Great triqueur Onizuka !!!

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18 ans ou plus

Angata   Great triqueur Onizuka !!! 0 30/11/05 à 22:16

Great Triqueur Onizuka Vol. 1
<!! attention: vous devez conaitre Great teacher onizuka avant !!!>


Il était 07h00, Miyabi se réveilla doucement et sortit de ses draps, elle ne portait qu’une petite culotte pour dormir. En ce début d’été, la chaleur était vraiment étouffante. Miyabi tira les rideaux de sa fenêtre et une lumière aveuglante envahit sa chambre. Elle retira sa culotte, enfila une mini-jupe et une chemise légère, pas de sous-vêtements aujourd’hui.

Elle descendit les escaliers, dit bonjour à ses parents et prit deux trois trucs dans le frigo avant de s’installer devant la télé. Quelques minutes plus tard, elle remonta dans sa chambre et prépara son sac d’école, puis elle courut dans la salle de bains pour se préparer, prendre une douche, se parfumer, se maquiller…

Elle sortit alors de chez elle et emprunta le chemin de l’école, ne rencontrant personne sur la route, elle se demanda si elle n’était pas en retard et accéléra le pas. En effet, son retard était évident, les grilles de l’école étaient fermées. Miyabi fit le tour et entra par un trou dans le grillage, qu’Onizuka avait fait une fois pour échapper au directeur. Elle traversa la cour à grandes enjambées et entra dans le bâtiment principal.

-Alors jeune fille !!

Miyabi sursauta, le sous-directeur Mr. Uchiyamada l’avait surprise.

-Excusez-moi monsieur, je suis en retard, je suis désolée, je vais me dépêcher d’aller en cours.

-Mlle Aizawa, vous comptez à peine vos jours de présence dans cette école, et votre retard d’aujourd’hui n’arrange rien !

-Je suis vraiment désolée, pardonnez-moi Mr.

-Bon, ça ira pour cette fois, si tu me montres ta petite culotte !

-Quoi ?

-Montre moi ta petite culotte et je te laisse partir.

A contre-cœur, rougissante, Miyabi souleva sa jupe et offrit au sous-directeur la vision de son pubis d’adolescente.

-P… pas… pas de culotte ?? s’exclama le sous-directeur en réprimant une coulée sanguine nasale.

-…

-Très bien, tu peux partir.

Miyabi remarqua une bosse apparente dans l’entrejambe du directeur. Sans demander son reste elle repartit et entra en classe, s’excusant auprès de Mr. Onizuka, déguisé en chimpanzé.

-Très bien, Miyabi, nous étudions avec la classe le comportement des chimpanzés en milieu scolaire.

-Ah…

-Comme on n’a pas trouvé de chimpanzé vivant…

-On en avait un mais cet abruti l’a perdu, souffla Fujiyoshi.

-… je fais donc le singe.

-Pour changer… dit Murai.

La sonnerie de fin des cours retentit, les élèves se précipitèrent dehors et Onizuka enleva son costume, il suait énormément. Le thermomètre indiquait 42° C. Onizuka s’approcha de la fenêtre et regarda les élèves jouer dehors, il sourit en repensant à sa propre jeunesse et à ce qu’il était devenu.

-Onizuka ?

-Aaaaaaaaaaaaah !!!

-Calmez-vous imbécile, c’est moi, Urumi !

-Urumi ! Tu pourrais entrer avant de frapper !

-…

Kanzaki agrippa les couilles de son prof et les serra très fort. Onizuka devint rouge de douleur.

-Arrêtez de dire des conneries, souffla-t-elle.

-Ou… oui… Que veux-tu ?

-Je vous veux vous !

-Pardon ?

Urumi se pendit au cou de son prof et lui roula un magnifique patin. Onizuka resta immobile, totalement paralysé par cette sensation.

-U… Urumi !!

-Vous n’aimez pas ?

-Non, c’est pas ça…

-Vous ne voulez pas ?

-Tu es mon élève, un prof ne peut pas coucher avec ses élèves !

-Pourquoi ?

