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Test urinaire labo
Quel âge avez-vous ?
Moins de 18 ans
18 ans ou plus
| Natural*Mystic | Test urinaire labo | 26 | 19/01/11 à 22:19 |
Bonjour,
ma question concerne plutôt les filles, mais bon 
Voila, ma mère est allé prendre un rendez-vous au labo pour une prise de sang, en sachant que je n'en ai jamais fait, j'ai 18 ans..
En rentrant dans la voiture, elle me dit le jour et tout, et aussi qu'ils font faire un test urinaire. Soit disant pour voir si tout vas bien.
Ma question est ; est-ce qu'une infection urinaire se détecte avec le test ?
D'autres part, tant que j'y suis, j'aurais aussi voulu savoir si lors de prise de sang ou test urinaire (n'ayant aucun lien en rapport avec la gendarmerie ou quoi que se soit), repèrent-ils la consommation de drogue ? Mes ami(e)s me disent que ce n'est pas ça qu'ils recherche.
Voila, merci à ceux qui auront pris la peine de lire et de répondre.
| Test urinaire labo | 21/26 | 20/01/2011 à 23:14 |
Biensur qu'il y a secret professionnel, c'est tres strict. Il manquerait plus que les medecins te balance aux flics maintenant. N'importe quoi 
| Test urinaire labo | 22/26 | 21/01/2011 à 00:37 |
Califarabia a écrit :
White Shark a écrit :
Aurora Borealis a écrit :
Califarabia a écrit :
sephi a écrit :
secret médical ;)
Des stup', secret médical ? Bien sûr
+1
Elle est majeure donc responsable de ses actes légalement. Ses parents ne le sont plus donc il y a secret professionnel, drogue ou non. Si elle était mineure, ce serait un autre problème. Mais un docteur doit avoir l'accord de la personne concernée avant de divulguer l'information.
Et puis quoi encore ? On doit dire au docteur qu'on l'autorise à divulguer quelque chose d'illégal ? Et puis quoi encore ?
C'est la loi, rien de plus. Tout docteur a ses patients et chacun de ses patients a un dossier médical protégé par le secret professionnel. Que tu le veuilles ou non, c'est comme ça. Peu importe que ça soit illégal ou non.
White Shark a écrit :
Aurora Borealis a écrit :
Califarabia a écrit :
sephi a écrit :
secret médical ;)
Des stup', secret médical ? Bien sûr
+1
Elle est majeure donc responsable de ses actes légalement. Ses parents ne le sont plus donc il y a secret professionnel, drogue ou non. Si elle était mineure, ce serait un autre problème. Mais un docteur doit avoir l'accord de la personne concernée avant de divulguer l'information.
Et puis quoi encore ? On doit dire au docteur qu'on l'autorise à divulguer quelque chose d'illégal ? Et puis quoi encore ?
C'est la loi, rien de plus. Tout docteur a ses patients et chacun de ses patients a un dossier médical protégé par le secret professionnel. Que tu le veuilles ou non, c'est comme ça. Peu importe que ça soit illégal ou non.
| Test urinaire labo | 23/26 | 21/01/2011 à 07:24 |
Califarabia a écrit :
sephi a écrit :
Aurora Borealis a écrit :
Califarabia a écrit :
sephi a écrit :
secret médical ;)
Des stup', secret médical ? Bien sûr
+1
Vous pensez sérieusement, que quand on fait une prise de sang, dès qu'il trouve un soupçon de cannabis ou de coke, il apellent les stup ? Vous être un peu idiots, dans ce cas . Un medecin, pour exercer signe une charte, au nom de la loi, et dedans, ya le secret médical .
Et pourquoi ce secret, pour l'anonymat déjà, et si il appeler les stup comme ca, a quoi servirai les centre de desintox ? Tu crois que tout les nouveau en centre se font arréter ? --' Ou même si on t'a frocer et tout, ya trop de raison pour qu'ils le fassent, faut réfléchir un peu .
Faut arréter d'être parano hein ... j'ai déjà eu une prise de sang, la drogue met super longtemps a se casser du sang, et j'ai jamais eu de problème avec ca .
Bref, va faire ta prise de sang, tu risque rien du tout .
Attends mec, t'as rien compris. Stup' = stupéfiants pas la brigade. Et oui étant donné que la consommation de stup' est illégale, y'a aucun secret professionnel là dessus.
''Mec'' mon père est flic et tu pense vraiment qu'à chaque fois que quelqu'un va à l’hôpital pour des tests pour maladies il reçois un appelle comme quoi ils ont trouvé de la drogue dans son sang ?
> Et bien la réponse: Non. Faut pas exagérer quand même.
Le secret médical existe réellement sinon, personne irais à l’hôpital et tout le monde (du moins ceux qui prennent de la drogue..) ce laisserais mourir.. Ils ont d'autres chose à faire que de courir après ceux qui vont passer des tests à l’hôpital.
Par contre, si la police doute de quelque chose eux ils ont le droit de demander mais sinon rien, ni vue ni connu. Si tu ne demande pas, rien n'est regardé.. (Normalement..)
