Témoignages : La vie des ados

Vous êtes adolescent, venez partager une expérience vécue (première rencontre, première fois [soft !], grande peur, grande tristesse ....) ainsi que lire les témoignages déjà postés.
Cette rubrique est donc faite pour vous permettre de communiquer sur votre expérience personnelle de la vie qu'elle soit heureuse ou malheureuse.
Tu dois être membre pour témoigner.

Boulversement de vie

à 14 ans marion [16ans] 15/10
bonjour, voilà j'avais 14 ans à l'époque et je fesais du judo tous se passait bien et tous. quand un moment on à eu un nouveau prof, son frére assistait toujours au cours et il arrêter pas de me regarder ou venir toujours avec moi, un jour il ma pris dans ses bras et il à dit oo je t'aime et tous . au début je croyais que c'était pour rire et au fur et a meusure, il me caresser et ts il m'embrasser et il a failli me violer 2 fois !!!! je ne pouvais pas en parler a qui que se soit personne me croyais !! quand on est sorti ensemble j'avais 15 ans il me forçais a faie des choses horribles !! si vous voulez savoir pourquoi je suis sorti avec tous simplement je l'aimais grave !! j'étais bête mais jeune et amoureuse .

Histoire d'amour...

à 15 ans Mme Green [16ans] 09/10
Bon alors pour ceux qui n'aime pas lire vaut mieu pas aller plus loin.:mrgreen:



Alors enfait j'ai besoin de conseils mais je préfère expliquer toute l'histoire pour que vous compreniez mieux.



Alors le 27 Février dernier, j'ai commencé à sortir avec mon chéri :amour:, tout allait très bien entre nous, à part quelques petites disputes par-ci par-là, rien de méchant.

Nous couchions régulièrement ensemble depuis le moi d'avril, enfin c'est pas très important.

Il m'offrait souvent des pitis cadeaus d'amour, m'envoyait des lettres etc, enfin tout était parfait, même ses parents m'ont invité un weekend au portugal en juillet :shock: (je peut vous dire que c'est très cher).

Arrive le mois d'Aout... il doit partir un mois à Paris pour aller chez son père... je l'accompagne à l'aéroport, que de pleurs et d'amour il y avait entre nous ce moment-là...

Une semaines passe, nous nous appelions tous les soirs... bon moi desfois j'avoue j'étais un peu jalouse des fréquentations qu'il a à Paris... parceque dès qu'il voit une belle fille et qu'il va lui parler il m'en parle..enfin bref'... Puis arrive un très bon pote de Toulouse (mon meilleur ami qu'on va appeler K) ) Et mon autre meilleur ami qui vit dans la même ville que moi (F) fait une soirée, puis moi j'en fait 2 d'afilées... enf'in on se voyait tous les trois pendant quelques jours non-stop, mon copain ne voulait plus me parler parcequ'il soit disant il me "dérangeait" et il ne repondait plus a mes appels.

Quand vaint le soir où mon meilleur ami F M'avoua ses sentiments et m'embrassa, je le repoussai direct et lui demandant ce qu'il foutait et il me dit : Céline j'en ai marre d'etre séparé de toi, largue-le et reste avec moi!

Quelques jours après je suis partie 4jours à La Ciotat (près de Marseille) rejoindre mon chéri en vacances, nos rapports étaient beaufs, mais ça allait =)

De retour chez moi, le retour du meilleur ami,le soir sur msn on discuta de cet aveu qu'il m'avait fait et il me dit que si je voulait pas sortir avec lui il allait plus me parler et tout, et comme ça allait bauf avec mon chéri (parcequ'il voulait plus m'apeller) bah c'était toujours mieu etc... Je ne voulais vraiment pas perdre mon best alors je lui dit que je sortirais avec lui en cachette (chose à ne jamais faire :shock:) et qu'un jour j'allais larguer mon copain.. On s'est vu deux trois fois depuis le jour où je lui ai dit ça (je ne pensais vraiment pas ce que je disais) il cherchait tout le temps à m'embrasser mais je ne le laissais JAMAIS!