-Ben… euh… j’en sais rien en fait…

-Bon alors…

Urumi embrassa son prof à nouveau, tout en lui caressant la bite à travers son pantalon. Onizuka finit par se lâcher et pelota les seins et les fesses de son élève. La beauté d’Urumi était éclatante, elle était vraiment excitante du haut de ses quatorze ans. Onizuka la fit s’asseoir sur son bureau et lui ôta son haut. Il partir fermer la porte de la classe et revint caresser son amante. En quelques secondes, ses mains s’immiscèrent dans son intimité et firent gémir la jeune fille. Onizuka caressait doucement ses lèvres, puis les écarta pour entrer un doigt, il partit à l’exploration de cette partie si chaude et humide, il caressait minutieusement chaque centimètre carré de l’intimité d’Urumi, qui ne cessait de gémir péniblement. Puis l’orgasme vint, puissant, violent, compulsif, Urumi retint un cri et s’agrippa à son prof pour ne pas tomber en arrière. Ses joues étaient rouges et elle était toute essoufflée, des frissons parcoururent son corps de toute part, le calme revint et elle embrassa Onizuka d’une manière qui signifiait " Merci ". Elle s’accroupit devant son grand amour et caressa la bosse qui indiquait que le loup voulait sortir de sa tanière. Elle défit le bouton du pantalon et abaissa le caleçon. Devant elle se dressa le sexe d’Onizuka, rougi par l’excitation, droit comme un I. Urumi le branla un peu puis donna de rapides coups de langue sur les couilles, au bout d’un certain temps, voyant qu’Onizuka n’en pouvait plus, elle l’engloutit tout entier en massant toujours les burnes de temps à autre. Sentant qu’Onizuka était au bord de l’éjaculation elle se retira et se releva, embrassant encore son prof.

-Kanzaki, t’arrête pas !

-Si vous jouissez maintenant, vous pourrez plus bander, ce qui signifie qu’on pourra plus faire l’amour.

-Okay okay…

-Vous avez une capote ? demanda Urumi.

-Hein ? Mais non !

-Quoi ?? Mais vous pourriez prendre vos responsabilités un peu, je suis réglée moi !

-Mais… mais j’étais pas au courant que j’allais te sauter moi !

-Me… me sauter ?

Les larmes apparurent au bord des yeux d’Urumi, qui les essuya d’un revers de sa manche. Elle sortit alors en courant, laissant Onizuka pantelant. Celui-ci cria le nom de son élève, ne comprenant pas encore sa réaction. N’empêche qu’il était trop excité pour tenir comme ça, il commença à se branler en pensant à Urumi, puis éjacula puissamment. Il rangea ses affaires et sortit de la classe, réfléchissant encore à la réaction d’Urumi.

Il était tellement absorbé par ses idées qu’il ne vit pas Fuyutsuki arriver, et il lui rentra dedans. Les deux collègues finirent tous les deux par terre.

-Bonjour Eikichi ! Tu vas bien ?

-Je… euh oui, oui ça va, merci. Et toi ?

-Bof, je vais aller à l’infirmerie, j’ai mal au ventre et à la tête. Je voudrai savoir si c’est mon boulot ou mes… mes… enfin voilà. Bon j’y vais à plus !

-Ah ces filles, j’y comprendrai jamais rien.

Eikichi alluma une clope et marcha dans le couloir, pensif. Il était passé à deux doigts du dépucelage, à 22 ans. " Putain mec, tu crains… ". Pas moyen de serrer une nana. Et aujourd’hui, enfin, une, et voilà qu’elle se barre en courant, et il savait même pas pourquoi. La sonnerie retentit, signifiant la reprise des cours. Onizuka se dirigea vers sa classe et croisa Miyabi, qui lui rentra dedans et fit tomber un livre, elle le ramassa, dévoilant ses fesses nues aux yeux éblouis de son professeur. Quand elle se retourna, celui-ci semblait figé.

-Onizuka ? Vous allez bien ?

-Mi… Miyabi…

-Oui ?

-T’as... t’as pas de culotte ?

La jeune élève blêmit et resta bouche bée. Elle ne savait pas quoi répondre, en moins de deux heures, deux hommes avaient remarqué qu’elle ne portait pas de sous-vêtements. " Mais pourquoi diable n’en ai-je pas mis ?? ". Elle rougit et baissa les yeux. Elle aperçut alors l’érection d’Onizuka.

-Monsieur… je… je suis désolée.

-Mais nan… ah ah ! C’est pas grave voyons !

-Onizuka, tu bandes !

-Hein ? Euh… ah ah ah euh eh eh… euh oui.

Ce fut au tour d’Eikichi de rougir violemment, malgré sa honte il avait vraiment envie de se taper la petite Aizawa. Ses petits seins fermes, sa croupe bien arrondie, son corps parfait, son visage si attirant. Onizuka bandait à s’en faire mal, il se mordait les lèvres pour éviter de sauter sur son élève.