Bref, faut pas paniquer ''OMG je vais passer un test demain !!!
OMMMG..'' c'est rien du tout je vous l'assure. En plus même si tes quelqu'un qui prend de la drogue ça ne veux pas dire qu'il vont le voir, tout dépend..
sephi a écrit :
Aurora Borealis a écrit :
Califarabia a écrit :
sephi a écrit :
secret médical ;)
Des stup', secret médical ? Bien sûr
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Vous pensez sérieusement, que quand on fait une prise de sang, dès qu'il trouve un soupçon de cannabis ou de coke, il apellent les stup ? Vous être un peu idiots, dans ce cas . Un medecin, pour exercer signe une charte, au nom de la loi, et dedans, ya le secret médical .
Et pourquoi ce secret, pour l'anonymat déjà, et si il appeler les stup comme ca, a quoi servirai les centre de desintox ? Tu crois que tout les nouveau en centre se font arréter ? --' Ou même si on t'a frocer et tout, ya trop de raison pour qu'ils le fassent, faut réfléchir un peu .
Faut arréter d'être parano hein ... j'ai déjà eu une prise de sang, la drogue met super longtemps a se casser du sang, et j'ai jamais eu de problème avec ca .
Bref, va faire ta prise de sang, tu risque rien du tout .
Attends mec, t'as rien compris. Stup' = stupéfiants pas la brigade. Et oui étant donné que la consommation de stup' est illégale, y'a aucun secret professionnel là dessus.
''Mec'' mon père est flic et tu pense vraiment qu'à chaque fois que quelqu'un va à l’hôpital pour des tests pour maladies il reçois un appelle comme quoi ils ont trouvé de la drogue dans son sang ?
> Et bien la réponse: Non. Faut pas exagérer quand même.
Le secret médical existe réellement sinon, personne irais à l’hôpital et tout le monde (du moins ceux qui prennent de la drogue..) ce laisserais mourir.. Ils ont d'autres chose à faire que de courir après ceux qui vont passer des tests à l’hôpital.
Par contre, si la police doute de quelque chose eux ils ont le droit de demander mais sinon rien, ni vue ni connu. Si tu ne demande pas, rien n'est regardé.. (Normalement..)
Bref, faut pas paniquer ''OMG je vais passer un test demain !!!
OMMMG..'' c'est rien du tout je vous l'assure. En plus même si tes quelqu'un qui prend de la drogue ça ne veux pas dire qu'il vont le voir, tout dépend..
| Test urinaire labo | 24/26 | 21/01/2011 à 07:45 |
L'analyse de sang et d'urine ça passe pas dans une machine miracle qui dit d'un coup tout ce qu'il y a dedans. Chaque famille de molécule ou chaque critère biologique nécessite un test différent, donc une analyse supplémentaire qui a un prix. En cas de simple bilan médical je pense pas qu'il s'embêtent, et dépensent inutilement, à chaque fois pour faire toutes les analyses drogues y compris.
| Test urinaire labo | 25/26 | 22/01/2011 à 11:51 |
Bon, je vais mettre fin à votre dispute "il a le droit/il n'a pas le droit", m'intéressant assez au droit ^^.
Le médecin n'a pas le droit de dire à la mère si sa fille prend de la drogue, majeure ou non. Cela fait partie du secret médical. Par contre, dans le cas où quelqu'un prend de la drogue, il l'encouragera à aller dans un centre de désintoxication.
Sérieusement, croyez-vous que tous les drogués finissent au poste de police
?
Le médecin n'a pas le droit de dire à la mère si sa fille prend de la drogue, majeure ou non. Cela fait partie du secret médical. Par contre, dans le cas où quelqu'un prend de la drogue, il l'encouragera à aller dans un centre de désintoxication.
Sérieusement, croyez-vous que tous les drogués finissent au poste de police
?
| Test urinaire labo | 26/26 | 24/01/2011 à 00:48 |
Article L. 1110-4 du Code de la Santé Publique
Toute personne prise en charge par un professionnel, un établissement, un réseau de santé ou tout autre organisme participant à la prévention et aux soins a droit au respect de sa vie privée et du secret des informations la concernant.
Excepté dans les cas de dérogation, expressément prévus par la loi, ce secret couvre l'ensemble des informations concernant la personne venues à la connaissance du professionnel de santé, de tout membre du personnel de ces établissements ou organismes et de toute autre personne en relation, de par ses activités, avec ces établissements ou organismes. Il s'impose à tout professionnel de santé, ainsi qu'à tous les professionnels intervenant dans le système de santé.
Deux ou plusieurs professionnels de santé peuvent toutefois, sauf opposition de la personne dûment avertie, échanger des informations relatives à une même personne prise en charge, afin d'assurer la continuité des soins ou de déterminer la meilleure prise en charge sanitaire possible. Lorsque la personne est prise en charge par une équipe de soins dans un établissement de santé, les informations la concernant sont réputées confiées par le malade à l'ensemble de l'équipe.
