Suicide

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Ted Berkeley Suicide 23 02/07/06 à 22:01

Ce qui suit est une petite reflexion sur le suicide, car il en fallait bien une sur les 100 sujets contenant "suicide" en titre. Plus que dire une vérité, elle cherche a faire réfléchir. Si ce sujet est publié dans "Relations Sentimentales" c'est parceque la pluspart des sujets du même thème sont publié là.

1° Rabaisser

Le suicide peut être perçu comme une menace ou un danger pour l’espèce, au même titre que les maladies, les guerres, car il anile des êtres. Bien qu’aucun pays ne soit inquiété de voir décimer sa population par cette cause, elle a parfois était d ‘une puissance énorme en décimant des dynasties entière au Japon avec jusqu'à plusieurs centaines de personnes se tuant suite à la mort de leur maître. Encore maintenant, au Japon, le suicide commence à pausé un sérieux problème.
Il a fallut trouvé des armes pour combattre ce danger. On a d’abord voulu rabaisser le suicide, le rendre péjoratif ou négatif. Comment combattre la magnificence de l’honneur conservé que le suicide permet au Samouraï ? Comment combattre une autre magnificence, celle de l’affrontement direct de la Mort ? Et bien apparemment on a pas trouvé ce « comment ». Il a donc fallut changer de tactique. L’assaut contre l’acte du Suicide lui même ayant échoué, on a braqué les armes vers …. le suicidaire. Beaucoup plus facile de s’attaquer à un individus qu’a un principe. La suite, vous la connaissez, on a tenté de culpabiliser la personne. Lâche. Egoïste. Deux adjectifs profondément culpabilisant. Prenons rapidement le premier : le suicide comme on l’a vu plus haut, chez le samouraï est LE moyen de rejeter l’accusation de la lâcheté. Le deuxième est peut-être plus cherché, mais le suicide apparaît comme moyen d’aniler les « problèmes » de l’individu : est-il égoïste de vouloir tuer ses problèmes ? Après si cela fait pleurer les fameux « proches » ; c’est car ils ont une vision bien a eux de le Mort ; n’oublions pas que certaines communautés faisait la fête lors de décès.
On a donc échoué à démystifier le Suicide, puis échoué à rabaisser le suicidaire avec des idées qui ne tiennent pas.


2° Arguments ?

La lâcheté et l’égoïsme n’étaient pas vraiment des arguments contre le suicide, mais plutôt un recours désespéré au manque d’argument que nous allons voir.
Quel idée voit-on parfois justifier l’affirmation : il ne faut pas se suicider ? Celle-ci : « on ne vie qu’une fois ». Peut-il vraiment s’agir d’un argument ? Vous jugerez par vous même. Mais voyons se qu’il en reste une fois éprouvé. L’affirmation semble être vérace ( du moins pour les Athées ). Mais si on ne vie qu’une fois, et qu’il faut donc profiter de la vie ; à l’inverse ne meurt on pas qu’une fois ? Vous me direz que c’est stupide, mais se n’est que l’application de la même logique. Ne faut-il donc pas préparer sa mort avec la plus grande attention, allant jusqu’à choisir son moment ? Arrivons nous a un paradoxe stérile ? Il faut profiter de la vie et préparer et choisir sa Mort ? Si l’on a accepter l’argument premier, et par voie de conséquence, reconnu l’argument second ; la réponse est oui.
Il y a t-il un autre argument ? Peut être celui religieux : l’Enfer est le destin des suicidés ( une zone de l’enfer leur serait réservé ). Mais comme la majorité des ados sont athées ou non-croyant , je laisserais cela de coté ( car cela nous amènerai à une réflexion sur Dieu, loin de notre sujet donc ).
Voyons maintenant les arguments opposés. Peut-être pas de choses grandioses non plus, à l’image des premiers ; mais quand même des choses plus « grande ».
La chose avancé la plus importante doit être le principe de liberté. En principe, l’homme ne choisit pas l’heure de sa mort. Il n’est libre ni de la choisir ni de la connaître. Le suicide permet de renverser ce principe. L’individu est alors libre de fixer sa mort. Cela paraît peut ; mais c’est énorme, car c’est comme vaincre la mort.
Ensuite il y a l’idée de la résolution des « problèmes ». Contrairement a l’idée reçut se n’est pas vraiment une solution, dans le sens ou cela ne s’attaque pas aux problèmes eux même, mais disons, à ce qui permet les problèmes d’exister : l’individu lui même. Les problèmes ne sont pas résolu mais anilé, disparu, entraîné par la chute de l’individus. La personne ne souffre plus, car elle n’est plus. ( La seul chose qui s’oppose à cela est de nouveau l’argument religieux ).
Pour les plus dubitatif, supposons que l’on arrive ici a une sorte de « match nul ». Le suicide n’est alors ni a démystifier ni a magnifier. On en vient juste a accepter l’idée de se donner la Mort.