-Onizuka, je t’excite ? dit Miyabi, fière d’avoir la situation bien en main.

-Oui, terriblement.

-Tu as envie de moi ?

-Oui…

-Tu as envie de me défoncer la chatte ?

-Oui.

-Tu as envie que je te suce ta bite ?

-Oui !!

-Tu as envie de me prendre par derrière ?

-OUI !!

-Alors tu attends quoi ?

-Que ?!

Miyabi embrassa son professeur et courut jusqu’au bout du couloir, dans les toilettes des filles. Au bout de dix secondes elle sortit et fit signe à son professeur de venir. Celui-ci ne se fit pas prier et rejoignit son élève dans une des cabines. Miyabi ferma à clé et demanda à Onizuka de s’asseoir sur le trône, ce qu’il fit. Lentement, elle exécuta alors un strip-tease, elle caressait le torse d’Onizuka, puis retirait sa chemise, laissant apparaître sa superbe poitrine. Onizuka voulut la toucher mais son élève l’en empêcha, elle retira très doucement sa mini-jupe, puis apparut finalement nue devant l’air ahuri de son professeur. Elle se caressa tout le corps puis fit glisser deux doigts dans sa chatte humide de son désir.

-Branle-toi, Onizuka !

Eikichi baissa son pantalon et caressa alors son long pénis. Les gémissements de plaisir de Miyabi augmentaient son excitation, il n’en pouvait plus, Miyabi lui attrapa les deux mains avant qu’il ne jouisse.

-Lèche ma chatte maintenant !

Onizuka se mit à genoux et embrassa le pubis de sa nouvelle amante. " C’est comme un porno en vrai ". Il immisça sa langue entre les lèvres de Miyabi et but tout le jus de bonheur qu’il pouvait trouver. D’un doigt il caressait le clitoris de la jeune élève et d’un autre lui trifouillait l’anus. Sa langue essuyait chaque recoin du sexe de sa partenaire. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Aizawa hurla à en faire trembler les murs. Onizuka se releva et l’embrassa, lui faisant goûter à son propre nectar. Elle ne semblait pas détester ça et en récupéra chaque goutte qui restait dans la bouche de son prof. Puis elle prit le sexe d’Onizuka dans ses mains et commença une lente masturbation.

-Ah Miyabi, t’es trop bonne…

-Je sais, merci.

-J’ai pas l’impression que ce soit ta première fois.

-Pourtant si, mais je regarde tellement de pornos qu’il me suffit d’imiter.

-J’ai envie de te défoncer !

-Et moi de vous sucer…

Miyabi se mit à genoux et goba tour à tour les couilles d’Onizuka, qui poussait des râles de bonheur. Elle le branla de plus en plus vite et finit par engloutir tout son membre jusqu’à la base. Elle fit tourner sa langue tout autour du pénis et couvrit le gland de baisers et de rapides coups de langue. De sa main droite elle se caressait la poitrine et de l’autre massait les burnes d’Onizuka. Elle mit sa langue près des couilles et lécha la bite de haut en bas, puis la reprit à nouveau tout entière dans sa bouche. " C’est trop bon ".

-Miyabi, tu suces comme une déesse.

Elle plaça alors le gland d’Onizuka sur sa langue et le branla très rapidement, celui-ci lui éjacula sur le visage, répandant de longues traînées jaunâtres sur ses joues, dans ses cheveux et sur son menton. Le sperme dégoulinait et coulait jusqu’à la chatte humide de la jeune fille. Après cela, Miyabi le suça pendant encore quelques secondes pour pomper les dernières gouttes de sperme, qu’elle avala avec plaisir. Onizuka se rassit alors sur les chiottes et prit Miyabi par les hanches. Celle-ci amena sa chatte devant le long pénis de son professeur, et avec sa main guida ce sexe brûlant vers le sien. Onizuka y alla doucement, même s’il n’avait qu’une envie : rentrer sauvagement en elle. Il sentit une petite résistance lorsque tout son gland et un peu de son pénis furent rentrés, cette barrière, il la brisa sans forcer, Miyabi aimait visiblement ça, elle se mordait les lèvres et basculait sa tête en arrière. Onizuka rentra finalement toute sa bite et recommença ce magique mouvement de va-et-vient. Quand Miyabi dégoulina suffisamment et que son vagin était habitué, il exécuta des mouvements de plus en plus rapides.

-Oh oui ! Ouuuuuuuui !!! cria Miyabi

-Je vais te défoncer salope !

