TExtes pour le concours

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

Parasite   TExtes pour le concours 10 02/10/07 à 18:40

VOila. POur le concours, on mets ses textes ici!!!! VOila, c'est plus simple pour les jurés et pour les participants!!!

TExtes pour le concours 1/10 02/10/2007 à 18:41
Le texte de MALuS03 tout d'abord:

Abaissant son couteau, l'homme en brun poussa un long soupir, entre la résignation et le remord. Une phrase, une seule, s'échappa de ses lèvres livides :
- Il fallait bien que quelqu'un le fasse...
- Ca ne devait pas nécessairement être toi, mon ami.
- Bien sûr que si, qui aurait pû le faire selon toi ?
- ... Je suis désolé.
- Ainsi va le cours des choses, bien, préparons-nous !

C'est sur cette phrase que Teuri et moi nous séparâmes. Il venait d'achever les peines de sa monture. Son destrier, Mozoarth, un fier cheval à la robe noire parsemée d'étoiles avait été blessé la veille lors de la charge des cavaliers. Quel dommage, nul autre animal n'avait sa prestance et ses attributs, force, vitesse, agilité ...
Pour reprendre mon ami, ainsi va le cours des choses ...

Enfin je ne sais quelles sont ces choses, mais je suis persuadé de savoir ce qu'il se passe en ce lieu.
Lorsque nous sommes arrivés il ya une Lune, nous croyions seulement que c'était une expédition de surveillance aux frontières.
Mais à notre grand étonnement, nous vîmes des dizaines de de tentes montées à la hâte.
Que faisaient ces nains ici ?
Nous ne le saurons jamais, certainement mais comme nos deux espéces sont radicalement ennemies depuis des millénaires, l'issue de cette rencontre ne fit aucun doute...
Nous les attaquâmes de suite et parvînmes à les vaincre, mais comme à l'habitude, gagner une bataille n'est pas gagner la guerre...
Je préfére retourner à mes quartiers, dormir.
La seule chose nécessaire à la guerre, le repos, de l'âme, du corps...
- A demain, mon ami, que les dieux te soient favorables.
- Puisse le Soleil guider ta lame, Malus.

Je regarde vers l'Ouest, vers notre Royaume.
Nous avons parcourus tant de lieues pour venir jusqu' ici qu'on ne distingue plus les hautes tours de Kard Onvar.
Le brouillard est épais, mauvais présage... pour quelle armée ?
Décidément je ne comprend pas leur incursion sur notre territoire ...
Pourtant je me suis rendu plusieurs fois dans leur Nation en tant qu'émissaire de paix.
J'avais même sympathisé avec l'un d'eux, il s'est fait tué par ceux qu'il servait.
Quel peuple barbare.
Mon épée sur les genoux, j'astique la lame avec de l'encens et je l'affute avec des la pierre solaire.
La sentinelle sur la tour de garde fait résonner la cloche.
Les braves se rassemblent au centre du campement, il y a des archers, aussi précis que des aigles, des lanciers, aussi forts que des sangliers, et nous, les draïchen, les unités d'élite.
Nous sortons du camp.
Le brouillard est encore plus épais que prévu.
On ne distingue même pas ces êtres dépassant à peine du sol et que nous allons devoir combattre.
Que le temps a changé depuis notre attaque d'hier.
On continue à avancer.
Je suis en première ligne.
Moi, le Ishtrïän de l'armée.
Enfin nous discernons nos ennemis avec leurs haches couvertes de runes.
Ils semblent décider à venger leur défaite d'hier...
Un cor retentit, la bataille commence, je me jette dans la mêlée.
Une salve d'arbalètes ennemies couche la plupart de mes compagnons.
Nos archers répliquent, sans succès apparament, sûrement leur armures qui les protégent...
J'arrive au contact de ces minuscules créatures, avant que l'une d'elles ait réagi je lui tranche la tête.
Une deuxième subit le même sort dans le même mouvement.
Je vois Teuri sur sa seconde monture qui se dirige droit sur leur monarque.
Voilà un nain particulièrement décoré qui s'avance vers moi et me provoque de sa hache.
Nous nous saluons. Le duel s'engage, plusieurs étincelles fusent tandis que nos armes s'entrechoquent.
J'arrive néamoins à passer sous sa garde et lui touche le bras qui porte son bouclier.
Plusieurs combattants se regroupent autour de nous pour nous regarder, essentiellement des nains, tous mes compagnons seraient-ils morts ?
J'ai l'impression que ce combat sera décisif.
De son côté Teuri semble avoir grand mal à se dépétrer des nains auxquels il est confronté.
Le nain malgré le coup que je lui ai porté ne faibli pas dans ses coups et parvient même à me faire une estafilade le long des côtes.
Ce coup là, mon attaque est sans pitié et lui arrache sa hache.
Se sentant perdu, il s'accroupit, près à recevoir son destin.
Je lève mon arme, un rayon de soleil parvient à filtrer, j'abat mon arme sur sa nuque et sa tête produit un bruit sourd en tombant à terre.
Je reprends mon souffle, exténué par ce rude combat.
C'est la fin de notre ennemi, je viens de tuer leur héros.
Je vois Teuri au moment où il se fait tuer.
- Nous sommes perdus.
Aïe...
Une douleur dans le dos.
Je me retourne, un autre elfe est là, prostré une dague dans la main, mon sang sur la lame.
Il sourit, fier de ce qu'il vient de faire, les nains l'apostrophent en le félicitant, ils nous a mené à eux...
Il nous a trahi, il a trahi les elfes...
La mort...
Je vais rejoindre le royaume de Stoïka et Wahllaël.