Les jours passent, il s'aperçoit que je me fou de sa geule et on arrête de se dire des conneries donc l'histoire est close...

Avec mon copain tout va de plus en plus mal, il est revenu de Paris, nous nous disputons souvent, nous nous voyons jamais (on est pas dans le même lycée) et si on se voit c'est pour se disputer...

Et à chaque fois que je le voyait il me disait : t'as pas quelquechose à m'avouer ?? Moi je disais non. Puis un vendredi soir je devais dormir chez lui, dans la journée il m'appela pour casser...

Le samedi il vit une pote qu'on avait rencontré à La Ciotat (il l'a invité à Nice) et de retour chez elle le samedi soir, elle vaint me réconforter sur msn et tout, elle était trop gentille avec moi tout ça, elle me dit que c'était un bon pote pour elle, que je devais attendre qu'il reviendrais vers moi et tout.

J'était détruite... J'ai envoyé un texto à mon "ex" pour lui demander si je pouvais le voir le mercredi pour qu'il me dise tout en face. Je n'ai pas mangé pendant 5jours, jusqu'à ce mercredi, alala quel jour... On agissait ironiquement en tant qu'amis (après 7mois ensembles... :-? ) Nous regardions un film dans sa chambre et bien sur nous nous sommes rapprochés et puis pendant 10min il hésitait à m'embrasser puis il le fit... J'étais la filel la plus heureuse de la terre à ce moment-là... 5min plus tard il me dit : Heuu tu sais je préfère de le dire maintenant... Caroline (la fille de la Ciotat), bah samedi, on a pas couché, mais on s'est touché, on a fait des trucs...

Hors de moi je prend mes clics mes clacs et je commence à me barrer... puis comme je ne suis pas de ce genre je me suis arretée et on s'est remis à nos explications... j'ai traité la meufs de tous les noms et sur lui je n'ai rien osé dire... il me répétait sans-cesse : toi t'a pas quelquechose à me dire ? moi toujours niet... J'étais en rage, j'envoyait plein de textos à Caroline et elle m'expliquait tout, j'ai appris qu'ils sont aussi sortis enssembles pendant les vacances à La Ciotat :| ... J'avais la haine contre les deux, j'en pouvait plus, mais j'aimais mon mec et on s'est dit d'oublier le passé et tout recommencé donc je l'ai pardonné...

Le vendredi je dors chez lui, nous faisons des choses, le dimanche il m'apelle pour me demander si j'ai réellement rien à lui dire je dis non, le lundi je le vois et il me dis : tu sais... toutes tes conversations msn... je les connais... alors dis-moi la vérité ?? Donc voilà j'ai du lui raconter l'histoire par rapport à mon meilleur amis F, mais les conversations ne collaient jamais avec la réalité (dans les convs je disais jamais la vérité à mon meilleur ami, je lui disais que j'aimais plus mon mec etc, hors c'étaix faux)...

Mon copain a perdu confiance en moi etc..mais nous sommes restés ensembles...

2 Semaines passent, tout va à peu près, sauf que mon chéri me répète souvent qu'il a du mal à me pardonner pour mes mensonges (??) et qu'il ne sais plus quoi faire...

Ce vendredi j'ai dormi chez lui, nous avons couché ensemble, tout allait bien... Hier je vais le voir à la sortie du bahut... il me dit : escuse moi j'ai fait une connerie de coucher avec toi, je le fait alors que je ne suis plus sur de t'aimer etcc... moi débile que je suis : T'inquiete pas je m'en fou... ce qui compte pour moi c'est rester avec toi, meme si tu m'aime pas et que tu profite de moi...

Et aujourd'hui, je vaiss le voir à midi...

Rebelote : Céline... je crois que je ne t'aime plus, je suis perdu dans mes sentiments, je veux pas te faire du mal en restant sans t'aimer et je veux pas casser non plus, je veux pas te perdre...

Moi je pleure encore... et je lui ai dit : bah réfléchis, c'est toi qui décide, moi je t'aime et je veux rester avec toi... après, des centaines de couples cassent et tout le monde ne se suicide pas, pense à ton cul, soit égoiste, pense pas au mal que ça va me faire, ça arrive à tout le monde...