-Plus fort, explose moi la chatte, j’ai envie de sentir tes couilles claquer contre mes cuisses !

-Espèce de petite pute !

Onizuka se releva, tenant Miyabi dans ses bras, il la plaqua contre le mur et la pénétra violemment, la belle perdit un peu de son sang, mais aucun des deux amants n’y firent attention, Miyabi sentait l’excitation monter à un point qu’elle ne pouvait imaginer. Le sexe d’Onizuka lui labourait la chatte et elle adorait ça.

-Je vais jouir ma cochonne, dit Onizuka.

-Prenez mon cul, enculez-moi, vite !

Onizuka releva les fesses de Miyabi et, sans changer de position, enfila son sexe dans le cul de l’adolescente.

-Par contre, c’est pas la première fois que tu te fais enculer.

-Ouais c’est vrai, par une grande majorité des gars de la classe.

-T’es vraiment une pute…

-T’occupe et défonce-moi, je veux que ton sperme inonde mon cul.

Eikichi, conformément à sa demande, lui écarta les fesses des deux mains et fit claquer ses couilles contre elles. Sa jeune élève recommença ses caresses au niveau de son pubis, rentrant cette fois-ci trois doigts qui farfouillaient parmi son sexe, et un quatrième qui lui triturait le clito. En quelques secondes Onizuka lâcha une purée énorme. Miyabi jouit elle aussi, elle retira sa main pour qu’Onizuka lèche ses doigts. Le sperme coula sur le sol. Onizuka lâcha alors Miyabi et ils se roulèrent un très gros patin.

-Il te restait encore tout ça dans les couilles ?

-Je suis plein de ressources…

-J’ai vraiment adoré ça !

-Moi aussi, on pourra recommencer ?

-Oui pas de problème…. Si tu me mets cent points à la prochaine interro.

-Quoi ?

-Je t’ai offert mon pucelage, tu pourrai faire un effort !

-Bon okay. Je te mettrai le maximum, ma petite salope à moi.

Miyabi sourit et demanda à Onizuka de lécher les dernières gouttes de mouille qui inondaient ses jambes et sa chatte, ce qu’il fit sans qu’elle ne le lui demande une seconde fois. Il prit également en bouche le sperme qui s’écoulait sur son ventre et sa poitrine puis l’embrassa et lui versa le contenu de sa bouche dans la sienne. Miyabi avala tout ça avec le plus grand des bonheurs. Puis elle branla à nouveau Onizuka, mais il ne jouit pas. Elle se rhabilla, l’embrassa encore et sortit de la cabine pour se rincer le visage et les cheveux, tous deux couverts de sperme. Onizuka se rhabilla, il ne bandait plus. Il s’approcha de Miyabi, qui était penchée en avant pour nettoyer sa chevelure. Ses fesses et son sexe étaient visibles, Onizuka s’accroupit et commença à la lécher. Miyabi sursauta.

-Professeur ! Une autre fois j’ai dit !

-Mais Miyabi regarde, je rebande !

-Et bien vous attendrez, ou alors ça s’arrête ici.

-…

A grands regrets, Onizuka vit sa salope sortir des toilettes. " ENFIN DEPUCELE !!!! C’est une nouvelle vie qui s’ouvre à moi ! ". Il sortit lui aussi des toilettes et croisa Fuyutsuki, toute rouge.

-Ca va, Azusa ?

-Hein ? Euh… oui, oui ça va merci.

Elle était toute essoufflée et repartit en courant. Onizuka continua son chemin, passa devant l’infirmerie, fermée. " A cette heure-ci ? Bizarre… ". La sonnerie de fin des cours retentit, et les couloirs furent bientôt inondés d’élèves criant et courant.

La classe d’Onizuka était vide, il attendit dans son fauteuil que ses élèves reviennent.



Quelques minutes auparavant :

Azusa arriva devant l’infirmerie et toqua. Pas de réponse, elle entra. Elle ne vit personne, ferma la porte et avança tout doucement. Soudain, des petits gémissements se firent entendre derrière un rideau qu’elle poussa. Elle écarquilla les yeux.

Mlle Moritaka était là, allongée sur un lit, en train de se doigter. Elle avait les deux jambes bien écartées, le pantalon par terre et le string poussé sur le côté. L’index et le majeur de l’infirmière allaient et venaient dans son sexe brûlant. Sa chemise était ouverte et ses seins se faisaient palper par la main voyageuse de Moritaka. L’infirmière n’avait pas remarqué Azusa et continuait sobrement sa masturbation, chaque mouvement lui extirpait un gémissement de plaisir, Azusa pouvait observer le liquide précieux qui s’était écoulé de la chatte de sa collègue. Elle observait ses formes, ses fesses, ses jambes, elle observait ses seins, si gros par rapport aux siens.