3° Raison

Nous avons tous remarqué une recrudescence du taux de suicide ou de « pensées suicidaire ». Peut-on l’expliquer ? Peut-on juste cracher « mode ! », se frotter les mains et s’en aller ? Cela me semble bien trop simple. Mais il semble que se soit bien trop complexe pour avoir la prétention de donné un explication. Mais l’on peu toujours avancer des idées réfléchis. Souvent un problème en cache un autre ; une chose contenu dans une autre, tel des poupées russes. Si tant de gens sont effleuré par des pensées d’auto destruction, ne serait-il pas dû a un malaise plus générale, comme … le manque de valeur de notre société ? Je vous laisse y réfléchir.
Après, lorsque certain prétende se tuer en se coupant les veines du poignet, c’est plus par conditionnement ou du moins influence télévisé ou autre ; mais influence peut être seulement sur le moyen, pas sur l’idée de l’acte en lui même. Ou alors l’idée de l’acte en réponse au malaise.


4° Différentes formes ?

Vous me direz alors que l’on ne peut ranger dans le même sac le suicide rituel du Samouraï et celui de fillettes de 12 ans ? Il y a t-il plusieurs formes de suicide ? Il n’y a qu’a considérer d’un coté le suicide des samouraïs, de l’autre celle de la majorité des suicidaires occidentaux. Il y aurait il donc, tout comme on peut considérer deux sortes de suicides distinct, deux valeurs distinctes ? A l’époque des samouraïs il existait aussi le type de suicide que l’on connaît ( à replacer dans le contexte de l’époque ), et ce tuer « dans le secret » était mal considéré ; alors que se tuer dans une cérémonie publique était bien vu.



En première conclusion, je pense que l’on peut considérer une manière de suicide presque « belle ». Vous aurez deviné la quelle ; celle qu’a utilisé notamment Socrate, ou Mishima. A noter, en parlant du philosophe grec, pour ceux qui trouverait la troisième partie trop légère : si Socrate a bus la Ciguë, c’est notamment qu’il ne voulait pas renoncer à son mode de vie spirituel. Et bien dans notre société le spirituel se meut, expliquant peut être pourquoi certain voudrait boire la ciguë a leur tour.

En seconde conclusion, la deuxième chose plus étendue que cache la question du suicide est tout bonnement … la question d’un point de vue sur la Mort. Pour ceux qui voudrait approfondir leur connaissances sur ce thème, une science lui est consacré : la Thanatologie.

Suicide 21/23 04/07/2006 à 02:14
C'est une critique déguisée en fait... Elle s'adresse plus aux lecteurs qu'a l'auteur
Suicide 22/23 04/07/2006 à 02:20
souvent eu envie de me suicider souvent empèchait les autre de se suicider et ouisa corespond asser avec se que ta écri du moin se que j'ai lu pasque c tro long Very Happy
Suicide 23/23 04/07/2006 à 02:27
xavier40 => Hé bien vous pourrez lire la suite le lendemain ^^
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