Je l'ai quitté en lui faisant un bisou sur la joue et lui glissant un "je t'aime" à l'oreille il m'a dit "moi aussi" et moi je me suis retournée et j'ai dit "c'est pas vrai!" et je me suis cassée sans me retourner....



8mois qu'on est ensembles, je l'aime, il ne sais plus... que faire ? à part attendre qu'il réfléchisse ??

Je suis perdue...

:cry: :cry:

Un amour qui fait souffrir

à 14 ans peter pan [14ans] 30/09
il ya 5 mois, j'ai rencontré une fille, elle s'apelle elodie... quand je dis j'ai rencontré je dirais plutot fait la connaissance puisqu'elle habite marseille et moi chalon sur saone ...

au fil des jours on s'est ataché l'une a l'autre ...

le seul probleme, c'est la distance...

comment definir ce qu'on ressent. on s'aime comme personne d'autre et pourtant la vie nous separe. mais pourquoi? on a qu'une seule envie c'est d'etre ensemble pour toujours, de se serrer dans nos bras, de sembrasser, et de ne plus jamais se quitter... peut-etre un jour cet amour sera reel, et c'est la seule chose que j'atend avec impatience...

on ne peut qu'attendre le bon moment et se soutenir jusqua cet instant...

"loin de tes yeux les miens ne voient plus rien, mon coeur ne bas plus sans le rythme du tien..."

je t'aime pour toujours plus un jour mon coeur de moua...

A bumess. Un passage honteux et dégradant de ma vie.

à 16 ans Lady_Yakuza [17ans] 20/09
Il est 13 heures, nous sommes lundi, pour la énième fois, je me retrouve seule.

Que vais-je faire ? Je n'ai pas encore osée manger, je déteste manger seule.

Je pense pour la première fois à donner mon sandwiche aux sdf, ce sera ma B.A de la journée...



J'ose pour la première fois, jeter un regard à ceux que tout le monde méprise, je m'approche et offre poliement mon sandwiche.

Ma solitude languissante, je décide de discuter avec la jeune fille qui mendie.



Elle s'appelle M. et a 20 ans, elle vient d'Annecy et est venue ici, à Nimes avec son petit ami Bass et son ami Rom.

M. s'est très vite retrouvée à la rue, expulsée de chez elle par sa mère et sa soeur pour avoir touchée à la drogue.



Je m'installe avec M. ,son petit ami et leurs chiens, sur les marches d'une agence immobilière.

Les gens nous observes, je me sent mal à l'aise, mais pourtant je ris avec eux aux blagues de Bass.

Elle est assez forte, et violacée de visage, brune, cheveux mi-longs; son petit ami est édenté, cheveux courts, assez maigre, une casquette comportant des morceaux de briquets.



Je me levai prestement pour retourner en cours, "bien, je vous laisse" disai-je avec entrain.



Je les revoyais tous les jours, pendant 15 jours ainsi, puis je fis la rencontre du fameux ami Rom, il me plaisait bien.

Pour moi, il n'était pas question de sdf, mais quand je fis sa découverte, cela effaça tous mes principes que je jugeais "vieillots".

On fit connaissance, et on se rapprocha, je fut alors invitée à leur "squate".

Je m'y présenta un jour de forte pluie, avec Valère une connaissance en commun, un jeune homme de 18 ans, assez timide qui avec eux, ne l'était plus tellement.

Le soir même, je me mis avec Rom, nous étions officiellement ensemble.

Je fis aussi la connaissance de W. et de Mie. un couple de schyzophrènes, bien sympathiques. Elle faisait de la musique avec une Korg, il admirait sa petite amie pour ses talents divers.



J'étais heureuse d'être avec eux, je me disais que quoiqu'il se passerais je serais plus forte en étant avec Rom, il était doux, protecteur, aimant, il avait tout pour lui et j'étais bien avec lui.

Mon nombre d'amis étant limité, peux de gens étaient au courant de cette relation que j'entretenais avec lui.