Azusa se sentit défaillir, elle posa ses livres sur le sol et, comme en transe, reprit l’observation presque perverse de son amie. A sa grande surprise, sa main se dirigea vers son entrejambe, qu’elle commença à caresser à travers l’étoffe de son pantalon. " Azusa, tu n’as as honte ? Oh c’est tellement bon ! Je ne suis qu’une perverse, je devrai avoir honte ! Qu’est ce que j’aime ça ! ". Azusa glissa sa main droite dans son pantalon et poussa la partie avant de sa culotte, ce qui lui permettait de caresser son pubis, elle ferma les yeux pour apprécier ce plaisir qui lui était nouveau et ne prêtant plus attention à l’infirmière, gémit.

Moritaka, poussant un petit cri se redressa sur son lit et vit Azusa en train de se doigter devant elle. Elle sourit et resta un moment à la regarder. Puis elle descendit tout doucement de son lit, Azusa avait les yeux fermés et ne la voyait pas. Moritaka s’approcha, serra Azusa dans ses bras et lui roula une pelle majestueuse. Celle-ci ouvrit de grands yeux, elle tenta de repousser l’infirmière mais son étreinte était tellement forte qu’elle ne pouvait retirer sa main de sa chatte.

-Alors, Azusa, tu m’as vue ?

-Oui, oui je t’ai vue, oh mon Dieu j’ai honte !

-Il ne faut pas, tu as aimé ce que tu as vu ?

-Je…

-Franchement !

-Oui, j’ai aimé… répondit Azusa en rougissant violemment.

-Pourquoi arrêtes-tu de te masturber ?

Azusa regarda l’infirmière qui lui fit un grand sourire et l’embrassa à nouveau. Sans réfléchir, la jeune prof continua ses frénétiques caresses pubiennes.

-Moritaka, c’est la première fois que… que je fais ce genre de choses !

-Quoi ? la première fois que tu te doigtes ?

-Oui…

-Tu es vierge ? Tu as déjà sucé ? Vu un film porno ?

-Non, rien de tout ça… Enfin si je suis vierge.

Moritaka resta bouche bée devant tant de pureté.

-Et moi qui me suis fait prendre par tous les trous ! On est carrément opposées !

-Ben j’ai jamais trouvé le temps d’y penser…

-……………………………… Viens chez moi demain soir, voilà l’adresse, 21h00. Okay ?

-J’essaierai.

-Non ! Viens !

-D’accord…

Azusa reçut un dernier baiser de ce qui paraissait être sa nouvelle et première amante et sortit de l’infirmerie.

En chemin elle croisa Onizuka, après une brève discussion elle alla voir Mr. Uchiyamada.

-Mr, j’aimerai bénéficier de mon après-midi.

-Pourquoi Mlle Fuyutsuki ?

-Je ne me sens pas très bien, je crois que le stress de ces derniers jours m’a fatiguée.

-Vous voulez parler du malheureux accident de Mr Onizuka ?

-Oui.

-Hum… je crains fort que cela vous soit impossible. Un inspecteur arrive cet après-midi et je doute qu’il apprécie l’absence d’un professeur en milieu de journée.

-S’il vous plaît monsieur le sous-directeur !

-Bon très bien, mais il va falloir me donner une bonne raison de le faire.

-Tout ce que vous voudrez.

-Sucez-moi.

-Que ?! Pardon ?

-Vous voulez votre après-midi ? Alors sucez-moi.

-Mais c’est indigne de vous, je porterai plainte !

-Et il me suffira de dire que je vous ai refusé un après-midi.

-Je…

-Vous le voulez cet après-midi ? Alors qu’attendez-vous ?

Azusa céda et s’agenouilla devant le directeur, elle caressa doucement la petite bosse à travers le pantalon d’Uchiyamada et le déboutonna. Un sourire pervers s’affichait sur le visage du sous-directeur. Azusa baissa le slip de son employeur et révéla la bête.

-Mon Dieu qu’elle est grosse !

-Eh eh ! 21 cm ! Comment croyez-vous que je sois sous-directeur ?

-Vous et… Sakurai ?

-Oh oui elle est bonne la mère Sakurai ! Une vraie salope derrière ses airs de pédagogue. Mais passons, branle-moi donc un peu jeune fille.