Afin de garantir la confidentialité des informations médicales mentionnées aux alinéas précédents, leur conservation sur support informatique, comme leur transmission par voie électronique entre professionnels, sont soumises à des règles définies par décret en Conseil d'Etat pris après avis public et motivé de la Commission nationale de l'informatique et des libertés. Ce décret détermine les cas où l'utilisation de la carte de professionnel de santé mentionnée au dernier alinéa de l'article L. 161-33 du code de la sécurité sociale ou un dispositif équivalent agréé par l'organisme chargé d'émettre la carte de professionnel de santé est obligatoire. La carte de professionnel de santé et les dispositifs équivalents agréés sont utilisés par les professionnels de santé, les établissements de santé, les réseaux de santé ou tout autre organisme participant à la prévention et aux soins.
Le fait d'obtenir ou de tenter d'obtenir la communication de ces informations en violation du présent article est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.
En cas de diagnostic ou de pronostic grave, le secret médical ne s'oppose pas à ce que la famille, les proches de la personne malade ou la personne de confiance définie à l'article L. 1111-6 reçoivent les informations nécessaires destinées à leur permettre d'apporter un soutien direct à celle-ci, sauf opposition de sa part. Seul un médecin est habilité à délivrer, ou à faire délivrer sous sa responsabilité, ces informations.
Le secret médical ne fait pas obstacle à ce que les informations concernant une personne décédée soient délivrées à ses ayants droit, dans la mesure où elles leur sont nécessaires pour leur permettre de connaître les causes de la mort, de défendre la mémoire du défunt ou de faire valoir leurs droits, sauf volonté contraire exprimée par la personne avant son décès.
Dispositions complétées par celles prises à l'article R. 1110-1 du même code.
Ca c'est pour le côté légal.
Mais y'a aussi le serment d'Hippocrate que prêtent les docteurs lorsqu'ils reçoivent leur diplôme qui leur permet d'exercer. Ce serment est un sorte de code d'honneur qui à mon avis serait respecté même si l'Article L. 1110-4 du Code de la Santé Publique n'existait pas.
Enjolras- C'est bon? ^^
Toute personne prise en charge par un professionnel, un établissement, un réseau de santé ou tout autre organisme participant à la prévention et aux soins a droit au respect de sa vie privée et du secret des informations la concernant.
Excepté dans les cas de dérogation, expressément prévus par la loi, ce secret couvre l'ensemble des informations concernant la personne venues à la connaissance du professionnel de santé, de tout membre du personnel de ces établissements ou organismes et de toute autre personne en relation, de par ses activités, avec ces établissements ou organismes. Il s'impose à tout professionnel de santé, ainsi qu'à tous les professionnels intervenant dans le système de santé.
Deux ou plusieurs professionnels de santé peuvent toutefois, sauf opposition de la personne dûment avertie, échanger des informations relatives à une même personne prise en charge, afin d'assurer la continuité des soins ou de déterminer la meilleure prise en charge sanitaire possible. Lorsque la personne est prise en charge par une équipe de soins dans un établissement de santé, les informations la concernant sont réputées confiées par le malade à l'ensemble de l'équipe.
Afin de garantir la confidentialité des informations médicales mentionnées aux alinéas précédents, leur conservation sur support informatique, comme leur transmission par voie électronique entre professionnels, sont soumises à des règles définies par décret en Conseil d'Etat pris après avis public et motivé de la Commission nationale de l'informatique et des libertés. Ce décret détermine les cas où l'utilisation de la carte de professionnel de santé mentionnée au dernier alinéa de l'article L. 161-33 du code de la sécurité sociale ou un dispositif équivalent agréé par l'organisme chargé d'émettre la carte de professionnel de santé est obligatoire. La carte de professionnel de santé et les dispositifs équivalents agréés sont utilisés par les professionnels de santé, les établissements de santé, les réseaux de santé ou tout autre organisme participant à la prévention et aux soins.
Le fait d'obtenir ou de tenter d'obtenir la communication de ces informations en violation du présent article est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.
En cas de diagnostic ou de pronostic grave, le secret médical ne s'oppose pas à ce que la famille, les proches de la personne malade ou la personne de confiance définie à l'article L. 1111-6 reçoivent les informations nécessaires destinées à leur permettre d'apporter un soutien direct à celle-ci, sauf opposition de sa part. Seul un médecin est habilité à délivrer, ou à faire délivrer sous sa responsabilité, ces informations.
Le secret médical ne fait pas obstacle à ce que les informations concernant une personne décédée soient délivrées à ses ayants droit, dans la mesure où elles leur sont nécessaires pour leur permettre de connaître les causes de la mort, de défendre la mémoire du défunt ou de faire valoir leurs droits, sauf volonté contraire exprimée par la personne avant son décès.
Dispositions complétées par celles prises à l'article R. 1110-1 du même code.
Ca c'est pour le côté légal.
Mais y'a aussi le serment d'Hippocrate que prêtent les docteurs lorsqu'ils reçoivent leur diplôme qui leur permet d'exercer. Ce serment est un sorte de code d'honneur qui à mon avis serait respecté même si l'Article L. 1110-4 du Code de la Santé Publique n'existait pas.
Enjolras- C'est bon? ^^