J'étais aveugle et sur un petit nuage, c'est à ce moment là que j'ai déraillée complètement, j'ai pris le virage à 180° comme dirait-on et direction le cauchemard.

J'ai fait une multitude de fugues pour aller les retrouver, bon nombre de fois, je me suis enfuie de chez moi ou du lycée pour les rejoindres, persuadée que rien ne pouvait m'atteindre.

J'étais heureuse, j'étais enfermée dans un bonheur illusoire.



J'ai perdu mon bien le plus précieux, bêtement, un soir, ma virginitée. Avec ce type.

Même aujourd'hui je me demande encore comment cela a pu arriver, après avoir bu un verre de jus de raisin, je ne me sentais plus, j'étais à demi consciente, et il est venu. J'étais persuadée à cette époque, que tout était parfaitement normal, ce n'est que maintenant que je réalise que tout ce qu'il s'est passé était vraiment hors du commun, et cet épisode, sortait vraiment du banal.

Je n'avais rien demandée, je n'ai pas réalisée ce qu'il se passait, les autres fois, j'étais toujours dans le même état, tout en étant persuadée d'être intouchable. Je sais très bien que j'ai été abusée, mais c'est tellement honteux à mes yeux, surtout de la façon dont c'est arrivé, que j'ai toujours voulue me persuader que soit je l'avais voulue, soit il ne s'était rien passé.



Je voulais la libertée à tout prix, mais je me suis brûlée les ailes.



Que n'aurai-je fais avant pour l'avoir ? Je l'ai fait, je l'ai eu, je me suis détruite.



J'ai fait les pires erreurs de ma vie, jamais je n'aurais crue que j'en arriverais là, jamais.

Qui l'aurait crû d'ailleurs ? Peu de gens, pour ne pas dire personne.



Je passais des journées entières sur les marches de M. à m'occuper des chiens d'un peu tout le monde, je ne mendiais pas, je faisais nounou pour chiens.

Un soir on me vit là et on me dit, que fais tu là ? ta place n'est pas avec eux.

J'aurais du réaliser à cet instant là que je faisais une grosse bétise, enfin je l'ai réalisée mais pour moi j'étais allée trop loin je ne pouvais plus être aidée. J'avais atteint un point de non-retour.



Je m'occupais de toutes les courses du petit groupe, le groupe étant divisé en deux pour les maisons où nous habitions, j'habitais donc avec Rom, M. et Bass et plus tars un certain Jul; un pseudo-punk.

Bierres, chips, kebabs, drogues, voila de quoi se nourrissaient-ils.



Il peut paraitre difficile à croire pour certains que je n'ai touché à aucune substance illice, ni alcool, ni drogue, ni joint, mais pourtant c'est la stricte véritée, grâce à la volontée de fer que j'avais à ne pas vouloir plonger aussi profond qu'eux, je n'y ai jamais touché, malgré leurs supplications.

Voila au moins un point où je peux être fière, dans ma déchéance, j'ai sûe rester un minimum digne.

La drogue et l'alcool font perdre toute dignitée, car avec eux tu touche réellement le fond.



Dans la rue, j'ai complètement changée, je suis devenue agressive, j'attaquais les autres sdf dans les différentes associations crées pour eux, j'étais arrogante, je fonçais tête baissée, j'étais hargneuse, et surtout armée.

Certains de la bande en raison de mon caractère m'emmenaient avec eux dans les transactions de drogues.

Je ne me laissais pas marcher sur les pieds, personne ne pouvait m'écraser, personne.

A partir de là, tout a changé chez moi, j'étais évasive, arrogante envers mes parents, même menaçante, combien de fois ai-je faillis frapper ma mère ?

Je me suis alors aperçue que j'avais changée, j'ai décidée de me faire soigner, voyons que quelque chose clochait chez moi.

Je me pensait alors schyzophrène, étant persuadée que j'avais un dédoublement de la personnalitée, j'en fit part à mes parents qui prirent aussitôt rendez vous chez un psychiatrique de Nimes.