Azusa fut surprise par la tournure de phrase du sous-directeur. Elle prit la queue bien dure entre ses mains et masturba son partenaire, qui laissait de temps à autre échapper un soupir. Azusa prit finalement ça comme un jeu et accéléra son mouvement masturbatoire. D’une autre main elle massait les boules gorgées de purée du sous-directeur, ce fut presque instinctivement qu’elle en goba une, le goût lui fut plutôt agréable, et elle fit passer les couilles du vieil homme dans sa bouche. Puis d’un coup de langue elle remonta le long du pénis et baisa le gland.

-Ce que tu suces bien ma salope…

-… (trop occupée pour parler)

-Continue p’tite pûte t’arrêtes pas !

-…

-Ah oui ma cochonne !

Azusa engloutit la moitié du gigantesque pénis d’Uchiyamada, elle fit courir sa langue le long de la peau et ses mains massaient les couilles qui étaient prêtes à lâcher leur foutre. Azusa lécha plusieurs fois le pénis tout entier avant de placer le gland sur ses cheveux et de branler énergiquement le vieillard. En quelques secondes une immense mer de foutre apparut sur la chevelure de l’enseignante. Le sperme coulait partout dans sa nuque, sur son visage, de sa langue elle rattrapait tout ce qu’elle pouvait.

-Ah ma putain d’amour, j’ai jamais joui comme ça avec une pipe.

-Ca vous a plu ?

-Ca peut se voir à la couleur de tes cheveux ma salope… Pas toi ?

-Si… si c’était bien… et bon…

-Azusa j’ai envie de vous pénétrer sauvagement !

Uchiyamada se jeta sur sa collègue et lui écarta les jambes puis mima une pénétration. Azusa sentait cette grosse bite frotter son entrejambe mais elle ne voulait pas baiser avec lui, pas tant qu’elle serait pucelle. Elle repoussa le sous-directeur.

-Monsieur, on avait dit une pipe contre mon après-midi !

-Oui, tu as raison… Bon eh bien rentre chez toi.

-Merci, au revoir.

-Fuyutsuki, lavez-vous les cheveux dans mon lavabo personnel

-Euh oui, excusez-moi !

Azusa s’approcha du lavabo et pencha sa tête en avant, puis elle fit couler l’eau et se mouilla le visage et les cheveux. Uchiyamada arriva doucement derrière elle et frotta son sexe contre son cul en poussant des cris de jouissance. Azusa, surprise, se retourna et repoussa son amant.

-Mais comment se fait-il que vous bandiez comme un chien ?

-Mais tu m’excites petite cochonne !

-Bon alors je vous autorise à me tripoter, je vous branle et on n’en parle plus.

Azusa retira son haut et son soutif, puis son pantalon, elle était en culotte devant le sous-directeur. Elle colla son corps contre le sien et commença une très lente masturbation. Sa main couvrait de douces caresses le pénis bandant du sous-directeur, de temps en temps Azusa accélérait le mouvement ou s’arrêtait subitement puis reprenait, comme pour narguer l’homme qu’elle branlait. Le sous-directeur, ne voulant pas être en reste, commença à tater les douces fesses de son employée, il lui retira sa culotte et les pelota pendant très longtemps, de temps à autre il échangeait un baiser avec Azusa, puis sa main allait caresser le pubis humide de son amante. Alors qu’il était proche de l’orgasme, le sous-directeur enlaça Azusa.

-S’il te plaît, laisse-moi jouir sur ta chatte.

Azusa fut si surprise qu’elle ne répondit pas tout de suite, puis elle acquiesça en souriant, le sous directeur l’allongea sur son bureau et lui retira ses derniers sous-vêtements, il couvrit de petits coups de langue la toison du professeur et posa son pénis dessus, mimant une nouvelle fois une pénétration, puis il se branle très rapidement et lâcha un gros jet de sperme sur la chatte d’Azusa, qui continuait jusqu’à son sein droit. Le sous-directeur éjecta les dernières gouttes et caressa le sexe humide et chaud de sa partenaire, puis il y immisça deux doigts.

-Mr…. On, on avait dit, pas... pas plus que, qu… que je vous branle…

En finissant sa phrase Azusa poussa un râle de plaisir immense, incitant Uchiyamada à continuer, un doigt fouinait dans chaque recoin de la chatte d’Azusa, tandis qu’un autre tournait autour de son clitoris, tantôt l’effleurant, tantôt appuyant franchement dessus avant de le titiller.

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