Je me réveille en sursaut, mes draps de soie sont trempés par la sueur émanant de mon corps.
Dans un murmure je prononce une phrase ...
- Ce n'était qu'un cauchemard.
Je me léve, passe une tunique et sort de ma tente.
Il y a un épais brouillard, une cloche retentit.
- L'attaque...
TExtes pour le concours 2/10 02/10/2007 à 18:42
Ensuite, celui de MamzelleKris:

Abaissant son couteau, l'homme en brun poussa un long soupir, entre la résignation et le remord. Une phrase, une seule, s'échappa de ses lèvres livides :
- Il fallait bien que quelqu'un le fasse...
L'homme se releva et contempla la femme qu'il venait d'assassiner. Puis, regardant autour de lui, il décida de la laisser derrière les poubelles. Il prit ensuite soin d'effacer toutes ses empreintes, pour brouiller les pistes et gagner un peu de temps. Il rebroussa chemin, son long manteau brun flottant derrière lui et se faufila à travers la foule.
Arrivé devant son appartement, il sortit ses clés et ouvrit la porte. Dédaignant l'ascenceur délabré et tombant en panne au moins une fois par mois, l'homme monta les marches jusqu'au deuxième étage et ouvrit la porte.
Célibataire depuis quelques mois, l'homme vivait dans un petit appartement coquet. Il mangea rapidement puis alla se coucher.Demain était un autre jour...

-------------------------------------

Il se souvenait.Quelques semaines auparavant, on l'avait chargé de tuer cette femme, et il l'avait suivi, surveillé ses moindres faits et gestes, guettant dans sa voiture, le moment où elle sortirait et dirait "à ce soir" à son mari et à ses jeunes enfants avant demonter dans sa voiture et de partir à son travail.Il la suivait partout sans avoir encore eu l'occasion de la tuer.Mais maintenant, c'était fait.Elle était morte....
TExtes pour le concours 3/10 02/10/2007 à 18:43
Ensuite, le mien:

Abaissant son couteau, l'homme en brun poussa un long soupir, entre la résignation et le remord. Une phrase, une seule, s'échappa de ses lèvres livides :
« - Il fallait bien que quelqu'un le fasse... »

Il resta comme ça, la bouche grande ouverte devant ce spectacle atroce et en même temps, envoutant. Il lacha lentement le couteau qui alla s'écraser au sol, lourdement. Sa main était rouge, et la forme du couteau était restée imprimée dans paume. Ses yeux, rivés sur son oeuvre, étaient agités de quelques sursauts. Son corps ne bougeait plus, sa respiration s'était ralentie, son coeur battait à peine. Il était froid. Dehors, comme dedant.