Il décida de mon internement, je n'étais pas prête à couper les ponts avec "eux", prête à me faire soigner mais pas autre chose, pourtant j'ignorais que mon issue dépendait de si je les oubliais ou pas.



Le premier mois fut terrible, j'étais sauvage, je crachais les médicaments, je brisais des verres, j'étranglais des patient(e)s et des infirmières, j'étrangla ma mère, un jour où je "les" attendais, sachant que mes parents désiraient que je tire un trait dessus, moi non, je devais les avoirs en visite, ma mère est arrivée, a devinée toute la situation, j'ai alors eu une pulsion qui a fait que je l'ai étranglée.

Heureusement ce fût sans gravitée, sauf au niveau moral.

Combien j'ai pue regretter mon geste... Nul ne peut imaginer à quel point je regrette tout ce qu'il s'est passé...

Comment pourrais un jour me racheter ?

J'ai finalement coupée les ponts avec "eux", il était temps, même trop tard.

Ho comme je regrette ce qu'il s'est passé, rien ni personne ne peut imaginer ma douleur.



Les mois en clinique, défilaient lentement, il n'y avait aucune progression, j'étais toujours aussi terrible, aussi hargneuse, aussi animale.

Puis finalement, j'ai renouée peu à peu avec mes parents, surtout avec ma mère, qui avait du mal à me pardonne et même à comprendre mon geste.

C'était la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase, j'étais allée bien trop loin et je ne m'en étais pas rendue compte moi-même, il a fallut que ce soit le regard des autres qui m'y aide.

Je pense que je ne m'en remettrais jamais, les choses que j'ai accomplies sont bien trop dures à accepter, pour moi comme pour les autres.



Le temps a passé, de longs mois, c'est encore tout frais.

Et je n'arrive pas à m'en remettre. Pourtant, je suis entrée en terminale Littéraire, mais ensuite on m'a "tétrogradée" en première Littéraire, pas de problème, j'accepte. J'ai un petit ami depuis un petit moment déjà, tout va bien, mais j'ai maintenant un certain blocage au niveau relations charnelles, par rapport à ce qu'il s'est passé.

Je lui ai tout expliqué, fort heureusement, il m'a très bien comprise et accepte très bien.

Les amis, je m'en fait petit à petit.

Et j'ai retrouvée ceux qui ont toujours voulu m'aider et que j'ai malheureusement rejetés...



Je m'en veux tellement...

Maintenant, je n'aspire pas à la vie, plus à l'Ataraxie, mais à la mort.

Peut-être que ces amis,vont m'aider à ré-aspirer à l'Ataraxie Suprême et à l'Übermensch.

Qui sait ?

Une personne retrouvée

à 15 ans Vickers [17ans] 04/09
Il ya a de ca 2-3 ans, j'ai rencontré une jeune fille extraordinaire.

Elle était avec moi en cours d'anglais renforcé, je ne pouvais décocher mon regard d'elle. Elle était pour moi la plus jolie fille que j'ai jamais vu.

Et puis nous avions une amie en commun. Elle nous a mis en relation, et j'ai eut le msn de cette jeune fille. De fil en aiguille, je lui ait fait comprendre qu'elle me plaisait. Et puis la veille de mon anniversaire, le 3 décembre, nous sommes sortis ensemble à 13.55, sous le préau principal du lycée dans lequel nous étions.



Nous avons passé tant de bons moments... jusqu'en aout de l'année d'après. Nous avons passé un mois d'aout terrible, mais ce n'était que le commencement. Nous avons commencé à nous quitter, puis à nous remettre ensemble. Ca a bien dur se faire 8 fois au moins... Mais moi j'étais tellement accroché...

Ca variait d'un mois à une semaine de vie de couple, à une journée... ce fameux lundi terrible...



Puis, la veille d'une fète que j'organisai chez moi, je l'ai invité à dormir à la maison. Ce qui devait se faire se fit.

Peu de temps après, j'ai perdu complètement contact avec elle. Je l'ai revue début juillet avant qu'elle ne parte à Paris et puis après, le néant.



