid, reste sobre en utilisant éteindre."

Je crois que tu as totalement raison. Je suis allée chercher loin quand même pour parler de Scoubidou. Je voulais évoquer quelque chose qui puisse être considéré comme une intrusion de vie et de gaieté dans le deuil de la jeune fille. (chose qu'elle ne supporte pas) Cette partie est inutile. Ou peut-être que je devrais trouver une autre façon de faire passer cette idée ?

En tout cas, encore merci pour ta réponse !

Manon
Solitude 3/9 09/07/2012 à 23:14
Effectivement, c'est assez agréable à lire. L'inconvénient c'est que ça tourne en rond et qu'on reste sur sa faim. Comme l'a dit Momoxx, c'est flou, imprécis et se contenter de lire les pensées focalisées sur la même chose d'un personnage tout du long, ce n'est pas très passionnant.
Solitude 4/9 09/07/2012 à 23:37
Frosties a écrit :

Effectivement, c'est assez agréable à lire. L'inconvénient c'est que ça tourne en rond et qu'on reste sur sa faim. Comme l'a dit Momoxx, c'est flou, imprécis et se contenter de lire les pensées focalisées sur la même chose d'un personnage tout du long, ce n'est pas très passionnant.




Merci à toi aussi pour ton avis. Penses tu que je devrais raccourcir le début, insérer des choses de façon à ce que le lecteur sache mieux de quoi je parle, ou alors ne rien changer mais être de plus en plus précise par la suite pour éclaircir la situation (chose que je comptais faire au début)?
Solitude 5/9 09/07/2012 à 23:40
Je crois que la deuxième façon de faire est la bonne mais il aurait été plus intéressant de l'avoir d'emblée, ça nous aurait moins donné l'impression de quelque chose qui se "mord la queue".
Solitude 6/9 09/07/2012 à 23:46
D'accord, merci beaucoup pour tes conseils Smile
Solitude 7/9 10/07/2012 à 10:47
C'est justement ce que je recherchais. Je compte être de plus en plus précise par rapport à ce qui s'est passé dans la suite de mon texte. Je voulais que le lecteur se pose des questions : "Ah, tiens, qu'a-t-il bien pu se passer exactement ? Qui est-il pour elle ? Pourquoi évoque-t-elle "une maison qui n'est pas la sienne" ?" Et plus le récit avancera, plus la situation s'éclaircira (ou du moins c'est l'intention que j'ai). Penses-tu que l'idée est mauvaise et qu'il serait mieux d'être claire dès le début ?

Qui est il pour elle .... on s'en doute un peu, le probleme de cette idée, c'est que ton texte sera bâti sur de l'incompréhension, et l’intérêt ne sera pas là. Tu peux quand même le faire si les " informations ne sont pas trop écartés, entretiens le suspens sans faire tomber le livre des mains ( ou en l'occurence, fermer l'onglet) si tu veux faire quelque chose de long. Si tu veux une vrai chute, avec tout à la fin, autant faire une nouvelle, c'est plus approprié. Bon je m'exprime pas très bien, mais je commence à être fatigué...


Je crois que tu as totalement raison. Je suis allée chercher loin quand même pour parler de Scoubidou. Je voulais évoquer quelque chose qui puisse être considéré comme une intrusion de vie et de gaieté dans le deuil de la jeune fille. (chose qu'elle ne supporte pas) Cette partie est inutile. Ou peut-être que je devrais trouver une autre façon de faire passer cette idée ?


L'idée me semble bonne, après il faut réussir à la mettre en application, ce qui n'est pas toujours simple. Sur le coup, c'est maladroit, mais en retravaillant le passage, tu peux le rendre bien meilleur, que tu gardes Scoubidou ou non ...

J'ai lu sur ta description que tu n'aimes pas tellement lire, personnellement j'adore ça, et à force, on voit surtout deux façon de rapporter le récit. Un narrateur externe ( anonyme ou un des personnages plus tard. Ça peut très bien être ton personnage principal qui a vieillit ) ou alors opter pour faire partager les sentiments du personnage " en direct" . Si tu optes pour la deuxième façon, comme ici, ne rends pas ton personnage omniscient. Laisse la place au doute, même pour ton personnage.

En bref, tu dois choisir ce que sera ton texte, un roman ou une nouvelle, et ainsi, gérer le suspens par rapport à la longueur. Il y a de tout petits éléments à corriger qui te donnerait une élégance supplémentaire dans ton écriture. Fais au mieux selon ce que tu as envie de faire
Solitude 8/9 10/07/2012 à 11:16
Je trouve ça bien, ça donne envie de lire et de savoir tout ce qui c'est passé .. Smile Coeur
Pita   
Solitude 9/9 12/07/2012 à 20:59
T'as un vrai style ,c' est agréable a lire .
Continue ;)
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