Pour lui, tout était finit. Tout, sa réputation, sa famille, son honneur, tout, et surtout, sa vie.

Il ne pouvait plus souffrir tout ceci, toute cette mascarade. Alors en deux coups de couteaux bien alongés, il était devenu meurtrier.

La femme de l'homme mort, à terre, entra dans la pièce. Elle cria. Un cri si inhumain, que personne autour ne comprit que ce son venait d'une femme.

Elle courut à travers la pièce et se jeta sur le corps inanimé. Ses larmes coulaient partout, se mélangeaient au sang ruisselant.

L'homme debout, se mit à rire. Son visage se décrispa.

Aucune réaction n'agita la femme toujours en pleurs sur son compagnon. Elle attrapa rapidement le téléphone en faisant tomber des cadres et un cendrier plein sur le parquet. Elle pianota un numéro court. Hurla entre ces sanglots quelque chose. Puis répéta cette opération une deuxième fois.

L'homme s'arrêta de rire et, surpris, s'approcha de la femme qui n'avait pas réagit. Il s'accroupit près d'elle et lui touche le dos. Aucune réaction.

Des sirènes hurlèrent. La femme courut au travers de la pièce et sortit en claquant la porte. Elle reparut quelques secondes plus tard avec des hommes en blanc, et des hommes avec des casques. Un médecin donna les premiers secours au cadavre. Il s'aperçut que la victime était presque morte. Ils soulevèrent le corps et l'emmenèrent dans un camion.

L'homme, toujours accroupit, défaillit et tomba sur le ventre lorsqu'on souleva le cadavre.

Il suivit le cortège du regard, à travers les vitres du salon.

Lorsque le camion démarra, il s'effondra. Il mourut.



Lorsque le camion arriva à l'hôpital, on transporta directement le corps jusqu'à une table. « Rien à faire » déclara le docteur à la femme.


Sur la fiche de décès, au motif de la mort, le médecin écrivit: Suicide.
TExtes pour le concours 4/10 02/10/2007 à 18:43
Aux écrivaons de continuer à remplir!
TExtes pour le concours 5/10 02/10/2007 à 18:46
Parasite a écrit :
Aux écrivaons de continuer à remplir!

Tu as oublié JaimeAimer dans les textes Smile
TExtes pour le concours 6/10 02/10/2007 à 18:47
MamzelleKris a écrit :
Parasite a écrit :
Aux écrivaons de continuer à remplir!
Tu as oublié JaimeAimer dans les textes


AH? Oups!!! J'y vais!
TExtes pour le concours 7/10 02/10/2007 à 18:48
Le texte de JaimeAimer:

Abaissant son couteau, l'homme en brun poussa un long soupir, entre la résignation et le remord. Une phrase, une seule, s'échappa de ses lèvres livides :
- Il fallait bien que quelqu'un le fasse...

Sa chemise était tachée de sangs alors il l'enleva,avec dégoût.Il dévisaga
longuement son martyre à travers ses cheveux sombres.Le jeune homme vérifia de gauche à droite s'il n'y avait personne à cette ruelle.Un sans-abri gromella quelques mots sans importances,ce qui le fit sursauter.Avant de se faire découvrir,le meurtier prit le couteau,sa chemise souillée et s'enfuit.

-Chéri?Est-ce toi?
-Oui et désoler d'être arriver si tard,mon patron ma retenu,mentit Émerick.
-Ce n'est pas grave.Bon,viens donc t'installer avec moi sur le lit.

Il releva les yeux avec une pointe de tristesse dans son regard,l'enlaca et l'embrassa langoureusement.