Avril de cette année, je recois un sms d'un numéro que je connais. C'est elle, elle s'excuse. Je ne m'attendais pas à un retournement de situation comme celui-ci. C'était pour moi l'occasion de reprendre contact avec elle.

Mails, puis msn, puis téléphone.

Vint le jour ou elle descendit sur Martigues, c'était le 15 juillet 2007.

Puis, durant une conversation, elle me demande de sortir, comme ca aller se promener. J'accepte.



Je descend en bas de chez moi à quelques patés de maison, et j'attend au petit parc ou nous avions l'habitude de se retrouver.

Quelques minutes plus tard, mes yeux scintillent. Je la vois arriver, plus belle que jamais, je n'en revenais pas. Et à ce moment, qqch en moi s'est déclenché, comme un grand désir et une grande admiration.

Nous avons passé la journée ensemble, et ainsi de suite de jours en jours. Et puis un jour, lorsqu'elle devait rentrer, un calin et un baiser se sont faits.

Je n'ai rien fait, car j'en avait envi... Je suis allé retrouver ma meilleure amie juste après pour lui en parler. Le problème, c'est que j'étais deja en couple, elle le savait, mais j'en avait envi.

Puis les rdv suivants furent eux aussi fructueux...

Jusqu'au jour (mercredi dernier) ou je me suis fait larguer. Bizarrement, je m'en foutais. C'était une libération pour moi.

Depuis ce jour, je suis avec Cécilia, bien que j'étais avec elle bien avant de me faire larguer.



Hier, elle est retournée sur Paris pour ses études... elle me manque terriblement, je l'aime, j'ai retrouvé mon tout premier amour de jeunesse. C'est très bien parti pour nous, je ne compte rien gacher, elle non plus. Les mots des fois voudraient bien sortir tels que je t'aime, ou ma chérie mais bon... je n'ose pas pour le moment, mais ils sortiront.

Je monte à Paris la voir en octobre pour les vacances et en attendant je ne voudrai qu'elle ne sache qu'une chose: Cécilia, je t'aime.

Se debrouillait avant l'age . ..

à 14 ans eva [14ans] 29/08
Beaucoup de personnes n'aimerait plus avoir leurs parents sur leur dos , auriez vous pensez du jour au lendemain que vous allez passer devant le juge des enfants pour être plaçé ?! et bien moi non .

Ma mere a preferait prendre la facilitée , elle veut continuer sa vie sans ses enfants ( moi et mon petit frere ) .

Moi , 14 ans j'ai été plaçée chez une copine , a vrai dire j'ai eu de la chance d'être plaçée chez une copine que dans une famille d'acceuil , et mon petit frere chez mes grands parents ( en Normandie ) et oui moi j'habite a aix ... loin de mon petit frere . Elle a detruit sa vie et maintenant sa retombe sur moi , je sais vraiment pas quoi faire , je ne suis pas assez forte pour vivre tout sa , et pourtant personne ma demandé mon avis . J'aurais tellement voulu vivre des choses avec elle et non avec quelqu'un d'autre . Cela fait 3 mois le 29/08 que je suis passée au juge des enfants . Ce que je veux le plus au monde c'est être au pres de mon petit frere , c'est la personne que j'aime le plus au monde et je ne pourrais même pas lui prouver . Meme un roman ne pourra pas expliquer comment je suis mal , quand je pense que y'a 4 mois j'etais la fille la plus heureuse du monde .

Racisme

à 15 ans Zoréole [15ans] 25/08
Je ne sais pas pourquoi je décide de le faire aujourd'hui... Ni pourquoi je devrais le faire d'ailleurs. Peut-être pour montrer que nous sommes cons.

On a la chance d'être envie de vivre pleins de choses et pourtant certains la gâche.



C'était cette année.. il y a quelque mois, pour un anniversaire d'une amie de mes parents. Ma mère et cette amie sont Bretonnes. Mon père et le mari de cette dame sont Réunionnais mais mon père a eu le malheur d'être Noir ( c'est de l'ironnie ^^). Donc l'amie de mes parents, voulait fêter ses 42 ans qu'avec ses collègues de boulot, et qu'avec ma mère. Ma mère n'était pas partante et trouvait sa nul se système mais bon.. elle l'aime bien!