-C'est un oui?...Ahhh...Qu'est-ce que tu sens??Dit sa conjointe avec un grimace de déplaisance.
-Eu..Mon..patron...ma demander de jeter les ordures.
-Émerick,pourrais-tu prendre ta douche avant demain?L'odeur ne sent pas vraiment bonne...
-Quelle est cette question,lui répond t-il le sourire fendu jusqu'aux oreilles,bien sûr.

Émerick entrouvit ses paupières et consulta son cadran:7h00.
Il essaya de sortir en douceur de son lit pour ne pas réveiller sa femme,
coura en vitesse,devala les escaliers et sortit prudament de la porte pour s'assurer que sa chemise tachée et son couteau
furent bien à la poubelle.Il les renfoncèrent encore plus profond dans la benne aux ordures et manqua d'y tomber.
Il retourna chez lui et commenca à lire le journal que sa compagne eut soigneusement mis à côté d'un petit mot affectueux.Émerick resta abasourdit en voyant le texte en gras suivant:
---Un sans-abri a découvert un corp sans vie en pleine ruelle.Il a été poignardé à plusieurs reprises et les policiers nous confirment qu'il avait à peu près 20 ans.--
Le tueur se lèva,marcha sans un seul bruit vers sa voiture et conduisit jusqu'au lieu du meurtre.Des policiers furent déjà sur la scène de crime.Le jeune homme essaya d'avancer mais les autorités lui bloquèrent la route.
Émerick retourna à son auto et la démarra.Rendu à une certaine maison,il sortit et erra devant l'entrée pour chercher la sonnette de porte.Un homme dans la cinquantaine grassouillet lui ouvrit la porte et le laissa entrer.Émerick s'assit sur une chaise au salon,en face de l'homme.Ce dernier lui demanda:
-Combien t'veux?100?150??J'en ai rien à cirer,au moins yé pus l'à.
Émerick ouvrit grandement ces yeux d'un bleu saphir à cause de la réponse de l'homme.Il réussi à bredouiller:
-120...Se..Serait b..Bie...Bien..
L'homme sortit de ces poches tout l'argent promis et le tendit vers Émerick.Il sortit après avoir dit aurevoir au viel homme.

Émerick fut rongé par le sentiment de remord.Il ne dort plus ces nuits,songe toujours à ce meutre atroce qu'il a fait et, de plus,il se dispute avec son adorée.Je dois le faire,sinon,qui va ramener de l'argent à la maison,pensait t-il.

Il regarda à travers les barreaux rouillés par le temps.Émerick comtempla dehors.Les feuilles colorées s'arrachèrent de leur tige et volèrent au gré du vent.Il aurait pu être a l'extérieur si seulement sa bien aimée ne l'aurait pas trahi.Maintenant il est dans une pièce partagée avec un autre détenu.Les lueurs du matin et l'ombre des branches des arbres changaient la couleur du plancher.Une seconde,elle était bleu foncé et l'autre d'un blanc fade.Émerick devait encore vivre là pendant un an.Il avait tout avoué à sa compagne et elle l'avait déclarée aux policiers.Il reconnu quand même qu'elle n'eut pas tort de le dénoncer...
TExtes pour le concours 8/10 02/10/2007 à 19:11
Tu sais vieux que t'es pas censé prendre d'initiative au sujet du concours tant que t'as pas consulté les autres jurés... y a pas que toi qui organise ce concours. La prochaine fois, penses-y, on fonctionne en groupe et pas en solo.
D'ailleurs ç'aurait été mieux que les auteurs postent eux mêmes leurs textes dans ce topic...
TExtes pour le concours 9/10 02/10/2007 à 19:15
ca, c'est dit Very Happy
TExtes pour le concours 10/10 02/10/2007 à 21:36
Yabasta => Non, au contraire. Si les auteurs avaient eux-mêmes déplacé leur nouvelle, ils auraient pu la modifier. Et ça, c'est pas gentil.

{°v°} KoviS {°v°}
Recommande ce site a tes ami(e)s | Aller en haut

Partenaires : Énigmes en ligne