Tout se passait bien.. ma mère s'emmerdait un peu car elle était la seule à ne pas travailler au Leclerc.

Tout le monde parle rigole jusqu'à ce que Roger ( qui travaille dans la boucherie du Leclerc) dise quelque chose sur l'odeur des Noirs.

Un blanc s'installe.. tout le monde regarde ma mère un peu gêné. Une femme ajouta:" euuh.. roo Roger t'es con.. haha.."

Ma mère devint plus blanche quelle ne l'est déjà.. " Tu plaisante la Roger?" et l'autre imbécile tout fièr rajouta " Bah j'sais pas tu devrais savoir.. tu dors bien avec un Noir tous les soirs."

Ma mère n'en écouta pas plus.. elle se leva et parti.

Dès qu'elle fut rentrée elle nous expliqua.. mon père était prêt a aller voir cet homme et le frapper..

Moi j'ai attendu de retourner au Leclerc... plusieur reprise je restais devant la boucherie mais il n'y était pas. Sauf un jour. Je le fixais yeux dans les yeux.. je pris cet air dégouté au bout d'un moment... il était terriblement gêné surtout qu'en sortant ma mère ala voir un vigile ( Noir) et lui raconta toute l'histoire.

Depuis je n'ai pas eu l'occasion de revoir cet imbécile, mais avec le vigile on se lance toujours des clins d'oeil amicaux!



Tout ça pour dire.. que pour certaine personne c'est la Couleur qui fait la différence.. Pourtant, on peut être Noir Jaune ou tout ce que vous voulez, on peut être Français. Pour mon cas, la Réunion est une île française même s'il y a des Noirs, des Arabes, des asiatiques...

Quand peut-on dire qu'un mec devient violent avec vous ?

à 14 ans lapuce [15ans] 25/08
Voila, il y a environ un an je suis sortie avec un mec de presque 18ans. Il a réussi à me séduire en se montrant romantique, attentionné, bref presque le mec parfait ... mais c'était seulement en apparence. Je ne me suis pas rendue compte avant il y a quelques jours qu'il m'avait détruit. Je n'avais déjà pas beaucoup confiance en moi mais maintenant c'est encore pire. Il n'a jamais été violent avec moi, du moins comme on l'entend en général. Il ne m'a jamais frappé. Mais il voulait toujours me controler. Jusqu'à en arriver à un point extrême ! Lorsque l'on se disputait comme tous les couples il m'obligeait à l'embrasser. Il allait parfois jusqu'à me faire mal pour que je le fasse. Il ne me laissait plus penser par moi - même. Je me souviens de la fois où je me suis rendue compte qu'il ne me laissait plus aucune liberté. Je parlais avec un de mes amis qui voulait arrêter les cours. Je tentais de l'en dissuader parce que ce mec avait des capacités énormes. Il voulait aller travailler comme barman. J'avais peur qu'il gache sa vie sur un coup de tête. Finalement il est resté en cours. Le jour où j'ai tenté de le persuader, mon copain était avec moi. Il m'a traité comme une merde (désolé pour ce vocabulaire). Il n'était pas d'accord avec moi alors il m'a jetté. Il a passé son temps à être incorrect. Il ne respectait absoluement pas mes idées et mes opinions. Je ne pouvais pas penser autre chose que ce qu'il pensait lui. Ca devenait insuportable. Il était extrêment jaloux en plus de ça. Il en arrivait même à être jaloux de mon meilleur ami qui habitait à 700Km, que je ne pouvais pas voir et à qui je parlais par le biais d'internet. Je ne pouvais rien faire sans risquer des représailles. Chaque jour devenait une nouvelle dispute. Je ne me rendais pas compte à quel point j'étais malheureuse avec lui. Je pleurais chaque soir. J'avais peur de lui. Doit on considérer ça comme de la violence ?
Recommande ce site a tes ami(e)s | Aller en haut

Partenaires : Énigmes en ligne